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Anonymous
Invité
Invité
Mer 10 Juil - 22:08

Ce matin là je m’étais levée du bon pied, aujourd’hui sortait un article dans le San Francisco Chronicle qui était de ma plume. Ils avaient voulus que j’enquête sur l’étoile montante de San Francisco dans le monde du mannequinat, Capucine Z. Wertheimer. Ainsi j’avais pu la rencontrer, j’avais étudié sur sa vie, son enfance à Paris puis son déménagement à San Francisco et son travail d’aide aux devoirs en retrouvant une famille. J’avais aussi remué certains sujets plutôt sombres que la presse à scandale reprendrait avec délectation. Je ne peux pas dire que j’appréciais le fait de remuer des choses qui devraient rester caché juste pour être publié ou gagner plus, ce n’était pas ma plus grande fierté mais mon article les abordait avec distance. La phrase la plus trash étant : «  Il semble que cette tête d’ange ait besoin de dopants pour s’envoler. » Bien entendu dans ces milieux la drogue est répandue, cela n’était pas une faute horrible, mais il n’empêchait qu’il s’agissait d’accusations, à demi-mot certes. De toute façon lorsque le rédacteur m’avait appelé il m’avait annoncé la couleur. « Jane, j’ai besoin de toi pour un article croustillant sur une mannequin. » A partir de ce moment-là j’avais cherché, je n’avais rien trouvé sur sa vie en France ni la raison de son déménagement si ce n’est je suppose son american dream. J’avais longuement hésité à insinuer des pratiques anorexiques mais je préférais garder ça pour moi, ou pour un prochain article, la drogue était plus vendeur. Je me détestais de trouver ça plus vendeur, je me détestais d’écrire de telles lignes mais il fallait bien se faire un nom, on ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs. Dans mon cas je cassais Capucine en douceur, mais malgré tout ce que je pouvais essayer de me dire en mon fort intérieur pour déculpabiliser, j’étais coupable.

Je savais que j’aurais de ses nouvelles, je l’avais bien entendu interrogé sur son ressenti du monde de la mode, sur les difficultés à entrer dans ce club très privé des mannequins. J’avais bien entendu repris cette interview mais ajouté un article biographique sur la demoiselle. Je regardais mes mails pour voir les autres articles qu’il me fallait travailler et je constatais avec soulagement que je n’avais pas à écrire d’autres articles sur les travers des autres. Heureusement que la mousse de mon cappucino me remontait le moral. Chaque matin je venais dans ce starbucks pour réfléchir et me donner la force de travailler et non pas de traîner la journée entière à la plage ou dans les boutiques.
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Anonymous
Invité
Invité
Jeu 11 Juil - 3:56

J'avais commis beaucoup d'erreur lors de mon arrivé à San-Francisco. Pour pouvoir percer dans le métier de mannequinat, j'étais prête à tout, même à me droguer. Après une cure, j'avais réussit à me sortir de tout ça. J'avais pensé que tout cela n'était que du passé, jusqu'à ma rupture avec Jaxton. Je me sentais tellement mal, j'avais pris mon envole pour Paris. Mauvaise solution, je me suis vue fréquenter des gens pas très.. net. J'ai finis par retomber dans la drogue. Sombrer à nouveau. Ce n'était pas grand chose, juste de temps en temps, je n'étais pas accro, je pouvais très bien m'en passer. Du moins, c'est ce que je me disais s'en arrêt.

Ce matin là, j'avais eu la surprise de tomber sur un article à mon sujet dans le "San Francisco Chronicle". J'ai été, durant quelques courtes secondes, flattée d'y apparaître. Mais mon sentiment s'est vite envoler lorsque que je me suis rendu compte que cette article n'allait pas donner une bonne image de moi, dénonçant mon petit faible pour la drogue. Je savais très bien qui été la personne qui l'avait écrit, Jane Williams, que j'avais d'ailleurs rencontrer quelques temps plus tôt. Je n'aurais jamais pensé que c'était pour raconter de tel chose à mon sujet. J'avais toujours eu le dont d'être un peu naïve sur les bords, moi qui pensé qu'elle s'intéressait tout simplement à mon parcours -que je m'étais permis de redorée-.

Je me retrouvais actuellement face au Starbuck Coffee, j'y étais sûre de rencontrer la journaliste en question qui m'avait, lors de notre rencontre, laisser entendre qu'elle y passait tout les matins avant d'aller travailler. Je ne mettais pas trompé. Je retrouva la jeune femme assise à une table, j'essaye de calmer mes nerfs, pour ne pas paraître très agressive au premier bord. Je me dirigea alors en sa direction, claquant la page où son article à mon sujet se trouver, avant d'ajouter: « Pourrais-je savoir ce que c'est que tout ça ? ». Bon, d'accord. Pour le fait de ne pas l'agresser, on verra ça plus tard.
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 14 Juil - 16:37

Je finissais doucement mon cappuccino, profitant de ce moment de douceur lorsque je fus coupée. Je voyais s’afficher devant mes yeux mon article, et la voix de Capucine, plutôt énervée la demoiselle.   « Pourrais-je savoir ce que c'est que tout ça ? » Bon il semblait que l’article ne lui avait pas fait plaisir, malgré mon éloge sur son professionnalisme et sa maitrise. Ma culpabilité ne me lâcherait donc pas en cette belle journée. Il semblait que j’avais véritablement fait une erreur en écrivant cet article, j’aurais dû refuser mais l’appât du gain avait été plus fort.  Je relevais la tête et fixais le visage de mon interlocutrice, qui ne semblait pas dans la meilleure condition pour avoir une discussion calme et apaisée. Il me fallait donc garder mon calme pour tenter de l’apaiser mais je savais bien que cela ne serait pas chose aisée, j’ai toujours eu cette vieille habitude de partir au quart de tour. « - Un article sur vous. » En effet  c’était un article sur elle, je ne voulais pas la ridiculiser mais je ne voulais pas attiser le feu, ni même attirer les regards sur nous. Pour cette dernière raison je lui disais d’une voix calme : «  Je vous en prie, asseyez-vous. » Je ne savais pas vraiment si elle allait me claquer le journal à la tête et partir en me traitant de tous les noms d’oiseaux possibles ou si elle choisirait de s’assoir à mes côtés pour me reprocher mes paroles.

Je savais que si j’avais été de son côté j’aurais été du genre à tout renverser et partir en criant, mais j’espérais qu’elle ferait preuve d’assez d’intelligence pour trouver la force de se joindre à moi. Je savais que je n’étais pas excusable, j’avais écrit ces paroles de mon plein gré, portée par la recherche du scoop. Il me faudrait sans doute trouver un nouvel endroit ou prendre mon café le matin désormais, puisque je serais classée ici comme la miteuse journaliste qui n’écrit que des ramassis de méchancetés et d’accusations. Quel dommage j’aimais cet endroit, la chaleur des lieux, les personnes qui le fréquentaient. Qui plus est je devrais m’attendre à des représailles de Capucine, qui sans aucun doute me le fera payer, ce qui je l’avoue est loin de me ravir. Après tout, en soi je n’ai rien contre elle.
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Anonymous
Invité
Invité
Mer 17 Juil - 13:10

Elle releva le visage en ma direction, me fixant durant quelques secondes. J'essayais tant bien que mal d'intérioriser la colère que j'avais en moins en cet instant précis. Je m'en voulais à moi, à ma naïveté. Parce que oui, depuis quand les journalistes disent du bien de nous ? Ils cherchent la petite bête, ils veulent nous faire couler. Mais elle n'y arrivera pas, pas avec moi. « Un article sur vous. », son calme m'arracha à rire. Comment pouvait-elle paraître aussi sereine face à moi après toutes les horreurs qu'elle a put insinuer dans son article ? Elle reprit aussi tôt que possible, le plus calmement, « Je vous en prie, asseyez-vous. ». Mes sourcils se froncèrent bien plus qu'ils ne l'étaient déjà. M'asseoir ? C'était ma dernière envie. Je n'étais pas venue ici pour faire amie/amie. Je venais rendre de compte. Lui faire comprendre qu'on ne se mêler pas de ma vie privée sans s'attendre à le regretter aussitôt. Je décida de rester debout, je n'allais pas rester trois heures, pas besoin de m'asseoir.

J'inspirais à nouveau un grand coup, tout en affichant à un léger sourire en coin qui trahissait toute ma rancœur à son égard. Je me mise à parler le plus calmement possible, parce que je devais me comporter en adulte, je n'allais pas encore plus me ridiculiser. « Je n'ai pas envie de m'asseoir pour discuter avec vous, je l'ai déjà fait une fois et par la suite j'ai eu le droit à un.. fichue d'article bourré de mensonge. », je posa le journal que je tenais jusqu'à présent dans mes mains sur la table, appuyant mes mains sur celle-ci en reprenant la parole. « Je ne suis pas une droguée, alors vos sous entendu, je pense que vous pouvez vous les garder. Je ne sais pas où vous avez trouvé tout ça, mais revoyez vos sources. », bien sûr, tout cela n'était qu'un tissu de mensonge. J'étais belle et bien une droguée mais je n'avais pas le courage de l'assumer.  
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