Tes paupières sont clauses contre la parois du mur blanchâtre, la fenêtre est ouverte, tu commence a entendre la fébrilité du vent s’enfuir. La division s’enchaine. Tu rouvres tes paupières et tu reprend une cigarette au creux de tes lèvres. T’as la gorge décalqué en ce moment, tellement t’enchaine. T’as envie de te t’arracher le pharynx, la trachée puis les éclater et les étaler contre le mur. Tu joue avec ton briquer et les nuances coloré de la flamme t’attire inexorablement comme si la puissance de son spectre te traverser, tu passes ta mains dessus rapidement à plusieurs reprise pour finir par essayer d’emprisonner celle-ci au creux de ta paume. Faible. Tu enlèves ton doigt du bouton avant de te bruler. T’essayais de prendre des respirations profondes, t’y arrive enfin. Illusoirement tu respires par la fumé car sinon tu suffoques. Tu déambules dans ton appartement en tirant sur tes cheveux en même temps. Tu dois voir Ren aujourd’hui, c’est un garçon que t’apprécie. Tu l’as rencontrer dans les rues de San Francisco, il fessait des photographie car c’est ça passion et entre vous ça à accroché. Vous avez pris un café et discuter un peu de tout, bien que tu sois resté éternellement évasive mais t’as senti que c’était quelqu’un avec des valeurs. Ca va te changer les idées. Tu chopes des fringues, tu met ton bonnet bad hair day car c’est dans l’état qu’ils sont et tu met ta veste que tu as depuis que tu as dix-sept ans. T’as pas grossie, ni grandit, elle est un peu déchiré a certain endroit mais t’es attachée a elle car elle a traversé des pluies de différent pays avec toi, tu te dépêche et tu arrives au lieu dit. Le soleil t'assassine, tu met tes lunettes et tu t'étales sur un banc.

Lunette, bonnet, veste en cuire  c’est tellement fatal comme combinaison qui est plus pour le ski. Tu regarde l’immensité du le ciel en attendant, t’as des troubles ne cessent de voltiger dans ton cortex. T'arrive pas vraiment a les stopper car ils sont trop important pour toi.  Il y a plein de bruit autour de toi grouille dans tes tympans mais tu essaie de faire la part entre chaque sons. Les enfants qui crient, les gens qui parlent, le vent qui souffle et puis tu vois Ren près de toi. Tu le détails, t’enlève ton bonnet en lui souriant  et tu vois qu’il a apporté un skate ainsi que son appareil.  « HEY ! non t’inquiète pas du tout » son appareil photo a la main, tu le regardes. Les premières photos qu’on a prise de toi, c’est ta mère . Elle en fessait énormément. Ton rapport a l’image c’est compliqué avec les années. Après son départ. Tu as voulu poursuive et retrouver les moments que tu avais partagé avec elle. Bien sur tu n’as jamais réussi. C’est devenu ce qui t’as fait échappée des cours et heureusement parce que rester confiné dans une salle de cours c’était plus possible. Au fur et a mesure que d’avoir travailler avec différent photographe, tu as pu rentré dans une agence de mannequin. Travailler un peu partout avec des gens formidables, des marques que tu affectionne particulièrement. Quand Ren t’as proposé sans te poser de question, tu as dis oui car c’est pas seulement des photos, se sont des moments, des rencontres et ça fait du bien de le faire a part de ton travail car c’est pas orchestré par des ficelles c’est plus naturel. Tu as vu ses photographies, ça ta plus et tu as découvert quelqu'un de sympathique. «  comment tu vas ? » tu regarde son skate en le regardant «  je peux ? »