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Anonymous
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Jeu 25 Aoû - 22:05


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ARIADNA & IMOGEN < sparrow / young & useless >


    Depuis que j’avais parle avec Andreas hier, j’avais un but. Je savais qu’il serait toujours la quand la thérapie serait fini. Je savais qu’il ne partirait pas. Putain qu’est-ce que j’avais été stupide, de penser a un moment qu’il ne m’aimait pas assez. Bon il ne me méritait toujours pas vu ce que j’avais fais. Mais au moins, j’étais à présent rassurée sur un point. Sachant qu’Andreas serait la, j’avais quelque chose pour aller de l’avant dans cette thérapie. Il sera la. Nous serions ensembles…pour toujours. En tout cas, le temps que mon cœur me l’accordait. Elle allait commencer aujourd’hui. Ma première session allait débuter dans peu de temps. Je ne savais pas à quoi m’attendre. Je ne savais pas si j’allais devoir parler. Je ne voulais pas vraiment parler de ce qu’il s’était passe. Je ne voulais dire que l’on m’avait abusée, que l’on m’avait violentée, que je m’étais enfuie parce que j’avais honte de ce qu’il m’était arrivée, que j’étais traumatisée du contact humain et que la raison pour laquelle j’avais tente de mettre un terme a ma vie était pour que mon copain soit heureux. Qui pouvait bien comprendre ce qu’il se passait dans la tête d’une bipolaire ?

    Une infirmière entra dans la chambre vérifiant mes infusions et me demanda comment j’allais. Pourquoi elle demandait toujours la même chose ? Je veux dire, c’est bon, je vais bien arrêter de demander quoi. Si quelque chose n’allait pas, j’allai vous le dire…ou pas. Je ne pouvais encore vraiment parler. J’avais menti à mon père. Je ne pouvais pas lui dire la vérité sur mon acte alors j’avais menti, disant que j’avais fais une crise. Je devrai m’excuser un jour, auprès de lui. Lui dire que j’avais été forcée, que j’avais peur, que mes maladies l’emportaient doucement sur moi. Seulement, j’avais peur de ce qu’il dira. J’aimai mon père plus que tout. Je ne voulais pas le décevoir plus que je ne l’avais déjà déçu. J’étais une fille indigne. Je ne faisais qu’apporter du malheur a tout le monde. Qui sera la prochaine personne que je blesserai ? J’avais déjà fait du mal a Andreas, Evelyn, mon père et Ole. Qui serait la prochaine personne ? Carter, l’homme que je considérai presque comme mon frère ? Mary Jude, ma meilleure amie ?

    Silencieuse, assise sur la chaise, je regardai par la fenêtre. L’infirmière était repartit. Surement pour aller chercher le psychologue où je ne sais pas. Je ne voulais pas vraiment débuter cette session. Mais je devais le faire. Pour Andreas, pour nous, pour moi et pour notre avenir ensemble. Le silence envahissait à nouveau la pièce. Les pièces ici étaient différentes de celle en soin intensif et en cardiologie, surement pour rendre tout pour chaleureux. C’était beaucoup plus illuminé et espacée. J’aimai bien. Bon cela ne voulait pas dire que je voulais rester éternellement enfermée dans une chambre, paniquée de la vie et incapable de s’approcher de quelqu’un. La porte s’ouvrit doucement. Je ne me retournai pas pour voir de qu’il s’agissait. De toute façon, cela ne pouvait qu’être le ou la psychologue qui allait me poser un tas de questions auquel je n’aurai pas envie de répondre.


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Anonymous
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Jeu 25 Aoû - 23:26

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Si il y a bien une chose qui me dégoute c'est les gens faibles psychologiquement. C'est même une phobie pour moi, la faiblesse. Je ne comprend pas comment des personnes peuvent mettre fin à leur vie comme ça. Ont doit se battre, la mort est une forme de lâcheté. Pour des problèmes matériels ou affectif ? Pathétique au plus haut point. Vous savez quand vous sentez que personnes ne vous aime et qui si vous rester dans cette situation, le monde va vous bouffer de l'intérieur... Ben il faut partir. Pas fuit, partir. Loin de tout, tout recommencer... Comment ont peut avoir une aussi basse estime de sois ? J'ai envie de vomir.

Le problème c'est que je suis obligé d'allez voir l'univers de la lâcheté... Le service psychiatrique de l'hôpital de San Francisco. Ce ne sont pas des malades, ce sont des déchets, des parasites. Je ne sais pas pourquoi rendre se service à la communauté peut dorer encore un peu plus mon blason. J'ai peur de tomber sur une personne qui va m'irriter et auquel le seul remède sera une bonne gifle. Les gens doivent haïr ma façon de penser. Je les em**rdes.

Une jeune infirmière s'avance vers moi. Elle pue le vieux et l'alcool à 90%. Elle doit être là pour moi. Et tout ces bouffons qui me regarde... Ils n'ont jamais vues de mannequins où quoi ? Elle m'explique dans un jargon qui me fatigue déjà la tâche ingrate que je doit accomplir. Parler à une jeune femme et essayer de lui redonner le sourire. Pas plus de précisions ? Je sens que je vais y passer la nuit. Elle me montre une porte blanche avec un numéro dessus. J'entre prudemment au cas où elle se jetterait sur moi. Ont ne sais jamais.

Je remarque alors le blanc inoculé de la chambre. Une jeune femme à l'air faible est assise sur une chaise. Elle est toute blanche et son visage me rappelle quelque chose. Quelque chose d'étrangement familier. Elle se retourne vers moi alors visiblement surprise. Peut être s'attendait elle à un archétype du psy ou du croquemort. Je lui sourie alors sans me forcée. Bizarre. Elle se décrispe soudain. Je sens que l'expérience va être exclusive.

- "Bonjour, je suis Ariadna et je suis là aujourd'hui pour... pour... parler."

Solennel, elle regarde dans le vide. Pas de larme, pas de plainte.
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Anonymous
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Ven 26 Aoû - 20:02


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ARIADNA & IMOGEN < sparrow / young & useless >


    Je me retournai doucement pour voir qui venait de rentrer. A ma grande surprise, ce fut une jeune femme. Elle devait avoir mon âge. Elle était blonde, extrêmement blonde, surement un mannequin. Que faisait-elle ici ? Je suis sure qu’elle avait autre chose qu’être ici et de voir des gens faible. Oui, j’étais faible, comme jamais et il en faudra beaucoup pour que je remonte la pente. J’avais peut-être un but, mais ce n’était pas si simple que cela. Je devais apprendre à parler, a dire ce qu’il m’était arrivée. Si je commençai déjà par cela, tout serait plus simple. Seulement, la peur était toujours en moi. Je redoutais le moment ou j’allai ouvrir ma bouche et raconter les événements de cette nuit. Il y avait ce truc en moi qui m’empêchait d’en parler. Vous savez, ce truc au fond de vous qui vous effraie, qui vous mange de l’intérieur, vous empêchant de vous exprimer correctement. Voila ce qu’il y avait en moi en plus de cette peur de revivre chaque moment. Andreas avait raison. Tant que je ne mettais pas cette histoire de cote, jamais je ne pourrais aller de l’avant. C’était beaucoup plus simple à faire qu’à dire en tout cas, surtout que je ne connaissais pas cette personne.

    - "Bonjour, je suis Ariadna et je suis là aujourd'hui pour... pour... parler."

    Ariadna…c’est un joli prénom. Il allait bien avec la fille. Maintenant, vous pensez que je vais me présenter et déballer directement tout mes problèmes. Oui non il ne faut pas rêver non plus. De toute façon, je n’étais pas du genre à parler de mes problèmes a quelqu’un. Je préférai garder cela pour moi, pas besoin n’a ce que les autres soient au courant de ce qu’il se passait. Cela ne devait surement pas les intéresser.

    Apres l’avoir observer, je retournai mon attention à la fenêtre et le ciel bleu qui se trouvait dehors. Je sortirai peut-être un jour de cette chambre. Il ne pouvait pas me laisser enfermer dans ce cloitre pendant toute ma thérapie. Cela ne ferait qu’empirer mon état. Déjà que la dernière fois, en juin, j’ai cru que j’allais devenir folle. J’étais ici pour ne pas devenir folle alors merci de ne pas m’enfermer.

    La jeune femme ne dit rien. Un silence presque glauque s’installa entre nous. Je devrai peut-être me présenter. Cependant, je n’étais pas vraiment dans l’humeur de partir. Depuis que l’infirmière m’avait littéralement arrache Andreas, je ne voulais rien faire. Je voulais qu’Andreas soit la, qu’il me tienne dans ses bras, que je sente son odeur, sa présence, qu’il soit la, juste la avec moi. Il était comme une drogue pour moi. Je ne pouvais rien faire sans lui, je ne voulais pas le lâcher. C’était surement égoïste de ma part, de vouloir garder Andreas pour moi. Seulement, je ne pouvais pas. Je ne devais pas avoir ce genre d’envi. Il n’était pas à moi. Je devais le laisser aller, bien que je ne le veuille pas. Je devais me défaire un peu de cette emprise qu’il me faisait. C’était dangereux, pour lui ainsi que pour moi. Nous étions vraiment un couple spécial.

    Elle ne dit toujours rien. Pour ma part, je restais figée à regarder par la fenêtre. J’aurai aime être dehors et sentir le soleil sur ma peau blanche. Je partirai peut-être quelque part de chaud et ou il y avait du soleil quand tout se sera arrange. Cette fois-ci afin de vraiment profiter de mes vacances, de juste me reposer, et prendre du temps off. Je verrai si Andreas voulait m’accompagner. Si oui, cela serait le rêve, rien que nous deux, sur une ile ou dans une maison éloignée de la population, et profiter du moment présent.

    Toujours aucun mots. Rien. Un silence solennel. Il n’était pas gênant cependant. Je soupirai un bon coup et me laissai un peu aller dans ma chaise. Doucement, je tournai mon regard vers la jeune blonde.

    « Si tu attends que je dise quelque chose de spécial. Tu peux attendre longtemps. »



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Ven 26 Aoû - 20:49


Cette fille était décidément étrange. Elle ne parlait jamais, même pas un seul mot. Son regard venait de la fenêtre à moi et de moi à la fenêtre pour se perdre dans le vide du souvenir. Un souvenir qui avait du la blessé au plus profond d'elle... Je m'égare. Je me fiche de se qu'elle à vécue voyons ! Moi aussi j'ai eu des moments difficiles. Ont en à tous, elle les a justes vécues d'une manière déplorable. Je suis resté quatre ans dans un orphelinat minable à récurer les sols et à me prendre des coups de fouets... Quand j'ai rejoint le port, aurai je du sauter ? Surement pas. Et je n'est pas sauter. J'ai su resté forte. Pourquoi pas les autres ? Faibles, imbéciles, imbue de leur personne. Finalement je supprime le dernier. Les minutes sont longues à coté de cette fille. Je me demande à quoi elle pense. Et ce que sa famille a le droit de lui rendre visite ? Et se qu'elle a seulement ça... Une famille. Moi je n'en est pas eu et sa ne m'as pas manquez. Mais je comprend les liens fort qui peuvent unir des personnes. Je suis comme ça avec Constance.

Elle sort soudain de sa torpeur. Enfin je croit. Le voile qui recouvré ses jolies yeux s'enlève petit à petit. Ca fait combien de temps que je suis là moi ? Oh j'y croit pas deux heures et demi... Je vais commencez à me levé discrètement... Je ne remettrait plus les pieds ici c'est une perte de temps. Cette fille est atteinte et non lucide. J'ai une envie de torturé l'infirmière tout à coup...

« Si tu attends que je dise quelque chose de spécial. Tu peux attendre longtemps. »

Je suis morte de rire intérieurement. Elle a enfin dit quelque chose au bout de deux heures ? Je sais pas j'ai envie de lui donner une médaille.

- " J'ai rien à dire. Sa fait deux heures que tu regarde une fenêtre... A si, tu as donné des noms aux pigeons ?"

Je sais je suis vraiment pas sympa. Mais je m'en contrefiche. Je commence à tripoter mon portable pour me destresser. Elle me regarde droit dans les yeux . Ma question la vexer ? Pffff J'ai peur d'une infirme. Je devient vraiment mauvaise. Pas ma faute, c'est ma phobie.
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Sam 27 Aoû - 2:39


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    - " J'ai rien à dire. Sa fait deux heures que tu regarde une fenêtre... A si, tu as donné des noms aux pigeons ?"

    Je ne pus m’empêcher d’esquiver une sourire à sa remarque. Je n’avais absolument rien dit, je n’avais pas donne de nom aux pigeons vu qu’il n’y en avait pas. Cependant, c’était marrant. Du moins, j’avais compris qu’elle n’allait pas me forcer à parler. Cela était bien. Je n’aimais pas qu’on me force à dire des choses que je voulais garder pour moi. Je savais bien que j’allais bien finir par parler. Je pense juste qu’aujourd’hui n’était pas le bon jour. Si je comptai les jours cela faisait exactement une semaine.

    Je retournai mon attention à la fenêtre. Cependant, je pensais à die autre chose. Peut-être que je lui dirai mon prénom ? Juste pour qu’elle ait une idée de qui j’étais, au cas où elle reviendrait. Ce que je doutais fortement vu notre première conversation. En deux heures, il n’y avait aucune mot d’échangé. Cela serait marrant de voir si elle revenait. Cette femme n’était ni un médecin ni un psychologue, je l’avais bien remarqué. Elle ne m’avait pas bombardé de question a son entrée. Elle était juste la…pour parler, pour que je parle a quelqu’un. Cela était surement une bonne idée non ? Que je parle à quelqu’un.

    Une bonne dizaine de minutes se déroulèrent avec je décide de me tourner vers la jeune blonde à nouveau. Bon aller, on va commencer par le plus simple. Mais une fois que mon regard croisa le sien, je me sentais incapable de dire quoique ce soit. Je ne pouvais pas la regarder en lui dire des trucs. Je me sentirai mal, alors je redonnai a la fenêtre toute mon attention.

    A nouveau, un silence s’installa entre nous. Combien de temps s’était écoulée depuis que j’ai ouvert la bouche ? Trente minutes ? Une heure ? Je ne sais pas, je ne regardai pas l’heure à vrai dire. Je m’en fichai du temps qui s’écoulait. Pour le moment, j’étais figée dans cette espace temps. Je basculai un peu ma tête de droite à gauche la reposant sur le coussin qui était positionne en haut de mon fauteuil.

    « Je m’appelle Imogen mais je préfère mon deuxième prénom Rayne. J’ai 20 ans et j’ai voulu mettre un terme à ma vie. La raison ? Un démon qui mangeait de l’intérieur. »

    Cela devait semblait totalement stupide de dire « un démon qui me mangeait de l’intérieur. » seulement, c’était la vérité. Il y avait un démon qui m’arrachait ma vie de l’intérieur. Je me faisais bouffer par ce démon, ce monstre, cette goule.




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Sam 27 Aoû - 9:50

Elle continue de regarder par la fenêtre. Mais je devine à son visage qu'elle est amusée. Elle porte donc plus son attention vers moi, cette inconnue blonde qui la regarde depuis presque trois heures. Et pour tout dire la seule chose à laquelle je pense c'est mon estomac. J'ai faim, et cette faim est entremêlée avec un autre sentiment. L'angoisse. Cette fille me donne mal au coeur mais d'une façon totalement inédite chez moi. J'ai pitié, moi qui est tuée des centaines de gens au moins, j'ai pitié. Revirement de pensé soudaine. Un cake au chocolat passe devant la porte de la chambre de cette fille qui à mon avis ne répondra pas de sitôt. Peut être à t'elle donné des noms trop personnel à ces pigeons et qu'elle ne veut m'en communiqué aucun ? De quoi a t'elle peur ? Je donnerai vraiment une somme pour le savoir maintenant. Elle prend les chèques ? Ont ne sait jamais. Des fois son regard croise le mien et je me demande si mes joues s'empourprent à chaque battements de ses cils.

Sa doit faire une heure que j'attend. A se train là dans une semaine elle m'aura dit sa date de naissance. Je voit que dès qu'elle se tourne vers moi elle hésite à me parler. Je ne suis pas méchante voyons, même pas caractériel pour un sous ! Peut être à t'elle endurée plus que moi. Je suis certaine que se soit fort possible. Pourtant je veut être une de ces personnes qui l'aide à s'en sortir. Sincèrement.

« Je m’appelle Imogen mais je préfère mon deuxième prénom Rayne. J’ai 20 ans et j’ai voulu mettre un terme à ma vie. La raison ? Un démon qui mangeait de l’intérieur. »

Sa ne me fait pas rire. Pourquoi ? Parce que je ne suis pas stupide ni bête ni méchante. Cette situation me rappelle un livre "Les âmes brûlées" de Andrew Davidson. Le résumé en gros devait être : "Que feriez vous si vous vous réveillez sur un lit d'hôpital, le corps couvert de cicatrices ? Il ne vous resterait plus qu'à attendre la mort. A moins qu'un ange passe votre porte". J'ai beaucoup aimé ce livre. Et dedans le jeune homme qui est à l'hôpital avait tout les vices du monde. Et il y avait ce "serpent", cette chose qu'il disait qu'elle vivait dans ses entrailles. Mais pour lui c'était le manque de drogue et il a réussis à s'en sortir. Peut être est ce ça ? La drogue ? Je ne pense pas pas personnellement. Mais voir Imogen dans cette état me fait frémir. J'ai envie de la kidnapper pour l'emmener dehors ne serait ce que une heure, même si elle ne parle pas. Mais serai ce bien prudent ? Non, je ne la connais pas assez bien pour anticipez ses réactions. Sa fait bien longtemps que je ne m'était pas retrouvez face à moi même.

- "Tu aime lire ?"

Sa me trotte. Et puis j'ai encore faim. Je me lève alors car elle à une fois de plus tourné la tête vers la fenêtre. Je vais revenir mais ça elle ne le sais pas. Je sort donc dans le couloir à la recherche d'un distributeur de nourriture. Pas un chat, pas un seul put*** de minou. Je voit alors ce grand rectangle métallique. Kit kat ou Snickers ? Les deux... Me fiche du régime, j'aime pas manger de la salade à longueur de journée. J'ai une tête de lapin ?
Au non. J'ai oublié mon stylo dans la chambre. Et si elle se l'enfoncez dans le cou ? Je l'aurai mauvaise là. Je courre alors avec mes barres chocolatées dans les mains et ouvre la porte à volo. Elle se retourne tranquillement vers moi, pas surprise du tout. Enfin je croit. Je m'assois alors et remet mon stylo dans ma poche. Un fragment de barre de kit kat dans la bouche je lui fait un sourire marron. J'ai envie de la faire rire. Si sa se trouve elle a faim elle aussi.

- "Un morceau ?"

Je lui tend alors un snickers bien gras devant les yeux.
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Anonymous
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Sam 27 Aoû - 22:06


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    - "Tu aime lire ?"

    Quelle question a posé à quelqu’un qui a tente de se tuer ? Cependant, c’est vrai j’adorai lire. J’étais une littéraire, une vraie. Ma bibliothèque s’étendait des livres du moyenne âge jusqu’aux nouveaux romans en passant par l’humanisme, le romantisme, la naturalisme ainsi que tout les autres mouvements. J’avais lu l’intégralité de ma bibliothèque au moins une fois si pas deux. Cela me fit rappeler les cours de littérature à l’université. Je devais dire que cela me manquait un peu, d’aller en cours, faire du théâtre, apprendre mes lignes par cœur. Il faudrait que je m’y remette quand tout se sera arrangé.

    Soudain, la porte s’ouvrit. Je me retournai pour voir qui venait d’entrer mais non c’était Ariadna qui venait de sortir. Ok pourquoi pas ? J’avais réussir à la faire fuir ou quoi ? Je retournai mon attention à la fenêtre. Je voulais vraiment sortir. J’en avais marre de ma chambre. Je détestai être enfermée à longueur de journée dans une pièce. Si elle revenait peut-être que je lui demandai de m’emmener dans le petit parc derrière l’hôpital. Enfin, si elle revenait.

    Et la jeune blonde revint, plus vite que je ne le cru. Elle avait ouvert la porte a grand volant comme si elle était inquiète que j’ai fais quelque chose. Qu’est ce que je pouvais bien faire dans mon état ? C’est pas comme si j’allais me pendre ou m’enfoncer un truc pointu dans le cou. J’aurai pu oui, mais il n’y avait pas de raison pour cela. Je savais maintenant qu’Andreas m’aimait et n’allait pas me quitter. Il fallait à présent que je parle, que j’extériorise mes problèmes, mes peurs et mes douleurs. Je devrais commencer par le début, par ma chute dans le gouffre.

    - "Un morceau ?"

    Ariadna me demanda en me tenant un barre de snickers devant les yeux. Je tourne mon regard vers elle. Elle me souriait. Cette fois-ci, je ne me détournai pas. Je lui rendis son sourire.

    « Non merci, je ne mange pas ce genre de chose. »

    Ce n’était pas vraiment vrai car je mangeais énormément de cochonneries mais pas depuis un certain temps. Je m’avais un peu laisse allée dans ma non-nutrition. Faudrait que je me remette à manger correctement mais je n’avais pas si faim que cela et le chocolat n’avait jamais été mon favoris, bien que les cupcake que Caïn m’avait apporte hier était excellent. Bon il faudrait peut-être que je réponde à sa question, pour ne pas paraitre complètement impolie.

    « Pour répondre a ta question. Cite moi n’importe quel livre et je te dirai que je l’aurai lu. Dis est-ce que tu as le droit de m'emmener dehors? »


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Mar 30 Aoû - 21:29



Un sourire.

« Non merci, je ne mange pas ce genre de chose. »

Ah ok. Encore une qui fait le régime. Le monde est t-il contre moi ? Peut être.Un peu de chocolat de temps en temps n'as jamais tué personne. Mais je n'ai pas envie d'insister. Elle me parle répond alors à la question de tout à l'heure. Je l'avais oublier absordé par ma propre faim.

« Pour répondre a ta question. Cite moi n’importe quel livre et je te dirai que je l’aurai lu. Dis est-ce que tu as le droit de m'emmener dehors? »

C'est moi où elle se lâche un peu ? C'est cool. Enfin je vais pouvoir parler. C'est pas que je le veut vraiment mais se taire pendant trois heures me donne des pulsions de bavardage. C'est comme tuer... Alors cette réponse en première partie veut dire qu'elle aime lire. Et oui je suis blonde. Joke. Elle veut sortir ? Sa serai plus conviviale bien sur mais je ne sais pas si j'ai le droit... Je vais aller demander à cette infirmière de tout à l'heure.

- "Je reviens."

Je me lève donc avec un sourire sur les lèvres. Pourquoi l'insouciance me gagne ? Je prend la porte et je voit l'infirmière à l'autre bout du couloir. Je lui fait un signe de la main et elle s'avance vers moi. Vu son visage elle doit en avoir marre de son boulot. Et oui la vie est plus facile pour d'autre. Moi par contre je pense que je n'ai pas était une fille à papa riche est capricieuse qui a fait médecine par simple ennuie. Non. Je lui formule alors ma requête. Elle me regarde alors visiblement exaspéré. "Une suicidaire dans un jardin c'est comme un hérisson qui passe sous un train." Euh... Va falloir m'expliquer. A part avoir compris que c'était non je ne voit pas l'intérêt de ce proverbe totalement débile. Tant pis. Je re rentre dans la chambre de Imogen. Elle me regarde avec espoir...

- "Tu n'as rien contre une petite fuite par les escaliers de secours ? Ne t'inquiète pas je gère avec les fauteuils roulants si tu te sent trop faibles ?"

Comment lui refusé une chose pareil ? Je commence à l'apprécié cette jeune femme. Elle est silencieuse et cynique. Elle me plaît bien. Et puis si elle veut elle pourra passez un coup de fil.

Nous sommes alors deux dans le couloir. Personne n'est là. Sa m'étonne de l'infirmière. Je décide de porté Imogen car elle est maigre et qu'elle n'est surement pas assez forte pour courir. Moi qui suis grande et athlétique sa devrait faire l'affaire. Je me dirige vers le les escaliers et je jette un coup d'oeil de chaque coté. Personne en vue. Je fonce... En faisant attention à ne pas la cognée bien sur. La sortie... Une grande lumière nous englobe. Je voit alors les plantes autour de moi. Et derrière un buisson assez touffu se trouve un banc. Caché à l'abris je l'assois sur le bois froid. Je fait tout à coup tombé mon téléphone dans le buisson. Je met ma main à l'intérieur et que voit je ? Un hérisson... C'est flippant.
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Anonymous
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Dim 4 Sep - 16:31


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    Je n’ai pas tout compris ce qu’il s’était passé mais la jeune fille sortit de la chambre et revient quelques minutes plus tard. Elle empoigna, me porta et descendit les escaliers à toute vitesse. Soudain, nous étions dehors. Tout d’abord la lumière m’éblouissait, mais peu à peu je m’y habituai. Ariadna me posa sur un banc caché derrière des buissons et quelques arbres. Je fermis doucement les yeux, laissant les rayons de soleil s’imprégner dans ma peau. Cela faisait du bien. Cela me faisait sentir vivante pour une fois. Soudain, un petit courant d’air passa sur mon visage. J’inspirai lentement l’air frais. C’était tellement bien d’avoir de la fraicheur dans les poumons. Je ne dis rien. Je voulais profiter de cet instant de pur bonheur au soleil, à l’air frais et pas enfermée dans ma chambre d’hôpital.

    Soudain, des bruits de pas se firent entendre. Je me retournai et vis l’infirmière s’approcher. Bon bah, ce n’était pas bon signe. J’allais devoir retourner dans cette chambre horrible que je détestais plus que tout.

    « Mademoiselle, que faites vous dehors ? »

    « Je voulais juste prendre un peu d’air et profiter du soleil. »

    « Vous n’avez pas le droit de sortir Mademoiselle Ginstorm. »

    Triste, je me fis embarquer par l’infirmière, laissant la jeune fille seule. Vraiment, je détestais ces règles disant que je ne pouvais pas faire ceci, ni faire cela. Ils ne pouvaient pas me laisser faire ce que je voulais et peut-être que j’irai mieux plus vite. Mais cela ne semblait pas être l’avis des médecins.

    ***

    Quatre jours s’étaient déroulés depuis que la jeune blonde était venue pour la première fois. Elle n’était pas revenue. D’un côté, vu ce qu’il s’était passé la dernière fois, cela m’aurait étonnée. J’étais assise près de la fenêtre. Je me demandais si Ariadna allait revenir. Après la visite d’Andreas, je voulais en finir le plus vite, mais ne pas parler à des médecins. Ils ne m’inspiraient pas tellement confiance. Si elle venait aujourd’hui, peut-être que je commencerai avec le début. Avec la perte de Zaara.

    La porte s’ouvrit. Je me retournai, et vis la jeune blonde debout. Je lui souris.

    « Je pensais que tu n’allais pas revenir. »


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Lun 5 Sep - 18:26


« Je pensais que tu n’allais pas revenir. »

A vrai dire je n'en était pas sûre moi même. Mais je mettais prise de sympathie pour Imogen. Je n'avais pas eu envie d'annoncer mon arrivée pour voir la surprise dans ses yeux. Aujourd'hui j'avais spécialement prévue d'allez la voir. J'avais annulé mon shooting pour la pré-couverture de Vogue. Depuis quatre jours, Imogen occupait toute mes pensées. Un soir même, il y avait deux jour de là, j'était passé devant l'hôpital est j'avais eu une envie de la libérer. Depuis la tentative raté de sa sortie au jardin j'avais un plan.

- "Bien sur que si, tu croyait pas que j'allait te laisser sans un bon bouquin."

J'agrémentais mes paroles avec un clin d'oeil. Je sortit alors de sous mon manteau un exemplaire des "Âmes Brulées" de Davidson. J'avais aussi dans ma poche une barre de Muesli pour la demoiselle qui ne c'était pas résigné à manger le snickers.

- "A est, euh... tu aimerais passez un coup de fil à quelqu'un ?"

Autant y allez franchement. Je ne sais pas encore où mon plan va nous menez mais je me demande si je doit le dire à Imogen... Ma tête commence à me faire mal. J'ai une envie insolite. Une envie de sang frais... Une envie de tuer. Je me secoue la tête et regarde Imogen qui me souris. J'ai un soudain élan de tendresse. J'ai envie de la prendre dans mes bras ! Je ne sais pas se que font mes hormones à l'heure actuelle mais je trouve que sa ne sent pas bon. Mon envie de sang reprend le dessus. Pas une boucherie juste un petit meurtre... Un seul. Je laisse Imogen dans un coté de mon esprit et je vogue sur les méandres tumultueux de la passionnante douleur. Pas une mission en quinze jours. Mon dieu mais j'ai envie de hurler. Du sang, du sang !!! Arrête Ari...

J'entend alors la voix de Imo qui me sort de mes songes. Je lui passe alors mon téléphone et je m'assois sur le fauteuil en face d'Imogen. J'ai les yeux dans le vie. Mais qu'est ce qui m'arrive ? Mes règles peut être... Non je pense pas.

- "Imogen... Je voudrai juste savoir pourquoi tu vas mal."

Cette question qui me ronge. Peut être ai-je envie de la venger par n'importe quel moyen.
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Anonymous
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Ven 9 Sep - 19:55


opening yourself up to a stranger is maybe the best solution ღ  imogen & ariadna 756320amberheard2 opening yourself up to a stranger is maybe the best solution ღ  imogen & ariadna 110720033833390009
ARIADNA & IMOGEN < sparrow / young & useless >


    - "Imogen... Je voudrai juste savoir pourquoi tu vas mal."

    Je n’avais pas vraiment capté ce qu’Ariadna avait dit avant. Encore un de ces moments d’absentéisme totale. Je ne comprenais pas d’où ils venaient. Peut-être que j’avais un problème neurologique. Je ne sais pas. Je ne préférais pas savoir. Peut-être que c’était juste le fait d’avoir perdue autant de sans, et qu’il fallait que mon sang se régénère correctement avec l’aide du nouveau sang que j’avais eu. Enfin, je n’en savais absolument rien, et personnellement pour le moment, cela ne me dérangeait pas tant que ça.

    Je ne répondis d’abord rien à la question d’Ariadna. Pourquoi j’allais mal ? Pourquoi ? je me le demandai aussi. J’avais la réponse à cette question. Je savais pourquoi que je n’allais pas bien, mais est-ce que je serais capable de le dire à voix haute. Bien sure que je pouvais, pourquoi je ne pourrais pas. Je pourrais commencer par lui raconter le début de mes problèmes. Sonic & Evelyn voilà où tout avait débuté. Si je n’avais pas couché avec Sonic, je ne me serais jamais disputée avec Evelyn, et je n’aurai jamais rencontrée Zaara et ainsi jamais je n’aurai eu de procès. Vous voyez cette explosion en chaîne, c’est le destin. Si cela n’était pas arrivé alors ceci ne serait jamais survenu. Bref, je pouvais continuer comme cela pour longtemps, et raconter toute ma vie, si je le voulais en parlant comme cela. Dix minutes devaient être passées avant que je ne décide enfin d’ouvrir la bouche et de commencer mon histoire.

    « Tout a commencé en Avril. J’ai couché avec le copain de ma sœur. C’était un dérapage. On couchait déjà ensemble avant et là je devais juste lui parler, et disons que j’étais très active niveau sexe. ça a finit comme à chaque fois qu’on se voyait. »

    Je m’arrêtai un temps, reprenant mon souffle puis je continuai mo, histoire.

    « Je suis partie en Angleterre avec mon père le lendemain. C’était prévu depuis longtemps mais la dispute avec ma sœur m’a affaiblit alors j’ai été envoyé chez mes cousins à Peel sur l’Ile de Man. Là-bas, j’ai adopté une petite fille, Zaara. Deux mois après l’avoir adopté, on me l’a retiré de force. Je ne pouvais rien faire. Je pouvais juste regarder comme je me battais pour une cause perdue. Un procès, on m’avait collé un procès parce que je ne serais apparemment pas capable de m’occuper de la petite fille. A partir de ce moment, tout est allé de travers. C’est comme si, on ne voulait pas que je sois heureuse. On m’avait retirée une des personnes les plus importantes dans ma vie. Andreas ne pourra jamais faire le poids contre cette perte. Même avec tout l’amour que je lui porte, rien ne pourra égaliser la douleur que j’avais ressentie ce jour-là. Personne ne pourra comprendre que mon cœur s’était arrêté de battre pendant l’instant d’une minute. Personne ne peut comprendre ce que c’est que de perdre sa propre fille. La raison pour laquelle je restais forte. Pour elle, je restais forte. »

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Anonymous
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Lun 12 Sep - 22:24


-"Tu appelle ton état rester forte ?"

C'était plus fort que moi. Je ne comprenais pas toute la douleur de Imogen, se qui était normal. Mais ses paroles n'avait aucun sens. Moi je me serais battue à sang. J'aurais tuer. Je sais que se n'est pas dans ses gênes. Mais si j'avais était une froussarde j'aurai engagé quelqu'un. Quitte à vivre comme une fugitive pendant des années. Non, décidément tous ça me mettait hors de moi ! Je n'allais pas tout lui dire mais je n'ai vraiment pas pu empêcher ma bouche de prononcer ces paroles. Mais je ne regrette rien. Moi sa me donne envie de frappé contre l'autre. Ouais, l'infirmière sadique. J'ai à réfléchir de résolution rationnelle quand j'en ai l'occasion mais là mon cerveau donne tout à mon corps. Je prend donc une chaise est l'explose contre le lit. Un vacarme pas possible, va y avoir du grabuge. Et sa va monter très haut. Quand Imo va enfin sortir de ce trou vide et ennuyeux ? A t-elle un copain ? Ah oui, Andreas. Je le trouverai et je mettrai mon plan à exécution une autre fois. Je ne peut supporter plus. Et si je ne savais pas toute l'histoire ? et si je me mettais en colère que pour un bout de misérable souffrance. Je pense que Imogen me regarde avec étonnement. Mais je ne voit rien, mes yeux son rougie par la fureur. Je peut peut être faire quelque chose pour sa fille. Je ne sais pas quoi, n'importe quoi. Sa me fait mal et je n'aime pas ça. Aria n'as jamais peur, Jamais !! Et la peur c'est de la faiblesse et la faiblesse sa lui fait peur. Quel cercle horrible. J'ai mal au crâne. C'est fou. Je ne vais tout de même pas m'évanouir ? Non.

-"Tu m'as tout dit ?"

Je vais rester courageuse pour cette âme en peine. Je veut l'aidé. Et pas avec des barres de céréales ou des livres. Non avec mes poings, mon arme et ma rage.
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Anonymous
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Invité
Sam 24 Sep - 21:07


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ARIADNA & IMOGEN < sparrow / young & useless >


    -"Tu m'as tout dit ?"

    Je restais d’abord silencieuse. Bien sure que je ne lui avais pas tout dit. Tant de chose lui était encore inconnue. Mon operation. La tromperie. Mon viole. Je fermais les yeux a la pensee de ce mots. Il fallait que je le dise. Tant qu’il était enfouille en moi, et que je le gardai pour moi, rien n’ira mieux. Il fallait que j’extériorise ma peine, ma douleur, mon chagrin, mes peurs. Je ne savais pas comment aborder ce sujet. Je commencerai avec la tromperie. Cela expliquera la suite. Il fallait que j’en parle a Cain encore. Il était aussi concerne que moi dans cette histoire. Il devait etre mis au courant de ce qu’il s’était passe. Je ne pouvais pas garder cela pour moi.

    Je portai mon regard a nouveau sur la fenetre. Il ne faisait pas specialement beau aujourd’hui. Le ciel etait recouvert de quelque nuage gris. Cependant, je passais mon temps a regarder dehors. Je voulais y aller. Je voulais sentir l’air frais passer a travers mes poumons, sentir a nouveau les rayons de soleil sur ma peau pale et froide. Respirer l’air frais. J’aspirai tellement le moment que je pourrais enfin sortir de ce hopital. Seulement, je ne savais pas quand cela serait le cas. J’allais mieux, mais je n’etais pas encore assez stable pour sortir. Je voulais etre sure que j’aille bien, que j’aille oublie tout ce qu’il s’etait passe ces trois derniers mois. Mettre tout cela dans mon passe et avancer. Recommencer a zero,mais en sachant que ces mois faisaient partie de moi. Je remontai mes genoux vers ma poitrine, deposant ma tete dessus. Je la secouai un peu comme pour lui dire que ne lui avais pas tout dit.

    « Juste avant le proces, j’ai couche avec quelqu’un autre que mon copain. J’en ai paye le prix par la suite. Un prix douloureux qui m’a coute bien plus que ma vie. Ce prix est une des raisons pour laquelle j’ai essaye de mettre fin a ma vie. »


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