| Lun 10 Jan - 1:18 | |
| WELCOME TO SAN FRANCISCO ! Duplessis ; Harmony Phoenix caractère ─ Je crois sincèrement que la personnalité de quelqu'un est plus compliqué qu'un simple mot; Avant, on me disait que j'étais une fille assez "chiante" mais depuis qu'il est parti, les gens ne me disent plus rien, comme si ça m'a toute cassée, comme le vase que j'ai fait tombé ce matin, alors comme ils ne me parlent plus, j'ai décidé de ne plus leur parler. Je sais ce que je sais, je sais qui je suis. Je suis la fille qui va choisir ses fruits et légumes le matin en souriant, en prenant le temps de savoir quelle pauvre patate passera sous mon couteau, alors qu'elle sait très bien que sa vie ne vaut pas que l'on sourit. Et ça vous coute quoi ? Je sais pas ce que c'est le bonheur, je suis une fille qui se laisse emporter par le courant de la vie, croyant au destin qui l'emmènera là où elle doit atterrir, autant être heureux de ce que la vie nous offre. ça ne coute rien. Oh si, des muscles. Mais ne vous inquiétez pas, si vous me voyez dans la rue, moi je ne vous voit plus, tellement je me suis enfermée dans ma bulle. Et je m'en fiche. Le jour où quelqu'un la percera, c'est que cela devait être la cas. |
| ft. Kaya Scodelario |
Histoire histoire ─ one upon a time, nobody gave a fuck.Madame, madame ! Une gamine ! Mon Dieu, comment peut-on laisser son enfant dans une rue par ce temps ? Elle aurait pu attraper une pneumonie. Et la petite ne pleure même pas. Incroyable.» On m'a dit que j'avais ce bracelet depuis que l'on m'avait trouvé ici, mais que l'on le remplacerai quand il se serait cassé. Il y avait des .. eum.. Des lettres! Voilà, c'est ça, des lettres écrites dessus, on m'a dit que c'était mon prénom, que je devais toujours le garder sur moi, savoir le lire. « Au cas où tu l'oublierais. » On m'avais pas non plus dit à quoi un prénom servait, mais j'ai toujours eu un bout de truc froid qui me serrait le poignet et Sophie me répétait tous les jours le même mot : Harmony. Je ne répondais même plus, j'étais occupée à regarder par la fenêtre. Apparemment, j'avais des problèmes, c'est le monsieur à la blouse blanche qui venait le dire, il parlait souvent avec une vieille dame, en vérifiant que je ne les écoutait pas, mais j'étais intelligente et je me cachais derrière la porte. J'ai jamais rien compris à ce qu'il disait. Il parlait d'un truc, ça avait l'air grave, parce que juste après, Sophie, la dame qui s'occupait de moi, m'a bouché les oreilles et m'a dit de monter en haut avec elle. Du coup, j'ai jamais pu vraiment comprendre un problème que le monsieur appelait « l'autisme ». Sophia m'avait dit que c'était léger chez moi, j'avais hoché la tête de haut en bas. J'étais restée longtemps avec elle, surtout parce que je n'aimais pas trop les autres enfants, ils criaient beaucoup et ça me donnait mal aux oreilles. Alors elle m'avait appris à lire une partition. J'avais vite su jouer, même si je trouvais ça surprenant. Bah oui, vous appuyez sur du plastique et ça fait un son tout joli. J'avais grandi, sans jamais être aux contacts des autres. Un jour, vers mes 14 ans, je suis sortie de l'orphelinat. Et là.. ça a fait un gros « PAF » dans ma tête et j'ai pété un câble. Je m'étais réveillée le lendemain, au bord de la jetée, mes vêtements déchirés, un mal de tête, comme si on m'avait mis une perceuse dans le crâne. Je regardais autour de moi, personne. Je ne me souvenais plus de ma nuit, je ne me souvenais plus du chemin. Un homme s'était arrêté, en voiture, et m'avait demandé mon prénom. J'avais tendu mon poignet et il a sourit. « Harmony ? Allez, grimpe. » Et j'ai grimpé. Les gens ne sont pas méchants. T w o . y e a r s . l a t e r.
« Harmony, exta ou LSD ? » Je pointais les pilules oranges du doigt, sans dire un mot. Avec une facilité déconcertante, je les avalais avant de monter à l'étage avec quelqu'un dont je ne connaitrais jamais le nom mais qui déboursait de l'argent pour se vider les couilles. Je faisais la fierté de mon patron, parce que j'étais simple. Je ne parlais pas, je faisais ce qu'on me disait de faire et je ne coutais pas cher. Ce soir là, je suis allée sortir les poubelles, vers 4 heures. Et il était là. J'ai traversé la route sans regarder, il n'y avait personnes. Je ne sais pas lesquelles c'était, ces pilules oranges mais elles ont fait sortir les mots de ma bouche hyper naturellement. « Tu veux monter ? » Pendant un an, j'ai eu le sentiment d'être utile. Je m'étais arrangée pour que les horaires de mon pseudo travail paraissent presque normal. J'avais un sourire accroché sur les lèvres tout le temps, même quand j'avais rien pris. Tellement que j'en avais mal aux joues parfois. J'avais commencé à parler comme les autres, sans être bavarde, mais je faisais des phrases. Sophia aurait été fière de moi. J'arrivais même à garder sa main dans la sienne sans devenir toute crispée. Il était magique, ce garçon. Oliver. Je lui avait dit, je lui avait fait des promesses, quand je le serais dans mes bras. Je lui disait qu'on allait y arriver, que j'allais m'occuper de lui. En Novembre, en le perdant, en le voyant partir sans se retourner, j'avais envie de crier, pour la première fois de ma vie, de péter un câble, d'arrêter de me taire, arrêter d'être aussi calme, j'avais envie de lui gueuler que je l'aimais, à en perdre haleine. Mais le seul truc qui est sorti, c'est des larmes. Beaucoup. Et j'ai arrêté de sourire, arrêter de parler, arrêter de vivre. Tout ça, c'était à cause d'un client. J'en voulais plus, j'avais répété des « non » des tonnes et des tonnes de fois, mais le froid de l'arme sur ma tempe me donne encore des frissons. Le lendemain, je partais de l'appartement, pour la rue. Il y avait trop de souvenirs pour que l'atmosphère soit respirable. Je suis pas restée dehors longtemps, je sais plus trop combien de temps mais quand on est une fille, on trouve facilement un toit, si on écarte les jambes. Quand on me demande de dire quelque chose, je n'ai qu'un mot à la bouche de puis novembre 2008. Oliver. Je me réveillais un peu plus mal chaque matin, fumant une cigarette, mangeant un pancake et partant dans la boutique de disques qui vendaient des 33 et 45 tours. Ils avaient acceptés de me prendre, à condition que je ne la ramène pas trop. J'avais hoché la tête et j'avais changé d'appartement, recommencer à zéro. Je n'étais toujours pas satisfaite. Il manquait quelque chose. Il me manquait… C'est pas juste, c'est pas juste. Il est où, le bonheur, hein ? Putain, il a intérêt à s'être bien cacher, si je le trouve, il va se prendre une de ces raclées.
SURNOM: Phoenix; H. ÂGE: 19 yo DATE DE NAISSANCE: 13.03.1991 NATIONALITÉ: inconnue
| GROUPE: wild child ORIENTATION: bisexuelle SITUATION AMOUREUSE: compliqué. | QUALITÉS: à l'écoute; aimante ; généreuse ; souriante ... DÉFAUTS: méfiante; muette ; bornée ; susceptible ... |
IN REAL LIFE ON JOUE A UN JEU ? | |
|
|
| Lun 10 Jan - 3:31 | |
| Ah oui les chocolats trop bons! Ouais bien sûr, je te les dois maintenant!
Duplessis, ça me fait penser à un personnage dans le film "le concert" xD |
|
| Lun 10 Jan - 3:33 | |
| Et je vais être groooooooooosse Oh, en fait, c'est parce que j'avais entendu parler des Orphelins du Duplessis, un truc au Canada ou des orphelins on été déclarés handicapés mentaux ou physique et ça correspondait pas trop dégueu en plus :O J'ai jamais vu le concert ._. Mais je suis incollable sur les Simpsons |
|
| Lun 10 Jan - 3:40 | |
| Ouaaaaah tu penses vraiment à tout! Ma ptite handicapée chouuuu Hooo tu devrais le voir il est trop drole *O* Et à la fin tu pleure ->[] Ah les simpson... j'suis pas trop dedans moi xd... mais c'est HS ce que t'as dis là?!!!!!!!!! *genre on est pas HS depuis 4 posts* |
|
| Lun 10 Jan - 3:43 | |
| T'as vu ça :O Et puis on peut pas avoir une crise de foie ? ça arrive toujours à Noël à des gens , non ? ._. HAAAAN, C'est pas avec Mélanie Laurent ? :O Je l'ai pas aimé dans je vais bien ne t'en fais pas - pas taper - (a) Mais les Simspons, c'est la vie :O Comme je suis insomniaque, je regarde tout le temps Et puis pour qu'il y ai HS, il faudrait définir le DS - dans sujet ? :roll: - donc sans DS, pas de HS, CQFD (aa) |
|