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WEIRD PEOPLE, WEIRD RULES // CAMIL i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| | Lun 3 Nov - 18:26 | |
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Il me fallait quelque chose de nouveau. Quelque chose de différent et d'opposé à mes habitudes. C'est comme ça que j'ai décidé de chercher une colocation. Premièrement parce que je n'en avais jamais fait. Deuxièmement car c'était totalement contradictoire à ma personnalité. Logique ? Zéro. L'ennui et la routine, moi ça me donnait envie de me jeter par la fenêtre. Ça me poussait aussi à prendre ce genre de décisions sur un coup de tête. Après quelques jours de recherches, j'avais finalement trouvé LA colocation idéale. La maison se situait sur Crocker Amazon et le proprio, même si je ne le connaissais absolument pas, m'avait fait une très bonne impression. Son allure, ses dizaines de tatouages, sa façon atypique de s'exprimer et la gueule de la maison m'ont convaincu très facilement. Pour le moment, le feeling passait plutôt bien puisque j'étais installée dans le canapé, totalement prête à discuter des règles et de ce fameux code dont on avait discuté brièvement au préalable. Autant m'organiser dans mon bordel de vie, n'est-ce pas ? Les jambes croisées et le regard fixé sur celui du tatoué, un sourire amusé sur les lèvres, je lance la conversation la première. Bon alors, je t'écoute. Fais-moi part des tes idées, propositions, conditions. J'étais un peu impatiente d'entendre ça pour être tout à fait franche.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 3 Nov - 19:13 | |
| Ça t'ait tombé comme ça, sans crier gare. Tel un piano qui tombe du ciel, en moins impossible, ça t'es venu à l'esprit. Comme ça sans même y avoir songé, sans même y avoir longuement pensé. T'as jamais été du genre à vivre seul, tu as quitté tes parents pour une villa avec onze autre personnes, puis pour SF un appartement où se sont enchainer successivement Nikita, Charlotte, Swann, Nolan et pour ensuite acheter cette maison et vivre avec Magda. Tu n'es pas faite pour la vie en solitaire ? T'en sais rien, peut-être mais sur un coup de tête t'as voulut combler la chambre d'amis pour un colocataire et voilà que t'avais une annonce, et pleins de candidat. En même sans modestie aucune, ta maison vend du rêve, merci salaire énorme et goût d'archi d'intérieur. Et c'est comme qu'en moins d'une semaine tu te retrouves avec une top modèle sortie de chez Citizen K, qui a déballé ses affaires chez toi et qui squatte maintenant ton canapé avec autant de nonchalance que si elle vivait ici. Blague. Tu la connais même pas. Normal chez toi. Mais tu as de bon feeling alors tant pis. Puis il semble pas si chiante et compliquée que ça. Bon alors, je t'écoute. Fais-moi part des tes idées, propositions, conditions. Tu souries expulsant la fumée de tes poumons en t'étirant sur ton fauteuil. T'en as jamais eut avec tes anciennes coloc, mais tu t'es tapé la plus part avant même d'aménager avec donc bon.. Première règle, frapper avant d'entrer venir me faire chier dans mon studio à côté du garage... parfois y'a des filles à poils qui sont pudique. Tu dis avec un sourire malin. Quoi autant qu'elle soit au courant dès le départ après tout...
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| | | | Mer 5 Nov - 15:36 | |
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Non, vraiment. La colocation, ça n'a jamais été mon genre mais j'étais pourtant bien décidée à passer le cap. Je n'avais pas réfléchi. J'avais simplement agi, suivi mon instinct et voilà qu'à présent, j'étais en train d'établir un code de cohabitation avec un mec que je venais tout juste de rencontrer. Je n'y connaissais rien. Absolument rien. Il fallait une première fois à tout, non ? Je l'observe s'étirer en silence alors qu'il finit par citer notre première règle. Et après quelques secondes à le fixer très sérieusement, un rire m'échappe avant que je finisse par hocher positivement de la tête en signe de confirmation. Très bien, très bien. Au moins, c'était clair et précis. Décidément, il semblait vraiment fun. Ça définissait à peu près la personne à qui j'avais affaire et j'appréciais sa franchise. Mais si on allait dans ce sens, il était préférable qu'on joue tous les deux cartes sur table. Règle applicable à ma chambre aussi, on est d'accord. Puisque du peuple, j'en côtoyais pas mal. Même si ce n'était que pour quelques heures... Surtout la nuit, dans un lit, sans vêtements. Deuxième règle, pour les moins pudiques. Je marque une pause en feignant un sérieux sans limites. On évite de baiser dans les pièces communes. Style cuisine, salon, etc. Puis mon expression devient plus légère, de façon assez brutale. Sauf en cas de partouze, évidemment. Je lève les yeux au ciel en souriant, amusée par ma plaisanterie qui n'en était peut-être pas une. Le temps fera les choses, oui il faut du temps pour apprendre à connaître quelqu'un. Puis au moins, la suggestion était lancée. Directe ? Très certainement.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mer 5 Nov - 19:14 | |
| Tu sais pas si t'es vraiment près à commencer une novelle colocation avec une inconnue. Avec Nolan ça c'est bien passé, mais bon vous aviez pas tellement le même délire. Et puis ça n'a pas été longtemps, tu lui a laissé trouver un autre colocataire peu après, parce que toi t'étais décidé à acheter une maison. Histoire d'avoir ta baraque à changer de mobilier et de gueule dès que tu en aurais eut l'envie. Puis comme tu te voyais pas vivre avec ta copine et un coloc... mais Magda est à Londres et il te faut bien quelqu'un pour ici parce que toi et la solitude... Bref vous voilà donc tranquillement au salon à décider pour des règles communes. Nouveauté nouveauté mais bon. Et donc tu balances celle qui te vient la premières en tête mais qui est importante quand même. Ok c'est rare de faire de la photo avec des filles hyper pudique, mais bon quand même ton studio c'est ton monde donc voilà... Et là elle éclate de rire avant de finir par hocher la tête. Toi t'es content qu'elle le prenne comme ça, parce que bon... Très bien, très bien. ... Règle applicable à ma chambre aussi, on est d'accord. Tu ries un peu en hochant la tête, évidement ça y'avait pas besoin de le spécifier. Toi de toute manière ta chambre est fermée que quand t'es vraiment très très occupé, sinon elle reste constamment ouverte mais bon, tu trouves ça normal de frapper à des endroits pareil. Deuxième règle, pour les moins pudiques. Tu la laisses avec son suspens, restant à l'écoute intrigué par ce "moins pudiques"... non pas que tu te trimballes à poil mais il est hors de question de t'interdire de te balader en boxer quand même. On évite de baiser dans les pièces communes. Style cuisine, salon, etc. Et làa c'est le drame. Tu l'as fixe stupéfait en comprenant pas comment elle peut te dire ça, t'imposer ça. Horreur, injustice, honte, monde cruel et inhumain. Même avec Nikita et Charlotte en même temps en coloc vous interdisiez pas ça -bon ok t'étais avec charlotte à ce moment là mais quand même. Sauf en cas de partouze, évidemment. Bon elle a au moins ça pour faire passer la pilule alors que tu ries un instant à cela. Partouze... ok tu dis pas non. Tais toi donc !!! Revenons à l'essentiel. Cuisine ok je peux me restreinte mais... salon et salle de bains ? T'es cruelle !! J'peux pas me contentez de ma chambre. Oui ba voilà c'est dit au moins elle sait à qui elle a à faire, mais sérieusement seulement un lit pour le sexe ? Elle peut pas !! Ok t'as ton bureau et ton studio. Mais la salle de bain quoi !!!! Et puis le salon. Ok la cuisine, c'est pas tellement hygiénique tu peux comprendre mais le reste ça te crève le coeur. Tu veux pas plutôt qu'on fasse un code pour savoir si on doit attendre cinq minutes avant de rentrer dans ces pièces commune ? Tu demandes avec un sourire innocent.
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| | | | Mer 5 Nov - 21:58 | |
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Ce n'est pas que je n'aimais pas la vision de deux corps nus emboîtés l'un dans l'autre, bien au contraire. C'est plutôt la frustration qui en ressortait que je détestais. Pour moi qui avait un besoin complètement démesuré vis-à-vis de ces pratiques, je refusais de rester sur ma faim si un jour, ce genre d'événements viendraient à se produire. Impassible, je me contentais d'assister à sa stupéfaction qui ne tarde pas à se suivre de protestations. Malgré tout, je me sens toujours aussi déterminée que lorsque j'ai posé ma condition. Inenvisageable pour moi, c'est clair. Déjà que je m'étais retenue de rire face à son expression totalement ébahie ; là, son sourire innocent, c'était un peu la cerise sur le gâteau. J'étais sûre et certaine d'être tombée sur un cas à part à présent. Mes sourcils se froncent légèrement lorsqu'il me dit que je suis cruelle. Cette fois, c'est moi qui est prise au dépourvu. Mes yeux s'arrondissent automatiquement. Tu rigoles, j'espère ?! Comment je fais moi, si je vous croise en train de faire vos affaires ? Je vais dans la cuisine et je me fais un thé ?!!! Il te reste le jardin, le placard et surtout le sous-sol ! Je m'exclame, tout en restant sérieuse malgré tout. Je finis par reprendre mon calme en soupirant quelque peu. Non, vraiment. C'est toi qui est cruel dans cette histoire. Cette conclusion me semblait immuable et la moue que j'ai décidé d'adopter ne faisait que souligner ma comédie. Ensuite, il s'engage, l'air de rien, dans des négociations qui me font plisser les yeux par méfiance. Je réfléchis un instant, tout en me calant un peu plus dans le coin du canapé. Ou alors on pourrait définir les jours où la règle des pièces communes est appliquée et définir ceux où elle ne l'est pas. Je dis, en clignant des yeux comme une poupée de façon surjouée bien sûr. Moi aussi, je me débrouille en affaires.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Jeu 6 Nov - 9:54 | |
| C'est dingue. T'es juste impossible, ingérable, irremplaçable. Toujours la même chose, le même sujet, les mêmes paroles. Tu la connais pas encore, pas tellement, pas vraiment. Vous parliez de règles, et voilà où vous arrivez. Comme quoi tu peux pas faire un seul sujet sans ce genre de chose. Si t'es pas à ce point obsédé, seulement quand ça parle de règle de vie... et bien oui toi c'est une règle de vie de te laisser gérer ta vie sexuelle comme tu l'entends. Tu rigoles, j'espère ?! Comment je fais moi, si je vous croise en train de faire vos affaires ? Je vais dans la cuisine et je me fais un thé ?!!! Il te reste le jardin, le placard et surtout le sous-sol ! Elle est sérieuse et toi aussi parce que bon, ouais tu vois pas où est le problème. Toi tu la croises avec un mec, ba tu vas pas hurler, tu les laisse faire le truc et tu vas dans ton coi, sans mater évidement !!! Quoi que bon merci pour la frustration, mais ça fait partit du lot, non ? Un thé, un café, à manger... c'est pas si bizarre. Tu répliques en fumant tranquillement alors qu'elle semble pas d'accord. Non, vraiment. C'est toi qui est cruel dans cette histoire. Tu ries à ses paroles, parce que même si vous êtes pas d'accord, vos arguments et vos répliques sont juste sympa et qu'elle est pas horrible même quand elle a pas le même avis. Tu la gardes cette colocataire pour le même. Moi ? Cruel ? Je te donne le droit de t'envoyer en l'air dans toute les pièces...Tu répliques en riant. Ou alors on pourrait définir les jours où la règle des pièces communes est appliquée et définir ceux où elle ne l'est pas. Ok tu l'aimes. Bon ne nous emballons pas! Mais sa proposition de trouver un accord pour vous deux te plait alors que tu réfléchies un instant. Bon ok l'idée de devoir respecter un planning t'enchante guère, toi qui supporte déjà pas tes plannings de boulot... mais bon c'est un bon compromis entre vos deux positions. Et puis tu peux te contenter de ton pieux le reste du temps... où d'aller à l'appartement de l'autre personne. Oui ça devrait fonctionner. Très bonne idée !! Le jour où ça ne s'applique pas dans le pièce commune.. le premier qui arrive avec un(e) partenaire est prio... Tu répliques avec un sourire narquois avant de te redresser pour écraser ta clope. Tu l'observes un temps finissant par poser la question qui te brûle les lèvres. Tant pis si elle hurle au scandale. Juste pour savoir... je risque d'avoir souvent de la concurrence pour occuper les pièce ?Quoi tu veux juste savoir si tu trouveras des mecs à moitié à poil souvent chez toi. Non pas que ça te dérange.
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| | | | Jeu 6 Nov - 19:23 | |
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Peut-être que j'étais en train de passer pour la nymphomane de service, incapable de supporter l'abstinence plus de 48h. Oui, peut-être mais il y avait une part de vrai dans cette idée... Pas sûr que j'arrive à me défendre avec des arguments honnêtes. Mentir aurait été, limite, la meilleure solution. Du coup, je me contentais de ne pas soulever ses répliques concernant notre désaccord. Évitons de nous enfoncer directement. Cette divergence de point de vue ne semblait pas particulièrement affectée notre conversation et ça, c'est plutôt cool. Je préfère que quelqu'un prenne ça avec légèreté et humour, plutôt qu'avec drame et consternation. Encore un point pour Marshall. Ses arguments étaient très bons, certes. Mais quand même... Cette possibilité de frustration intense était assez grave pour moi. Même si j'étais sûrement en train de dramatiser, peu importe. Je me connaissais. Je me dis que j'ai mes chances lorsqu'il semble réfléchir à notre petit débat alors je patiente, bien attentive à ses expressions ainsi qu'à ses paroles. Il accepte finalement et moi, je ne peux qu'être ravie par la nouvelle. GREAT ! Je dis en l'observant écraser sa clope dans le cendrier. Et je suis ok pour la priorité du premier arrivé, premier servi. Il fallait avouer que c'était largement équitable. Maintenant que nous étions tous les deux d'accord, il ne restait plus qu'à définir les jours en question. Il me pose ensuite une question qui me fait sourire malicieusement. Comment t'as deviné, hm ? Autant dire les choses comme elle sont. De toute façon, il aurait bien fini par s'en rendre compte par lui-même. Pas vrai ? Je ris avant de continuer. Et mon intuition me dit que j'en aurais aussi pas mal ou peut-être que je me trompe ? Je n'attendais que sa confirmation à ce sujet. On ne pouvait pas trop juger les choses avec à peine quelques mots échangés. Mais l'idée de l'abstinent, chaste et pur face à un mec comme lui, bizarrement, ça me paraissait peu probable.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Sam 8 Nov - 0:44 | |
| Vous êtes là à de suite en venir à ce genre de règle. Tu te doutes qu'en général les gens décident plutôt qu'ils feront les courses à tour de rôle, le ménage de tel et tel pièce, ce genre de chose. Mais bon pour toi ça c'est du bon sens, alors que cette règle là c'est de l'ordre de l'essentiel à ton sens. Oui après on pourra te qualifier de débauché peu importe. GREAT ! Et voilà une bonne chose sur laquelle vous vous mettez d'accord. Votre premier accord -hormis les papiers de colocation qu'elle a signé l'autre jour mais bon ça c'est de la paperasse- là c'est plus important. Et je suis ok pour la priorité du premier arrivé, premier servi. Parfait, maintenant tu te dis que tu devras rentrer avant minuit si tu veux profiter du salon comme tu en as envie avec la personne que tu as envie. Tu te dis que vivre en colocation avec elle ça va être plutôt cool même. T'as pas envie d'une coloc que tu connais à peine, t'as envie de délirer, d'avoir une pote chez toi, histoire que même en se prenant la tête ça soit pas la mort. Une vie cool quoi. Comment t'as deviné, hm ? Elle sourit et tu t'arrêtes un instant à sa manière de faire, d'être. Tu l'observes un temps avant de sourire un peu sous le charme, et surtout rassuré d'avoir prit une fille qui semble donc sur la même longueur d'onde. Beaucoup de pratique en la matière sans doute.. Tu dis avec malice, et puis tu la juges pas. T'es pas le bienvenue pour ça. Et puis une nonne chez toi, bordel tu te serais ennuyé. Quoi que... Enfin bref. Et mon intuition me dit que j'en aurais aussi pas mal ou peut-être que je me trompe ? Harvard allant se poser sur le canapé tu ries à l'intuition d'Inka et sa manière de réagir aussi "normalement". J'y peux rien... je m'ennuie terriblement au lit. Tu répliques sur le ton d'une excuse totale alors que tu finis par te lever allant te chercher une bière. Pour que la règle d'interdiction de sexe dans les pièces communes soit active on dit le... lundi, mercredi et dimanche ? Tu lances avec amusement.
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| | | | Dim 9 Nov - 16:14 | |
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Je suis satisfaite d'avoir trouvé un accord qui nous convienne à tous les deux. Il est cool et ne semble pas trop se compliquer la vie. Ça me plaît parce qu'à ce niveau, je suis semblable ou presque. J'étais pourtant loin d'être une adepte aux règles en général mais dans ce contexte, ça ne me dérangeait pas plus que ça. Autant être sur la même longueur d'ondes dès le départ. Le risque de vivre avec un étranger, c'est de ne pas s'entendre avec. Les compromis me semblaient alors être une bonne option pour s'adapter à l'un et à l'autre de façon calme. Je suis certaine qu'avec le temps, on apprendra à se connaître d'avantage et même si j'avais bien hâte que ça arrive, la patience était quelque chose que j'avais appris il y a déjà quelques années. Enfin... La patience à ce niveau du moins. J'observe son sourire, ce sourire qui en dit plus qu'il ne le devrait. Le mien restait toujours aussi amusé que lorsqu'il s'est dessiné sur mes lèvres il y a quelques minutes. Je décide de ne pas relever sa réponse car de toute évidence, je savais que la chose allait bien vite se concrétiser réellement. Tu me comprends alors. Je lâche à sa deuxième tirade, le plus naturellement du monde. L'ennui au lit, je l'avais souvent rencontré à mon plus grand désarroi. Sans doute parce que mon appétit sexuel était trop grand... Bref, Les choses sont ainsi faites. Mon regard se pose alors sur le chien qui décide de s'installer sur le canapé. Silencieuse et intéressée, j'observe la petite créature. Mon sourire se fait plus tendre. Il me rappelle le chien de mes parents. Sauf que le chien de mes parents était dix fois plus gros. Lorsque Camil se lève et se dirige vers la cuisine, je lui réponds alors que mes doigts caressent le chien comme pour lui dire que j'étais enchantée de faire sa connaissance. Voyons voir ce que cette première approche va donner. C'est parfait, écoute. Les jours sont bien répartis sur la semaine. Rien à redire. Je marque une petite pause en tournant mon visage vers le tatoué afin de le regarder. Inspiré par une troisième règle ? Je demande, curieuse et quelque peu attendrie par le chien pour le coup.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 10 Nov - 23:09 | |
| Tu me comprends alors. Voilà maintenant les rideaux sont tombés et vous capter qu'en effet vous semblez bien être sur la même longueur d'onde. Tu ne regrettes pas ton choix, ton caprice de vouloir vivre en colocation dans ta maison ne te semble plus si débile que ça quand tu te retrouves avec une colocataire comme elle. On se comprend. Tu conclus avec un sourire amusé. Tu te serres une bière souriant quand elle parle. C'est parfait, écoute. Les jours sont bien répartis sur la semaine. Rien à redire. Voilà une règle plutôt sympa et pas si difficile que cela à tenir, et puis bon tu n'as rien contre le fait qu'elle te rappelle à l'ordre. Ouvrant ta bière tu lui lances un regard l'observant jouer avec Harvard qui se laisse caresser avec enthousiasme. Ce chien on ne fait pas plus sociable, à peine quelques caresses et un air gentil et le voilà fou et amoureux. Une crème. Ton bébé quoi. Tu récupères ta bière avant de revenir sur le fauteuil te poser en observant ton chien et ta nouvelle colocataire.Inspiré par une troisième règle ? Tu l'écoutes avant de réfléchir à quelque chose qui pourrait être important de clarifier entre vous. Très bonne question d'ailleurs. Pas pour le moment... y'a quelque chose qui te vient en tête toi ? Tu questionnes avant de boire une gorgée songeant à se qui pourrait ou devrait être mit au clair, même si la de suite tu sèches.
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| | | | Dim 16 Nov - 19:03 | |
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Le feeling entre Harvard et moi passe plutôt bien. En même temps, le gain des caresses ne pourrait pas lui déplaire et je ne peux que le comprendre. Camil revient s'asseoir dans le fauteuil qu'il a quitté quelques minutes plus tôt, bière en main. Je le laisse réfléchir, tout en le faisant à mon tour. Deux règles, c'est déjà bien assez, non ? Pour moi, les choses essentielles venaient d'être clarifiées. Pour ce qui est de la bouffe, du ménage ou autre, je ne me faisais pas de soucis. Nous étions assez matures, au moins, pour savoir comment gérer ça donc je n'y portais pas plus d'attention que ça. J'attrape le chien pour le mettre sur mes genoux et lui caresser le ventre en ne pouvant pas m'empêcher de le trouver adorable. Camil n'a définitivement pas d'autres idées et moi non plus d'ailleurs. Mon regard se pose à nouveau sur le tatoué et je le dévisage quelques minutes, juste comme ça, parce que ça fait partie des choses que je faisais sans raisons particulières. Non plus. Je pense que pour le reste, on arrivera à gérer. C'est vrai quoi, ce n'est pas comme si nous étions des ados. Même si pour ma part, parfois la question pouvait vraiment se poser. Alors ça y est, c'est officiel. Je suis ta nouvelle coloc'. J'étais plutôt amusée par l'idée et mon expression ne faisait que confirmer ce fait. On verra bien ce que ça donnera mais franchement, je ne me faisais pas énormément de soucis. C'était carrément l'inverse en vérité. Je finis par laisser Harvard tranquille, observant les alentours et faisant le compte de tout le rangement que j'allais devoir faire dans les heures qui suivent. Il me reste plus qu'à m'habituer à l'endroit, à y ancrer mes marques pour que je m'y sente parfaitement à l'aise.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mer 19 Nov - 1:20 | |
| T'es pas difficile à vivre il faut le reconnaitre donc oui t'es d'accord avec Inka sur le fait que vous arrivez à gérer avec les autres choses de la maison. Puis bon là de suite tu n'as pas tellement d'idée sur qu'ajouter à vos règles. Toi de toute manière ce genre de règles c'est les principales. Après le reste ça tient du bon sens, non ? Oui tu te dis que vous verrez bien avec le temps, elle a pas l'air chiante du tout donc ça ira tout seul non ?! Oui. Et puis elle semble déjà aimer Harvard se qui est le meilleur point chez toi. Parce que oui Harvard c'est tout ta vie, tu l'aimes encore plus que ta voiture, que Magda, parfois même un peu plus que ta petite sœur... En même temps vous en avez vécu des choses ensemble !!! Alors ça y est, c'est officiel. Je suis ta nouvelle coloc'. Tu lèves le regard vers elle t'attachant un moment à son visage amusé de la révélation qui est maintenant pleinement véridique. Oui, tu as une nouvelle colocataire voilà. Tu es ma nouvelle coloc' yap ! Tu dis avec un rire en tendant la bouteille de bière que tu buvais à Inka avant de t'arrêter dans ton geste de partager la bière de colocation. Oh si, autre règle !!! Tu ne te trimballes pas à poil devant moi. Sous vêtement minimum obligatoire. Oui tu as des principes quoi ! Enfin surtout des hormones qui supporterait pas de la voir sans fringues, tu veux même pas commencer à essayer d'imaginer.
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| | | | Sam 22 Nov - 16:52 | |
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Finalement, ce n'était pas aussi compliqué que ce que je m'étais imaginé. En plus de vivre dans une baraque complètement démente, le colocataire était plutôt sympa et visuellement attirant. Que du bénéfice donc. Il confirme ma phrase, me tendant alors sa bouteille de bière avant de se raviser au dernier moment pour poser une autre règle dans notre code de colocation. Je finis par pouffer de rire à la fin de sa phrase en haussant légèrement les épaules avant d'attraper la bouteille pour en boire une longue gorgée au goulot. Pfff, moi je serais pas contre te voir à poil. Quoi ? Je n'allais pas mentir non plus et surtout, je ne voulais pas priver mes yeux de cette vue. Je verrais bien ce que je peux faire... Dis-je en restant évasive. En d'autres termes, je n'avais pas "réellement" accepté cette règle. Ouais, je me donnais des genres de fille mystérieuse par moment. Après une seconde gorgée de bière, je finis par lui tendre la bouteille à nouveau, un sourire amusé sur les lèvres.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Sam 22 Nov - 19:03 | |
| Tu finis par ajouter une dernière règle à votre colocation. Et pas des moindres si on se réfère au physique de la fille installée en face de toi sur le canapé. Non ok tu as de très bon goût pour choisir tes coloc, mais tu as aussi tendance à avoir accepté une fille un peu trop sexy pour que ta tête te permette de faire une vraie bonne différence avec coloc et autre chose. Tu n'es qu'un homme après tout... Ok tu aimes cette réplique qui justifie toutes tes conneries sur ce plan là. Cependant elle en rit un moment avant de s'emparer de ta bouteille et de boire un temps. Pfff, moi je serais pas contre te voir à poil. Tu lèves un sourcil à sa réponse pas choqué plus... amusé et intrigué de sa réplique tu la fixes un temps. Non définitivement tu ne regrettes pas ton choix, sa franchise, son regard et ses manières. Je verrais bien ce que je peux faire... Tu ne peux t'empêcher de te mordre la lèvre en riant récupérant ta bouteille en l'observant. Je fais ça pour toi... me voir à poil serait encore pire frustration que de m'entendre en pleine action dans une pièce commune. Tu répliques avec humour en la fixant portant la bouteille à tes lèvres sans la quitter du regard pour autant.
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| | | | Dim 23 Nov - 1:26 | |
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Je n'ai jamais été le genre de fille à tourner autour du pot durant des heures. Si j'ai quelque chose à dire, en général je le dis sans mâcher mes mots. Cette particularité m'apporte autant d'ennuis que d'avantages mais au moins, je ne passais pas pour l'hypocrite de service. D'ailleurs, j'ai ça en horreur : l'hypocrisie. Alors j'étais plutôt satisfaite de lui avoir avoué mon attirance pour les grands garçons, de préférence tatoués aux yeux verts ou marrons. Pour le coup, son regard à lui mêle les deux couleurs parfaitement. Inutile de préciser qu'à part être franche, je suis aussi assez observatrice. Il reprenait sa bouteille, riant légèrement à mes propos. Sa façon de me regarder était plutôt amusante. Mi-intrigué et mi-autre chose, en tous cas l'autre chose me plait grandement. Je fais ça pour toi... me voir à poil serait encore pire frustration que de m'entendre en pleine action dans une pièce commune. Je hausse les sourcils suite à ces mots, avant de rire légèrement. Waw, quelle modestie. Même si j'étais bien consciente qu'il avait employé ses mots avec humour, j'aimais bien souligner ce genre de choses. En vérité, il n'avait pas tort. De tous nos sens, je pense que le toucher et le goût sont les moins frustrants. Je conclus, sérieuse pour le coup. Et ensuite, je me lève afin de me diriger vers la cuisine pour ouvrir le frigo. Autant faire comme chez moi directement, hein. T'as faim ? Cherchant déjà de quoi préparer un en-cas, je tentais de canaliser mes pensées vers un autre point. Le changement de sujet typique avant que mon instinct ne prenne le dessus. J'ai l'imagination très fertile, voyez-vous... Puis, il était préférable d'éviter de coucher avec son colocataire dès le premier jour. Les bonnes choses viennent à point à ceux qui savent attendre.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Dim 23 Nov - 17:02 | |
| Vous en êtes arrivé à parler de nudité sans même trop savoir comment, c'est ça qui semble si bien. Et ça te promet d'être ainsi donc une bonne colocataire, une amie serait top d'ailleurs plutôt qu'une colocataire qui agit comme une étrangère. Waw, quelle modestie. Tu en ries légèrement nullement gêné de sa remarque. Oui tu aimes bien joué au mec un peu narcissique, puis c'était de l'humour. Et puis... c'est vrai dans un sens, ça serait con de ne pas en avoir conscience. Tu sais que tu plais aux gens, ton corps et ton caractère. Pourtant ton corps tu as beaucoup à redire sur lui, chacun à ses complexe mais bon... Tu ne réponds pourtant rien à cela te contentant de sourire mystérieusement. De tous nos sens, je pense que le toucher et le goût sont les moins frustrants. Tu l'écoutes conclure sur cela fronçant les sourcils en y réfléchissant. Point du tout !!! Toucher quelque chose juste un peu c'est pouvoir ensuite se sentir des plus frustré de ne pas aller plus loin. Le goût, trop addictif pour ne pas frustrer... T'as faim ? Tu l'observes aller vers le frigidaire alors que tu récupères ta bouteille de bière. Ouais un peu, tu veux faire à manger ? Sourire de Don juan aux lèvres. Puis tu te poses sur la table de la cuisine. Je suis pas d'accord, l'odorat encore... je veux bien concevoir que c'est le moins frustrant. Parce que le toucher... non c'est impossible de ne pas être frustré que ça soit par le goût ou le toucher. Tu répliques en y réfléchissant avec sérieux.
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| | | | Lun 24 Nov - 17:26 | |
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Dans ce genre de situations le mieux à faire, c'est d'occuper son esprit à autre chose. Mon ventre grognait un peu alors j'ai sauté sur l'occasion. Quoi que, je n'étais pas contre ce genre de discussions. Disons que c'était plutôt la suite et mon manque de contrôle qui pouvaient compliquer les choses parfois, même si moi je trouvais ça plutôt drôle. Ouais un peu, tu veux faire à manger ? Je lui lance un bref regard alors qu'il me rejoint dans la cuisine avant de s'installer à table. Yup, on dirait bien ! Sucré ou salé ? Personnellement, je n'avais aucune idée de ce que je voulais là alors j'espérais qu'il allait m'aider dans ce choix crucial. Il m'arrête un peu dans mon choix de bouffe en s'exprimant sur le sujet des sens. Son ton sérieux m'interpelle, alors je me retourne pour lui faire face en fronçant un peu des sourcils. Je crois que ça dépend du contexte. Là, sur le moment j'avais envie de toucher et de goûter donc j'ai sorti ça. Mon expression se détend pour sourire avec amusement. J'aurais touché ou goûté, ma frustration ne m'aurait même pas traversé l'esprit. Ceci dit, je n'étais pas en désaccord avec ce qu'il venait de dire pour autant.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Dim 30 Nov - 19:16 | |
| Tu te poses sur la table de la cuisine observant la jeune brune regarder le frigidaire. Yup, on dirait bien ! Sucré ou salé ? Super si elle se décide à cuisiner tu ne vas absolument pas dire non. Par contre la question te pose un problème. Tu sais jamais te décider. Tu y arrives pas c'est comme ça, le sucré c'est bien, le salé c'est top. Sauf que le sucré c'est bien entre les repas mais... oui dur choix. Allons-y pour du salé. Oui en faite tu choisis toujours ça même en y réfléchissant mille ans. Ensuite après cette décision vous partez dans le débat du sens le plus frustrant. Tu lui exposes ton point de vue sur la chose. Je crois que ça dépend du contexte. Là, sur le moment j'avais envie de toucher et de goûter donc j'ai sorti ça. Un sourire ne peut se retenir de venir étirer tes lèvres alors que tu la fixes un instant avec plus qu'amusement. Alors comme ça elle voulait toucher et goûter... Non cela ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd exactement. On parle de toi là évidement que tu ne laisserais pas passer ce genre de commentaire sans t'arrêter dessus. J'aurais touché ou goûté, ma frustration ne m'aurait même pas traversé l'esprit. Tu te mors la lèvre avec amusement cette fille, c'est ta colocataire. Oui la colocation risque d'être vraiment dur s'il y a ce genre de commentaires... Oh vraiment ? ... Mais imagines pouvoir juste toucher rapidement et à peine y goûter... la frustration serait encore pire ! Bien pire que de juste y avoir pensé... Oui ok tu provoques beaucoup.
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| | | | Mar 2 Déc - 0:02 | |
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Allons-y pour du salé. Bon choix puisque l'idée de faire des oeufs brouillés vient de me traverser l'esprit miraculeusement. Je sors donc les ingrédients dont j'ai besoin avant d'attraper quelques oeufs et une poêle. Évidemment, je n'étais pas une pro de la cuisine mais je me débrouillais et j'arrivais à faire des trucs comestibles. Cela faisait plusieurs années à présent que je me faisais à manger moi-même. L'idée de faire la cuisine pour quelqu'un d'autre à présent était donc plutôt sympathique. Battant déjà les oeufs dans un bol, je reste tout de même attentive à la conversation que j'entretenais avec Camil. Oh vraiment ? ... Mais imagines pouvoir juste toucher rapidement et à peine y goûter... la frustration serait encore pire ! Bien pire que de juste y avoir pensé... Un rire m'a échappé à l'entendre... Non, vraiment. Ça allait être compliqué de rester neutre avec une répartie pareille. Mais n'était-ce pas ça le plus amusant après tout ? J'ajoutais le lait, le sel et le poivre avant de préparer la poêle sur la cuisinière déjà à feu moyen. Dans ce cas-là, j'aurais fini par te violer sûrement. Je ne pense pas que l'idée soit très drôle pour toi. Je réponds, d'un air faussement désolé. Versant le mélange dans la poêle, j'attendais que les oeufs prennent avant de racler légèrement le fond pour les brouiller. J'ai fini par éteindre la cuisinière au bout de quelques minutes, avant de sortir deux assiettes d'une armoire et des couverts. Ouais, j'ai dû les chercher un moment mais pas des heures non plus. J'ai posé les assiettes sur la table et j'ai servi la nourriture en attrapant le ketchup au passage. Mais... Ok, tu as raison Marshall. J'abandonne pour cette fois. Je dis avec un sourire amusé, mettant déjà du ketchup dans mes oeufs. Non, ce n'est pas bizarre.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Ven 5 Déc - 12:00 | |
| Tu l'observes commencer à faire la cuisine, restant sur ta table à boire ta bière qui touche bientôt à sa fin. Tu aimes bien l'idée que maintenant tu partages de nouveau la maison, que t'es pas tout seul dans ce truc immense. Ok c'est pas tant immense, trois chambres qui vous servaient avant d'avoir chacun votre bureau avec Magda, un immense salon, une cuisine, une cave, une salle de bain, et un studio extérieur. Mais en étant tout seul trois chambre et un étage c'est dur à vivre. Vraiment. Du coup tu es content. Dans ce cas-là, j'aurais fini par te violer sûrement. Je ne pense pas que l'idée soit très drôle pour toi. A ses mots tu ne peux cacher un sourire qui frôle entre la perversion et l'envie. Te faire violer ? Par elle ? Pas sur que la loi qualifie ça de viol. J'suis ouvert à la découverte moi... Tu réponds avec un sourire qui en dit long sur ta pensée, mais tu te limites à cela. LA voyant prendre des assiettes tu te remets debout lui laissant la place sur la table en allant jeter ta bouteille vide. Revenant tu l'observes vous servir à manger, ravis d'avoir une colocataire aussi gentille et attentionnée. Mais... Ok, tu as raison Marshall. J'abandonne pour cette fois. Tu ries à cela en l'observant. J'aime avoir le dernier mot.. promis la prochaine fois j'abandonnerais le premier. Tu dis avec taquinerie en te posant à table attrapant le ketchup toi aussi. Merci pour le repas.. Tu répliques en allant chercher de l'eau au robinet avant de revenir et commencer à manger avec adoration pour la bouffe.
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| | | | Ven 5 Déc - 23:56 | |
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La conversation était étonnement fluide. Il n'y avait pas de gêne, pas de retenue. Depuis le début, j'ai l'impression de pouvoir parler librement et c'est sûrement ce que je préfère le plus jusqu'à maintenant entre nous. Même si j'avais du mal à réaliser que ça y est, j'étais en colocation, je ne m'en sentais pas perturbée ou dérangée. C'est plutôt le contraire même. J'suis ouvert à la découverte moi... J'ai souri d'un de ces sourires bourrés de malice suite à la chose. Cette annonce était plutôt bénéfique et flatteuse pour moi. Du moins, c'est ce que je croyais ? Cependant, je suis restée silencieuse gardant tout de même cette suggestion subtile en tête. Ça, ce n'était clairement pas le genre de choses que j'oubliais. J'aime avoir le dernier mot.. promis la prochaine fois j'abandonnerais le premier. Je l'écoute rire en me disant que j'aime bien ce son, ça me donne le sourire directement. Quel honneur, je me sens flattée. Répondis-je alors que je mélangeais déjà mes oeufs brouillés avec la sauce alors que Camil se dissipe un moment avant de revenir à table, avec un verre d'eau. Merci pour le repas.. Je ris un peu lorsqu'il me remercie, c'est mignon. De rien. Tu pourras profiter de ma cuisine souvent à partir d'aujourd'hui. Je parle avec honnêteté. Ça me détend de cuisiner, j'ai jamais su pourquoi mais c'est comme ça.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mar 9 Déc - 17:28 | |
| Tu as pas l'impression que c'est ta nouvelle colocataire, pas que c'est une fille qui t'étais jusqu'à peu inconnue. La communication est trop fluidité, la complicité trop présente pour ce genre de pensées. Tu te dis que si c'est ainsi tous les jours tu ne vas pas le regretter. Inka est ce genre de fille avec qui t'es certain tu ne peux que t'entendre. Le genre de fille que tu ne vois pas que comme une envie... Bon ok votre conversation t'a peut-être créé au fond de ta tête quelques trucs mais franchement sa manière d'être si détachée te ramène à la réalité avec ravissement. Quel honneur, je me sens flattée. Tu souries amusé, malicieux à sa réponse. Elle peut l'être, elles sont pas nombreuses celles qui te font la fermer. Même ta mère a toujours eut du mal à en placer. T'es comme ça, insolent au point de toujours avoir un trucs à rétorquer. Mais tu réponds rien occupé à savourer le repas de la jeune brune. Parce que oui tu as faim. Comme toujours. si tu t'étais tu prendrais six repas par jour. Mais non tu te contentes de 3ou4 repas, très bien garnis. De rien. Tu pourras profiter de ma cuisine souvent à partir d'aujourd'hui. Génial !!! Toi tu cuisines.... pratiquement jamais. Pas faute de ne pas savoir, nullement. Parfois quand ça te prend tu peux passer des heures à cuisiner. Mais quand ça te prend. Et c'est rare. Où alors c'est quand tu es défoncé. Génial ! Je songeais presque à me marier avec mon traiteur chinois au bout de la rue, tu me sauves !... Puis j'suis un grand cuisinier que lorsque je suis défoncé donc bon.. Tu répliques avec un rire avant de continuer ton plat, vidant ton verre d'eau en terminant déjà ton assiette.
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| | | | Jeu 11 Déc - 17:20 | |
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Vu de l'extérieur, on pourrait facilement croire que nous étions amis et que l'on se connaissait depuis un certain moment. Et moi aussi, c'est l'impression que j'ai en voyant à quel point notre échange était léger et plaisant. Pour l'instant, ce que j'avais le plus de mal à percevoir, ce sont nos différences. Il doit sans doute y en avoir quelques unes, ce qui serait normal au fond. Seulement, je ne voyais qu'une sorte d'harmonie un peu étrange. Comme si je me trouvais en face de mon moi masculin et ça, c'était plutôt drôle puisque définitivement, je n'étais pas la fille la plus... censée du monde. Il faut l'avouer. Je suis donc à la fois surprise et ravie de savoir que quelqu'un est possiblement aussi taré que moi, voire encore plus. Les gens ont tendance à prendre ça au sens péjoratif mais à mes yeux, c'était plutôt un compliment. En réalité, je plaignais sincèrement les gens trop sérieux et trop... réaliste. Ceux qui restent bien rangés et qui ne pètent jamais les plombs. Ça devait être assez difficile à vivre... Enfin soit, j'étais en train de manger alors que Camil engloutissait son repas avec une rapidité peu commune. Ok, c'est un estomac sur pattes. Génial ! Je songeais presque à me marier avec mon traiteur chinois au bout de la rue, tu me sauves !... Puis j'suis un grand cuisinier que lorsque je suis défoncé donc bon.. Grand cuisiner en étant défoncé, je ne peux pas m'empêcher d'ouvrir grand mes yeux, piquée par ma curiosité à nouveau. J'aimerais bien voir ça un jour. Mon dieu, faut que tu me montres un jour. Je ris avant de continuer à manger mon plat pour le finir peu de temps après le tatoué. On peut passer commande ou comment ça se passe ? Je lance, avec un regard joueur et le sourire qui va avec, pour finalement me lever et ranger ce que nous venions d'utiliser.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mer 17 Déc - 17:40 | |
| Tu manges tes œufs sans te presser bien qu'il disparaissent rapidement dans ton estomac. Tu bouffes énormément, pourtant tu grossies pas. Depuis ta sortie de l'hôpital en mai, tu t'es mis en sport et si tu as prit en muscle, la graisse semble toujours autant te fuir. C'est pas si mal, et le sport lui te permet de constamment te vider la tête. T'es à l'opposé comme toujours, tu sais que si tu ne trouves pas un exécutoire à ta tête, tu replongeras. Tu es comme ça, tu ne peux jamais laisser cette partie trop sombre loin de toi. Parfois durant des mois même sans rien faire tu arrives à gérer, t'es bien, t'es beau, t'es coloré. Puis du jour au lendemain y'a cette crasse dans tes pensées, ce besoin de soit l'éloigner soit sombrer. En mars malgré ton bonheur constant avec Magda t'as sombré, depuis t'es plutôt stable. Et tu te défonces qu'à l'herbe. C'est pas si mal, c'est beaucoup mieux. Alors évidement ce genre de truc tu vas pas tellement l'aborder devant Inka, pour sur qu'elle fuirait. Mais tu retiens pas de parler du reste,l'herbe... c'est pas si flippant ! Mon dieu, faut que tu me montres un jour. Tu éclates de rire en l'observant. Tu es la première fille qui me demande de me défoncer... tu viens de balayer d'une seule phrase toute perfection existante en matière de colocataire. Tu répliques en allant te chercher un autre truc à manger. Tu veux autres choses ? On peut passer commande ou comment ça se passe ? Tu ries à la suite de sa question prenant une cuillère et des yaourts glacés tu croises son regard joueur. Tu restes un instant silencieux à l'observer avant de revenir de tes délires à la réalité. C'est au choix, soit tu attends que je décide un jour par ennui à fumer... où alors tu le demandes, ça serait vraiment chouette de fumer par obligation. Tu répliques avec ce même sourire provocateur sur les lèvres. Si peu de temps et déjà une entente aussi cordiale.
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| | | | Mer 17 Déc - 21:04 | |
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L'idée qu'il vous fasse à manger complètement stone, un jour, m'amuse déjà rien qu'en imaginant la scène. Peut-être que ça aurait été mieux qu'il soit sobre pour ça mais n'en demandons pas trop. Je venais tout juste de le rencontrer après tout et malgré notre entente plutôt cool, nous n'étions pas encore arrivés à ce niveau de familiarité. Rangeant donc les assiettes et couverts dans le lave-vaisselle, je finis par le refermer alors que Camil ne semble pas rassasier vu qu'il sort quelque chose du congélateur. Appuyant mes fesses contre le rebord du plan de travail, je l'observe un instant alors qu'il s'adresse à moi une nouvelle fois. Tu es la première fille qui me demande de me défoncer... tu viens de balayer d'une seule phrase toute perfection existante en matière de colocataire. J'éclate de rire à ce qu'il avance avant de prendre une moue faussement attristée. Tu me brises le coeur en me disant ce genre de choses. Je dis avant de continuer. Mais au moins, je suis la première en quelque chose alors c'est cool. Ce faux air de petite fille abandonnée finit par disparaître, laissant ainsi mon sourire l'emporter. Tu veux autres choses ? Je secoue la tête de façon négative durant quelques secondes. Non merci M'sieur. Je n'ai jamais été une grande mangeuse, j'appréciais simplement la bonne nourriture sans m'en priver. Estomac de moineau. C'est au choix, soit tu attends que je décide un jour par ennui à fumer... où alors tu le demandes, ça serait vraiment chouette de fumer par obligation. Par obligation.. C'est à revoir. Je suis certaine que ça lui déplairait pas autant que ça dans le fond ! Ok, c'est noté. Et c'est valable n'importe quand ? Beaucoup de questions, oui ! Mais au moins, çe me préparait à l'avance. D'une certaine façon.
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| | | | | | | | WEIRD PEOPLE, WEIRD RULES // CAMIL | |
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