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 « From my last burning desire, no force in Heaven, nor Hell, can save your soul »
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Anonymous
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Sam 31 Déc - 14:52



THERE'S NO ESCAPE, NO SALVATION

Putain, putain, putain. J'en ai marre. Je venais de rentrer chez moi, enfin, dans mon ancienne demeure puisque je déménageais demain et j'étais une vraie boule de nerfs. Je venais de passer ma journée au téléphone avec le siège de Washington pour obtenir le fait que Lennon n'habite pas avec moi. J'avais été très clair. S'il continuait de me coller au cul, je le décapitai et plantai sa tête sur un pique devant chez moi. Pelote de nerfs. Je suis en train de péter un plomb. Entre mes coucheries avec Zackary et Caliel. Cet enflure, ce son of the bitch qui commençait à... je ne préfèrai même pas en parler. Je suis trop occupée à fulminer contre moi-même. Ouais, carrément. Je devais arrêter. Complètement. Déjà cesser de le voir. Super, je déménage, il n'aura pas mon adresse. Good. Constance avait raison. Je foutais la merde entre eux. Entre le groupe et j'en appréciais la moitié. Dante et Asher. Que Duke crève pour ma part et que Caliel continue de coucher avec ses trainées. Jalouse moi ? Non pas du tout. Ce mec n'est qu'un sombre connard qui me tape sur le système.

Une fois dans la maison, je réfléchis à quoi faire avant de monter à l'étage pour me changer et mettre mes affaires de sport. J'irai courir tiens. Ouais, j'en avais besoin. Et pas de mini-short aujourd'hui. J'irai faire le tour du quartier mais avec l'autre taré qui rode et m'a dans le collimateur. Mieux vaut sortir armé. Je pris mon flingue que je collais à ma ceinture. Non, pas pratique. Bon, pas le choix. Fouillant dans mon armoire, j'en sortis mon calmelback pour le mettre dedans et ne pas oublier de le charger. J'aurai intérêt à être rapide si je me fais agresser. Bref, les écouteurs sur les oreilles, je sortis pour voir la nuit commencer à tomber sur San Francisco. Adam était chez ma mère pour la soirée et j'avais donc tout mon temps pour faire mon jogging. Je ne jetais pas un coup d'oeil vers Duke. J'en avais perdu l'habitude depuis un moment. Mais depuis quand ? Aucune idée. Rapidement, je me mis à trottiner pour accélérer et partir au loin, oubliant tout ce qui venait de se passer ses derniers jours et cette phrase de Constance qui disait « Tu aurais mieux faire de rester à Washington. » Je songeai à y retourner ouais.

[…]

Bon, je pense que j'avais assez couru comme ça. Trempée de sueurs, je fis demi-tour pour retourner chez moi. Enfin. Ce qui ne serait bientôt plus ma maison. Je passais des jours entiers à prévoir mon déménagement et si quelqu'un venait, j'étais dans la merde. Mais carrément. La baraque est remplie de cartons, même les assiettes. Je soupirai avant de m'arrêter devant ma grille et de l'ouvrir. Une fois dans la cour, je pris le courrier pour regarder. Factures, factures, factures. Oh shit. Je me dirigeai vers ma porte d'entrée quand d'un coup, je sentis quelqu'un derrière moi. Une intuition en quelque sorte. Je me crispai avant de me tourner et de le voir. Damned. « Va-t-en. Je ne suis pas d'humeur. » Ah mais carrément là. J'suis sur les nerfs. Je fis demi-tour avant d'entreprendre d'ouvrir la porte pour jeter un coup d'oeil pardessus mon épaule. Mais il voulait quoi à la fin ? Heureusement que mes murs étaient hauts et qu'il faisait noir, ainsi donc on ne pouvait nous voir. J'inspirai un bon coup avant de rester planter sur ma position, tremblant comme une feuille. « Dégages ! «  Je répétais ça mais je savais qu'il restait. Connard. Qu'est-ce que j'allais bien pouvoir faire ? Rien, j'étais impuissante et dieu que je détestais ça.
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Anonymous
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Mar 3 Jan - 23:13

« From my last burning desire, no force in Heaven, nor Hell, can save your soul » Tumblr_lx2lovzrYZ1qbbkzko1_500

Elle me rendait fou. Je n’avais jamais penser à une nana autant que je pensais à Jordane. Non je n’étais pas en train de devenir un putain de romantique à la noix, mais depuis que nous avions couchés ensemble, je dois dire que la perspective d’une nouvelle nuit dans ses bras … ou plutôt entre ses cuisses me faisait rêver. Elle vendait du rêve par dose de douze cette fille et pourtant, je ne devrais pas penser sa d’elle vu qu’elle était un peu la copine d’un membre du groupe et qui plus est un de mes meilleurs potes. J’étais vraiment un connard fini mais pourtant je n’éprouvais que quatre secondes –et encore !- de culpabilité. Je ne pouvais pas décemment le dire à Duke. Sinon cela allait créer une embrouille et … Jordane me tuerait. On s’était juré –pas fidélité j’vous rassure.- de ne le dire à personne, mais bon. Vu comment Facebook est genre pas très super discret, je mettrais ma main à couper que tout le monde à capter que j’avais couché avec elle. Mais bon que voulez-vous ? Un con reste un con.

Je ne savais pas quoi faire de ma journée, j’avais l’impression d’être un putain de poisson rouge enfermé dans son bocal, qui n’avait rien à faire que de tourner et s’ennuyer. Avec une gueule de bois en plus bien évidemment. Lorsque je me suis réveillé ce matin, je n’étais pas seul –comme d’habitude- et je n’avais qu’une envie s’était de virer la blonde qui était avachie dans mon lit, pour pouvoir être en paix. Je ne voulais pas qu’elle se plaigne de quoi que ce soit, que je n’étais pas attentif aux besoins d’une femme et tout ça. Jamais je ne serais attentif au besoin d’une nana. Je ne suis pas comme cela, et la fille qui me ferait changer de comportement, n’est très certainement pas née, ou alors elle est vraiment très très bien cacher.

Zappant devant la télé, je ne trouvais rien d’intéressant comme programme, en même temps, il n’était que quatorze heures et donc c’était les feux de l’amour et tout le toutim, je n’avais pas une tête à regarder ce genre de trucs pour nana si ? Soupirant, je descendais dans le garage pour pouvoir jouer un peu de batterie, histoire de ne pas perdre la main. On ne sait jamais ce qu’il peut se passer. Je pourrais me faire renverser par un chauffard ivre ou me glisser dans ma douche et perdre mes facultés de batteur professionnel. J’essayais tant bien que mal de refouler les pensées que j’avais de Jordane et de la nuit que nous avions passés ensemble. Elle m’obsédait. Tapant comme un malade sur la batterie, je m’empêchais de réentendre les bruits de tigresse dont elle avait fait preuve. J’étais fou. Fou de quoi, je n’en savais rien. Mais je n’étais pas amoureux, je ne voulais pas être amoureux. Faut vraiment être timbré pour tomber amoureux d’une nana pareille. C’était très certainement ma libido qui me jouait des sacrés tours. Remontant les marches rapidement, j’enfilais ma veste et me décidait à aller chez Jordane. Non pas pour lui sauter dessus, mais pour prendre des nouvelles comme quiconque l’aurait fait. Arrivé dix minutes plus tard devant chez elle, je la voyais, du courrier dans les mains. Lorsqu’elle s’approcha de la porte d’entrée, je ne pouvais m’empêcher de la suivre. Elle se retourna dans un rictus que je ne lui connaissais que trop bien. « Va-t-en. Je ne suis pas d'humeur. » « Mademoiselle serait-elle sur la défensive ? « Eh ben moi si. » Je voulais l’énerver, et je savais que j’allais taper juste en lui répondant. Je ne bougeais pas d’un pouce tandis qu’elle s’avançait vers la porte d’entrée. « Dégages ! « Je souriais et avançais près d’elle. « Non mais dis donc princesse, tu ne disais pas sa il y’a quelques jours, les souvenirs de cette nuit mémorables ont-ils été effacés ? » Je souriais, elle était coincée. Elle nierait peut-être qu’elle avait passé la nuit avec moi, prétextant je ne sais quoi, mais je me ferais un malin plaisir à lui rappeler. J’étais un connard et les connards ça sert à cela non ?


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Anonymous
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Mar 3 Jan - 23:40



THERE'S NO ESCAPE, NO SALVATION

Ah mais dans quelle merdier me suis-je fourrée moi ? J'en sais rien mais là, je suis mal. Je suis très mal. Au fur et à mesure que je courais les images de cette putain de nuit remontaient dans ma mémoire et je m'efforçai de les effacer. Allez va-t-en, dégages. Je changeais la chanson pour me mettre de la techno, quelque chose qui me faisait pas penser à ce sale con. A ses muscles, sa bouche. STOP IT Jordane, c'est mal. Tu dois arrêter ça tout de suite. Je tournai pour arriver sur la plage, accélérant comme une tarée histoire de bien me crever. Ouais, j'allais être fatiguée. Rentrer et me faire une bonne soupe, un vieux film en noir et blanc, vérifier quelques cartons et dormir. Dormir et ne pas penser à lui. Ouais, ça me semble good nan ? Déjà que je passais ma journée au poste avec les autres crétins, alors si en plus je tombais... enfin, je désirai un crétin, j'étais dans la merde. MAIS J'Y SUIS DEJA DANS LA MERDE PUTAIN. Ouais, jusqu'au cou. Qu'est-ce qui m'a pris ? Qu'est-ce que j'ai foutu ? Je ne m'en souviens plus. On s'est engueulés, il m'a dit des trucs et boum, j'me retrouvais en dessous de lui à rugir comme une tigresse et lui labourer le dos de mes griffes. C'est vrai que c'était chaud. Carrément. On a du embraser la chambre et sur le coup, je ne pense pas que Lennon ait été d'accord avec ça.

C'EST POUR CA QUE JE M'ENERVE ! PARCE QUE CE GROS BATARD EST UN ENFOIRE QUI EST PIRE QU'UNE PUTAIN DE DROGUE. 

Mais qu'est-ce qu'ils ont tous dans leur groupe ? Entre Duke et lui. Et encore même si j'avais une vie sexuelle très – trop ? - active avec lui, je devais admettre qu'avec Caliel, c'était différent. Mais du tout au tout. Et le pire c'est que j'arrive plus à coucher avec personne depuis. Je grinçais des dents depuis, buvais triple dose de café, consommais trois fois plus de clopes et faisais quatre fois plus de sport. Non mais je devais me le sortir de la peau. En fait, je devais sortir tout court. Allez en boite me bourrer la gueule, draguer le premier venu et coucher avec lui. Ouais, cela me semble être une bonne idée. Je le ferai dans la ruelle. Comme une malpropre et après, je rentrerai satisfaite parce que l'espace d'une soirée, je n'aurais pas pensé à ce sombre crétin. BREF. Il est temps de faire demi-tour et j'arrivai vite à mon domicile. Elle allait me manquer cette baraque putain. Je restai nostalgique devant mais bon, l'heure n'est pas aux violons et aux larmes mais plutôt aux cartons.

Courrier en main, je m'arrêtais devant la porte pour pousser un grognement de chat sauvage en sentant quelqu'un derrière moi. Je n'ai jamais aimé avoir quelqu'un derrière moi. Non merci mais je ne viens pas de Sodome. Je me tournais donc pour voir l'objet de toutes mes pensées, flanqué de son putain de sourire à deux balles. J'ai envie de le gifler. D'ailleurs, j'vais surement le faire. « Va-t-en, je ne suis pas d'humeur. » « Mademoiselle serait-elle sur la défensive ? Eh beh moi si. » Je plissais les yeux, serrant les poings, chiffonnant mes lettres sur le coup. Tu ferais mieux de fermer ta gueule mec. Ma mâchoire se contracta toute seule et je lui rétorquai un « Dégages » bien fort pour qu'il comprenne. Putain mais barres-toi, j'ai promis à Constance que je ferais plus rien avec toi. Il s'avança près de moi et ma respiration se coupa instantanément. Je relevai la tête pour planter son regard dans le mien, ne disant plus rien. J'écoutais sa voix caverneuse me rétorquer une connerie. « Non mais dis donc princesse, tu ne disais pas sa il y’a quelques jours, les souvenirs de cette nuit mémorables ont-ils été effacés ? » A l'entente du surnom dont il affluait toutes ses pétasses, un rire jaune s'échappa de ma gorge et je laissais échapper les lettres qui s'éparpillèrent par terre. Puis violement, je le repoussais avant de lui coller non pas une baffe mais un coup de poing. « Je ne suis pas une de tes trainées. Alors maintenant tu prends tes clics et tes clacs et tu te tires avant que j'refasse le portrait façon Picasso, espèce de connard. » J'avais sifflé ses paroles, dénouant mon poignet désormais douloureux et faire une grimace. Une petite voix au fond me soufflait que j'avais envie de lui etc. Mais ma raison était plus forte ce soir. Ouais beaucoup plus forte.
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Anonymous
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Mar 3 Jan - 23:53

« From my last burning desire, no force in Heaven, nor Hell, can save your soul » Tumblr_lx2lovzrYZ1qbbkzko1_500


Je n’arrêtais pas de penser à elle, et à la manière dont elle avait fini sous moi après que nous nous soyons copieusement insulter de tous les noms d’oiseaux possibles et imaginables. Elle avait été peste, et je ne pouvais pas le nier. Mais elle était tellement… excitante, que je n’avais pas pu m’empêcher de l’embrasser et de la déshabiller rapidement. Je n’avais rien ressenti quand nous copulions, mais putain depuis qu’elle était partie en claquant la porte bien évidemment –une porte qui claque c’est la routine avec elle.- je ne cessais de penser à cet acte irréparable que nous avions commis. Et je tentais par tout les moyens –sexuel ou non- d’oublier cette nuit. Je ne devais pas, penser à elle comme cela. Non. Impossible. Je ne voulais pas devenir un de ces romantiques à la noix qui pleure parce que leur gonzesse les a quittés pour partir coucher ailleurs. Je ne serais jamais un romantique à la noix. Sinon, j’autoriserais Jordane à m’émasculer sur le champ. Ouais, histoire qu’elle prenne un malin plaisir à me voir mal pour une fois. Cette fille est une garce sur patte et pourtant je ne cessais de penser à elle. Caliel t’es con mon pote.

J’avais l’habitude de coucher à droite à gauche, mais pourtant cette fois-ci tout était différent. Pourquoi je pensais à cette garce sournoise ? Peut-être parce que c’était l’ex d’un de mes meilleures potes et que cela me faisait kiffer de savoir que j’avais couché avec. Mais malheureusement, je ne pouvais pas décemment vanter mes mérites sur Facebook, c’était peut-être pour cela que j’avais besoin de la voir, pour qu’elle m’envoie chier et que ma libido en prenne un coup. Truc qu’elle ferait sûrement. Marcher dans la fraicheur hivernale, me faisait penser à autre chose. Je ne pensais plus à elle, je pensais plutôt à ce pauvre Duke, qui ne se doutait de rien et qui serait bien sur les fesses en apprenant que nous avions copulé comme il se doit. Fort heureusement, nous n’étions pas des connards, enfin je n’étais pas un connard et nous n’avions pas couchés dans son lit. J’en serais capable et c’était cela le pire. Coucher dans le lit de mon meilleur pote, avec son ex. Je le notais dans un coin de ma tête, bien que la principale intéressée ne soit pas du tout d’accord. Elle était la pire des garces que je connaissais mais pas à ce point-là.

Arrivant devant chez elle, elle était dehors, les souvenirs que je tentais de masquer me revenait rapidement à la figure, comme une gifle qu’on se prend alors qu’on ne l’a pas mérité. Mademoiselle n’est pas de bonne humeur pour changer. Je ne pouvais pas m’empêcher de la vanner. Je riais pendant que je la voyais s’énerver. Elle me fera toujours rire. Et en plus, elle croyait que j’allais dégager. Noël c’est passer hein. Elle me connaît, elle sait que je ne partirais pas. Lorsque j’arrivais à sa hauteur, je la sentais gênée. Mon sourire s’étendait encore un peu plus. « Non mais dis donc princesse, tu ne disais pas sa il y’a quelques jours, les souvenirs de cette nuit mémorables ont-ils été effacés ? » Elle riait, mais de son faux rire dont j’en avais souvent entendu le bruit. Je ne me doutais pas que dans la minute qui allait suivre, j’allais me prendre un sacré coup de poing. Ma tête fut violemment détourner, pendant que ma mâchoire commençait sérieusement à me faire souffrir. Portant une main sur ma mâchoire endolorie que je frottais pour atténuer la douleur. Je la fixais, elle et son regard hargneux. « Je ne suis pas une de tes trainées. Alors maintenant tu prends tes clics et tes clacs et tu te tires avant que j'refasse le portrait façon Picasso, espèce de connard. » Je grognais, qu’est-ce qu’elle pouvait m’énerver quand elle était comme ça. Attrapant sa main je la faisais tourner pour pouvoir la bloquer entre mes bras. « Hmm … Et si j’ai pas envie de partir ? Ca fait quoi ? Tu vas me virer de force ? J’attends de voir ça. » Mes lèvres s’attardèrent sur son cou, pendant que je resserrais mon emprise. Je savais qu’elle allait se libérer tant bien que mal. Et le fait qu’elle me résiste ne me déplaisait pas. Pas le moins du monde.
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Anonymous
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Jeu 5 Jan - 21:55



THERE'S NO ESCAPE, NO SALVATION

salope (n.f.)
1.(populaire)femme méprisable ou méchante; garce

C'est vrai que c'est un bon qualificatif pour ma personne. Je n'ai jamais été un ange. Jamais. Même durant mon enfance, je me rappelle avoir jouer avec les autres pour parvenir à mes fins. Mais c'est dans ma nature. Il ne faut pas m'en vouloir, j'ai été conditionné pour être comme ça. Certes auprès de certaines personnes, je peux me comporter normalement. Mais tout ça n'est qu'une vulgaire façade. Je fais semblant alors que je plante des couteaux dans le dos de tout le monde. De l'homme que j'avais soit disant aimé en premier. Il ne se doutait de rien, mais Cali n'avait peut être pas tord en disant qu'il s'était sauté tout ce qui bouge. Qu'est-ce que cela m'a fait de savoir qu'il avait fait ça ? Ai-je ressenti quelque chose en particulier ? Aucune souffrance, aucun trou béant dans ma poitrine, aucun vide à combler. Rien, comme si j'étais préparée avant. Je me suis posée cette question, tandis que je pourrissais en prison. Est-ce que je pourrais reprendre le cours de ma vie après avoir fait tant de choses méprisables ? Non, bien sûr que non. Et le pire en était que je ne voulais pas changer. Je me sentais bien dans ma peau. Enfin, pas complètement. Il ne faut pas oublier le fait que Caliel me hante complètement. Caliel, cet homme. Cette chose immense qui me rendait chèvre, qui me faisait ressentir des feelings que je n'avais éprouvé depuis bien longtemps. Je le détestais autant que je le désirai. Aimer serait un bien grand mot pour qualifier notre relation. Attachement ? Qu'est-ce que l'attachement ? On ne s'attache pas, on ne fait rien. Sex is not enought. Non, je ne suis pas d'accord. C'est assez. Juste assez.

« Quand on ne couche pas, on ne s'attache pas. Quand on couche, on s'attache forcément, surtout si on ne veut pas tomber amoureuse. On tombe alors amoureuse à tous les coups. »

Je fermai les yeux en me remémorant cette citation plus que vrai, perdue. Constance avait raison. Qu'est-ce que je voulais au juste. Caliel ne me voyait que comme une de ses groupies. Une fille qu'il prend, qu'il baise et qu'il jette. Mais alors pourquoi diable revenait-il me tourmenter ? Pourquoi était-il présent, ici, face à moi ? Me baiser deux fois ne lui avait pas suffi. La première fois, je n'avais pas trop compris ce qu'il s'était passé tandis que la seconde... Je l'avais provoqué. Pour confirmer la première disons-le. Mais si je le voulais. Si je voulais vraiment cet être méprisable, j'allais devoir faire quelque chose. Quelque chose que je n'avais pas mis en pratique depuis bien longtemps. J'allais devoir le dresser. J'ai dressé bien des hommes, bien des queues, bien des tigres. Quand on s'apprête à faire marcher un félin au pas, il fallait prendre des gants, y aller parfois avec violence, sortir le fouet. Et je savais très bien comment le réduire en esclavage. Un sourire mauvais illumina mon visage après que mon poing se soit abattu sur son visage. J'avais beau avoir mal à la main, je savais que je l'avais touché très, très profondément. From my last burning desire, tu vas morfler chéri. Je le regardai après lui avoir cracher le début de mon venin. Et ce n'était pas fini. Oh non. Il releva la tête et nos regards se croisèrent puis il attrape ma main et sans que je comprenne pourquoi, je me retrouve dos contre son torse, ses bras entourant mon corps de leur étau tandis qu'il me murmurait quelque chose à mon oreille, glissant ses lèvres dans mon cou. « Hmm … Et si j’ai pas envie de partir ? Ça fait quoi ? Tu vas me virer de force ? J’attends de voir ça. » Réfléchis, réfléchis, une idée vite. Je relève alors la tête pour la tourner vers lui et planter mon regard bleuté dans le sien. « Tu veux qu'on fasse ça ici, murmurai-je contre ses lèvres. » Je laissai la phrase en suspens, effleurant un peu plus ses lèvres tandis que je lui mordillai légèrement l'inférieur.

Tu me connais mal chéri. J'en ai maté des plus gros et je ne vais pas tomber la culotte parce que tu es collé à moi. Déjà, parce que je ne porte pas de culottes. Et ensuite, parce que même si j'en ai envie, je ne suis pas une traînée. Ni une, ni deux, mon pied alla écraser le sien et je lui mis un coup de pied dans le plexus avant d'attraper son bras et de le retourner comme une crêpe. Puis, une fois au sol, j'eus un petit rire moqueur avant de le regarder de tout mon haut. « Je pense que tu n'as pas compris, Gallagher. Si tu penses que je vais tomber à chaque fois que tu te pâmes devant moi, tu as tord. » Puis, je me penchai légèrement en avant avant de mettre une mèche de cheveux derrière mon oreille et le regarder d'un regard de vierge éplorée. « Oh mon dieu, Calieeeeel, prends moi tout de suite. T'es un dieu à la batterie, dis-je imitant la voix d'une gamine prépubère. » Puis, je posai mon pied sur son torse avant de continuer de le fixer, une étincelle perverse dans le regard. « Tu te casses ou je transforme ses jolies noisettes que tu appelles des testicules en pâté pour mon chat, do you understand my dear ? » Puis, j'attendis les bras croisés, fière de ma connerie. Tu verras mon gars dans une semaine, tu viendras me manger dans la main. Constance, you're a genius. I'm a machiavelic genius. I'm... Devil ?
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Anonymous
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Sam 7 Jan - 15:20

J’étais vraiment un sale con. Je ne pouvais pas penser qu’avec ma queue comme tous ceux qu’ils le font. Je n’étais tout de même pas le seul, à coucher avec une fille différentes chaque soir non ? Enfin, pour moi c’était plus facile que pour les autres, vu que je pouvais les prendre par cinq si je le voulais. L’avantage –ou pas- d’être un mec super sexy qui joue de la batterie. J’avais fait le con dès la première minute ou je lui avais dis que Duke avait couché avec tout ce qui bougeait. Peut-être pour pouvoir mieux coucher avec elle par la suite, puisqu’elle s’en voulait d’avoir copuler avec moi. Quelle connerie, personne ne devrait regretter. Je ne l’aimais pas d’un amour fort comme un mec qui pourrait faire tout pour elle, mais c’était clair qu’elle n’était pas juste une histoire de cul. Je n’avais pas supporté de savoir qu’elle avait fait de la prison, mais pourtant si je pouvais la détester, je le ferais. Elle me rendait dingue, et je ne pouvais pas le supporter, à croire que j’allais finir dans une maison pour les fous à cause d’elle. Je ne savais même pas pourquoi, j’avais eu besoin de me planter devant elle, aujourd’hui. Pourquoi est-ce que je me dirigeais vers chez elle alors qu’il n’y avait aucune raison que je le fasse ?

Je n’avais même pas envie d’elle. J’avais juste envie de la faire chier, vu que je savais qu’elle n’aimait pas que j’aille chez elle. En partie à cause de son voisinage avec Duke. Mais si elle savait comment je m’en foutais. J’avais compris sa réaction, je savais qu’elle était énervée de me voir débarquer comme une fleur mais tant pis. Tout ce que j’espérais c’était que son gosse n’était pas là, parce que sinon elle serait un peu moins… réceptive aux avances que je pourrais lui faire. Oui, peut-être que ma libido se réveillerait et que j’aurais envie de coucher avec elle. Enfin, vu sa réaction et le poing que je venais de me prendre ma libido n’était pas du tout prête à se réveiller. Elle me rendait dingue. Un jour elle pouvait être mielleuse comme un chaton mais deux secondes ou le lendemain, elle pouvait être une tigresse folle de rage. Je ne supportais pas ses écarts d’humeurs. Elle allait me faire devenir chèvre.

Il faudrait qu’un jour quelqu’un m’explique, comment le cerveau d’une femme fonctionne. Oui, je suis sérieux. Je ne comprenais pas Jordane et en même temps, j’avais envie de la faire tourner en bourrique. Mes bras l’emprisonnant, ma bouche embrassant son cou, je ne savais pas qu’elle allait être sa réaction, si elle était d’humeur ou si elle avait envie de coucher avec moi. Je me doutais bien que non, vu le poing et la douleur qui s’était abattu sur moi quelques instants plus tôt. « Tu veux qu'on fasse ça ici » Cela devenait intéressant. Ses lèvres qui mordillaient les miennes me procurèrent un frisson. « Hmm… » Je ne pouvais pas répondre. Elle avait donc envie. Je souriais, avant que mon sourire ne soit transformé en un rictus douloureux. Son pied venait d’écraser le mien, je me retenais de ne pas hurler de douleur. Que diable voulait-elle ? Je n’eus pas de réponse à ma question avant de me retrouver comme un pauvre mec soumis au sol. « Je pense que tu n'as pas compris, Gallagher. Si tu penses que je vais tomber à chaque fois que tu te pâmes devant moi, tu as tord. » Je grognais de fureur, elle me saoulait quand elle était comme cela. « Oh mon dieu, Calieeeeel, prends moi tout de suite. T'es un dieu à la batterie » Putain. Sale garce. Elle… rah, je ne pouvais pas mettre de mot sur ceux que je ressentais à ce moment-même, c’était partager entre la frustration et … la douleur. « Casse toi Robberty. Tu saoules. » Son pied venait de se poser sur mon torse, je le dégageais rapidement avant qu’elle ne prenne la parole. « Tu te casses ou je transforme ses jolies noisettes que tu appelles des testicules en pâté pour mon chat, do you understand my dear ? » Je me relevais et la fixais avec un regard haineux. « Ouais c’est sa je me casse, putain tu fais vraiment chier Jordane. T’es qu’une petite garce et t’as peut-être raison, je t’ai pris juste pour te sauter. Puis t’as qu’à aller te faire sauter par d’autres mecs, tu n’es bonne qu’à cela en même temps. Depuis que tu sais que Duke est passé sur le tout San Francisco, tu te pavanes. Mais ce n’est pas comme ça que tu te vengeras crois-moi. » Je n’attendais même pas qu’elle me réponde, me retournant je reprenais le chemin de chez moi, que j’avais pris quelques minutes plus tôt. Avec l’énervement et la frustration en plus.
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