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 Ah euhm.. On se connait ? ft. KATNISS
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Lun 25 Juin - 22:19


❝ KATNISS BLACKFORD & JULIET FITZGERALD ❞
« Nous ne discutons pas la famille. Quand la famille se défait, la maison tombe en ruine. » - Antonio de Oliveira Salazar

Le 2 juillet 2012, 11:10 am. Hôpital Psychiatrique de San Francisco.

Ce matin, avant de partir de mon appartement, j'avais retrouvé un vieux papier que ma mère m'avait donné il y avait quelques temps. Mary-Jane Blackford, y était inscrit. Cette femme était d'ailleurs ma tante, que je n'avais jamais vu de ma vie. Quand ma mère m'avait donné son nom, elle espérait que peut-être j'irai la voir. Je n'aurais pas pensé qu'elle se trouverait dans hôpital psychiatrique d'ailleurs. Un asile de fous, quoi. Je n'avais rien contre ces endroits-là. A vrai dire, je n'y avais jamais mis les pieds, mais ayant un cœur je ne pouvais pas cracher sur ces pauvres gens.

Une visite s'imposa donc.

Je terminai mon boulot vers 10h30, et rapidement je pris ma Ford pour me rendre à l'hôpital - un peu excentré de la ville. Je n'avais même pas retiré ma blouse blanche, quand je me garai dans le parking destiné aux visiteurs. Une fois sortie de la voiture, je pus enfin me défaire de mon image de travail et me dirigeai vers l'entrée. Arrivée à l'accueil, je constatais que l'environnement était relativement calme. « Bonjour, je suis venue voir Mary-Jane Blackford. » « Chambre n°32 au fond du couloir à gauche. Madame Blackford a beaucoup de visites dis donc! » Je lâchai un vague sourire, sans vraiment comprendre ce qu'elle voulait dire, la remerciai et partis en direction de cette fameuse chambre 32. Heureusement qu'elle n'était pas au 5e étage ou autre, disons que je n'avais pas mis les meilleures chaussures pour me taper de longues marches. Vêtue d'une robe (très) courte noire, d'un blouson en jean et de talons de plus de 12cm, je crus apercevoir quelques regards sur moi. Normal, me direz-vous. Je passai devant des chambres ouvertes, où des sortes d'infirmières prenaient soin des patients, ou... Essayer de calmer un patient en pleine crise de jenesaisquoi. Je m'y connaissais pas trop dans tout ce qui touchait les maladies, le cerveau, la psychologie. Je me connaissais juste en anatomie, en morts, en soins pour embaumer et préparer un corps et basta.

J'atteignai enfin la porte de la chambre n°32. Je frappai deux coups, avant d'ouvrir la porte et de tomber sur... La copine rousse de mon colocataire. Mes yeux s'écartèrent un peu, gênée, je reculai d'un pas. « Euh... Je... »
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Anonymous
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Jeu 28 Juin - 0:08

Ma vie est pourrie. C’est un fait, c’est une évidence. New-York me manquait et j’avais l’impression que depuis que je vivais à San Francisco, tout foutait le camp. J’avais envie de repartir, de ne plus parler à personne mais j’avais des inconnues dans la balance. Bliss, Peter, Austin et surtout Liam. Mon récent séjour en prison, mon envie de m’enfuir, ma dispute avec mon frère, tout se chamboulait dans ma tête et j’avais l’impression de divaguer de perdre pieds. J’avais besoin de consulter un psy, c’est clair mais je n’en connaissais aucun qui soit fiable dans cette ville. Le fait que je sois sauvage pesait dans la balance, tout comme mon plâtre et jamais je n’aurais cru que je serai capable de sentiments. J’ignore pourquoi j’ai fait ça. J’ignore pourquoi je lui en ai mis plein dans la gueule alors que je savais qu’il souffrait. Peut-être par plaisir égoïste ou peut-être parce que j’ai paniqué ? Je ne suis pas douée en guise de réconfort. Je n’ai jamais su et je ne saurais jamais. Comme faire face à cette femme qui était pourtant ma mère mais pour qui je demeurai une étrangère. J’avais espacé mes visites avec Mary-Jane à mon arrivée mais depuis que je me suis brouillée avec William, elle restait la seule famille que j’avais dans cette ville et même si elle ne me reconnaissait pas, je me confortais dans l’idée qu’elle restait la femme grâce à qui je vivais. Je n’osais supposer ce qu’elle avait ressenti quand on lui a volé son enfant mais je ne voyais rien dans ses yeux si ce n’est le néant.

Comme tous les jours, je me levais sans grand optique. La saison des ballets était finie et comme je suis un peu indisposée à cause de mon plâtre, je ne pouvais pas réellement aller danser. Je n’avais rien à faire de mes journées. Je ne voulais plus rester dans mon appartement, je ne voulais plus voir d’êtres à proprement dits vivants donc j’allais voir les morts. J’allais voir cette femme qui était morte il y a vingt-deux ans quand on lui a retiré son bébé. Par chance, je n’aurais pas à croiser William encore convalescent de son accident. Mais je suis trop conne franchement. Le mec, il a subi un accident, il a subi une rupture, il ne peut plus bosser, on était déjà pas proches et là, bim. Il a peut-être raison au final, nous ne sommes pas faits pour nous entendre. Et si le destin a décidé de nous réunir alors nous serons réunis mais point. Je soupirai avant de passer à la réception où je demandais un badge avant de passer dans les innombrables cas de l’hôpital psychiatrique. Cet endroit me faisait peur même si je me doutais que j’y avais ma place en quelque sorte. Devant la porte de sa chambre, j’hésitais avant d’entrer sans m’annoncer. Comme tous les jours depuis deux ans, elle était à la fenêtre, guettant quelque chose qui ne viendrait jamais pour au final avoir les mains qui s’agitaient. Pas une seule fois, elle ne jeta un regard vers moi et je dus m’asseoir face à elle pour lui prendre et la forcer à me regarder. « Maman, c’est moi, Katniss. » Aucune réaction. Je voulais la supplier de me revenir mais je n’y arrivais pas. Comme j’aurais aimé supplier William de me pardonner. Mais je n’y arrivais pas. Je suis trop lâche, trop méchante et trop égoïste. « Maman, s’il te plaît… » Le néant. Je fermais les yeux avant d’inspirer et de me mettre à lui raconter ma journée quand j’entendis qu’on frappait. De la visite ? Etonnant. Je me levais alors, séchant mes larmes pour aller ouvrir et tomber sur la colocataire de Liam, Jules Fitzgerald. Peu amicale, sans doute tenue de sa crise sur Facebook à mon copain, je la regardai excédée avant de lui demander de but en blanc. « Qu’est-ce que tu fais ici Jules ? »
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Anonymous
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Dim 1 Juil - 18:18

Je m'attendais pas à voir quelqu'un dans la chambre de cette Blackford, à vrai dire. Bien que la dame d'accueil m'avait fait une réflexion à ce propos, je pensais que je serais seule. Je ne m'attendais pas non plus à voir Katniss. Certes, elle s'appelait Blackford aussi et alors ? Des Blackford, il y en avait tellement dans ce monde. Je me demandais si cette fille m'appréciait. J'veux dire par là, que je vivais quand même avec son copain, que cette rousse devait être jalouse - comme toutes les filles. De toute façon, elle pouvait s'inquiéter, se ronger les doigts au sang, Liam était seulement un ami pour moi et ça s'arrête là. J'avais beau être une strip-teaseuse trois soirs dans la semaine, je faisais attention à ne pas me promener fesses à l'air dans notre appartement et plus est, j'avais des problèmes de... sexe donc l'idée de sauter sur le jeune homme Stark ne m'était jamais arrivé. Bref, je n'étais pas une fille dangereuse de ce côté là pour la jeune femme aux cheveux de feu. Ensuite la 'crise' que j'avais eu sur son mur, était uniquement due au statut de sa copine. Je n'avais aucunement envie de finir seule dans mon appartement. Malheureusement si cela devait se faire, j'espère que Liam me préviendra bien longtemps à l'avance. La solitude nuit à ma santé. Bref. « Qu’est-ce que tu fais ici Jules ? » « Bonjour Katniss, je suis venue voir Mary-Jane. » Répondis-je à sa demande froide. Zen nana. C'est pas parce que j'ai toujours un couteau sur moi, que je m'amuse à porter des vêtements sombres avec des têtes de morts, et des croix, que je vais faire de mal à qui que ce soit. Je n'aimais pas qu'on me parle sur ce ton. Je pouvais peut-être la déranger - et j'en suis désolée - mais ce n'était pas une raison pour agir comme ça, sans être polie d'ailleurs. Je fis un pas un avant et repris. « Mary-Jane serait ma tante. » Pourquoi serait ? J'en étais pourtant sûre. Ma mère me l'avait dit, puis après de vagues recherches généalogiques, cela se confirmait. Je fis un pas un avant et repris. « En fait, elle est ma tante. » Je lançai un regard à la principale concernée qui avait l'air ailleurs, un peu perdue. Je ne savais même pas pourquoi elle était ici, ma mère ne m'avait rien dit - puis de toute façon, mes parents ayant divorcés, je ne voyais plus trop ma mère. Je n'osais pas trop m'imposer dans cette salle, je restai alors proche de la porte avant de capter l'attention de Mary-Jane. « Bonjour, je suis Juliet Fitzgerald. La fille de votre grande sœur. » Je souriai. Je ne savais même pas si c'était bien de m'annoncer comme ça. Puis ensuite mon regard se tourna vers la rouquine, je me demandais bien quel lien avaient-elles en commun.



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Anonymous
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Invité
Mar 3 Juil - 13:07

Deux ans que j’habitais ici et que je venais la voir tous les jours et jamais, jamais Mary-Jane n’a eu de visite. Au début de nos entrevues, elle semblait me reconnaitre un peu, me parlait mais n’était pas réellement de ce monde. Puis, les choses ont changé. Depuis quelques semaines, c’est comme si elle ressentait le besoin de partir. Le besoin de s’évader loin de moi et loin de toute vie réelle. Perdue dans son monde, les médecins la disaient atteinte de catatonie mais étant le seul membre de ma famille restant, je ne voulais pas l’abandonner. Si j’abandonnais maintenant, je ne serai pas digne d’être sa fille. L’absence de William se faisait ressentir un peu plus chaque jour, Liam malheureusement et bien que j’étais certaine de mes sentiments pour lui ne suffisait pas à combler le vide que j’avais aux tréfonds de moi, alors je reportais toute mon attention sur ma mère. Je savais qu’elle avait besoin de moi, elle était mon sang et la femme qui m’avait donné la vie alors, je ne pouvais me résoudre à l’abandonner. Quand on toqua à la porte, je me levais pour faire face à Jules. Je ne la détestais pas mais je ne l’appréciais pas non plus. Surement due à sa trop grande proximité avec Liam. Mon petit ami. Je l’agressai donc comme je le faisais quand je me sentais en danger. Je me sentais en danger par cette femme aux cheveux couleur violine qui risquaient de me dérober mon petit ami à tout instant, vivant avec lui. Je la scrutais de haut en bas tandis qu’elle me rappela les banalités courantes de la politesse. « Ouais, bonjour, répliquai –je en m’écartant tandis qu’elle pénétra dans la pièce. » Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Visiblement, elle répondit à ma question en m’apprenant que ma mère était sa tante et donc que nous étions de la même famille. Un petit rire faillit m’échapper du fait qu’elle ne venait la voir que maintenant. Je pris place sur un fauteuil en arrière-plan pour la voir échouer dans sa tentative de saluer ma mère qui restait toujours immobile les yeux perdus dans le vague. « Tu perds ton temps, dis-je alors de ma voix enrouée suite à ma récente crise de larmes, son esprit nous a quitté depuis quelques semaines… Elle ne te reconnaitra pas, tout comme elle ne me reconnait plus. » Je m’approchai alors pour faire ce que je faisais habituellement. J’attrapai la brosse à cheveux et entrepris de brosser la crinière rousse que j’avais visiblement hérité de Mary-Jane. « Bienvenue dans la famille Jules Fitzgerald. Il semblerait qu’en plus de partager mon copain puisque tu habites avec lui, nous partageons également des liens du sang. Je suis sa fille. » Je lui fis un petit sourire, tandis que je nouais les cheveux de ma génitrice en nattes, faisant comme si tout cela était habituel.
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