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 This is war |ft Ewan
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Sam 22 Jan - 0:40

This is war |ft Ewan Icon2 This is war |ft Ewan Wtzvo3 This is war |ft Ewan 004a72g7
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DÉSOLÉE!
Ce n'était pas volontaire, croyez-moi!




La routine d'une journée mais une soirée peu banale s'annonçait à moi. Peut-être parce que je retournai en boite de nuit après quatre ans d'abstinence ? Peut être parce que j'allais voir un pseudo groupe ou une pseudo rock star se produire dedans ? Je n'en avais absolument aucune idée. Mais en est-il que je devais faire vite car l'amie qui m'y conduisait était une fanatique du chanteur – soi disant mondialement connu – et qu'elle avait des pass VIP. « Tu ne te rends pas compte! C'est une chance de pouvoir rencontrer machin chose. On ne le voit pas souvent. Et il est si beau, m'avait-elle dit au téléphone sur un ton hystérique qui m'avait donné mal au crâne. » J'avais bégayé des excuses comme quoi je me sentais mal mais rien n'y faisait. Comme je n'étais pas fan de cette chose, j'étais obligé de l'accompagner pour réfréner ses ardeurs. Si ardeur il y avait. En gros, je devais empêcher le pauvre type de se faire violer. Chouette mission! Surtout que je n'étais pas au top de la forme.

Me dépêchant de rentrer chez moi après mon examen quotidien à l'hôpital, je donnais à manger à mon chien pour ensuite me changer en toute hâte. Forcément, je ne pourrais pas m'y rendre dans une tenue de souillon. Car même si je ne connaissais pas le groupe en question, je devais toujours être présentable. Agacée par mes propres pensées, je choppai une cigarette au passage pour l'allumer en restant perplexe devant ma penderie. Petite robe de soirée ou jean délavé avec ma chemise me donnant l'air faussement négligée ? C'était si compliqué d'être une fille de nos jours. A l'époque, elles n'avaient que des robes moches ne mettant rien en valeur tandis que de nos jours, la garde de robe était tellement diversifiée qu'on devait passer vingt minutes à choisir un tee-shirt. Optant pour la sobriété, je choppai un bustier noir que j'accompagnai d'une chemise à gros carreaux en velours – rappelant les bucherons canadiens – avec mon jean troué que j'adulai depuis mes seize ans. Ensuite, je fis un bref passage dans la salle de bains, me donnant l'air humaine car le traitement me faisait passer pour un zombie dans ses mauvais jours. Je soulignai donc mes yeux d'un trait de khôl et ma bouche d'un coup de labello et j'étais parée pour faire la « fête ».

Parée de ma paire de bottes à talons et d'un sac à main déchirée – merci à mon chien de l'avoir bouffé – je sortis en courant prenant soin de détacher mes cheveux. Un taxi m'attendait devant l'appartement et s'est essoufflée que je donnais la direction au chauffeur. « Sunset District. Presto! » Puis, je me laissai couler sur la banquette à regarder la ville s'animer sous les couleurs de la nuit. Je n'aimais pas San Francisco et je détestai les américains mais je n'avais pas le choix. Ils avaient les meilleurs spécialistes pour ce que j'avais. Seulement, cela avait un coût. D'où le fait que je cumulai deux jobs à la fois. Soupirant un bon coup, je pris un médicament pour me détendre avant de descendre du taxi. J'étais arrivée. Une foule de gamines pseudo majeures en chaleur se tenaient devant la boite et j'avais l'impression d'être à un concert de Justin Bieber. Blasée et semi énervée, je me mis à la recherche de mon amie qui me sauta dessus en me voyant, manquant de me faire tomber. Oui, je suis venue et c'est à contrecœur car je n'aime pas ce genre d'endroits. Me présentant à deux ou trois donzelles tout aussi excitées qu'elles, elle m'épingla un billet VIP sur la poitrine. Mais je ne voulais pas le voir ce mec. J'en avais rien à carrer de sa tronche. Et encore, je restai polie.

Me prenant la main, les furies m'entrainèrent à l'intérieur sous les cris indignés d'autres femelles qui n'avaient pas pu avoir leurs billets. Je haussai les épaules avant de me placer devant la scène. Avantage d'être une VIP, m'a-t-on dit. Avantage ou désavantage ? Je suis devant une scène d'un mec que je ne connais absolument pas qui va me transpirer dessus et faire pousser des hurlements à toutes ces chiennes en chaleur. Je fis une grimace en voyant les lumières s'éteindre et les premières notes résonner. Premier point: La musique n'est pas désastreuse. Deuxième: Le mec n'est pas à tomber mais il ne ressemble pas à une pieuvre. Et troisième: Si ces macaques continuaient à bouger dans tous les sens, j'aurai des bleus. « Tu permets, je vais me chercher une bière, murmurai-je à mon amie. » En vérité, je voulais me barrer mais si je le faisais, elle me tuerait dans d'atroces conditions. Je me contentai donc de sortir fumer une clope – en vérité cela fut cinq ou six le temps que le grabuge se finisse – et de boire une bière.

Quand, je rentrai à l'intérieur une nouvelle fois, tout le monde se barrait. Chouette! C'était l'heure du tour dans les coulisses pour poser des questions à une super star imbue d'elle-même et d'avoir un autographe illisible que je pourrais revendre sur ebay. Je rangeai mes clopes dans mon sac pour rejoindre la bande. Elles me posèrent des questions auxquelles je ne répondis pas. Puis, un vigile nous fit signe d'entrer et je le fis en trainant des pieds. « J'en ai rien à carrer de ce mec, sifflai-je entre mes dents. » Puis, nous passâmes dans un couloir où on n'y voyait rien. C'est là que j'aurai du me douter qu'il arriverait quelque chose. D'une maladresse sans équivoque, je me pris les pieds dans un câble avant de finir sur un mec qui faisait je-ne-sais-quoi. J'étais vraiment couchée sur lui et je devais l'avoir écraser le pauvre vieux. Ce n'est qu'en ouvrant les yeux que je me rendis compte de qui c'était. C'était la chose qui nous avait débité des chansons débiles toute la soirée. «T'en as trop de la chance Evelyn, dit une amie en criant. » Ou pas, pensais-je intérieurement. « Désolé, articulai-je péniblement avant de me relever. Vous n'avez pas mal quelque part ? » En vérité, je m'en foutais de son mal mais la politesse est une chose que l'on m'a apprise. Sauf que le ton sur lequel, je l'avais dit montrait clairement que mes pensées ne suivaient pas ma parole. Décidément, je n'avais jamais su mentir.
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Anonymous
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Lun 24 Jan - 14:17

D'abord les cols, les dents, le blanc de l'œil, toutes ces parties dont la prétendue clarté est censée nous éclairer. Pureté qui jaunis au fil du temps, les affiches derrière moi doivent avoir quelques mois au vu de leur état actuel. Même les lettres annonçant la date du concert semblent vomir une jaunisse poisseuse. Les ondulations dû à la pluie rendent l'affiche encore plus laide qu'elle ne l'est à la base. Et ce type avec ces cheveux roses qui hurlent dans un micro. Pauvre abruti. Envie de tout déchiré, de prendre un feutre et de la barbouiller jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien de ma silhouette, rien qu'une ombre. Au fond, c'est ce qui me représente le mieux.
    « Ewan, scène, 15 minutes. »

Soupir qui défonce la barrière des lèvres, vérité murmurée, jetée aux loups puis déchirée sans qu'on n'ai jamais pu l'entendre, sans que le publlic n'en sache rien. Jamais. Le corps parfait se redresse. Des muscles là où il faut, ni trop fin ni trop épais, juste assez pour faire fantasmer le ¾ des femmes. Soit beau et tais toi. Marche ou crève. Fait ce qu'on dit et t'aura un susucre. Vendu au système, rien qu'un pauvre mec qu'ils écraseront dans quelques années. J'les entends déjà : La fin d'une ère. Conroy la star des midinettes, Conroy le roi des moutons , Conroy le punk des bisounours. J'enfile ma veste bleu électrique, me regarde une dernière fois dans le miroir. L'iroquoise est parfaitement dessiné, le teint est halé bien qu'on soit en janvier, l'œil est brillant. Parfait. Il ne manque plus que l'énergie qu'on trouvera dans la poudre blanche. 5 minutes avant la scène. Scène. Acte I, déchéance. Cocaïne qui entre par un narine pour atteindre aussitôt le cerveau déjà bien cabossé. Les perceptions changent quand l'adrénaline me prend aux tripes. Fonction bête de scène enclenché. Oublions le mal être un instant pour aller faire mouiller des nanas qui n'y connaissent rien en rock mais me trouve décidément trop sexy. La batterie de Shannon entre en action, la guitare de Tomo, Escape. Ma voix emplie la salle alors que je suis encore en coulisse. Micro à la main déjà en train de déblatérer toute mes inepties. Arriver sur Escape c'est tout leur dire. Et pourtant elles ne comprennent rien, continue à hurler quand j'arrive. Ewan i love you ! Ewaaaaaaaaan ! Ewan marry me ! Et autre évanouissements. Je hais vraiment ce genre de petit concert, mais rien à faire, garder le masque, sourire et saluer, chauffer la foule pour mieux la mettre dans ma poche. Regarder le premier rang et toute ces groupies idolatrice de mon corps. Voir l'une d'entre elle complétement blasée, sourire derrière le micro. Laisser les autres hurler et la voir partir. Continuer. Ne se soucier de rien. Au fond, ça a toujours été comme ça. La chanson passe, puis une autre, et encore une autre. J'me déchire les cordes vocales avec le public. Osmose physique. Après avoir inviter quelques folles sur scène, je termine le concert dans une salves d'applaudissement. Performance médiocre mais qui leur suffit. De toute façon à partir du moment où j'ai retiré le t-shirt j'aurais pu chanter en japonais que personne n'aurait remarqué. Le pire c'est que je ne peux pas leur en vouloir d'être comme ça. Je ne peux en vouloir qu'à moi-même, moi et ma connerie, moi et ma stratégie marketing basé sur ma gueule d'ultra BG. Pour ma défense nous dirons que c'est dans l'air du temps, que maintenant c'est comme ça. Que aussi belle soit ta voix si t'as pas la gueule de l'emploie tu peux toujours rêver. Citez moi Susan Boyle et j'vous ris au nez. Susan Boyle ne fera jamais de festival comme moi j'en fais. Susan Boyle ne fera jamais de tourné de plus de 100 dates à guichet fermé comme moi je le fais. Susan Boyle est une passade, moi je suis une légende. La légende usiné par le XXIème siècle. Dégoulinant de pathétisme.

Me perdre dans mes pensées embrouillées reste mon occupation préféré quand je termine un concert. Me lamenter sur mon sort comme un gamin pourris gâté mécontent que sa sucette n'ai pas TOUTES les couleurs de l'ar-en-ciel. J'avance en backstage, d'ici peu la folie des groupies viendra tout gâché. Payé une centaine de dollars juste pour un autographe et une photo. Entre elles et moi je ne sais pas qui est le plus à plaindre. Posant ma guitare contre le mur j'n'ai pas le temps de faire trois pas que mon dos va s'éclater contre le sol. Un douleur me prend au ventre quand je remarque qu'une espèce de gourdasse m'a percuté. Allongé sur moi, j'reconnais le visage de madamejemecasseàla1èrechanson. Ahah. Au moins elle, elle va pas s'évanouir après cette rencontre … Violente. « Désolé. » Ouais c'est ça. Désolé. Va falloir faire mieux si tu veux que j'te pardonne. « Vous n'avez pas mal quelque part ? » Rire sardonique qui s'échappe des lèvres. Envie presque maladive de lui mettre une claque. Notre esprit est censé aspirer à la réconciliation. L'homme est fait pour la paix, l'homme est un paradoxe. Je suis un prototype de dieu lui-même, pas étonnant que ce soit ses mots qui sortent de mes lèvres pour aller s'éclater contre son aura de vrai fausse midinette. « Bien sur que non pourquoi j'aurais mal quelques part ? Y'a juste une grosse gourde qui vient de s'étaler sur moi c'est tout. » Provocation, sarcasme, sourire du connard, masque de nouveau mis en place. Un rien suffit à me faire rentré dans mon moule. J'attrape un bras salutaire afin de me relever, les abrutis qui travaillent pour moi servent, au fond, à quelque chose. Debout, mon regard se fait perçant quand il se plante dans les yeux de la cruche. Ma main passe sur ma crête quand dans un soupir satisfait j'entame un speech. « T'es étrange toi, non seulement tu restes pas au concert mais en plus tu me tombes dessus sans t'évanouir sous le coup de l'émotion. J't'aime pas. » Ça c'est fait. Maintenant on va s'occuper des fans avec lesquelles je suis autrement plus sympathique. C'est elles qui me payent ma bouffe, faut bien se la jouer comme si j'avais le cœur sur la main. Sourire, vendre du rêve, regarder droit devant soit, ne pas oublier d'ouvrir la veste pour laisser le torse apparent, se faire mater comme un morceau de viande, nourrir les fantasmes, vivre à travers le rêve des autres. Ah ah. Au fond, la gourde était peut être la plus sympathique du lot.
Mes bras attrapent un premier carnet, mes oreilles sifflent sous les petits cris de souris, « Ewanejt'aime. », sourire. Tu sais pas ce que c'est jeune fille pré-pubère. Plus j'reçois de déclaration d'amour, plus l'envie de les envoyer balader se fait grande, j'me retourne vers la gourde qui visiblement semble avoir était prise pour cible par la sécurité. Tomber sur la star ce n'est jamais vraiment bien vu. Un ordre claque dans l'air « Laissez la. » J'ai besoin d'un jouet.
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Anonymous
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Ven 28 Jan - 12:04

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SUPERSTAR
Tu te prends pour un Dieu ou quoi?

Je le regardai, cette pseudo star pour voir qu'il ne m'aimait pas. Tant mieux, c'était réciproque. Une fois debout, je regardai si je n'avais rien de cassé. Heureusement pour ma pogne, non. J'étais indemne si que me laissai perplexe. Pourquoi étais-je tombée sur cette chose dénuée de talent ? Même si mes copines pensaient le contraire. Je me contentai de le regarder de la tête au pied avant de voir que ce mec avait une iroquoise rose. Je pouffai de rire comme une gamine avant de voir mon amie me secouer comme un prunier en répétant « Tu l'as touché, tu l'as touché. ». Oui et il est trempé de sueur, eus-je avant de répondre mais je m'abstins une nouvelle fois. Je voulais l'insulter en avant et le scalper. Je soupirai un bon coup avant de croiser mes mains sur la poitrine. Déjà que je ne voulais pas venir à ce concert de merde mais en plus, maintenant, je me faisais limite agresser par cette grosse tête. « Grosse gourde, répétais-je avant de me larguer la gorge. On ne vous a pas appris la politesse super star ? » J'avais bien entendu dit 'superstar' sur un ton des plus ironiques avant de le voir se prêter aux autographes et autres conneries.

Je voulus suivre mon ami quand un gorille vint se poster devant moi en me disant de reculer. « Est-ce que j'ai une tête de terroriste King Kong, dis-je agressive, non! Alors maintenant, vous me laissez passer ou je vous fais un collier de votre service trois pièces. » Mais il n'en démordit pas le bougre. Je commençai à l'injurier de tous les noms quand superstar lui dit de me laisser passer. Pourquoi ce mec voulait-il que j'aille le voir alors qu'il avait clairement stipulé qu'il ne pouvait pas m'encadrer ? A moins, qu'il veuille me baiser ? Je restai songeuse un moment avant de repousser cette idée. Je ne comptai pas coucher avec une crête rose. Je le regardai avec dégout avant de soupirer à nouveau. Que dire à cette grosse tête ? « Djà superstar, on ne connait pas. On n'a pas gardé les vaches ensembles, il me semble. Alors tutoyez moi encore une fois, et j'vous promets que vous ne pourrez plus faire sortir un note de musique de votre belle gueule d'ange, répliquai-je avec un sourire, et je préférai encore être jeter dans une fosse aux serpents plutôt que de passer ne serait-ce une minute de plus avec un mec comme vous. » Sur cette réplique, je lui lançai un sourire des plus éblouissants. Merci Colgate! Puis, je tournai les talons.

Quand je sortis des filles – environ quatorze ans – me regardèrent comme ci je n'étais qu'une pauvre folle sans intérêt. Alors, je retirai mon badge et le donnai à la première pétasse qui passait. « Tiens, j'ai fait ma BA aujourd'hui. » Puis, je partis vers le bar avant de commander une vodka. Le barman semblait exténué et comme je le comprenais. Je détestai ce genre de soirées où ce n'était que cris, cris et cris. Mais bon, après tout, elles avaient bien le droit d'idolatrer quelqu'un. Soudain, je sentis mon portable vibrer et je savais très bien qui c'était. « T'es trop nulle! Pourquoi t'es partie etc. etc. » Mais je ne voulais pas lui parler moi à cette baudruche. Il avait la grosse tête et je n'aimais pas ses chansons. Enfin, la seule et l'unique que j'avais écouté. Puis, les groupies qui hurlaient, cela gâchait tout le spectacle. Si on peut parler de spectacle. Lassée par les vibrations incessantes de mon téléphone, je le sortis avant de regarder.

SMS: EvE, qu'est-ce que tu fous ? Radines-toi vite! Ewan, t'as personnellement invité ? C'est ta chance!!!

Je souris en voyant ce sms de groupiasse avant de répondre que je préfèrerai 'baiser avec un calamar' avant de le remettre dans ma poche arrière puis, je remerciai le barman pour son verre en lui faisant les yeux doux. Non pas qu'il me plaise mais bon, si je pouvais avoir un verre gratuit, je ne me ferai pas prier. Je lui souris donc en balaçant mes cheveux d'une épaule à l'autre. « Offert par la maison, dit-il. » Et voilà le travail. Il ne me restait plus qu'à le savourer avant qu'un quelconque parasite vienne me casser les couilles. De toute manière, si Superstar voulait revenir m'insulter, je l'entendrai venir. Là où Superstar est, là où les groupies sont. C'est l'équation la plus simple que j'ai pu trouver à ce jour.

Beau mec + chansons pseudo rock = groupies en chaleur

Je me dépêchai donc de finir mon verre quand soudain j'entendis des cris. Et merde! J'étais coincée et je devrais donc reprendre mon air blasée avant que cette chose ne commence à m'agresser à nouveau. Donnez-lui des biftons et une popularité grimpante chez les filles de treize ans et ce mec se prendra pour un Dieu. N'importe quoi!
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