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 Le jour J est arrivé... ft. Keith
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Anonymous
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Mer 1 Mai - 15:39


❝ KEITH HEMINGWAY & JULIET FITZGERALD ❞

Je connaissais Keith Hemingway depuis maintenant une semaine. Il devait me protéger du couple Stevenson qui voulait mon enfant. A la base, j'avais passé un contrat avec eux. Je ne voulais pas de mon enfant -d'ailleurs, je n'en voulais toujours pas- et j'avais souhaité le lui donner comme la femme Caroline ne pouvait pas en avoir. Toutefois, Lera m'a prévenu qu'en réalité tout n'était que mensonges et que le but de ce couple était de vendre l'enfant. A vrai dire cet enfant, je n'avais pas eu le déclic maternel et je pensais d'ailleurs que je ne l'aurais jamais. Cependant, penser qu'il allait se retrouver entre de mauvaises mains m'embêtait un peu. Beaucoup même. Malheureusement, je n'avais que seule issue: le garder...

J'avais demandé à Keith de passer dans ma chambre d'hôtel. Nous avions rencontré le couple le week-end dernier et bizarrement cela s'était bien passé. Jusqu'à que je reçoive un message il y a deux jours de la part du couple me menaçant que je ne m'en sortirais pas aussi facilement. J'avais bien fait de quitter mon appartement. Normalement personne savait où je me trouvais. Sauf Keith, qui à cet instant je m’apprêtais à l'embrasser sur les lèvres. Nous étions sur mon grand lit de princesse, malheureusement mon ventre rond nous empêchait de nous coller. Ma langue glissa sur ses lèvres quand je me sentis subitement humide au niveau de mon bas-ventre et une violente douleur au dos. Je me stoppai net et me redressai. J'avais compris. Je regardai la trace humide sur ma robe et sur le dessus de lit. « Oh putain. Keith, j'ai perdu les eaux. » Paniquée, je me levai tant bien que mal à descendre du lit pour aller dans la salle de bain. Ce moment-là je l'avais redouté. Je n'avais qu'une hantise: aller à l'hôpital. Je n'aimais pas me retrouver en patiente dans ces établissements de santé et surtout j'avais peur de tomber nez à nez avec les Stevenson une fois dehors.

J'attrapais une serviette propre pour m'essuyer les jambes lorsque ma douleur dans le dos repris du service. Je ressentis une forte sensation au niveau du ventre, on aurait dit la douleur des règles multipliée par 50. Je poussai un petit couinement et me laissai aller sur le sol, dos contre le mur carrelé. J'avais des sueurs froides à présent et la douleur que je ressentais au bassin était affreuse. J'avais l'impression qu'on était en train de me lacérer le bas du ventre. Je gémissais et ma peur d'aller à l'hosto n'arrangeait rien. Je ne voulais pas y aller. S'il le fallait, j'allais m'accoucher seule. J'avais terriblement chaud. Bordel, où que tu sois Sergej je te maudis de m'avoir mis en cloque.

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Caleb A. Keynes
Caleb A. Keynes
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Mer 1 Mai - 23:10

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    Collé aux lèvres de Juliet, je ne pensais plus à rien. Libre, je me sentais bien, à l'aise avec la jeune femme, bien qu'elle soit enceinte, prête à accoucher à tout moment. A vrai dire, depuis que je n'étais plus avec Narcissa, j'enchaînais les conquêtes, croyant que cette habitude était derrière moi, que j'étais devenu l'homme d'une seule femme. Foutaises et balivernes. Je m'étais fait prendre pour un con et le souvenir de la blonde m'était encore amer. Je ne comprenais toujours pas le pourquoi du comment de ses actes, je lui en voulais, point. Je ne cherchais pas à comprendre, n'ayant pas envie de m'en donner la peine. Bref, cette nuit-là, j'étais donc avec Juliet, celle qui avait besoin de ma protection, si je puis dire. En effet, la jeune femme avait eu des problèmes avec la famille qui devait adopter son enfant. La famille s'était avérée être de bien sales types qui ne méritaient aucunement cet enfant, c'était évident. C'est pourquoi, la future mère et moi étions partis à leur rencontre, mettant fin au contrat de mère porteuse. Cependant, même si cette rencontre s'était bien déroulée, à présent, les anciens futurs-parents ont commencé à menacer Juliet. Et c'est là que j'intervins donc à nouveau. Je passais régulièrement la voir et la nuit tombée, avais décidé de rester auprès d'elle pour quelques heures de plus. Je ne désirai pas rentrer, je n'avais rien de spécial à faire chez moi. Je n'avais aucune recherche immobilière à entreprendre aujourd'hui ni même de "mission secrète" à accomplir. J'étais donc tranquille. Juliet et moi en profitâmes alors pour nous détendre un peu, s'amuser ensemble quoi.

    Or, tout ne se passa pas comme prévu. Encore enlacé à la demoiselle, sur son grand lit, celle-ci se releva brusquement pour sortir du lit, paniquée et souffrante. Elle avait perdu les eaux. Bon sang. Je ne compris pas sur le coup. Je pris un certain temps avant de réaliser que je me trouvais en compagnie d'une femme enceinte. Ce n'était pas ce à quoi j'étais accoutumé. Toutefois, je me relevai à mon tour, curieux, observant les tâches humides sur les draps. Soudainement, j'étais comme fasciné par ce phénomène naturel, tentant d'élucider le mystère de la grossesse des femmes. Pourquoi perdait-elle les eaux ? Elle n'allait pas tarder à accoucher. Devait-elle alors aller à l'hôpital ? Sûrement. Pourtant, pas dans les circonstances particulières dans lesquelles nous nous trouvions. Que fallait-il faire ? Accoucher sur place peut-être ou appeler quelqu'un pour s'en charger. Dans ma tête, tout semblait donc clair. Or, voyant Juliet se tordre de douleur et l'entendre gémir, je compris que ce n'était pas aussi évident à mettre en pratique. J'allais de ce fait la rejoindre dans la salle de bain, en courant, la trouvant assise par terre, contre le mur. Je ne savais pas quoi faire, moi-même j'étais paniqué et confus. Je n'étais ni sage-femme ni infirmière ! « Juliet, rassure-moi, tu connais quelqu'un qui peut venir t'aider, pour te faire accoucher, là maintenant ? » J'espérais au fond de moi qu'elle avait pensé à contacter une des sage-femmes qui mettaient au monde des enfants à la maison, pour qu'elle puisse venir au moment venu la retrouver. Et dans ce cas-là, je n'aurais eu qu'à l'appeler, lui indiquant son adresse. Je me rapprochai de la brune, mettant un genou à terre. Je ne pensais pas qu'elle accoucherait maintenant, aucun de nous n'était préparé pour affronter ça. Fronçant les sourcils, je passai ma main sur mon visage, complètement abasourdi. J'étais perdu. Mais genre, vraiment.

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Anonymous
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Mer 1 Mai - 23:43

Quelle étrange et nouvelle sensation. Je me demandais comment les femmes pouvaient avoir plus d'un enfant. C'était déjà assez douloureux pour un ! Je savais pertinemment que je n'étais pas prête à accueillir un enfant. J'adorais mon indépendance et mon travail à la morgue, je n'avais pas envie qu'un petit être vienne foirer mon agréable vie. Je redoutais le moment où il franchirait "la petite porte" - si il y arriverait déjà. Je ne savais pas trop comment me mettre, j'avais mal au dos et au ventre. Je ne pouvais pas rêver mieux. Comme si on m'écrabouillait le bas du ventre et qu'on m'enfonçait une lame dans le dos. J'exagérais peut-être, après tout on ne m'avait jamais poignardé dans le dos, mais c'est comme ça que je voyais les choses. Je comprenais pourquoi les femmes demandaient la péridurale. Je détestais être dans une situation de faiblesse mais je n'arrivais pas à retenir mes gémissements de douleur et mes larmes sur mes genoux... Je haïssais me sentir faible et en y pensant ça me mettait hors de moi. Cependant ce n'était pas le moment. Il fallait que je me focalise sur le foetus.

« Juliet, rassure-moi, tu connais quelqu'un qui peut venir t'aider, pour te faire accoucher, là maintenant ? »

Je le regardais, sans doute le regard vitreux. « Comment veux-tu que je connaisse quelqu'un ? » Grognais-je au pauvre Keith. J'essayais en vain de me calmer. « Je-je vais me débrouiller. Retourne dans la chambre. » C'était l'heure de me souvenir de mes cours de biologie mais aussi des femmes enceintes qui accouchaient dans les films. Je n'avais pas forcément envie que Keith me voit dans un piteuse état. Je relevais ma robe sur l'aine et me débrouillai comme je pouvais pour retirer mon sous-vêtement. Je bougeais à peine et j'avais mal. Merde alors prends sur toi Jules, comme faisait les nanas à l'époque de la petite maison de la prairie ? Bon c'est un mauvais exemple, certaines mourraient... Je n'avais pas forcément envie de partir, en plus je n'avais même pas pu baiser avec Keith. Je glissais mon corps me mettant pratiquement allongée, et remontai mes jambes, la plante de pied posée sur le sol froid. Bon, il fallait peut-être que je pousse ou un truc du style ? Je pris un grand bol d'air frais et soufflai doucement en essayant de pousser pour la première fois. Rien. Je passai difficilement entre mes cuisses pour qui sait, sentir peut-être un truc. Mais rien. Comment la tête du gosse allait réussir à passer par là ? Bon Dieu.

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Caleb A. Keynes
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Jeu 2 Mai - 0:19

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    Ignorant ce que je devais faire, je restais sur place, attendant une réponse positive à ma question. Mais ce ne fut malheureusement pas le cas. Juliet souffrait bien assez pour que je lui fasse part de mon appréhension, cependant, j'avais bien envie qu'elle comprenne que je ne pouvais rien faire pour elle. Je n'avais jamais aimé les cours de biologie au lycée, je n'avais rien retenu des cours sur la procréation. Et même, nous n'étions jamais formés à accoucher les futures mères. Donc, j'étais complètement inutile, je me sentais même de trop dans la pièce. C'était vrai, non ? Je n'étais même pas le père de l'enfant. D'ailleurs, c'était qui ? Pourquoi n'était-il pas là, à ma place ? C'était à lui d'assumer ça, bordel, pas à moi ! Je n'étais pas non plus de sa famille ou un super ami. A vrai dire, je n'étais rien. J'aurais voulu partir et si je le pouvais, je l'aurais fait. Or, je n'allais pas agir comme un connard et la laisser se débrouiller seule. Je ne voulais surtout pas que les deux meurent. Et puis bon, j'étais encore plus inutile à attendre là, comme un con, ne bougeant pas. Autant que j'essaie. Mais essayer quoi au juste ? Jules me demanda de retourner dans la chambre et la laisser faire, seule. Elle était folle, c'était impossible d'accoucher toute seule. Je hochais alors la tête et me levai pour aller prendre quelques serviettes de bain et préparai un bol d'eau. Je ne savais pas trop pour quoi, mais j'avais pu voir des films à ce sujet, dans lesquels les personnes qui mettaient au monde un enfant d'urgence prenaient toujours des serviettes et de l'eau, je devais donc faire de la même sorte. J'observais la jeune femme tenter vainement de pousser pour que l'enfant puisse sortir de son vagin. Je n'osais pas vérifier. Si je voyais quelque chose, je paniquerai encore davantage, je le sentais. Autant, je pouvais encaisser de voir des cadavres ou d'horribles blessures, autant voir un bébé sortir d'un petit trou, ça non, c'était difficilement supportable. « Juliet. Je peux pas te laisser t'accoucher toi-même. Il ne sortira pas comme ça, aussi facilement. » Je me remis à genoux, lui donnant une serviette pour son visage puis lui tint le bol d'eau, pour tremper la serviette. Je réfléchissais à toute vitesse. Le bébé devait normalement sortir par la tête, si je l'apercevais, c'était bon signe. Elle n'aurait qu'à pousser, tout en la surveillant, pour ne pas qu'elle s'épuise trop, au risque de mourir. Ca semblait si facile. Pourtant, je n'arrivais même pas à passer la première étape. « Tu sens quelque chose sortir ou pas... ? » Ma question était maladroite, mais si je pouvais éviter de regarder tout de suite l'état de son vagin, cela m'aiderait beaucoup. Je devais me préparer mentalement à accoucher d'un bébé quand même. Keith, passion maïeuticien.

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Jeu 2 Mai - 21:59

Je devais y arriver, il le fallait puis de toute façon rare les fois où j'avais connu des échecs. Quand je voulais réussir quelque chose, j'y arrivais. J'étais une femme déterminée. Si je voulais que ce petit être sorte de mon utérus, j'allais y arriver. Pourquoi les choses se gâteraient ? Mes contrôles chez l'obstétricienne se révélaient toujours parfaits. Aucun soucis. Donc je ne devrais pas avoir de problème à accoucher n'est-ce pas ? C'est ça, tentais-je de me rassurer. Keith ne partit pas dans la chambre comme je lui avais demandé. Je mettais ma main à couper que s'il voyait l'enfant sortir, il allait s'évanouir. A vrai dire, j'étais bien placée. Je ne verrais pas quand l'enfant sortirait mais en attendant qu'est-ce que j'avais mal. « Juliet. Je peux pas te laisser t'accoucher toi-même. Il ne sortira pas comme ça, aussi facilement. » Hemingway eut la bonne idée de m'apporter une serviette et de l'eau. Je pensais qu'il me soulagerait lui même mais non. Ce fut à moi de prendre la serviette et de la tremper maladroitement dans le bol d'eau pour ensuite me la passer sur le visage.

« Tu sens quelque chose sortir ou pas... ? » Je le regardais avec une petite mine et posai ma main sur sa cuisse pour me cramponner avant de serrer les dents et de pousser. « Putain sors ! » Peut-être que si j'haussais la voix, le bébé allait se manifester... Échec. Mauvaise idée, je ressentis une pression encore plus forte en bas. Ouille ouille. « Gentil petit bébé, aurais-tu la gentillesse de soulager ta pauvre mère et donc à te montrer ? » Dis-je en me forçant en ayant une douce voix. Derechef, je sentis une sorte de poids appuyer sur mon vagin ? Je ne savais pas exactement. Ce que je savais c'est que la douleur de mon ventre c'était dirigé plus bas. Peut-être qu'il allait enfin naître ! « Je sens quelque chose en bas ! » C'était le moment de pousser aussi fort que je pouvais à en crier et pleurer. Dommage pour les voisins de ma chambre d'hôtel. Je soufflais fort avant de forcer une nouvelle fois.

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Caleb A. Keynes
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Mar 7 Mai - 20:34

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    Le bébé de Juliet, qui devait naître, n'avait décidément pas de chance. Il était promis à une famille bizarre, allait naître dans un hôtel et non dans un hôpital et surtout, il n'était pas entouré par des sage-femmes, médecins et infirmiers, mais seulement par moi, un homme de 27 ans qui ne savait rien sur les bébés et les naissances. Je commençais à maudire intérieurement le sort de me retrouver dans une telle situation. Je n'en revenais pas... Et pourtant, c'était arrivé. C'était à moi de faire sortir ce petit être de l'utérus de sa mère. Chiotte. Comment allais-je procéder ? Je l'ignorais. D'ordinaire, je suis celui qui met fin à la vie d'un homme, pas celui qui lui donne la vie, qui le fait naître. Tu te retrouvais dans une situation bien ironique, Hemingway. Je respirai un grand coup et j'attendais de voir comment Juliet allait procéder. Elle criait pour faire sortir le bébé, mais en vain. Puis, à un moment, elle sentait le bébé tout prêt de sortir. Je jetai systématiquement un oeil vers les jambes de la jeune femme, sans oser regarder en dessous de sa robe, or il fallait bien que je le fasse. Elle poussait de toutes ses forces, comme si elle allait éjecter un bébé de 12 kg. Evidemment, ça n'allait pas être le cas, et heureusement. Voyant que la pauvre suait, je pris la serviette pour la tremper dans l'eau et essuya son visage. Je m'enlevai ensuite, pour me mettre au niveau de ses jambes. Le moment crucial était arrivé. Le bébé allait sortir. Il fallait que l'on soit rapides et surtout performants, deux vies en dépendaient. Je fermais les yeux trois secondes pour me préparer à affronter l'accouchement. Mais merde, j'étais pas fait pour ça ! Je regardais Juliet se démener, d'un air grave et sérieux. « Tu vas devoir pousser comme jamais Juliet. Le bébé ne va pas tarder à sortir. » Je lui donnai de nouvelles serviettes pour qu'elle puisse s'y accrocher, à défaut d'avoir une main à tenir puisqu'on disait souvent que la mère avait besoin de se tenir à quelque chose pour l'aider à mettre au monde son bébé. « Je vais compter jusqu'à trois et tu pousseras le plus fort possible. Pour le moment, respire profondément et... Pense à la libération. Tu y es presque. » Je hochais la tête en esquissant un léger sourire pour l'encourager. Sourire que je perdis aussitôt lorsque je posais mes mains sur les jambes de la demoiselle. « Tu permets...? » Je voulais quand même être un minimum poli, étant bien sûr d'obtenir son consentement pour que je puisse intervenir. J'écartai alors ses jambes et levai sa robe. Je perdis mes moyens en reculant brusquement. C'était... tellement étrange. Je n'avais jamais vu cela auparavant, ce qui était tout bonnement normal. Peu de gens avaient l'occasion de voir ce que je voyais en ce moment-même. Je me ressaisis rapidement et me remis devant ses jambes. J'apercevais quelque chose, c'était bon signe. Maintenant, c'était à Juliet d'assurer. « Je crois voir la tête du bébé. Je compte donc... 1... 2... 3, à toi de jouer ! » Et j'espérais que le petit puisse sortir d'un coup, très vite, sans trop épuiser ni la mère, ni moi-même. Or, je me trompais. Malheureusement.

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Anonymous
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Mer 8 Mai - 1:25

Je me cambrais en avant en poussant. Le jour de la naissance de cet enfant, j'allais m'en souvenir. Qui à part moi accouchait dans la salle de bain dans une chambre d'hôtel avec un homme que je ne connaissais pas plus que ça et qui n'avait rien d'une sage femme. Je ne rêvais qu'une chose que le travail cesse et que le bébé naisse. Mes mèches de cheveux collaient sur mon visage à cause de la sueur. J'avais l'impression de perdre des forces à chaque seconde où je donnais du mien. Comme si je n'étais qu'un vulgaire personnage dans un jeu vidéo et que je perdais des barres de vie à chaque fois que je faisais un effort monstrueux. Toutefois, je n'avais pas à me plaindre. J'aurais pu demander à Keith d'appeler l'ambulance ou que sais-je pour venir me chercher et me transférer à l'hôpital. Cependant, je ne voulais pas y mettre un pied. J'avais une horreur de ce lieu, peut-être parce que je pensais à la mort.

A côté de moi, l'homme commençait à s'agiter et prendre un rôle plus important qu'un simple spectateur. Il adoptait le statut de sage femme en me demandant de pousser le plus fort que je le pouvais quand il comptera jusqu'à 3. « Tu permets...? » Il avait posé ses mains sur mes genoux, en me demandant la permission d'observer ce qu'il se passait entre mes cuisses. Cela devait être moche, très moche. Je n'avais vraiment pas envie qu'il regarde, ce n'était pas glamour mais avais-je le choix ? J'hochai la tête alors gênée pour qu'il regarde. Il recula brusquement en découvrant ce qui se cachait en bas. Le pauvre. Si je sors indemne de cette situation, il faudra que je pense à le remercier vraiment. « Je crois voir la tête du bébé. Je compte donc... 1... 2... 3, à toi de jouer ! » Cette phrase eut comme un effet de décharge électrique sur moi. Je me redressai un peu tout en tenant la serviette qu'il avait amené puis poussa aussi fort que je le pouvais en retenant mes gémissements. Je comprenais pourquoi les femmes demandaient des péridurales nom d'un chien. Je me calmai dix secondes pour respirer, avant de recommencer le travail. Je le sentais. L'enfant était en train de sortir. C'était épouvantable comme douleur ! On aurait dit qu'il emportait mon vagin avec. Je fermais les yeux. Je me sentais mal.


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Caleb A. Keynes
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Mer 8 Mai - 21:08

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    On y était presque. Bientôt, tout cela serait fini, peut-être oublié, avec chance. Juliet aurait plus de mal à oublier la naissance de son enfant que moi-même. Quoique... Ce genre d'événement reste gravé dans nos mémoires à jamais. Mais bon, je ne pensais pas vraiment à ça pour le moment. Le plus important était de faire en sorte que l'enfant puisse naître sain et sauf et que la mère ne s'épuise pas à en mourir. Honnêtement, j'avais peur de merder. D'habitude, lorsqu'il m'arriva de devoir liquider des mecs, je n'avais pas droit à l'erreur. Si je manquais ma cible, c'était moi qui allais crever, si un témoin se trouvait dans les parages, je risquai de me retrouver derrière les barreaux à pourrir durant des années. Là, c'était exactement la même chose. Je ne pouvais pas me permettre d'échouer. C'était comme si on m'avait confié la vie de la mère et de l'enfant. Juliet se donnait beaucoup de mal à expulser le bébé de son utérus. Or, ce n'était pas aussi simple. Je la regardais. Elle semblait exténuée. Ses yeux étaient fermés. Soudain, je fus pris d'une panique. « Jules ! Jules ! Ne pars pas. N'abandonne pas, tu y es presque ! » Je m'approchais de son visage pour l'observer attentivement. Elle respirait. Elle était encore là. Je pris la serviette à côté d'elle pour éponger la sueur de son visage et de son cou. Je repris ma place, derrière ses jambes pour une nouvelle tentative. « Encore un effort Juliet... Tu peux le faire. » A nouveau, je consultai "la sortie" pour le bébé. Rien n'avait changé. Et s'il y avait un problème ? Peut-être que le bébé avait un problème, il ne pouvait pas sortir, il ne sortirait pas, il était mort... J'étais toujours trop pessimiste, à me préparer au pire. Cependant, là, je ne pouvais laisser mes craintes prendre le dessus. Je jetai un oeil à Jules pour qu'elle puisse pousser une nouvelle fois. Et cette fois-ci, ça devait être bon. Quelque chose de distinct se dessinait au niveau du vagin de la mère. Sans doute la tête du bébé. « Je crois que la tête du bébé est là... Elle va sortir ! Continue ! » Encore un effort et tout serait fini. Enfin.
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Jeu 9 Mai - 13:27

Fermant mes yeux, je me mis à penser autre chose. Je me mis à penser à ma famille. Il m'avait abandonné à la naissance et c'est le dirigeant d'un cirque qui m'avait recueilli. Il m'avait élevé comme sa fille et c'est à l'âge de quinze ans que mes parents biologiques m'avaient recueilli. Mon père avait fini par quitter ma mère et se mettre avec une nouvelle femme que je détestais. Je me demandais comment ils réagiraient s'ils savaient que j'avais mis au monde un enfant. De toute façon, ils ne le sauront jamais puisque j'avais coupé tout contact avec eux et que je ne voulais pas les revoir (mes deux petits frères me manquaient quand même, je m'étais attachée à eux). Je repris conscience du moment présent quand j'entendis une voix m'appeler « Jules ! Jules ! Ne pars pas. N'abandonne pas, tu y es presque ! » J'ouvris subitement mes grands yeux gris bleuté et regardai Keith qui était tout près de moi. Il me passa la serviette sur le visage et le cou pour me rafraichir. Je lui souris faiblement. Encore un effort me disait-il. Je me réinstallai bien contre le mur frais de la salle de bain et me concentrai sur ce qu'il se passait sous mon bassin. Le jeune homme avait repris place derrière mes jambes pour inspecter si tout semblait normal. Je ne savais même pas comment il faisait puisqu'il n'avait jamais assisté à un accouchement. Au moins pour plus tard, si jamais sa petite femme accouche maladroitement à la maison il saura comment faire.

« Je crois que la tête du bébé est là... Elle va sortir ! Continue ! » Je tenais le bon bout ! Sa phrase me boosta, et je m’efforçai à pousser afin que l'enfant sorte pour de bon. J'allais me faire des abdos en béton. J'haletais, repris ma respiration et poussai encore aussi longtemps que je puisse tenir. Je sentis quelque chose glisser sur mes cuisses, peut-être du sang, je ne savais pas. Je sentis également un petit individu sortir. Je posai ma tête en arrière contre le mur. Il me semblait entendre un cri au loin...
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Caleb A. Keynes
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Jeu 9 Mai - 23:19

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    A la dernière poussée de Jules, qui fut la plus forte de toute, un cri retentit, en même temps qu'un petit être sortant du corps de la jeune femme. C'était assez impressionnant. Et étrange. Un enfant était né. Grâce à moi. Et grâce à sa mère également, bien entendu. Elle avait été formidable. Je ne savais pas d'où trouvait une femme toute cette force pour mettre au monde son enfant. C'était ahurissant et j'étais véritablement admiratif. Juliet avait fait du beau travail. J'étais encore un peu sous le choc au moment où je me retrouvais avec un bébé dans les bras qui criait. Si je ne me trompais pas, lorsqu'il criait, c'était bon signe. La fille de Jules, ce que je pus constater en examinant le corps furtivement, semblait être en bonne santé, aucune formation ou de membre cassé. Enfin, je n'étais pas médecin non plus, pourtant, je tâtais chacune de ses parties, délicatement, et je ne remarquai rien. Tenant la petite dans les bras, je la pris dans mes bras pour lui sourire. Elle ne saura jamais ce que sa mère et l'homme qui l'avait fait naître avaient enduré pour la voir dans ce monde. Tant mieux ou dommage. Elle ne ressemblait encore pas à grand chose, compte tenu de tout le sang qu'elle avait sur elle, toutefois, j'étais certain qu'elle deviendrait toute aussi jolie que sa mère. Je couvris le bébé par une serviette qui jonchait le sol et la confiai à sa mère. Il me fallait de quoi couper le cordon ombilical. Je fouillais dans l'armoire à pharmacie de Juliet pour y trouver des ciseaux. Je coupai alors le cordon, délivrant enfin la mère. Il y avait un peu de sang sur le sol, sur sa robe et sur moi-même. Je pris de nouvelles serviettes pour essuyer le sang par terre. « Bravo Juliet. Tu as géré. » Je lui souris, tout en essuyant mes mains cette fois-ci. Il fallait laver le bébé et vérifier s'il était vraiment en bonne santé. « Ta fille doit consulter un médecin, pour être sûr que tout va bien, même si elle a l'air d'être en plein forme. » Je posais mon regard sur la petite qui contemplait sa mère, silencieusement. C'était beau à voir en fait... La mère et la fille serait liée à jamais par ce merveilleux événement. Bien que Jules ne paraissait pas aussi emballée que toutes les mères que l'on voyait à la télé ou je ne sais où. « Tu vas alors la garder ? Ton choix est définitif ? » C'était maintenant ou jamais qu'il fallait se décider. Il était toujours possible d'abandonner le bébé à un service spécial qui gérait les abandons, même si je n'aimais pas cette alternative. Mais c'était le choix de Juliet, à elle d'en décider.
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Anonymous
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Ven 10 Mai - 14:15

J'étais essoufflée. A nouveau j'avais fermé les yeux et ma tête reposait en arrière contre le mur. J'entendais pleurer. Ça y est mon enfant était né. J'avais toujours appris que quand le bébé pleurait c'est que c'était bon signe, c'est juste qu'il respirait pour la première fois l'air extérieur disons. J'étais exténuée et je laissais faire à présent Keith. Je le sentais gigoter près de moi. « Ta fille doit consulter un médecin, pour être sûr que tout va bien, même si elle a l'air d'être en plein forme. » Ma fille ? Il me semblait que cela devait être un garçon pourtant. Quelle importance. Avec un peu de chance, elle ne sera pas la copie conforme de son paternel et tant mieux. Ça allait être plus drôle quand j'allais devoir m'occuper d'elle et c'était la prochaine étape. J'ouvris les yeux et la vis. Ah c'était vraiment laid un bébé à la naissance ! En plus elle était toute sale. Je tendis le bras vers elle pour lui faire comprendre que je la voulais sur moi. Comme toutes les mères faisaient, même les bébés kangourous remontaient sur leurs mères avant de continuer leur croissance dans la poche. La petite chose était désormais posé sur moi, et je lui touchais le dos délicatement, j'avais peur de lui faire du mal. On aurait dit un petit poulet sale. « Tu vas alors la garder ? Ton choix est définitif ? » Je posais mon regard sur Keith. J'avais l'impression que mon cerveau avançait à deux à l'heure ou que j'avais fumé le plus gros joint de ma vie. Je finis par ouvrir la bouche « Oui. Je n'ai... Pas le choix... » Je souris difficilement. C'était rare de me voir sourire. J'avais du mal à respirer et je me sentais assez mal. Ma vue se flouta, j'avais du mal à voir ma fille et hop je perdis connaissance.

Désolée Keith, de te laisser gérer tout cela.
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Caleb A. Keynes
Caleb A. Keynes
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AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ ÂGE : 36
✱ QUARTIER : sunset District.
✱ COLOCATAIRES : none.
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Ven 10 Mai - 18:12

Le jour J est arrivé... ft. Keith Tumblr_inline_mm4tvnvrmq1qz4rgp



    Alors que je pensais que c'était le nouveau-né qui méritait quelques examens médicaux, je me rendis compte que c'était plutôt Juliet qui devait profiter de quelques soins médicaux. Mais, malheureusement, il fallait se débrouiller sans ça. Un moment, je crus qu'elle était morte. Complètement inerte au sol, je pris le bébé de sa mère afin de lui éviter une chute. Puis, je m'assurais que la mère allait bien. Elle respirait encore. Elle était peut-être tombée dans les pommes. Peu importait sur le coup, je ne pouvais pas m'occuper d'elle malheureusement, je devais laver la petite, elle ne pouvait pas rester comme ça. Je délaissai alors la mère, espérant qu'elle recouvrirait rapidement ses esprits. Juliet m'avait confirmé, juste avant de s'évanouir, qu'elle envisageait de garder le bébé, malgré elle. Elle n'avait effectivement que peu d'alternatives maintenant que la famille adoptive ne pouvait élever le bébé. J'ignorais ce qui allait advenir de l'enfant et de la mère, mais avec ce qui s'était passé, je ne pouvais être indifférent face à ça. J'allais soutenir et apporter mon aide à la jeune femme, si elle en avait besoin. Dorénavant, nous étions en quelque sorte liés elle et moi, par cette soirée qui serait inoubliable. En lavant la petite dans le lavabo avec de l'eau tiède à tendance chaude, je repensais à ma mère. Mère qui était dans un asile. Mais mère aimante et généreuse qui a toujours pris soin de son petit Keith, de sa naissance à l'âge de 17 ans. Je souris alors à la petite qui venait enfin d'arrêter de pleurer, se sentant bien dans l'eau. Après l'avoir bien lavée, je la recouvris d'une serviette, remarquant que Jules s'était réveillée. La salle de bain était un véritable carnage entre serviettes pleines de sang, sol de couleur pourpre, eau qui avait été renversée au moment du bain du bébé... Je gardais celui-ci dans mes bras pour le bercer tout doucement en le fixant des yeux. Le bébé ressemblait davantage à quelque chose maintenant et j'admis que la petite Fitzgerald était mignonne. « Comment penses-tu l'appeler ? As-tu déjà un prénom pour elle ? »
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Mai - 23:10

Ça y est, j'étais vraiment mère. Pour de bon, cette fois-ci. Mère célibataire, comme c'était mignon. Ironie. Qui voudrait d'une mère célibataire ? Je ne cherchais pas l'amour, oh ça non, je savais qu'un homme stable dans ma vie était une mauvaise idée. J'étais une fille qui se lassait rapidement et qui avait du mal à ouvrir son cœur. Enfin bref, autant dans ma vie sentimentale -si on peut l'appeler ainsi- que dans ma vie professionnelle, cet enfant allait me pourrir la vie.

Je rouvris mes yeux gris-bleu. Reprenant connaissance. Je regardai autour de moi, me remettant de mes émotions. Je me sentais lourde, mon corps était comme un poids et je voyais du sang entre mes jambes. Keith entra dans la salle de bain avec le bébé dans ses bras. Elle avait l'air propre et ne disait rien. C'était une bonne chose, si elle ne pleurait pas. « Comment penses-tu l'appeler ? As-tu déjà un prénom pour elle ? » Me demanda l'homme qui venait de donner vie. Je passais ma main dans mes cheveux bruns. Là dans l'immédiat, je ne savais pas. Je n'y avais pas pensé à vrai dire. Bien sûr j'avais dans un coin de ma tête quelques prénoms que je trouvais particulièrement beaux mais ce n'était pas le moment d'y penser. « Je ne sais pas trop. » A cet instant, j'étais plus préoccupée par mon corps et particulièrement mon utérus. Je me redressais tant bien que mal, pour essayer de voir plus précisément entre mes cuisses. Je relevais ma robe et vis une petite partie d'une sorte de chair rose violacée. C'était le placenta. Seulement un bout de placenta. Je fus prise de panique quand je me rendis compte que l'autre partie devait être encore en moi. « Keith... Tu pourrais appeler une ambulance ? » Je lui en demandais beaucoup le pauvre. Je savais que c'était très mauvais de garder le placenta en soit. Les femmes y mourraient dans l'ancien temps. Je savais une chose: je finirais tout de même à l'hôpital même si je détestais ça.

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Le jour J est arrivé... ft. Keith

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