Mon père lorsqu'il me voyait il disait que j'étais sa plus grande déception. Que je boive un bon verre de scotch et tire de bonnes taffes avec lui ne l'a jamais satisfait. Dans un appartement miteux d'un quartier de bas étage deux hommes vivaient à cet endroit , enfin un seul aurait dit mon paternel. Ma mère je n'en connais que le nom de famille Powell. Même pas son prénom elle a été lâche me laissant dans mon berceau seul avec un ivrogne .Vous savez ce qui est de plus surprenant dans cette histoire c'est que mon père met garder. Qu'espérais t-il en me gardant sous son aile ? C'est un lâche dans des paroles violentes. Il n'a jamais levé la main sur moi , mais seul Dieu sait avec ma telle arrogance qu'il aurait pu le faire. Entre deux verres avant de tomber complètement mort sur le sol il me disait. «Ta mère c'est une pute voilà ce que c'est. Tu l'as jamais vu et tu la verra jamais tout ce qu'elle a trouvé de mieux à faire c'est de me léguer un fils qui en est même pas un. Il est toujours là à courir je ne sais où pour sauter un ou deux trois mecs dans le même soir. C'est ça ce que t’appelle avoir un fils ?» Et bien voilà plus besoin de faire les présentations , jeunes dames vous pouvez dire Adieu à mon corps de rêve. Voilà le fruit de la haine de mon père envers moi. Oh non je ne suis pas du genre de gars à craquer par ses poitrines qui en font presque exploser leur décolleter , moi une jolie paire de muscles enveloppés dans un corps masculin ça me passionne. Une de ce qu'on appelle pétard aurait pu se déhancher contre moi pendant des heures sans réveiller le moindre frisson.En plus vous pourrez apercevoir que la seule image qui me semblait de ma mère c'était une sorte de prostitué sur le bord des rues. Je me considérais toute fois comme l'homme de la maison. Oui parce que c'est moi qui ramenait l'argent depuis mes 15 ans avant qu'il ne le flambe que pour des gouttes d'alcool. Je déposais les malheureux billets sur la table et en l'espace de quelques heures voir quelques minutes il en restait plus que la trace. Vous devinerez que les études ont disparu de la carte de mes priorités depuis un bon moment. Dans ce milieu presque permanent je peux me rappeler à certain instant l'odeur d'un parfum d'une maison fraîchement propre. Au fond tout est à l'origine de la dernière perte d'emploi de mon père. Avant tout semblait aller de l'avant enfin presque. Tout ce qu'il reste de lui c'est un corps gisant sous un sofa en marmonnant des trucs inaudibles. C'est de cette façon tout de même que j'ai appris à ce qu'on appelle trouver un emploi. Oui ce qu'on appelle être à la merci d'un patron qui ne paye pas chère votre service. Encore je ne renonce pas complètement à cette partie de ma vie qui c'est passée derrière ce bar. J'en ai bavé tout les soirs en exprimant à presque chaque passant la beauté de la gente masculine. Plusieurs fois la question revenait «Mais qu'est-ce que tu leur retrouve ?» Cigarette aux lèvres je leurs répondait. «Non tu vois ce qui est bien chez un mec. Quelques taffes étaient tirés . C'est qu'au lieu d'avoir que la poitrine du corps qui est aguichant lui sa virilité se prolonge tout le long de son torse dans une série d'abdos bien musclé. Secondo quel est la première chose que dieu est créé c'est l'homme. La femme est venu par la suite alors le fruit de l'extase ne serait-ce pas le sexe masculin ?. »
Et je leur lançais un de mes clins d’œil en riant. Ma théorie était des plus parfaite. Enfin un seul avait réussi à se démarquer plus. Huit lettres composaient son nom : Midnight. Midnight était le genre de mec à vous faire tomber par terre. Qui venait me chercher dans les tripes avec son sourire innocent et ses fesses bien volumineuses . Je vous assure il a tout fait pour m'allumer. Le fautif dans cette histoire ? Certainement pas moi. Sa façon de servir les verres et tout en agitait ma virilité. J'avais réussi à mettre le grappin dessus en de simples petites caresses au creux de ses reins et un baiser envolé sur sa joue. Je faisais voler mes doigts à sa main parfois pour en tirer quelques rougeurs sur son visage. À ce qu'il était timide ! Et mon dieu comme j'adorais le mettre mal à l'aise. Je vous assure je m'en suis bien occupé... enfin presque...2 mois cela ne l'avait pas suffit ? Il ne faut pas me demander la lune les deux autres je les fais dérouler comme bon me semble. Ça se voyait dans son regard qu'il était déçu , mais je lui sortais toujours. «Ho aller on se voit se soir Babe». Une fois sur deux je me pointais et la fois que je pénétrais chez lui j'avais les pupilles dilatées au maximum et je voyageais bien loin. Que se soit une bonne aiguille qui transperçait la chaire de ma peau ou la fameuse poudre blanche qui traversait le chemin de mes narines , j'en étais à la pure extase. Au fond à cette étape je me balançais bien de ce qui se passait dans le cœur de son pauvre Midnight. Si bien qu'au bout du quatrième mois tout fut finit. «Aller Adieu Babe !» J'avais besoin qu'une chose ma drogue rien d'autre. C'est dans la même période à 17 ans que je pris mes affaires foutant le camps de chez moi voguant comme un simple vagabond et l’héroïne dans le sang. Pour me trouvez un habit j'aguichais quelques mecs leur offrant mon corps pour que j'ai un lit l'espace d'une nuit. Ma source de bonheur ne me suffisait plus à moi-même que je commençais à en vendre. Asser payant comme boulot je vous assure parfait même on a sa propre réserve.

20 ans
Ha bien tient il est vivant lui ? Ma seule pensée qui avait traversé mon esprit alors que je venais de m'injecter une nouvelle dose. Premier contact et dernier contact depuis 3 ans avec Midnight. J'en avais bien joué le jeux pour le faire capoter à fond et de toucher le point sensible dans son cœur meurtri. Point numéro un , la meilleur façon est de faire comme si tout était vague de ne pas parfaitement ce souvenir de quelqu'un alors qu'il pourrait quand même faire partie d'une important partie de votre vie. Point numéro deux lui montrer à quel point c'est facile de vivre quand on se fout de tout. Peut-être il est libre comme l'aire depuis mon départ , mais encore mon nom est marquer sur son front. Ce petit bonhomme m'appartient croyez-moi.

25 ans
«Aller crache l'argent !». Je faisais voler gentiment le sachet de drogue juste au dessus du nez de un de mes clients complètement en gros manque. Il sortie de sa poche des billets sales et vieux tout chiffonneés. Je hochais de la tête avec mon sourire en coin. Jean troué , air délabré les rues sombres et les ruelles voilà mon repère. Nouvelle ère , mais aucun changement d'habitude. Mais que vois-je ? Je reconnaîtrais ses fesses entre mille seul un homme aussi naïf en une comme celle-ci et ça commence par M.