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 Constance A. Bowmann ✱ «Houston, we have a problem.»
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
Invité
Invité
Dim 18 Mar - 19:38


Constance Alexys
Bowmann


✱ JOB/ÉTUDES : Photographe et accessoirement ex-tueuse à gages.
✱ SITUATION : En couple
✱ ORIENTATION : Bisexuelle
✱ ÂGE : 22 ans
✱ ORIGINE : Johannesburg, Afrique du Sud
✱ AVATAR : Rihanna
✱ GROUPE : Success


facebook
« enlève ton masque d'anonymous è.é »

✱ NOM/PSEUDO : Kelly
✱ ÂGE : 17 ans
✱ J'HABITE : Au Pays des Merveilles, première à droite après la forêt enchantée et si le Chapelier vous propose une tasse de thé. Refusez. Il est empoisonné.
✱ PERSONNAGE : Inventé
✱ CODE : OK par June
✱ UN PTIT MOT? Constance A. Bowmann ✱ «Houston, we have a problem.»  79124

JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
Constance
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 18 Mar - 19:39

this is my story
« I want love to murder my own mother »


Tueuse à gage. C'est probablement la dernière chose à laquelle on penserait si je faisais deviner ma seconde profession à de parfaits inconnus. Sans aucune vanité, mon physique assez californien – plutôt grande, fine et fausse blonde – à le dont de fausser les pistes et de me valoir des carrières de mannequin professionnel ou encore de miss météo. FAUX. Je suis plus souvent derrière l'objectif que devant à vraie dire. Même si il m'arrive parfois de poser. Pour moi, la photographie est devenue plus qu'une couverture, plus qu'un simple métier, c'est devenu une sorte de passion ou d'échappatoire. Mais bon, passons. Je suis persuadée que mon second métier vous intrigue. Je me trompe ? Disons que ça arrondis mes fins de mois et que c'est un petit boulot comme les autres qui demande plus de discrétion, plus de rigueur, plus de précision et un minimum de sang froid. Avant de porter quelconque jugement à mon égard; laissez moi vous raconter comment j'en suis arrivée à me faire du fric en éliminant la moitié des pourris de ce monde.

Je suis née à Johannesburg en Afrique du sud, ville réputée pour être une ville dangereuse où règne l'insécurité. Il est même fortement déconseillé d'y trainer seule une fois la nuit tombée - Dis comme ça, on croirait le début d'un mauvais film d'horreur. Vous trouvez pas ? - J'habitais un de ses quartiers huppés de la ville, gardés 24h/24 par des compagnies de sécurité privées. Vous savez, cette ville est l'une des moins sures du monde en temps de paix, ce qui est sans aucun doute du au fait que le peuple sud africain n'est toujours pas accepté la colonisation des britanniques. Pour en revenir au fait, j'y ai vécu une enfance, courte certes, mais agréable en compagnie de mon grand frère, Aaron et de mes deux parents. Mais comme vous le savez, le bonheur est éphémère. Les craintes de mes parents de continuer de vivre à Johannesburg étaient justifiées. Comme des dizaines de maison du voisinage, ce fut à notre tour d'être cambriolé... ça aurait pu s'arrêter là seulement, ma mère eu la bonne idée de se jeter sur mon père afin de lui servir de bouclier humain contre l'arme d'un des cambrioleur. Un accident entrainant un autre, le corps désormais sans vie de ma mère projeta la tête de mon père contre le rebord en brique de la cheminée. - Une mort digne de vidéo gag, n'est-ce pas ? -. Sans même un regard, les cambrioleurs prirent la fuite sans oublier leur butin, laissant la maison dans un grand désordre et mon père pour mort. J'avais assisté à la scène du palier à l'étage. Aucun bruit, ni même aucun cris ne pu sortir de ma bouche. J'étais comme qui dirait, pétrifiée à la vue de la couleur rouge qu'avait prit le parquet du salon.

Je fus envoyée, en compagnie de mon grand frère alors âgé de 13 ans chez mon oncle à la fois célibataire et militaire, par conséquent souvent absent. La seconde partie de mon enfance et le début de mon adolescence furent rythmées par les absences de mon oncle mais aussi celles de mon frère avec qui je n'avais quasiment plus aucun dialogue. J'étais devenue un fantôme errant dans cette grande maison vide. Certains soirs, Aaron ne rentrait pas où alors complètement éméché en compagnie de sa nouvelle conquête que je surnommais Miss MST. J'attendais seule et complètement désespéré devant un repas froid. Je n'étais plus habituée au fait qu'on me regarde, persuadée d'être devenu invisible, ma seule compagnie étant devenue ma voisine et ses deux filles afin de prendre des cours à domicile dans leur maison, devenue ma résidence secondaire.

A l'âge de 15 ans et avec le peu d'amies que je possédait ( les filles de ma voisine ), j'entrepris une après-midi distraction au parc d'attraction le plus proche. Ce genre d'endroit ne m'inspirait guère confiance. La foule était dense et les gens se bousculaient pour avoir leurs doses d'adrénaline tel des junkies en manque de stupéfiants. Je ne m'étais jamais sentie si oppressée, j'avais l'impression qu'un poids énorme reposait sur ma poitrine et que je ne pouvais rien pour m'en débarrasser. Mes yeux se posèrent sur une silhouette qui se tenait devant le stand de crème glacé. Un homme visiblement, plutôt grand et vêtu d'une longue veste en cuir noir, chose plutôt étrange par rapport à la température caniculaire qu'il faisait ce jour là. Son profil m'était familier, mais ce qui reteint mon attention à ce moment là fut cette cicatrice. Cette ignoble cicatrice qui partait de sa tempe et qui descendait jusqu'à la commissure de ces lèvres. Tout était clair désormais et les images me revenaient sous forme de flash. Cet homme avais tiré sur ma mère et envoyé mon père dans un profond coma. Il tourna soudainement son regard en ma direction, ce qui fit baisser le mien, avant de s'éloigner en direction de la sortie du parc. Je le suivis d'un pas mal assuré au milieu de cette foule, inconsciente de la vanité de mon geste. Il était beaucoup trop rapide. Quand j'atteignis enfin les portes du parc, il s'enfonçait dans la dense forêt qui se trouvait face à ce dernier, loin derrière le parking. Contre toute attente, je n'allais pas le laisser s'enfuir, ça non. Il devait payer. Je me mis à courir comme si ma vie en dépendait, quoique, oui, elle en dépendait. Il fallait en finir afin que je puisse faire mon deuil, que je trouve enfin la paix, il fallait que les cauchemars cessent. Il ne subsistait aucune trace de son passage : nulle empreinte, nul mouvement. Je continuais de marcher quand même sans réfléchir. Je n'étais capable de rien d'autre. Si je cessais de bouger, ça serait fini. Toutes ses vagues de souffrances me laisseraient enfin tranquille. Depuis combien de temps je marchais ? Dieu seul le sait. Dieu ? Il m'a abandonné il y a des années lumières de ça. Ma vie était désormais dépourvue de toute croyance. Mes jambes étaient devenues douloureuses, quasi inexistantes. Alors que je m'apprêtais à déclarer forfais, un faisceau de lumière éclaira les feuilles d'un petit érable non loin de l'endroit où je me trouvais. J'avançai, lentement et silencieusement cette fois, comme si je marchai sur des oeufs. Je cherchais la source de cette lumière. Une bâtisse en bois. C'était la source. Cette cabane assez vétuste donnait l'impression qu'elle pouvait s'effondrer d'un instant à l'autre. C'était sans aucun doute le repère de ces hommes. Soudain, une mélodie retentit, me sortant de mes pensées. Une mélodie assez familière. Mon téléphone. Le traître, il avait probablement trahit ma présence. Sans même prendre le temps de décrocher, je pris la fuite telle une fugitive. Eux aussi l'avaient entendu, j'en était sure. Je courrais, je courrais encore et toujours. Les secondes défilaient et semblaient être des heures. Je trébuchais souvent au fur et à mesure que l'obscurité s'installait. Je ne me rappelais plus depuis combien de temps le soleil s'était couché et pourtant je continuais à m'enfoncer dans la forêt. Je finis par me prendre les pieds dans quelque chose – je ne vis pas de quoi il s'agissait dans le noir – et mis un temps fou à me relever. Un bruit sourd retentit et une lumière aveuglante força mes paupière à se fermer. A cet instant là, mes pensées allèrent à une seule et même personne : Aaron. Cela faisait déjà plusieurs heures que je devais rentrer. Si il parvenait à se souvenir de mon existence, se serait-il inquiété pour moi ? Je l'espérais...

Le gros titre du journal posé sur la table de la salle à manger me toisait : EXPLOSION INEXPLIQUÉE D'UN CABANON DANS LA FORET DE ROSEBANK – DEUX CADAVRES CARBONISÉS RETROUVÉS. Ils avaient innové cette fois, celui-là c'était la première fois que je le voyais. Je n'avais parlé à personne de ce qui s'était passé dans la forêt et je ne comptais pas le faire. De mon point de vue personnel, justice avait été faite. Les cauchemars s'étaient stoppés et j'avais enfin pleuré. J'étais sortie de mon autisme émotionnel ou autrement dit, mon mutisme. Je fis mon deuil et disons qu'une nouvelle vie s'offrait à moi. Pour marquer le début de cette nouvelle ère, j'avais fais plusieurs tentatives, veines certes, afin rétablir le dialogue avec Aaron mais j'avais aussi décidé d'accompagner mon oncle dans toutes ses mission afin de découvrir de nouveaux horizons. La France, la Palestine, les Indes, des paysages magnifiques bafoués par des vautours médiatiques.

Tripoli – 14 juin 2008 : Voilà déjà deux semaines que j'étais en séjour plus ou moins touristique en Lybie. Ce n'était pas mon premier séjour dans ce pays à vraie dire. Les missions de mon oncle étaient pour la plupart centrées dans la capitale Libyenne désormais dirigée pas le dictateur Kahder Trabelsi. Ce jour là, j'avais opté pour un verre entre amis dans un bar du littoral. Cela dit, jamais rien ne ce passe comme je le prévois. Un attentat à la voiture piégée fit foirer ma sortie entre filles. Les fondations du bar étaient en train de s'effondrer quand je fus projetée derrière le bar par une grande brune athlétique qui semblait être une garde du palais dictatorial. Je tombais alors dans un éparpillement de cristal brisé et d'alcool bon marché. Mauvais mélange. Après le choc initial vint la douleur. J'avais instinctivement tendue les mains en avant afin d'amortir ma chute. L'alcool pénétrant dans les plaies profondes de mes mains me fit frémir mais j'étais décider à ne pas me laisser submerger par ma sensiblerie ni même par la panique. Je balayais du regard l'amas de décombres qui avait autrefois été un bar lounge. Les cadavres sanguinolents des clients du bar gisaient sur le sol. La vue de ce théâtre dramatique m'était insupportable et je tourna la tête afin d'effacer cette image de mon esprit. C'est à ce moment là que je croisa le regard hébété de ma sauveuse. Secouée, cette dernière se leva sans même se préoccuper de son entaille au front saignant en abondance. « Merci. » fut le seul mot que je réussi à articuler. Visiblement pressée de quitter ces lieux, elle se borna à me répondre un simple et rapide « Pas d'quoi. ». A mon tour, j'entrepris de me lever, trop vite peut être, je fus prise d'un léger vertige, avant de suivre cette parfaite inconnue dans l'espoir de bénéficier d'une protection. Plus on avançait dans les rues, plus je reconnaissais le chemin qui menait au palais de Kahder Trabelsi. Aller au palais était un geste totalement suicidaire, l'attentat étant une déclaration de guerre urbaine. « Hé ! » m'écriai-je. « Où tu vas comme ça ? » repris-je d'un ton plus grave. Il y eu un instant de silence, de l'hésitation visiblement avant sa réponse. « Ça ne te regarde pas » m'avait-elle sèchement répondu. L'attitude impassible et la distance dont faisait preuve mon interlocutrice avait le dont de me mettre dans l'embarras. Je décidais donc de la suivre, tout à fait consciente de l'imprudence de mon acte. Un déploiement militaire dans la rue principale de Tripoli nous obligea à rebrousser chemin quand une voix familière m'interpela. Naturellement, je me retournais et reconnu mon oncle. Je m'avançais alors vers lui persuadée qu'il nous protégerait des violences urbaines. Quand il vu mon accompagnatrice vêtue des couleurs du parti totalitariste, il eu un geste de crispation et vint s'interposer entre ma sauveuse et moi avant de sortir son arme de service. Ne comprenant pas son geste, je lui lança un regard interrogateur auquel il ne répondit pas. Il se tourna alors, arme pointé vers la personne sans qui je ne serais certainement plus de ce monde. « Dépose ton arme ». Tout devenait clair désormais, il semblait persuadé que j'étais prise en otage afin que le dictateur ai un moyen de pression sur l'armée sud africaine. « Mais elle m'a sauvé la vie ! ». Cette fois, je n'avais pas réussi à vaincre ma panique. « Tu es beaucoup trop naïve, comme ta mère. » m'avait-il sèchement répondu. Il allait tirer. Je le connaissais trop bien pour ça. Il fallait que je fasse quelque chose, mais quoi ? Je m'accroupissais disertement afin de saisir une pierre qui se trouvais à ma gauche avant de l'écraser avec violence sur la boite crânienne de mon oncle. Ce dernier ne mit pas longtemps avant de s'écrouler sur le sol. Le sol poussiéreux de la ruelle pris une teinte rouge vive et mes membre se mirent à trembler. Des perles d'eau douces se mirent à rouler sur mes joues alors que je reculais, horrifiée par le meurtre involontaire que je venais de commettre. Je tourna alors le dos et pris la fuite laissant le corps de mon oncle sans vie aux pieds de la gardienne du palais.

Tripoli – 3 juillet 2010 : Quelque semaines après ce tragique accident, l'armée qui était en sous effectif fit rapatrier ses troupes et laissèrent derrière eux un peuple impuissant face à la cruauté d'un tyran. J'avais longtemps médité la question et je voulais absolument délivrer ce pays de ce régime totalitaire; c'est pour quoi j'avais décidé de m'y installer. Je m'étais ensuite engagée du côté des résistants, une sorte d'organisation illégale qui projetais l'assassinat de Kahder Trabelsi. Un projet complètement fou dont je m'étais portée volontaire, la précision étant un de mes principal atout. Pourtant, nous allions le réaliser ce jour là, jour de la grande visite du dictateur au peuple. Armée d'un Barett 50 du haut d'un immeuble de la capitale, j'avais l'intégralité de la rue principale dans mon viseur. La voiture de Trabelsi n'allait pas tarder et mes nerfs étaient tendus plus que jamais. Après quelque petites minutes, la voiture tourna dans la rue principale et continuait d'avancer sous les hurlements mécontents de la foule. Je me mis en position et reteint mon souffle un quart de seconde avant d'appuyer sèchement sur la gâchette. Le coup était partit et ma mission accomplie, le pays était libre. Une sensation de bien être m'envahit soudainement comme si tout était clair désormais. Mais bon, pas le temps de rêvasser. Les gardes ne tarderaient pas à encercler le bâtiment et à boucler les sorties et les aéroports de la ville. Je rangeais alors rapidement mon matériel dans une mallette avant de descendre par l'escalier de secours. Une fois dans les rues, je pris un taxis en direction de l'aéroport international de Tripoli où je comptais acheter un billet pour le premier avion quittant le pays, peut importe la destination. Ce fut Miami.

Miami – 4 juillet 2010 : Je n'avais encore jamais mis un seul pied sur le sol américain et par chance, la langue n'était pas une barrière, l'Afrique du Sud étant un pays bilingue. Une fois sortie de l'aéroport, une chose première chose me frappa, la température fortement élevée puis une deuxième, les buildings. Ils étaient immenses, un en particulier, un où été affiché un énorme panneau publicitaire pour une certaine agence de mannequinat. Si seulement ça c'était arrêté là. Un détail clochait. Le visage de la demoiselle qui posait été loin de m'être inconnu. Je tendis la main afin de stopper un taxi qui m'amènerai à la dite agence de mannequinat. Le taxi s'arrêta dans cette rue étonnement grande que les américains nommaient " boulevard ". J'étais désormais face à l'immeuble de l'agence de mannequinat. Je pénétrais dans le hall d'entrée pleine d'espoir de retrouver un quelconque visage familier. Cette fille, elle commençait à m'obséder. C'était surement la seule personne que je « connaissais » dans cette grande ville, dans cet état, dans ce pays, sur ce continent. La hall était vide, étrange, moi qui m'attendais à voir des filles quasiment anorexique déambuler dans tout les sens à la recherche de leur boîte de salade. La seule présence humaine était celle de la réceptionniste, à peine visible derrière son bureau. Elle ne semblait pas avoir remarquer ma présence. J'avança vers elle puis me racla volontairement la gorge. Elle souleva le regard tout en mâchant vulgairement un chewing-gum dont je pouvait apercevoir la couleur. Rose. Je demanda alors à la réceptionniste à quel étage se déroulait le shooting photo de la demoiselle dont le visage était exposer sur les bus, taxis et buildings de la ville. Elle me toisa d'un regard intrigué et cru à une mauvaise blague. « Vous voulez parler de Mlle Vassiliev ? Vous êtes quoi ? Journaliste, maquilleuse, photographe ? » J'ignorai qu'il fallait un certain blase pour pouvoir approcher cette jeune inconnue. Je m'apprêtais à répondre quand je fus coupée. « Peut-importe ! Vous êtes en retard. Mlle Vassiliev pose sur Miami Beach aujourd'hui. » Miami beach ? Eh merde, c'était bien ma journée. Quoi qu'il en soit, j'aurais parcouru la Terre entière si il le fallait. J'adressais un sourire à la réceptionniste avant de filer comme une flèche vers la sortie. Par chance, mon taxi était encore là. Le chauffeur m'arrêta alors à la hauteur du shooting. Je descendis du taxi légèrement perdue en regardant autour de moi afin de repérer la fameuse jeune fille m'ayant sauvé la vie deux ans plus tôt. J'avançais sur la plage, et contrairement au reste des filles, je n'avais pas vraiment la tenue appropriée pour trainer sur la plage de Miami. J'avais des allures de Lara Croft revenant d'une traversé du désert. Au diable le code vestimentaire. J'avançais quelque mètres de plus en bord de mer quand j'aperçus une grande blonde à la plastique parfaite dont les traits m'étaient familiers. J'avançais encore et toujours afin qu'à son tour, elle remarque ma présence. Encore faudrait-il qu'elle me reconnaisse. Quand elle releva la tête, ses yeux me scrutèrent avec curiosité. Je me demandais combien de temps elle mettrait avant de percuter. Apparemment, c'était déjà fait. La jeune fille, blonde désormais, s'avança vers moi avec un démarche plus que gracieuse. « Salut... Euh c'est quoi ton nom déjà ? » me demanda-t-elle. Dis-donc, la courtoisie ne semblait pas à l'honneur à Miami. La diplomatie sera pour plus tard. « Constance. » répondis-je. « Eh bien enchantée Constance moi c'est Ariadna ». Ariadna ? Original, surement des pays de l'Est. Elle m'avait reconnue, chose plutôt rassurante. Eh bien quoi ? Je n'avais nulle part où aller, pas une connaissance sur le continent américain à part Ariadna. J'espérais au fond de moi, qu'elle m'offrirai le gite et le couvert pendant quelque temps. Elle m'avait ensuite proposé de prendre un verre, chose que je ne pouvais pas refuser. Qui aurait pu prévoir qu'à la suite de ce simple verre allait naitre une grande amitié ? Après lui avoir expliquée la raison de ma venue à Miami, elle m'avait gentiment proposé d'emménager chez elle, à San francisco, deuxième chose que je ne pouvais pas refuser. Vous savez cette ville merveilleuse de la côte Ouest des Etats-Unis, ses cable cars, son Golden Gate Bridge et ses maisons qui reviennent souvent dans les fameuses séries télévisées. Une année loin des bains de sang, croyez moi, c'est plutôt reposant.

PHOTOGRAPHE LE JOUR ET TUEUSE A GAGE LA NUIT, JE SUIS PERSUADÉE DE NE JAMAIS CONNAITRE L'ENNUI.

San Francisco – 10 Avril 2011 : Un soir, Ariadna reçu une lettre. Son visage d'habitude souriant et serein laissa place à une mine à la fois inquiète et intriguée. Ses traits ne m'inspiraient guère confiance et une vague de panique me submergea. Après quelques minutes, elle ceda enfin et me raconta une histoire que le commun des mortels n'aurait jamais cru plausible. J'étais désormais impliquée et ce, implicitement dans une organisation mafieuse secrète qui avait pour but d'éliminer les personnalités les plus courues du globe. Une personne normale aurait paniqué et prit la fuite en moins de deux. Pas moi, j'ai toujours adoré me prendre pour la C.I.A.
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Sierra Desrosiers
Sierra Desrosiers
all i care about is love
AVATAR : Hayley Williams.
✱ ÂGE : 33
✱ QUARTIER : SOMA.
✱ COLOCATAIRES : Son mec et sa fille.
all i care about is love
Dim 18 Mar - 20:12

Je prends en compte ton conseil pour le thé du chapelier fou ôô
J'aime beaucoup l'histoire!


Parfait, t'es validé[e], babe!

Bienvenue, nouveau POHien !

Ça y est, tu es désormais chez toi ! Nous avons trouvé que ta fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées.

Avant de commencer à rp, nous t’invitons à faire réserver ton avatar ici, puis à venir nous rejoindre sur le réseau social facebook; nous te conseillons vivement de le faire, car cela aide beaucoup à l'intégration de ton personnage, mais aussi, de toi, joueur, dans notre grande famille ! Ensuite tu devras aussi créer un formspring, un téléphone et éventuellement un e-mail à ton personnage dans la partie communication.

N'oublie pas de bien remplir ton profil et de te faire aussi une fiche de liens/rps.

Pense aussi à passer sur la chatbox de temps en temps, tu y trouveras une ambiance de fous :3

La dernière chose très importante qu'il te faut retenir est que nous avons une "gossip girl" sur le forum, tenue par un petit groupe de membres motivés. Ta contribution à GG est très importante pour l'avancée du jeu, et voici comment t'y prendre: lorsque tu fais un sujet de rp, envoie un message à Gossip Girl pour les prévenir de ce qui s'est passé dans le sujet, ou ce qui va se passer... idem pour les appels ou les mails importants. Lorsque tu contacte les gossips, n'oublie pas d'indiquer la date à laquelle se situe le jeu, c'est trop important pour la cohérence des articles. Merci d'avance pour ta participation!

Nous espérons vivement que tu te plairas dans cette folle aventure parmi nous r3456

Nat Robbyn & Matthew
Admin
, June Sierra & Andreas
Admin
, SteeveDomenico
Modérateur
& Romy Charlotte & Frankie
Modératrice

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