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 Holidays in Australia, oh yeah. [Babe. ♥]
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Anonymous
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Sam 7 Jan - 23:41

Holidays in Australia, oh yeah. [Babe. ♥] Qantas%20A380%20over%20Sydney

« Holidays in Australia, oh yeah. »

Une fois l'avion atterri sur les sols de Sydney, les passagers, dont moi-même et Sevan descendions assez rapidement. De suite, nous nous précipitions jusqu'au distributeur des valises, attendant et inspectant juste en face. Je regardai Sevan avec un sourire, mais il était plutôt concentré à chercher son bagage. Je m'approchai doucement de lui, glissant ma main contre la sienne, chose qu'il refusa, me le montrant en reculant cette dernière. Je le fixai d'un regard étonné qu'il n'observait même pas. J'avais oublié qu'il n'aimait pas montrer qu'il était homosexuel ni qu'il était en couple, devant les yeux d'autant de monde. Je soupirai tristement, puis m'emparai alors de ma valise, le laissant seul face à sa recherche. Je commençai à me diriger vers la sortie, attendant un taxi pour nous amener jusqu'à notre hôtel réservé. Sevan me rejoint quelques minutes après, je ne lui adressai aucun regard, entrant par la suite dans la voiture. Pendant le trajet qui dura plus de vingt minutes, j'inspectai simplement la route et le magnifique paysage que nous offrait Sydney, j'étais vraiment en colère contre Sevan : je ne voyais pas pourquoi mon attention serait pour lui, alors qu'il ne m'offrait rien en retour. Une fois arrivés, je m'empressai jusqu'au coffre, toujours en tentant d'oublier la présence de Sevan. J'attrapai mon sac, m'empressant de me diriger jusqu'à la réception, qui nous donna rapidement la chambre et sa clé appartenant. Un ascenseur, quelques pas et nous voilà à l'intérieur. Je voyais mon petit ami se rendre directement sur le balcon qui montrait une magnifique vue sur la ville, ce que j'avais bien entendu fait exprès : autant avoir quelque chose de parfait. Je le fixai tandis qu'il était de dos et je soupirais. Je ne comprenais pas pourquoi il m'évitait autant devant les gens... avait-il honte de moi ? J'en avais peur et je commençais à douter d'énormément de choses. J'étais angoissé même, je ne savais pas si c'était une très bonne idée de lui offrir ce voyage, d'être venus ici. J'étais perdu, je doutais sur notre couple, sur lui, tout comme sur moi-même. J'avais besoin à longueur de journée de ses paroles et de ses gestes qui me rassuraient tant, cependant il n'avait pas l'air capable d'entreprendre cela. Il était si distant en public... je détestais ça. La preuve, ma tête était embrouillée à ce moment même, juste à cause de sa froideur imprévisible. Je n'avais pas l'habitude, car nous nous voyions généralement qu'à notre appartement, n'ayant pas les mêmes emplois du temps, et n'étant souvent pas disponibles au même moment, simplement le soir. Je le regardai, ayant l'envie de le rejoindre mais... ça me troublait tellement que je préférais gagner notre lit qui me paraissait vraiment confortable. J'avais même envie à ce moment là, quitter cette chambre pour traverser et visiter Sydney. Tout seul. J'étais énervé, pas forcément contre Sevan, mais contre moi, qui ne permettait pas à mon petit ami d'être totalement en confiance et rassuré. J'étais fâché, mais surtout j'avais la trouille. Je retirai alors mes chaussures en m'asseyant sur le lit, tout en me glissant à l'intérieur ensuite. Je me recouvrai de la couverture, tout en me positionnant du côté gauche, à côté du mur. Je n'avais pas envie de le voir traverser la pièce de long, en large et en travers, alors je m'abstenais d'avoir un simple mur dans mon champ de vision. Je m'installai en boule dedans, me recroquevillant sur moi-même. J'étais un peu triste, en effet... J'avais mal par rapport à ce manque d'affection. J'avais besoin de ça... mais je n'avais pas envie de le forcer, ni de lui expliquer. Je n'avais pas envie qu'il change ça pour moi, s'il était mal à l'aise... très bien. Mais je ne pourrais concevoir qu'il ait honte de moi. Je l'entendis revenir dans la pièce, je fermai doucement les yeux. Il allait croire que j'allais être fatigué et que j'avais besoin de sommeil. Oui, j'étais fatigué, néanmoins ce n'était pas pour ça que je me tenais dans ce meuble, j'avais juste envie de rien là. Il n'allait certainement pas le comprendre, il allait me prendre pour un déprimé de la vie à dormir déjà sans même avoir vu Sydney du balcon. Il n'allait pas comprendre, parce que je ne lui avais jamais expliqué que ça me faisait mal qu'il me rejette à ce point et soit aussi distant. Peu importe, qu'il aille s'amuser et qu'il me laisse là, j'avais besoin de me tuer et défoncer le cœur avec mes pensées tristes et destructrices.
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Anonymous
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Dim 8 Jan - 13:21

Holidays in Australia, oh yeah. [Babe. ♥] Tumblr_lxh439EX6g1r9ybn7o1_500

    Après des heures interminables de vol, nous étions enfin arrivé à Sydney et je n'avais qu'une hâte : aller à l'hôtel et surtout au spa pour pouvoir me détendre. Pendant le trajet dans le taxi je remarquais que mon petit ami me faisait la gueule, mais je ne préférais pas lui demander la raison. Une dispute de couple à l'arrière d'un taxi non merci. Je lui demanderais à l'hôtel. Dans la chambre je libérais Irish et Chiara de leurs caisse de transport, mon petit copain avait vraiment pensé à tout, non seulement la destination était géniale, mais en plus l'hôtel était magnifique et il acceptait les animaux. Je ne me voyais pas laisser mes bébés là-bas, sans personnes, enfin sans Midnight et moi. Je m'empressais d'aller sur le balcon pour pouvoir admirer la vue. C'était magnifique, Midnight avait du dépenser une fortune pour tout ça. J'avais tellement de chance de l'avoir, il avait fait tout ça pour moi. En retournant dans la chambre je remarquais cependant que quelque chose n'allait pas. Il était dans le lit, complètement recroquevillé sur lui même, tournant le dos au reste de la chambre. "Amour..." Je m'assis sur le lit avant d'enlever mon t-shirt et mes converses et de le rejoindre sous la couette. Je sentais ses muscles tendu sous mes doigts, signe que effectivement il n'allait pas bien. Je sortis du lit pour faire le tour et me mettre en face de lui, ses yeux étaient fermés, mais je savais qu'il ne dormait pas. Depuis le temps que je le connaissais je savais quand il dormait, quand il faisait des cauchemars, quand il avait froid, quand il avait chaud...et là il ne dormait pas. Je passais doucement ma main sur sa joue tout en murmurant doucement à son oreille : "Hey, bébé. Qu'est-ce qu'il se passe, je vois que quelque chose ne va pas, dis moi ce qu'il y a ??" J'embrassais doucement son front espérant qu'il ouvre les yeux pour que je puisse croiser son beau regard, que j'aimais tant contempler. Commencer des vacances comme ça c'était pas ce que j'avais prévu, je voulais pas qu'il m'en veuille, on était seuls, tous les deux, personnes pouvaient venir troubler ça, personne. Il y avait lui, moi, la mer, la plage, une chambre, les plus belles vacances que j'ai jamais eu jusqu'à maintenant et je ne voulais pas gâcher ça, pour rien au monde.
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Dim 8 Jan - 15:59

Sevan s'inquiétait, je pouvais le certifier tant grâce à ses gestes qu'au son de sa voix. Je n'avais franchement pas prédis qu'il allait me rejoindre dans le lit, ni qu'il allait tenter d'en savoir davantage sur ce qui me tourmentait en ce moment, bien que j'aurais du m'en douter. Je commençais immédiatement à gâcher nos vacances, ce n'était pas ce que j'avais prévu pour un premier jour. Je nous voyais déjà à la plage, profitant de la chaleur et de la température haute de l'eau de mer. Néanmoins, les choses dans ma vie ne se passent jamais comme prévu, de toute façon. Je souhaitais vivement que notre voyage soit des plus parfaits pour Sevan, qu'il y trouve confort et rétablissement, qu'il puisse oublier tous ses soucis, qu'on se concentre rien que sur nous deux. J'avais le besoin de retrouver mon petit ami durant la journée, j'en avais assez de le voir que le soir en semaine, ou parfois jamais. Sa tristesse, mes conneries avec Lust, mon métier prenant ainsi que la recherche de mon père, avaient fait en sorte de nous séparer, même si nous étions toujours ensemble et soudés... je ressentais un manque de Sevan, puisque auparavant, nous passions parfois des journées entières à deux, et c'était ce genre de moments remplis de bonheur que j'avais envie de redécouvrir avec lui. Pourtant, en observant ma mine triste, allongé dans le lit, on aurait pu très bien comprendre le contraire. Cependant, je ne voulais pas bousiller notre escapade, c'était simplement plus fort que moi, je le faisais involontairement à cause de mes tourments. Quand Sevan m'embrassa le front en me chuchotant quelques mots avec tendresse, je ne pus m'empêcher de soupirer de tristesse. Je ne voulais pas l'affronter, ni lui expliquer pourquoi. J'allais passer pour le copain incompréhensible, c'était juste... que j'avais à longueur de journée besoin de son affection, je pense qu'il ne prenait pas conscience à quel point. C'était lui qui m'avait redonné un tant soit peu confiance en moi, c'était lui qui me donnait l'impression d'être important lorsqu'il se montrait attentionné et incroyablement gentil et doux avec moi. Alors lorsqu'il arrêtait ses gestes, je me sentais tomber, je m'écroulais, la vie se stoppait presque. Comme si... il allait m'abandonner. Je devenais chaque fois paranoïaque dès que quelque chose ne me plaisait pas, tout ça me perturbait affreusement. Je ne pouvais lui expliquer, je ne savais pas comment faire cela, surtout qu'il allait penser que je ne le comprenais pas... alors que ce n'était pas le cas. Pensant que j'avais besoin de me retrouver seul dès maintenant, je lui montrais difficilement. Ne souhaitant pas décrocher quelques mots, je procédais avec des gestes. Tandis qu'il m'embrassait le front, je soupirais une seconde fois. Au lieu d'ouvrir grandement les yeux pour l'apercevoir, j'enfonçais ma tête dans l'oreiller, afin qu'il ne puisse plus rien faire. Bien entendu, il n'aurait pas de mal à me retourner, mais je souhaitais lui montrer que je n'avais pas envie d'en parler, chose qu'il allait peut-être prendre mal, étant donné que je m'avérais être très silencieux et mystérieux ces temps-ci. Je finis par tourner mon corps de l'autre côté, restant au milieu du lit, avec toujours mon visage ancré dans le coussin. Je me dis qu'il vaudrait mieux que je sois très clair dans ce que je tente de lui expliquer, alors je pris la parole, son presque incompréhensible, tant ma bouche est écrasée contre l'oreiller. « Laisse tomber Sevan. Va t'amuser, va découvrir l'hôtel, et laisse moi ici. Je n'ai pas envie de bouger, je préfère rester ici. Puis aussi, je regrette d'être venu ici. » La dernière phrase pouvait paraître méchante, pourtant je me devais d'être honnête. Et non, je n'avais pas envie que mon petit ami parte à travers le bâtiment. Non, je n'avais pas envie qu'il me laisse seul, affrontant mes pensées négatives. Oui, j'avais besoin de lui comme jamais, oui j'aimais bouder et qu'il me console. Et oui, j'étais chiant et je pourrissais tout.
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Dim 8 Jan - 22:02

    Je sentis mon coeur se serrer à cette remarque. Pourquoi il ce comportait comme ça ?? Pourquoi il disait ça ?? Il c'était passé quoi durant ces putains d'heures d'avion !! Je retiens difficilement mes larmes, m'éloignant du lit pour ne pas qu'il m'entende. J'essayais de ne pas laisser paraître ça dans ma voix, mais c'était dur. "Je...d'accord je te laisse." Je pris quelques affaires avant de m'éloigner jusqu'à la porte et de sortir dans le couloir, avant d'avoir fait le moindre pas pourtant, je me retournais et rentrais à nouveau dans la chambre. Je pouvais pas le laisser seul, j'en avais pas envie d'ailleurs. Je me suis de nouveau glissé dans les draps pour me coller contre son dos. "Bébé, dis moi ce qu'il se passe, j'ai fais quelque chose de mal ?? C'est à cause de tout ce que tu me cache en ce moment ?? Tu as des problèmes ?? C'est à cause du mariage ?? Dis moi ce qui va pas amour, je t'en pris." J'avais soudain plein de doutes qui me venais à l'esprit, est-ce que quelqu'un lui avait fait du mal ?? Est-ce que j'avais fais quelque chose de mal ?? Il ne voulait peut-être plus de ce mariage, il doutait peut-être. A cause de moi, a cause de lui ?? J'étais perdu là, qu'est-ce qu'il se passait ?? Il avait tellement hâte de partir faire ce voyage, qu'on soit enfin seuls tous les deux et...maintenant il me disait qu'il c'était trompé. J'avais peur tout à coup, j'avais peur qu'il me dise que tout était finis, que je l'avais déçu, pourtant je faisais des efforts : je ne fumais presque plus, je ne prenais plus de mission qui impliquais des dealeurs, j'essayais de ne pas être trop proches de mes amis...Il y avait peut-être quelque chose que j'avais mal fait, quelque chose où j'étais allé trop vite. Et son silence me faisait encore plus peur. "Midnight parle moi...je t'en pris, je...tu me fais peur amour. Qu'est-ce qu'il y a ??" Heureusement que je suis gay, j'imagine même pas la flippe si j'étais avec une fille, parce qu'avec Mid s'il y a un truc dont je suis sûr c'est qu'il ne peut pas m'annoncer qu'il attend un gamin. Sa enlève un peu de pression quand même.
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Dim 8 Jan - 23:06

Suite à mes remarques et gestes, j'entendis Sevan claquer la porte et s'en aller. Mon cœur se serra, je me sentais incroyablement méchant de l'avoir fait partir d'une telle manière. J'allais lui gâcher ses vacances et je m'en voulais déjà. Pourquoi devais-je toujours le faire souffrir ? C'était toujours plus fort que moi, je n'y pouvais rien. Ma tristesse me submergeait pendant qu'il disparut et me sentant vide et seul, je commençais à pleurer doucement contre l'oreiller. J'étais qu'un con, un pauvre con qui méritait de mourir. J'aurais du être heureux en arrivant dans le bâtiment, rire et sourire avec mon petit, et contrairement à cela, je nous faisais tous les deux pleurer. J'étais définitivement pitoyable et un crétin fini. Je ne comprenais pas comment Sevan pouvait me supporter après tout ça, après tant de tristesse et déception vécues à cause de moi. Pourtant, je fus rassuré lorsque je l'entendis rentrer quelques secondes après : il avait donc du changer d'avis rapidement. Je le sentis s'installer près de moi, en prenant le soin de se coller. Je gardais la même position, mais je me raidis à sa présence. J'avais toujours du mal d'accepter son affection lorsque je lui avais du mal auparavant, parce que je ne saisissais jamais. Encore une fois, je le faisais souffrir en abîmant ce merveilleux voyage, mais il trouvait quand même l'énergie pour tenter de savoir ce que j'avais. Je lui étais reconnaissant, certains seraient déjà partis de l'hôtel en me laissant tout seul. Je le laissais parler, ne souhaitant pas lui dire ce qui me chagrinait tant, j'avais peur de sa réaction. J'étais inquiet à l'idée qu'il veuille encore changer pour moi, je ne désirais pas lui en demander tant. C'était à moi de m'habituer à cette situation, à son malaise en public. Je ne devais pas tenter d'y faire quelque chose, j'allais vraiment passer pour quelqu'un de chiant. Alors qu'il avait fini de parler, je relevais légèrement la tête pour ne faire apparaître que mes yeux et je le fixais intensément. Son inquiétude me fait flipper, elle se lisait facilement dans son regard. Il avait lui aussi, en plus, les yeux rougis. Je l'avais fait pleuré, et je me sentais encore plus débile de nous avoir fait souffrir juste à cause de mon manque d'affection. Je le regardais comme ça durant plus d'une minute, le voyant en train d'attendre une réponse de ma part. Sans un sourire, d'un ton assez sec, je tentais de le faire saisir en lui disant. « Tu comptes me rejeter pendant deux semaines, Sevan ? Parce que je me vois mal attendre d'arriver ici et surtout une journée entière à chaque fois, juste pour t'embrasser ou te tenir la main. » Au moins, j'étais clair et je pense qu'il avait très bien compris de quoi je parlais. Ou peut-être pas, étant donné que je ne lui avais jamais fait le reproches à ce sujet. Seulement, ce qui me perturbait le plus, c'était la peur qu'il avait honte de moi, d'où le fait qu'il m'évitait, pour montrer le moins possible aux gens qu'il était avec un être pareil, ce que je pourrais comprendre. Je soupirais d'énervement et tristement en même temps, lui déclarant par la suite. « Si tu as honte de moi Sevan, dis le moi directement. J'vais pas le prendre mal, j'peux comprendre que tu aies pas envie de te montrer avec un crétin pareil. » Je ne réfléchissais même plus à ce que je pouvais bien raconter et je devais certainement dire n'importe quoi, ou peut-être pas, qui sait ? Pourquoi il ne souhaitait pas se montrer avec moi, si ce n'était pas ça ? Hein, pourquoi ?! J'étais totalement perdu.
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Anonymous
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Mer 11 Jan - 16:22

    J'écoutais Midnight me raconter enfin ce qui n'allait pas. Son regard m'avais encore plus fait peur, que pouvait-il bien ce passer ?? Ce qu'il me dis me surpris. Je ne pensais pas à une chose pareil. Je l'ai obligé à ce retourner vers moi avant de saisir sa nuque et de l'embrasser avec toute la passion que je pouvais y mettre. Déjà pour qu'il arrête de dire des conneries, parce que oui c'était des conneries et aussi pour lui montrer que je l'aimais, que j'étais amoureux de lui et que je ne faisais pas semblant. Après un moment je me suis éloigné de lui de quelques centimètres juste assez pour plonger mon regard dans le siens. Ma main caressait sa nuque alors que l'autre était venu s'entrelacer à la sienne. "Comment tu peux penser une chose pareil Midnight ?? Comment tu peux penser que j'ai honte de toi ?? Comment tu peux penser que t'es un crétin ??" Je vis un faible sourire se dessiner sur ses lèvres ce qui me fis sourire aussi. Il replongea cependant dans les couvertures du lit et mon sourire disparu aussitôt. Je soupirais doucement.
    J'aperçus alors Irish qui essayait tant bien que mal de monter sur le lit, je souris avant de le prendre dans mes bras et de l'aider. Une fois sur la couette il s'approcha doucement de son maître avant de se blottir contre son cou. Je ne pu m'empêcher de sourire. "Tu vois amour, même lui ne supporte pas quand tu es triste." Je passais doucement mes doigts sur la fourrure du petit chat qui se mis à ronronner. Ils étaient adorable tous les deux. Je les laissais cinq minutes pour aller sur le balcon. Je pris mon paquet de cigarette avant d'en sortir une et de l'allumer. La première bouffé me fis du bien, ensuite mon regard ce perdis dans les volutes de fumer et mes pensés partir à des millier de kilomètres de l'Australie : chez moi en Irlande, à une époque qui n'existe plus...Je sentais le regard de mon petit ami sur moi et je sentais les larmes qui commençaient à monter. "Quand...quand j'étais avec Mickaël, je ne faisait pas attention à ça. Je me foutais qu'on nous voit ensemble, je voulais que les gens sachent à quel point je l'aimais. Un jour...un jour on se baladait tous les deux dans les rues de la capitale et...et on est tombé sur une bande de mecs." Je me suis tue un instant, reprenant une bouffé de cigarette, je sentais le regard de mon petit copain sur moi, qui me demandais de continuer. Oui, j'avais pas besoin de le voir pour le savoir. "Ils étaient cinq. Deux d'entres eux m'on attrapé pour ne pas que je bouge et...et pendant ce temps les trois autres l'on tabassé à mort. J'entendais ses os craquer, j'entendais toutes les insultes qu'ils disaient et...j'ai rien pu faire." Je n'avais jamais raconté ce moment à personne, même pas ma mère. C'était notre secret à Mickaël et moi. J'ai écrasé la cigarette dans le cendrier qui se trouvait sur la terrasse et je me suis rapproché de Midnight sans pour autant le toucher. "Pardon...je t'aime..." Oui, pardon. Pardon pour la cigarette que je venais de fumer, pardon pour t'avoir parlé de mon ex, pardon pour ne pas oser montrer aux gens à quel point je t'aime, pardon d'être un lâche. Je me suis approché encore, avant de me blottir dans ses bras écoutant sa respiration, espérant qu'après ça il voudrait toujours de moi.

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Anonymous
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Dim 15 Jan - 10:03

Pendant que Sevan résumait ce que je venais de dire en questions, m'expliquant par ailleurs que j'étais tout sauf un crétin fini dont il avait honte, je le regardai les yeux brillants par tant de gentillesse, montrant par la suite un faible sourire sur les lèvres. Je ne pus m'empêcher de retourner au fond des couettes, évitant le tendre regard de Sevan. Il n'avait tout bonnement pas le droit de me fixer comme ça. Il n'avait pas le droit de m'aimer, ni de me consoler de cette manière, encore moins de me trouver bon dans le rôle du petit ami. De plus, ses paroles ne me suffisaient pas à récupérer la pêche, car selon moi ce n'étaient que de simples mots, certes bien jolis, mais qui ne prouverait aucunement la possibilité d'obtenir un nouveau comportement de Sevan en public. Tout ce que je souhaitais au plus profond de mon être, c'était qu'il soit ainsi devant le regard d'une foule entière, qu'il cesse d'être aussi distant... tandis qu'il se montrait parfait dès que nous étions séparés du monde entier, seuls. Est-ce qu'il me prenait pour un simple garçon avec qui s'amuser le temps d'une soirée, n'ayant pas pour autant quelque chose à faire de moi ? J'étais réellement triste et je ne le voyais plus, pourtant le ronronnement du chat en train de se frotter contre mon cou, me fit comprendre que tant l'animal que mon copain étaient sensibles à ma tristesse. Ils devaient être tous les deux peinés, à vrai dire, et je n'avais plus la force de les consoler, là tout de suite. Je désirais juste comprendre pourquoi il refusait de me montrer ne serait-ce qu'un peu d'affection à l'extérieur. Par la suite, tandis que d'une main, je m'étais emparé de la fourrure du chat pour le caresser tendrement, j'entendis le lit grincer, signe que Sevan venait de se lever pour aller je ne sais où. Prenant le soin de regarder d'un oeil discret, sortant doucement ma tête de l'oreiller, je le fixai en train de fumer sa cigarette. Si les événements étaient différents, je l'aurais rejoins en l'éteignant avant même qu'il ait pris une bouffée, l'embrassant pour lui faire comprendre qu'il y avait bien mieux que sa dose de nicotine. Sauf que là, je comprenais qu'il ne fumait pas par manque, mais par besoin, alors je n'intervins pas. J'étais brisé en le regardant avec sa clope au coin de la bouche, davantage lorsqu'il commença son récit. Plus il parlait, plus les larmes montaient. J'avais envie de pleurer, parce que je comprenais au fil des jours, que mon petit ami n'était pas qu'un simple fils d'un bourgeois qui aurait du logiquement, avoir une vie des plus faciles et heureuses. Non, mon petit ami avait du traverser d'affreuses choses depuis sa naissance et obligatoirement, je le voyais comme quelqu'un de courageux, mais surtout, je fus emporté par sa tristesse. Je ne l'avais pas remarqué, mais je m'étais en fait retiré inconsciemment la couverture de mon corps, tant je fus choqué par son histoire. Tant j'avais compris à quel point j'étais bête. Lorsqu'il revint, je me retournai pour le voir, désormais installé sur le dos. J'avais l'intention de me lever pour le prendre dans mes bras, mais il arriva plus rapidement. Je fermai les yeux un instant, évitant de faire couler les larmes qui s'étaient déposées au coin de mes yeux. Je lui dis alors : « Babe... excuse moi. Ne sois pas désolé... je comprends. Excuse moi, je me sens tellement con après ça... Rien ne nous arrivera, je te le promets. » Puis, m'approchant de son oreille, je lui chuchotai tendrement : « Je t'aime, putain. ». Sevan se posa à mes côtés, je n'osais pas le regarder, je n'étais vraiment pas fier de moi. Je baissai la tête, ne regardant juste sa main, que je m'empressais d'attraper. Je m'approchai de lui, posant mon front contre le sien. Je soupirai d'agacement de moi-même, en fermant les yeux tant j'étais déçu. Déçu de mon comportement, navré également de lui faire autant de mal. Je ne l'embrassais pas, bien que l'envie soit là... je me le refusais. Je me refusais tout dès que je lui faisais du mal, c'était plus fort que moi. Je ne pouvais pas concevoir qu'il m'aime alors que chaque fois, j'arrivais à le faire pleurer... toujours par ma faute, parce que j'étais souvent en train de lui rappeler son désastreux passé. J'ouvris doucement les yeux, et je me surpris de toujours être triste par ce qu'il m'avait raconté : une larme coula. Je regardai son visage, pourtant j'étais songeur, je n'étais plus vraiment dans cette pièce. Je me souvenais de chaque moment triste que nous avions pu traverser : son suicide, le fait qu'il ait pris de la drogue, l'inquiétude et la tristesse l'envahissant de toutes parts. Toujours à cause de moi généralement. Alors, murmurant d'une voix faible presque inaudible, pratiquement pour moi-même - néanmoins il allait l'entendre étant donné qu'il était collé contre moi -, je déclarai : « J'ai en assez de te briser, assez.. » Il ne méritait aucunement ça, il méritait réellement d'être heureux. J'aurais voulu lui ajouter "Faut que ça se termine nous deux, Sevan... " Mais je m'en sentais pas capable, parce que même si c'était préférable pour lui, je n'arriverais pas à me séparer de lui.
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Anonymous
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Lun 16 Jan - 21:30

    Il recommençait...malgré tout ce que je faisais il n'arrivait pas à prendre confiance en lui. Je ne savais plus quoi faire. J'avais l'impression que tout ce que je faisais, tout ce que je lui disais ne servais à rien. Je me levais pour le laisser seul un instant, j'allais jusqu'à la salle de bain et commençais à faire couler l'eau dans la baignoire. Je retournais jusqu'au lit et m'agenouillais devant son visage. "Je vais prendre un bain pour me détendre. Repose toi d'accord ??" Je vis alors à ses yeux qu'il ne voulait pas rester seul. Je lui souris avant d'attraper sa main et de l'obliger à se lever pour me suivre. J'avais l'impression que son corps était avec moi, mais que son esprit était totalement ailleurs. J'avais cependant une idée pour lui redonner un semblant de sourire. Je l'emmenais jusqu'à la salle de bain avant de lui retirer ses vêtements un à un, sans oublier d'embrasser chaque parti de sa peau que je mettais à jour. "Installe toi bébé. Je reviens d'accord ??" J'attendis cependant qu'il se soit bien installé avant de retourner dans la chambre. J'avais laissé la porte ouverte au cas où, parce que j'avais tout de même un peu peur qu'il fasse une bêtise vu l'état dans lequel il était. Je pris le téléphone qui était sur la table de nuit et composais le numéro de la réception. Une jeune femme me répondis aussitôt me demandant en quoi elle pouvait m'aider. Je lui demandais s'il était possible de monter une bouteille de champagne avec deux coupes. Elle me répondis que quelqu'un m'apporterais ça dans quelques minutes. Je raccrochais le sourire aux lèvres et retournais auprès de Midnight. Il semblait dormir, il avait l'air tellement calme, tellement serein, on aurait dit un ange. Je m'approchais doucement de lui avant de m'agenouiller contre le rebord de la baignoire et de passer doucement ma main sur sa joue. Un soupir s'échappa alors de ses lèvres, un soupir de plaisir, un soupir que j'aimais entendre. J'approchais alors ma bouche de la sienne avant de l'embrasser tendrement. "Je t'interdis de penser à tout ça amour. Tu comprend ?? Je te l'interdis. Tu es pas parfait, mais c'est pas pour ça que tu ne me rend pas heureux. On fait tous de erreurs ou des faux pas dans notre vie, mais ce qui compte c'est que toutes les merdes qu'on traverse on les traverse ensemble. Tu comprend ?? Quoi que tu fasse, quoi que tu dise, tu pourras j'aimais te débarrasser de moi je serais toujours près de toi. Je te lâcherais pas ! Je t'aime." Je me penchais de nouveau pour l'embrasser avant d'aller jusqu'à la porte de la chambre afin de réceptionner ma commande. Je remerciais la jeune fille qui me l'avais monté avant de me diriger de nouveau vers la salle de bain. Je fermais la porte à clé derrière moi et servais une coupe à mon petit ami, avant de m'en servir une aussi. "A nous deux et surtout à l'homme que j'aime et qui me permet d'être heureux malgré tout ce qu'il peut penser. Je t'aime." Je me laissais glisser le long du rebord le sourire aux lèvres, je me sentais vraiment bien, vraiment heureux, vraiment amoureux...
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Anonymous
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Lun 16 Jan - 23:44

Je ne saisis pas clairement ce qu'il passait, tellement que je passais d'un lit entouré de couettes à une baignoire dans laquelle j'étais recouvert de mousse ainsi que d'eau. J'étais non seulement crevé, mais les événements me fatiguaient, que dormir dans la salle de bain ne me dérangerait aucunement. Je fermai alors les yeux, ne sachant même plus où je pouvais bien être. Je n'étais plus connecté à ce monde, j'étais ailleurs. Pourtant, la main de mon petit ami me récupéra dans la réalité, lorsqu'il me caressa la joue. Son contact sur ma peau me fit frissonner et doucement, j'ouvris les yeux, mais il partit déjà je ne sais où. Je ne comprenais pas réellement ce qu'il se passait, un peu sonné et dans mes pensées. J'avais envie de me lever afin de le rejoindre, je détestais qu'il me laisse seul sans me dire où il allait. Mais j'étais lessivé et je n'en avais pas la force, de toute manière il était revenu aussi vite qu'il était parti. Son visage me réveilla totalement, j'avais désormais les yeux grands ouverts, simplement spectateur. Il me déclara quelque chose, puis me tendit un verre, que je sentis pour savoir ce que c'était. Du champagne. Il était adorable mais je ne buvais pas, il avait sans doute zappé ce détail, dépassé certainement lui aussi par les événements. Je souris par son geste si attentionné, déposant le verre sur un des rebords de la baignoire, afin ensuite de scruter mon petit ami. Sevan semblait si apaisé... il souriait ! Rien que son sourire me rendait heureux, j'étais décidément comblé avec ce garçon. Je ne répondis pas à ses phrases, j'étais trop obnubilé par son magnifique et tendre sourire. Je ne voulais rien dire sur le fait que je n'aimais pas le champagne, par peur de supprimer son état de gaité qu'il le submergeait à ce moment. Je laissais faire, attrapant ensuite son verre pour le poser à côté du mien. Doucement, je le tirai jusqu'à moi, le fixant d'un regard provocateur. Il était encore habillé mais rien ne m'empêcha de l'attirer avec moi dans l'eau. Il fut tout mouillé et je ris. Tandis que j'étais allongé de tout mon long dans le bain, Sevan était à califourchon sur moi, ce qui me laissait la possibilité de l'embrasser autant que je le voudrais. Et c'est ce que je fis pendant plus de cinq minutes, ne pouvant plus lâcher ses lèvres. Je voulais lui montrer à quel point je le remerciais de tout ce qu'il avait fait jusqu'à maintenant, à quel point je l'aimais... car à ce moment-même, j'étais incapable de lui montrer avec des paroles. J'avais passé une main dans son dos, sous son t-shirt complétement mouillé désormais, tant la passion était présente. Je finis par arrêter de m'attaquer à sa bouche, plongeant par la suite à son cou, le mordillant tendrement. Puis, je remontai à son oreille, disant. « Je t'aime aussi babe. Merci pour tout. » J'espérais que c'était suffisant, puisque je comptais bien passer à autre chose. Je le laissais boire son verre, souriant rien qu'en le regardant. Puis, soudainement, j'attrapai un peu de mousse pour lui coller sur le bout de son nez, en pouffant de rire. J'avais besoin de rire, tout comme lui, peut-être qu'il n'allait pas plaisanter, mais en tout cas, on avait tous les deux besoin de décompresser ici, en Australie, à deux, ensemble : loin de tout ! Je continuai de rire, en souriant gentiment : « Je devrais te prendre en photo haha. » Oui, c'était ça. Rire. J'avais envie de ça. Peu importe comment, ou grâce à quoi.
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 21 Jan - 21:12

    Je ne vis pas le coup venir, mais soudain je me retrouvais dans l'eau au dessus de mon petit ami. Je fis une fausse mou boudeuse avant de dire : "C'est malin je suis tout mouillé maintenant." Lui il riait. Il était tellement beau quand il riait, tellement enfantin. J'aimais quand il était comme ça. Je sentis rapidement ses lèvres parcourir les miennes et glisser dans mon cou. Enfin il s'autorisait à m'embrasser, signe qu'il se sentait un peu mieux. Je laissais sortir un léger soupir de soulagement, j'avais réussis. Sa main contre ma peau mouillée me fis frissonner plus que prévu. J'avais toujours adoré le contact des caresses sur ma peau mouillée, ça avait le don de me rendre dingue, mais alors vraiment dingue. Si je m'étais pas retenu je crois bien que je l'aurais violé sur le champs, c'était pas compliqué il n'avait déjà plus aucun vêtement sur le corps. Mais alors que mes pensées se dirigeaient légèrement vers des scènes coquines je sentis quelque chose sur mon nez. Il m'avait mis de la mousse. J'éclatais de rire avant d'enlever ce que j'avais sur le bout du nez et de me lever pour sortir de l'eau. J'enlevais mon jean qui me gênait plus qu'autre chose avant de prendre la main de mon petit ami pour l'aider à sortir. "Il faudrait te sécher bébé..." Je lui avais dis cette phrase avec un parfait sourire innocent sur le visage. Je me rapprochais alors de lui aspirant chaque goutte d'eau que je trouvais sur son corps du bout des lèvres. Je remontais ensuite à ses lèvres avant de l'embrasser doucement comme s'il était la chose la plus fragile qui existait sur cette terre. "Tu fais de moi le plus heureux des hommes..." Je venais de murmurer cette phrase du bout des lèvres et je l'a pensais. Je l'a pensais même tellement que mon coeur battait la chamade. Je m'approchais lentement de lui avant de l'enlacer tendrement. "Si on sortait ?? On a besoin de prendre l'air je crois, sinon je risque de plus me contrôler face à ton corps et ton sourire tellement craquant." Ouais, j'étais niais, j'étais amoureux, j'étais romantique, j'étais heureux et je l'assumais totalement.
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Holidays in Australia, oh yeah. [Babe. ♥]

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