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Le problème est qu'il n'y a pas de problème. Je n'ai pas de problème. Je suis pas un enfant de riche qui veut profiter de son argent,pas un ado rebelle voulant repousser toutes limites et autorités, pas le mec implusif qui fait tout se qui lui passe par la tête sans s'importunerdes conséquence. Où alors s'il y a un problème c'est peut-être un peu le dernier, j'avoue j'agis parfis sans me douter desconséquence. Mais ça n'est jamais voulus. Je ne veux pas faire de vague, je ne veux pas énerver les gens ou attirer les ennuis. Tenez, la seule chose qui déplait en ce moment à mes parents et qui est source pour une fois de disputes depuis ma naissance, c'est mon futur métier. Ma mère est fière depuis mon entrée en médecine, major de mon lycée, major de la première année et cette année encore j'excelle. Seulement voila, ça ne lui plait pas qu'une fois diplômé, j'aille m'engager dans les médecins sans frontières. Trop risqué, trop loin, trop dangereux pour son petit fils. Alors on n'en parle pas. Parce que c'est comme ça chez moi, on ne parle pas des sujets qui fâche, on se tient bien droit à table, on a toujours trois plats au repas, on ne pose pas les coudes sur la table, on s'habille bien le dimanche pour allez au Brunch des Salvatore. Et oui, ça agit comme ça la haute bourgeoisie d'Angleterre. Et ça s'assoit même à l'Eglise pour célébrer le mariage du Prince et de la Duchesse, au lieu d'aller trainer dans la ville, ça célèbre le mariage d'un lointain cousin à la cour royal et au lieu de faire la fête avec ses amis, on finit en after de mariage avec le Prince Harry... Voila c'est que c'est d'appartenir à une famille avec des titres et de l'argent, une mère sur-protectrice et attaché aux apparences, un ère calme qui se "soumet" aux ordres de ma mère. Mais contrairement à certain, il n'y a jamais eut de vent de révolte à la maison.

Il y a quelques semaines j'ai eus l'opportunité lors de mon début de deuxième année d'avoir une offre d'internat à l'hôpital de San Francisco, grand hôpital, grand pays, grande nouvelle. Bon ok c'est dur de quitter son pays, son climat , ses parents et sa maison pour vivre dans une grande ville pareil et inconnue, seul. Mais je commence à m'y habituer, et puis, c'est pas comme si je n'étais pas sociable. A l'université comme à l'hôpital, j'ai bien vite fait de me faire de nouveaux amis...