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Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH keenan r-t ✱  parce que je parie que je l'aurais finit avant sonic  79124 keenan r-t ✱  parce que je parie que je l'aurais finit avant sonic  79124

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 keenan r-t ✱ parce que je parie que je l'aurais finit avant sonic
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
Invité
Invité
Lun 3 Sep - 12:55

Keenan Thomas
renton-thompson


✱ JOB/ÉTUDES : rédac' en chef de Vogue Amérique
✱ SITUATION : marié, un enfant, aucune chance.
✱ ORIENTATION : homosexuel
✱ ÂGE : trente quatre ans
✱ ORIGINE : Londres, Angleterre
✱ AVATAR : Jude Law
✱ GROUPE : friendship


facebook
« enlève ton masque d'anonymous è.é »

✱ NOM/PSEUDO : nevada.stick
✱ ÂGE : dix-neuf printemps
✱ J'HABITE : en France, ce petit pays hexagonal
✱ PERSONNAGE : Scénario
✱ CODE : faut que j'aille de nouveau le chercher ? Oo
✱ UN PTIT MOT? un, ou le, ou là... ce sont tous des petits mots de toute manière.

JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
nevada.stick
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 3 Sep - 12:56

this is my story
« I want love to murder my own mother »


Il y a cette maladie débile qu'on appelle l'attachement. Il y a ce goût amer qui descend du non-entendement. Il y a malgré tout à tout bon commencement, quelque chose de bon et un truc qui tient de mécontentement. Il y a durant un instant cet air dramatique, là où s'arrête l'envie, là où en se rappel une musique. J'ai beau chercher, c'est dingue j'ai beau essayer de me rappeler. Il n'y a rien qui ne me revient, rien de mon enfance dès premier temps. Je pourrais vous la raconter, oui je me souviens des anecdotes. Celles qu'on explique à son psy, où celle qu'on pense avoir vécut mais en fait c'est juste car nos parents nous la rappelle sans cesse. Alors oui je l'avoue, je ne me souviens de rien. Ni de mes quelques années commencé à Londres, dans la ville de ma naissance, ni dans la maison de mon enfance. Je sais que j'aimais aller dans un parc dont je ne me souviens jamais le nom, que j'étais bien habillé et que je faisais bonne impression à tous dans la capitale, j'étais le petit enfant modèle de la famille de bonne apparence. Je ne m'en souviens même pas. Puis mon père a été muté à Édimbourg. C'est fou, mais mes souvenirs remontent de là, je sais que cela peut parait étrange mais tout me vient de ça. La nouvelle maison, les nouvelles rues, de nouveaux habitants. Et lui. Lui et son air de gamin mal luné, lui et ses deux têtes de plus que moi, et son air d'aboyer sur les gosses comme moi qui venaient lui parler. Mes souvenirs remontent sans doute à cela, du reste je n'en ai aucun. Comme si ma vie avait été été construite autour de sa personne. Pathétique dites vous ? Il fut un temps j'aurais crier le contraire, aujourd'hui je devrais vous répondre que ça l'est, au lieu de cela je me contente de dire que c'est bien contre moi. Malgré moi, c'est bien contre moi ce qui s'est passé après ça. Que durant des années j'ai voulut le fliqué, que je voulais toujours le voir, être près de lui. Je voulais être son ami, de toute manière j'en avais pas d'autre. Mais je m'en fichais, je ne voulais que lui, les autres ne m'intéressaient pas. De toute manière je sais très bien que durant tout mon collège mes tenues que choisissait ma mère, et mon air efféminé ne plaisait pas.
Jusqu'à cette fois, jusqu'à ce qu'enfin il daigne baisser les yeux sur moi. Et pas pour me parler non mieux. Je m'en souviens comme une pauvre fille éperdument amoureuse. Il y avait ces gosses autour de moi, qui voulaient tous me montrer à quel point ils ne voulaient pas de moi. J'avais juste le choix entre pleurer et attendre que mon visage soit refait, soit me taire et attendre qu'ils me frappent. Deux solutions pas très réjouissante, jusqu'à ce qu'il arrive. Lui. Oui, le grand brun, surdoué, méchant, solitaire et qui pourtant ce jour là m'a défendu. Le reste est cependant confus, je me souviens je crois lui avoir sauté dessus pour le remercier. En l'embrassant il me semble. Oui je crois que c'est moi qui ai commencé, lui n'aurait rien fait, il était bien trop... froid. Bon c'était pas mon premier baiser, mais néanmoins c'était pareil. Et surtout la suite mémorable, du moins qu'il ne me frappe pas. Et que bien mieux, le soir je découvrais un plaisir bien mieux que celui de juste être embrassé. J'avais treize ans, et je venais de me faire dépuceler de 4 ans de plus que moi. Et à treize ans je connaissais et la sexualité entre homme et le fait que le mec dont j'étais éperdument éprit ne m'accorde ni regards, ni paroles. Rien du tout même. Le reste... je sais même plus comment ça s'est finit. Il a disparut de la circulation, envoyé je sais plus trop où. Par ma faute vous imaginez bien. J'avais dévoilé son homosexualité à ses parents, et ils l'ont exilé. Pour moi disons que le temps à passé, avec le départ de Sonic j'ai échappé au fait de faire de réels conneries comme par exemple dire à mes parents que j'étais amoureux d'un garçon. Ils ne l'auraient pas supporté, je sais bien que ce genre d'attirance est punit par Dieu, je n'y peux rien si je suis comme ça. Cela m'a rendu malade pendant des mois, enfin une fois que d'abord mon "chagrin d'amour" passe. Ensuite je m'en suis voulut d'avoir craqué pour lui. Je me suis "reprit" en main. Je me suis plongé dans les cours, puis j'ai rencontré Camilla. Brune, souriante, douce et bien élevée. Je suis rentré à l'université, j'ai pris option journalisme et j'ai entamé comme ça mes études supérieur. Mon idylle avec Camilla a duré de mes quinze ans à mes 21 ans. De longues années où nos parents nous voyaient déjà marié, on avait déjà le noms de nos enfants, on savait qu'on retournerait vivre à Londres, puis qu'on aurait une maison secondaire. Ce furent les années le plus paisible et douce de ma vie, mais aussi les plus dure où je me perdis au fur et à mesure. Camilla était belle, gentille, compréhensive et je serais encore heureux si aujourd'hui je m'étais marié avec elle. Oui je le sais. Mais elle n'était qu'une fille aussi belle soit-elle et aussi parfait fut-elle, je ne l'aimais pas assez.
Un poste au San Fransisco Time me tomba dessus à peine mon diplôme de journaliste en poche. Ce fut un peu le signe que j'attendais. Ma vie en Angleterre avec ma fiancée n'était pas faite pour duré. J'ai tout arrêté, me suis mit à dos mes parents, j'ai accepté le poste et me suis exilé sur l'autre continent. San Fransisco. Une vie nouvelle. Enfin une vie qui devait être nouvelle.

Sonic Thompson ?! Ce fut le dur rappel au passé, au détour d'une rue. Ça m'est tombé dessus. Et bordel ce que ça fait du bien.
Ca a fait du bien durant douze mois, durant un an. L’extase de le revoir. Le bonheur, mieux que le jour de mon dîplome, que mon admission à la fac, que mes excellent résultat. Mieux que ma première fois avec Camilla, mieux que toutes les nuits torrides qui ont suivit avec elle, mieux que nos fiançailles, mieux que notre rupture. Mieux que tout. Du grand Sonic, de effervescence, dans l'inhabituel. Mieux que la mort... Une chute à vitesse grand V en donnant l'impression de pas sombrer. Il se shootait à l'héro, je me défonçais à sa présence. Ça a duré longtemps, trop longtemps pour me laisser partir indemne. Trop longtemps pour ne laisser aucune séquelles. Un matin tu réouvres les yeux en te rendant compte que les douze derniers mois que tu viens de passer n'étaient en rien du bonheur. Une lente agonie, un temps à élever un enfant, seul personne te donnant uyn sourire et de l'importance, douze mois à partager la vie d'un toxico tueur et détraqué. Un matin tu te réveilles en te rendant compte qu'y a bien deux ans que tout ça c'est écoulé. Et que l'homme que tu pensais aimer a tout simplement faillit t'achever. A voulu mettre un terme à cette agonie. Tu t'rend compte de ça parce que t'as pas le choix. C'est pas que tu le veux, c'est juste que la plafond blanc au dessus de toi t'y obliges, tes muscles presque mort, ton corps trop longtemps figé. Et les mots des médecins te racontant tes vingt-quatre nouveaux mois passé allongé. Et là tu comprend. Tu comprend qu'c'est pas la chute qui est dure, bordel c'est même plutôt jouissif... non c'est l'atterrissage, qui désarticule, détruit, broie et laisse plus mort que vif. Et ça, c'est ça du grand Sonic.
Deux ans de coma, sept mois de rééducation à New-York. Un alibi en béton de la part de ma tante qui avait dit à mes parents que je m'étais fait agresser, qu'on ne savait pas par qui. Ils avaient eut peur et avaient reprit contact avec moi, ma tante ne voulait pas que j'ai tous perdu. Elle est la seule à savoir pour... pour Sonic. Sept mois à me demander comment l'homme que j'aime à pu me faire ça, me voler deux années de ma vie, ne pas rester à mon chevet. Sept mois pas un de plus. Le jour où j'ai quitté la clinique de rétablissement, j'ai décidé d'arrêter. D'arrêter mes conneries, d'arrêter de jouer au c**, à la poupée, de vivre. Il en était grand temps.
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Anonymous
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Invité
Lun 3 Sep - 14:13


this is my story
« J’ai rencontré un garçon, il m’a un peu tourné la tête. Fortissimo même... Tu vois le requiem de Fauré ?! Bah être avec lui c’est pareil c’est fort c’est pur. »


new-york, avril 1996
Sourire triomphant, je joues avec la feuilles que je tiens entre mon index et mon pouce, me mordillant la lèvre face à son regard, sa réaction. Et je me laisse retomber en arrière sur le lit, avant de la lire sous ses grognements et le bruit de ses pas qui approchent du lit. C'est vraiment pas si mal que ça... Poétique... très fleur bleu... on dirait même que je l'ai écris. Je reprend en riant légèrement, ne me moquant pas pour autant de lui. Son corps s'abat légèrement sur moi et le matelas alors que la feuille m'est arraché des mains. J'émets un léger son de contestations sans être clairement réel. Léon déchire la feuille en deux, puis en quatre, puis en huit. Je me redresse à peine me tournant sur le côté pour l'observer avec un demi sérieux, et un demi sourire. Arrêtes où je te le fais bouffer ton sourire... C'est bon tu n'avais pas à le lire c'est personnel... et pathétique. J'éclate de rire en venant me blottir contre lui, sentant ses bras glisser autour de moi je me cale bien fixant la pièce autour de nous. Moi j'aimais bien... Je l'entend murmurer un " oui mais toi t'aimes tout, t'es bien trop naïf..." Je sourie en le frappant légèrement au ventre. Mon regard se perdant vers la fenêtre et la vue magnifique de tout New-York qui s'étend au pied de l'immeuble dans lequel on habite. On. Nous. Nous deux. Ensemble. Avec Cléo a deux étages en dessous. Mais nous deux. Léon. Et moi. En couple, nous deux qui formons un nous très formel, trop formel pour se que l'on est réellement. Qu'est-ce qu'on est ? Bonne question ! Un simple instant mon esprit repart dans le passé, un demi instant avant que le présent me rappelle douloureusement à la réalité. New-York, autre côté des Etats-Unis, Léon autre personne que ce fou furieux, ma vie plus saine que tout ce qui s'est passé. Mes doigts glissent le long de son bras alors que je reprend pied dans ma réalité, mon présent.

Et si on se mariait ? Je m'étouffe à moitié de rire dans mon verre de jus de fruit, relevant le regard vers Cléo la trouvant particulièrement en forme pour balancer ce genre de débilité le lendemain de notre retour à New-York après une excursion aux Caraïbes pour un shooting photo et une beuverie monumental de Léon. Reposant mon verre sur la table basse je passe une main sur mes lèvres en m'appuyant sur le dossier du sofa. Mais oui pourquoi pas se marier, je sais pas à qui elle veut faire penser ça ni a qui elle le destine mais sérieusement... Mais je suis sérieuse Thom'. Ta mère frôle limite la dépression en te sachant toujours célibataire depuis ta séparation avec Camilla. Elle pense que tu te noie dans le travaille pour ne pas penser à l'échec cuisant de ta vie sentimental sur... J'inspire relevant la tête vers elle. Merci Cléo, je pense que je connais le résumé de l'affaire... pas la peine de l'enfoncer encore une fois. J'entends le léger rire bref de Léon qui est plus loin penché sur ses clichés entrain de les sélectionner pour le magasine. Et oui pour une fois c'est lui qui bosse et nous autres qui ne faisant... pas grand chose faut se l'avouer. Non mais toi et oi savons que c'est faux mais..; d'un point de vue maternel... voila. Et puis moi j'en ai raz le bol des magasine me disant vieille fille avant l'âge... j'ai pas encore trente ans et on me prédit déjà une mort seule... et je ne te parle pas de ma mère qui en pleure et rêve que d'une chose que je t'avoues mon amour. Je sourie amusé m'emparant d'un toast que je croque en observant Cléo. Tu pourras lui dire que dans une conversation forte étrange ce matin, tu m'as avouer ton amour indirectement... je pourrais même témoigner... Non mais nous marier ? Sérieusement ? T'es pas un peu folle par moment ? Léon aides moi à la remettre dans le bon chemin... Je réplique en lui jetant un coup d'oeil par dessus mon épaule cherchant un peu d'aide pour faire savoir à Cléo que le sujet est juste totalement démentiel. Moi ça me dérangerait pas... je te trouverais encore plus sexy en mari infidèle... Rectification, comment penser avoir de l'aide avec lui ?! Je secoue la tête face au sourire de Cléo. D'un point de vue autre que sentimentale, ça ne changerait rien, hormis moins de coup de fil inquiet de nos mères respectives, moins de scoops démentiel ou prévoyant notre futur couple avec Cléo... Mais... se marier avec sa meilleure amie ? Vraiment ?
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