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KYLIAN A. MASLOF ϟ « Les ennuis, c'est comme le papier toilette, on en tire un, il en vient dix. » i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| Mer 3 Juil - 23:29 | |
| Kylian Maslof“ « Comme le vent abat un chêne une simple phrase détruit un rêve. » ”
FICHE D'IDENTITÉ 27 yo Δ médecin légiste Δ hétérosexuel Δ libre comme l’air célib(atard) Mon nom complet est Kylian Aaron Maslof et j'habite à San Francisco depuis environ dix-sept ans. Je suis né le 8 juin 1986 à Saint-Pétersbourg, en Russie et j'entretiens des souvenirs plutôt édulcorés concernant mes jeunes années. Pour moi, le bonheur se résume en un mot: Money. Pourquoi ? Eh bien... peut-être parce qu’une liasse de cent dollars ira pas coucher avec votre meilleur ami ?, mais vous comprendrez mieux cela en lisant mon histoire. DOSSIER MÉDICAL Physique Δ Poids: 73 kg Taille: 177 cm Vue: Ok. Tatouages: Oui. Maladie: Oui.*
| Habitudes Δ Tabac: Tout dépend de l’ambiance. Alcool: Tout dépend de l’ambiance. Drogue: x Sexe: Fréquence certainement plus élevée que la moyenne américaine… Activité physique: ++
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*Diabétique. Moe. | Pseudo: moe. Nationalité: française Âge: 19 printemps Comment as-tu connu POH ? Sur PRD, en cherchant désespérément… ! S'agit-il d'un scénario? si Nope. Multicompte? Nope. Personnalité sur l'avatar: Ian Somerhalder Code du règlement: YES par June, mais… MERCI pour m’avoir mis « I’m a banana » dans la tête !! Un dernier mot? Spéculos.
| | - Code:
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[size=10]► <span class="pris">IAN SOMERHALDER</span> ✱ kylian a. maslof[/size] |
| | | | Mer 3 Juil - 23:30 | |
| ❝ - Spoiler:
Souvenir, novembre 1998 « Aller mon loulou, c’est l’heure de se coucher. » « Je veux un bisou de papa ! » « Viens là mon ange. » « Maintenant au lit. » « Je veux ma chanson aussi… » « Et le mot magique ? » « S’il te plait maman chérie !! » « Ya pas à dire, il sait comment nous faire flancher ! » « Allez mets-toi bien sous tes draps, voilà. Chéri tu peux éteindre la lumière. Bien… Tu chantes avec moi trésor ? Une bulle, bulle vole…» « Quatre bulles, bulles… » « s’envolent… Une bulle, bulle vole… » « Mais où vont ces bulles dans les ciel immense ? » « Comme des libellules on dirait qu’elles » « dansent … » Souvenir, février 1996 Il fait froid. Sur le chemin vers l’aéroport j’aperçois les arbres danser au rythme des bourrasques, agitant leurs branchages dans une frénésie que je ne leur connais pas. J’espère secrètement qu’ils me disent au revoir. Mon père freine. « On est arrivé » Est-ce la fin ? Cela s’apparente davantage à un départ à mon sens. Sans un mot, je descends de la voiture et suis mon père, presque résigné. Je n’arrive pas à distinguer ce qui se passe autour de moi, ma vision se floute, mes paupières se font lourdes… Le vent s’acharne à faire s’envoler mes larmes, en vain, il ne faut que quelques secondes à mes yeux pour se noyer à nouveau. Tout était allé si vite… A peine trois jours auparavant, je dormais paisiblement au cœur d’un foyer uni. Uni ? Après tout, qu’est-ce ça veut dire ? En quelques minutes je me retrouve à l’intérieur d’un avion, trois hôtesses pour me chouchouter, je ne peux détacher mon regard du hublot. Elle va venir. J’en suis persuadé. Mon père vient déposer sa main contre la mienne, son geste produit l’inverse de l’effet escompté lorsque je constate que son annuaire gauche est dépourvu d’une alliance. Je me recroqueville contre la vitre et pose délicatement ma main contre le verre. Un frisson me parcoure. La porte de l’appareil se referme. Les paupières closes, je reste interdite, l’avion débute son ascension. Il est trop tard… Une larme roule sur ma joue. La dernière. Adieu maman. Formulaire d’un professeur, classe de 5ème, 1998 Nom : Maslof Prénoms : Kylian Aaron Date de naissance & âge : 8 juin 1986, 27 ans. Profession du père : Banquier Profession de la mère : Déserteuse Nombre & âges des frères et sœurs : une petite soeur de deux ans de moins Activités extra-scolaires : Je fais du hockey, j’aime beaucoup lire et écrire, voir mes amis. Matière préférée : Anglais (littérature) et Biologie Souvenir, mai 2001 La musique résonnait dans mes oreilles, mon cœur battait au rythme des musiques dance qui s’échappaient des enceintes de la maison, et je cherchais à mettre la main sur une bouteille de vodka encore pleine. Un sourire par-ci, un clin d’œil par-là. Voilà bien longtemps que j’étais passé maître dans l’art de plaire et de me faire désirer. Je n’étais pas sympathique (loin de là !), j’étais juste désirable. Mon paternel (trader alcoolique de son état) me répétait sans relâche « si quelqu’un n’a pas besoin de ce que tu as à lui proposer, créer ce besoin ! ». Alors je créais ce besoin. Ouais. Je les obligeais à avoir besoin de moi. Une fois l’objectif atteins, j’avais l’embarras du choix (et des années d’expérience) pour disparaître de leur vie, et ce, sans un préalable sevrage. Je ne savais pas si on pouvait me définir comme un parfait connard (quoique m’approchant de la perfection ha ha. Ahem.) J’avais un besoin malsain d’être aimé mais je fuyais les attaches comme la peste. Il faut dire qu’après avoir dû quitter avec ma génitrice ma patrie afin de fuir l’ivrogne un peu trop violent qui me servait de père, et par conséquent avoir dû abandonner tout mon entourage, mes amis, ma famille, mes habitude, ma vie en un mot. Et après avoir eu beaucoup de mal à m’en remettre, je n’avais plus envie de souffrir d’une quelconque absence… « Kyl’ ! Par ici ! ». Je relevais un sourcil inquisiteur et cherchais d’où provenait la voix de ce qui semblait être une de mes nombreuses conquêtes. Ou qui ne tarderait pas à le devenir si tel n’était pas le cas. Si ma cousine me voyait ! Elle qui me connaissait comme un garçon rangé parfois même un peu trop. Mon déménagement soudain avait mis à nu des facettes de ma personnalité que j’ignorai jusqu’alors... Je tournais la tête et découvrais adossé contre le mur une Sarah ivre morte qui s’affala contre moi dès que je fus a porté de bras. Finalement, on oublie pour la future conquête ! « Ça me fait super plaisir que t’ai pu venir ce soir. T’as faim mon chou ? » J’esquissais une légère grimace lorsque ce « mon chou » passa le seuil de ses lèvres. Elle attrapa un saladier de cochonneries sucrée. Bien trop sucrées. « Sers-toi ! Tu rentres de ton entraînement non ? Tu dois avoir terriblement faim ! » Je ne relevais pas le fait qu’elle se souvienne de mes horaires d’entrainement qui s’avéraient être en réalité les horaires de mon cours du soir… et déclinait sa proposition. « Non merci Sarah. » Toujours veiller à citer le prénom. « CHRIIIIS ! » L’intéressé accouru. « Tu me dois 50 €, il a refusé ! » « Mec t’es pas sérieux ! » Incompréhension totale bonjour. « J’avais parié à Chris que tu ne mangerais rien de ce que je te proposerai. Comme à chaque fois. A croire que tu ne manges jamais en soirée. » « Kylian, vraiment, je pensais me faire de l’argent facile ! Aide-moi ! Mange un truc s’teuplai ! » je secouais avec fermeté la tête. « VICTOIRE ! » « 50 balles mec ! Putain ! Je suis ton pote merde, manges un de ses bonbecs et on partage là! » « Lâche l’affaire… » Chris m’agrippa par la manche, mais sa poigne était si molle qu’on pouvait très aisément prédire son état d’ébriété. « Chris lâche moi, je ne mangerai pas ces merdes. » Je le repoussais doucement mais avec fermeté. « Ces merdes, ces merdes. Monsieur prône la nourriture bio peut-être ? » « Peut-être tu devrais y songer vu la largeur de ton postérieur darling. » Ok. C’était complètement foutu pour la conquête. Mais je voulais qu’ils me lâchent. Je tournais les talons en laissant derrière moi une Sarah outrée et un Chris moqueur bien que fauché. J’empruntais le chemin de l’étage et pénétrais dans une chambre vide. Dieu que j’en avais marre. Je sortais de ma poche de jean une large pochette que je dégrafais avec aisance et habileté. Avec habitude surtout… J’en extirpais une seringue. Je relevais ma chemise sans plus de cérémonie et plantais l’aiguille dans mon ventre. La porte s’ouvrit. Je me retournais rapidement, identifiant un couple clairement désappointé que je me trouve à cet endroit. Ils fixèrent la seringue et je m’empressais de les chasser ivre de colère. « PUTAIN ! Mais frapper vous connaissez pas ? Si je rentrais alors que vous copuliez, ça vous ferait autant chier ! Dégagez ! Vite !. » La porte claqua. La seringue était vidée. Je pestais intérieurement de ne pas avoir été plus prudent, de ne pas avoir choisi un endroit plus discret. Si ça se savait… Déjà je me sentais mieux. Je rangeais tout mon attirail qui me faisait ressembler à un camé de première zone. Si seulement… Diabète de merde, je t’emmerde. Souvenir, juillet 2003 « Hey mec, je t’ai pas dit ?! J’en ai rencontré une l’autre soir. Je crois bien que j’ai touché le gros lot » Darren est un prétentieux. Un concurrent également. Je n’arrivais d’ailleurs jamais à mettre le doigt sur ce qui pouvait séduire les filles chez lui, mais en apprendre un peu plus sur les aventures d’un « adversaire » ne pouvait que m’être bénéfique. « Raconte… » « Brune, super bien gaulée, et d’une souplesse… Enfin une fille à ma hauteur. » Sinon tes chevilles se portent bien ? « Et alors au lit… Un feu d’artifice mec. J’en ai encore des courbatures… Mais je peux te dire qu’elle a pris son pied comme jamais. » « J’ose imaginer… » « Ah je peux te dire la petite Jane la prochaine fois que je la croise j’en fais plus que mon quatre heures… » Mon cœur a raté un battement. La petite qui ??? « Jane ?!! » J’ai chaud. Je sens que j’ai chaud. « Ouais ouais, une étudiante en journalisme super bien foutue… » Je le dévisage et tout simulacre de sympathie a déserté mes yeux. Résiste. Résiste. Putain elle a pas fait ça. Pas avec lui. Et merde ! Je n’arrive pas à réfréner à temps mon envie de lui coller mon poing dans la tronche et je sens son nez s’aplatir contre mes phalanges. Le tout accompagné d’un magnifique bruit ressemblant à un brisement d’os. Sans oublier un Darren hurlant de rage. Je me souviens qu’il a répliqué. J’ai surenchéris. Cependant. J’avais oublié de remarquer la bière qu’il tenait à la main. Sans le voir venir, Darren m’envoi sa bouteille en plein visage et je la sens se briser contre ma mâchoire. Intuitivement je ferme les yeux afin d’éviter de recevoir le moindre éclat dans les yeux. Le salaud. Une violente douleur m’assaille de toute part. Je reçois un coup de pied dans le ventre que je ne parviens à éviter de par ma cécité momentanée. J’atterris au sol comme un malheureux. « Connard ! » Darren s’en va, me laissant à terre en suffoquant. Je sens un liquide chaud me couler le long de la gorge. J’ouvre enfin les yeux. La douleur se fait plus vive. Je crache ma salive mais découvre avec un rictus qu’elle a davantage l’aspect du sang. Un gout métallique m’envahit la bouche. J’ai mal. Et c’est un doux euphémisme. Je tremble de tout mon corps et n’arrive pas a bouger. Et ce liquide chaud qui continue a couleur. Je comprends enfin que je suis en train de pisser le sang a même le sol. Je porte ma main à ma gorge en effleurant le dessous de mon menton. Ce contact m’arrache un cri de douleur. Je peux clairement sentir un bout de verre encore planté sous mon menton. Merde… J’extirpe mon portable de ma poche et compose un numéro en essayant de trouver appuie contre le mur derrière moi. « Jane, je crois que j’ai besoin de toi. Maintenant. » Souvenir, septembre 2006 Brouhaha. C’est sans conteste le mot parfait pour qualifier mon premier jour à la fac. Perdu entre des dizaines de bribes de conversations je tente tant bien que mal de me frayer un chemin parmi les étudiants. Le soleil caresse mes épaules me fait regretter l’été, il fait encore très chaud pour un mois de septembre et c’est presque à contre cœur que j’entre dans l’amphithéâtre où m’attend mon premier cours d’écriture, les rayons de l’astre tentent de me corrompre, en vain. Je suis à dire vraie trop impatient de débuter cette matière. Je m’installe tout comme les trois cent autres élèves assistants à ce cours, et attend patiemment l’arrivée du professeur. Il n’est pas difficile de la repérer (car oui, c’est une femme) lorsqu’elle pénètre dans l’amphithéâtre. A peine a-t-elle fait trois malheureux pas sur l’estrade qu’un silence quasi-total règne dans la pièce. Elle balaie l’espace du regard, donnant l’illusion d’analyser chacun d’entre nous un par un et avec la plus grande minutie. Avec une aisance la plus totale, elle s’empare du micro et nous souhaite la bienvenue, tous retiennent leur respiration. Et pour cause, cette femme est d’une élégance à couper le souffle, parfaitement mise en valeur dans un tailleur prune impeccablement coupé, les cheveux tirés en arrière en un chignon savamment réalisé, s’exprimant avec une telle assurance… Chacun de ses gestes empreints d’une indéfectible confiance force l’attention, l’auditoire est captivé. « Merci à tous pour votre attention. Pour ce premier cours je veux m’assurer d’emblée que vous ne vous êtes pas trompés d’option. Vous allez donc écrire, je ramasserais à la fin de l’heure. ». Le silence se brise alors, et une vague d’interrogation imprégnée de panique s’élève dans l’immense salle. Je ne pipe mot attendant patiemment plus de plus amples explications, lesquelles me sont fournissent directement après l’avoir formulé mentalement. « Pas de panique, pour tous ceux qui s’inquiètent déjà du sujet, je tiens à préciser que vous disserterez sur le sujet que vous connaissez peut-être le mieux au monde… Vous. ». Sur… Nous ? Je me moque de ma perspicacité malgré le fait que je sois abasourdie : n’y a-t-il pas sujet plus compliqué ? Déjà mes voisins noircissent avec avidité leur copie comme si leur vie en dépendait. Face à la mienne je reste interdit. Les paupières closes je tente de rassembler quelques neurones sur le sujet, l’inspiration n’accoure pourtant pas. C’est la grève des synapses ce matin ou quoi ? Je fronce les sourcils en rogne contre moi-même et décide de rouvrir les yeux. Qu’elle n’est pas ma surprise lorsqu’à la pénombre succède le visage de mon professeur face à moi. Je suis troublée. « Oh mon dieu vous avez oublié de réviser c’est ça ? ». Elle se moque de moi ou je rêve ? Je lui lance un regard noir, piqué à vif. « A moins que ce ne soit le talent qui vous fasse défaut, dans ce cas… Je ne peux rien pour vous si ce n’est vous aider à changer d’option ! ». . Elle ponctue sa phrase par un sourire ultra-bright à en faire pâlir les acteurs de la pub Signal. Garce. « Syndrome de la page blanche » Kylian Aaron Maslof (définition) : Individu éminemment complexe nécessitant plus d’une heure pour en dresser un portrait même bref. Comment ? C’est trop peu ? C’est pourtant la seule chose que je peux affirmer sur moi sans compromettre mon objectivité. Car n’est-ce pas ce que vous souhaitez ? Informer sans influence, dans l’objectivité la plus totale. Si dresser la description d’un quelconque individu est loin d’être une tâche aisée, cette dernière n’est-elle pas impossible lorsque c’est à l’individu lui-même de s’atteler à cette tâche ? Cependant, je n’ai pas envie de vous donner raison en ce qui concerne mon absence de talent, je n’ai pas non plus envie de passer les quarante prochaines minutes a compter le nombre de dalles dont le plafond est composé, c’est pourquoi je vais continuer cette dissertation en veillant néanmoins à vous préciser que le reste de ma production sera très largement soumis à ma subjectivité.
Alors… Qui est Kylian ? Si seulement je le savais moi-même ? Je dirais que, d’un point de vue purement extérieur, c’est un brun à l’humour à deux balles (« panpan »…) particulièrement développé. Mais ce n’est qu’apparence et en toute honnêteté, dans la vie, je suis un vrai connard ! Depuis vingt ans déjà, je passe mon temps à me foutre de tout et de tous. J’en ai rien à faire des gens, la seule chose dont je suis capable, c’est leur faire du mal, et à ce jeu-là, sans me vanter, je suis vraiment doué. Mais n’allons pas trop vite en besogne. Toute présentation qui vaille la peine se doit d’être structurée, et vu que j’en ai pour deux heures à plancher sur ce devoir, autant organiser tout ça ! En apparence, je renvoie l’image d’un mec mystérieux, vous savez, le genre de type, tu ne sais pas d’où il vient, ce qu’il fait, où il va, mais put*** tu ne peux pas t’empêcher d’être attiré par lui. C’est ce que j’appelle « l’aura ». C’est magnétique, quand quelqu’un t’intrigue, tu te dois de percer son mystère. Simple reflexe psychomoteur. Ben, dans le genre énigme à résoudre, je me débrouille ! C’est bien simple, j’intériorise tout (d’ailleurs je me demande bien ce qui me prend d’écrire ça !). Ma vie ne regarde que moi. Je suis comme ça, secret. Je n’aime pas parler de ma vie, de mes problèmes, encore moins admettre que j’en ai. Oui parce qu’en plus de pas être bavard, je n’aime pas avoir tort, ni reconnaître mes tords (sacré tableau je sais !). Quand on me démontre par a+b que j’ai merdé, ça m’énerve ! Il faut dire aussi que ça ne m’arrive pas souvent de me tromper. Je ne l’ouvre pas beaucoup, mais quand je l’ouvre, j’évite de dire des conneries. Je ne suis pas susceptible pour autant, certes, ça m’agace, mais après tout, pour ce que j’en ai à faire. Encore quelque chose qui a le don de rendre les gens dingues : mon « jenfoutisme » naturel. En quoi ça consiste ? Quoique que tu dises, quoi que tu fasses, ça ne m’atteins pas (ou alors je le cache très bien). Je suis réputée pour mon calme olympien, pour que je sorte de mes gonds faut vraiment mettre le paquet. Mais, je ne vais pas mentir en disant que ça n’arrive jamais ! Je donne l’impression de ne pas m’intéresser à grand-chose. D’être un peu un « sans cœur », ça me fait ni chaud ni froid. Je dois ma sérénité (face à la connerie humaine) à ma confiance en moi (légendaire !). Je ne le cache pas, je crois en moi. Je ne nierai pas non plus que j’ai une certaine fierté, cependant, je n’en suis pas fier (ahahah, quel jeu de mot !). Ouais, mon égo c’est ma bataille, je n’aime pas avoir tort, je n’aime pas quand les autres ont raison et moi non, et par-dessus tout, j’ai horreur qu’on me fasse remarquer que j’ai tort. Ma fierté me pose parfois problème, elle m’empêche de faire ce dont, parfois, je meurs d’envie. Saloperie de fierté. La mienne elle m’oblige à être con quand je voudrais être bon. Elle m’oblige à être un salaud quand je voudrais être un type bien. Elle m’oblige à faire des trucs stupides que je regretterai au lieu d’écouter mon cœur et de faire ce que je veux réellement. Ma fierté, je le sais, elle me tuera un jour, mais en attendant, sans elle, je me sens nu comme un ver. Alors je conserve cette carapace, mélange de chevilles gonflées et d’actes stupides, qui au final parvient à me rassurer. Avec toute cette confiance, j’ai pu développer une certaine ambition. Je mène tous mes projets à bien, je crois en ce que je fais, je suis passionné par mes projets. J’aime entreprendre des choses, diriger, prendre en main. J’aime commencer en bas de l’échelle pour finir au sommet. Et pour cela, tous les moyens sont bons. Je suis fourbe, manipulateur, séducteur (quand il le faut), en bref, complètement impliqué, habité, et je ne lâche jamais l’affaire, oh que non ! Ça serait comme avouer sa défaite. Je me bats toujours jusqu’au bout, je ne m’avoue jamais vaincu. A cause de cette ténacité dans tout ce que j’entreprends, j’ai écopé d’un caractère de merde ! Côté subtilité, je passe mon tour. Brut de décoffrage, je dis les choses comme elles sont, j’oublie souvent de mettre des gants (je le fais parfois avec ceux que j’aime, et encore, c’est dire). Je créer des disputes pour un rien, je m’imagine toujours le pire, je deviens jaloux en un claquement de doigts, je me tâte constamment, change d’avis, reviens encore dessus, en bref, je dois vraiment être impossible à vivre ! C’est surement pour ça que j’aime être tout seul. Je veux me prouver que je peux y arriver seul. C’est comme si j’essayais de me prouver quelque chose à moi-même, quelque chose dont j’ignore tout, mais que malgré tout, je continu à chercher. Je suis un chouilla torturé. Mais je le vis bien. Enfin… Je crois. On arrive au terme de ces deux heures. Je ne sais même pas si j’ai eu le temps de faire le tour de mon (sale) caractère. J’espère que cette présentation vous aura convaincu de me mettre une bonne note, si ça n’est pas le cas, j’espère que cette girafe corrigera le tir : »C’est avec la peur au ventre que je pénétrais dans la salle de littérature une semaine plus tard.. Oui, un nœud dans l’estomac me rendait nerveux, pourtant, j’attendais ce cours avec impatience, je voulais savoir ce qu’avait donné ce fichu devoir ! J’observe avec impatience la marée d’élèves entrer. J’ai envie de les houspiller, de leur crier d’accélérer le pas. Je conserve néanmoins mon calme. La prof nous observe d’un œil sévère. La porte se ferme, enfin. Un paquet de copies dans les mains, notre professeur déambule désormais dans toute la classe, distribuant sans aucun commentaire chaque copie. Les minutes défilent, le tas de copie diminue, mais mon tour ne vient pas. Dernière copie. Fallait que ça tombe sur moi… Remarque, il faut bien un dernier ! Elle dépose la copie sur le coin de ma table, et je m’en empare avidement sans plus prêter attention à elle. Ma note ? 19.5/20 ! Le commentaire : « Je suis enchantée de faire votre connaissance Kylian. Vous perdez un demi-point pour ne pas avoir relevé explicitement sur le papier votre plus grande qualité : votre sincérité à toute épreuve ! Joli dessin, ma fille fait les mêmes ! » Souvenir, juin 2011 L’ambiance était folle ce soir-là, les samples me vrillaient les oreilles alors que je déambulais à travers la clientèle de cette boite de nuit hype dans laquelle Jane m’avait trainé en ce samedi soir. Malgré le faible éclairage de la discothèque, il était impossible de perdre des yeux la demoiselle aux yeux noisette. Elle se mouvait au centre de la piste comme si elle avait fait ça toute sa vie, riant aux éclats, envoutante. Elle me fit signe de la main pour que je la rejoindre, je levais alors mon cosmopolitan en sa direction comme pour signifier que je ne bougerais pas tant que ce verre ne serait pas vide. Elle afficha une moue boudeuse et traversa la foule en un éclair pour atteindre le bar, et moi accessoirement. Sans un mot, Jane attrapa mon verre et la vida cul sec. Outré, du moins je voulais le faire croire, je hurlais à son attention « Tu te fous de moi ?! Et si je voulais la boire ? » Elle me rit au nez avant de répliquer « Le cosmo c’est ma boisson, ok ? Toi c’est les mojitos ! Est-ce que je bois tes mojitos ? » Elle marquait un point, et je n’avais plus rien pour l’asticoter. « Gnagnagnagna Mojitos ? » lançais-je en levant les yeux au ciel. « T’es pire qu’un gamin ! » répondit-elle en éclatant de rire. Pfff. « Et toi t’es pire qu’une gamine ! » « Ok… On est à ex-aequo alors. » « Ça me va ! » « Bon, maintenant que ton verre est vide tu viens danser ? » « Mhhh, j’ai peur que tu fasses fuir toutes les filles susceptibles de finir dans mon lit ce soir… » « Si c’est le cas, c’est qu’elles ne m’arrivent pas à la cheville ! » Elle croisa les bras sur sa poitrine, impatiente, ou… agacée ? Je ne savais pas si la façon dont je traitais la gente féminine lui déplaisait, mais ce soir, cela en avait tout l’air. « Un point pour toi ! Bon… Promis, ce soir je suis rien qu’à toi ! » Essayais-je pour me rattraper. Un sourire éclaira son visage, et je sus que tout était oublié. « C’est partiiiiiii ! » […] Ce que j’aimais le plus dans les soirées avec Jane, c’était le retour, ni elle ni moi n’étaient prêt à se priver d’alcool pour pouvoir rentrer à la maison sobre et, accessoirement, en vie. C’est pourquoi, à chaque sortie, nous rentions à pieds de nos bringues de folie. Pas toujours dans un état sympatoche, mais au moins, on ne craignait rien ! On marchait rien que tous les deux, complètement allumés, hilares, sur le coup des quatre heures du matin, il n’y avait pas un chat, et c’était bon. J’entendais Jane glousser à côté de moi, je ne pu me retenir de pouffer à mon tour, « Ma belle… T’es bourrée ! » Lançais-je en sortant une cigarette de son étui. Je la portais à ma bouche et allumais sans bruit. « Parle pour toi Kylian ! ». Cela faisait bien une demi-heure que nous marchions, elle décida de se poser sur l’herbe et de faire une pause, je décidais de la taquiner de plus belle en m’écroulant à ses côtés. « Déjà fatiguée ? Je t’ai connu plus endurante » « La ferme, je m’arrête seulement pour que tu reprennes ton souffles » « Cela va de soi. » assis en tailleur, expirant la fumée de ma clope, tête abaissée vers l’arrière, je sentis Jane poser sa tête sur mes genoux « On joue ? » demanda-t-elle en connaissant parfaitement la réponse. Depuis le temps qu’on se connaissait, on avait établi une sorte de petit jeu qui consistait à poser une question à l’autre. On avait depuis un moment dépassé le stade du « c’est qui ton amoureux » ou « t’as déjà embrassé une fille ? », les questions variaient et devenaient bien plus profondes avec le temps, et l’humeur aussi… Elle n’attendit pas ma réponse et demanda « Quel est mon deuxième prénom !? » « Kristen. De quelle couleur sont mes yeux en ce moment même ? » Je plissais mes yeux pour qu’elle ne triche pas « c’est nul comme question, ils seront toujours bleus tes yeux ! » « C’était une question piège rooooh ! Qu’est-ce que je bois le matin. » « Du chocolat chaud ! » « Plus précisément… ? » « Nesquik ! » « Elle était facile celle-là ! » « Je préfère le coca ou le pepsi ? » « Surement le pepsi, pour pas faire comme tout le monde ! » « Pfff ! Le pepsi c’est bien meilleur ! » « Qu’est-ce que je pourrais manger à cet instant précis ? » « Un maki !! » « Tu te mouilles pas ! Tu sais très bien que je pourrais manger un maki à n’importe quelle heure de la journée ! » « Je m’en fou ! J’ai bon !! Qu’est-ce que je préfère chez moi ? » Elle s’étira pour se relever, et me fixa. Elle attrapa ma cigarette entre son index et son majeur et tira une latte. J’attendais patiemment sa réponse. « Moi… ? » Elle souffla la fumée en ma direction, tout doucement. Je ne soutins pas son regard. Je détestais quand elle me provoquait. Non. C’était faux. J’adorais ça. Elle m’enivrait autant qu’un vieil alcool, elle m’envoutait… Je lâchais mystérieusement « Ptet bien… » Et me relevais en récupérant ma cigarette, me gardant bien d’effleurer ses lèvres… « On y go ! » Haha ! Face à elle, j’étais faible ! |
| | | Caleb A. Keynesi'm a motherfucking admin AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ QUARTIER : sunset District.
| Mer 3 Juil - 23:34 | |
| C'est trop bon les spéculos Bienvenue parmi nous ! Contente que vous nous rejoignez Bonne chance pour ta fiche et je le répète, Ian est un excelleeeeent choix ! |
| | | | Mer 3 Juil - 23:36 | |
| Gniaaaa Gaspard c'est genre l'homme de ma vie (Ian perd tellement sa virilité en disant ça...) Meerci beaucoup pour cet accueil |
| | | Ciara A. Halvarezall i care about is success ✱ QUARTIER : Sunset District
✱ COLOCATAIRES : mon petit ange
| Mer 3 Juil - 23:41 | |
| bienvenue !!! :D Tu as fais le bon choix en venant En plus avec Ian (a) :6789: bon courage pour la suite et si t'a un problème, une question, le staff est là ! |
| | | | Mer 3 Juil - 23:46 | |
| Shay est sublime sur ton vava Merci beaucoup je n'hésiterai pas :) |
| | | Caleb A. Keynesi'm a motherfucking admin AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ QUARTIER : sunset District.
| Mer 3 Juil - 23:46 | |
| MDRRR Mais pareil, je l'aime trop aussi ! C'trop un BG (tiens, Gaspard perd aussi sa virilité, mais bon osef ) Et Ian aussi, surtout en mode Damon Bref, effectivement, si tu as le moindre problème, n'hésite pas hein |
| | | | Mer 3 Juil - 23:49 | |
| Les gens savent pas l'apprécier à sa juste valeur pfff... Osef on va partir aux pays des spéculos Gaspard et Ian en amoureux |
| | | Sierra Desrosiersall i care about is love AVATAR : Hayley Williams.
✱ COLOCATAIRES : Son mec et sa fille.
| Mer 3 Juil - 23:57 | |
| Bienvenue sur le forum Bon courage pour ta fiche ! Et j'ai validé ton code |
| | | | | | | Sierra Desrosiersall i care about is love AVATAR : Hayley Williams.
✱ COLOCATAIRES : Son mec et sa fille.
| Jeu 4 Juil - 0:01 | |
| J'ai la chanson I'm a banana en tête aussi... Puis je viens de voir: Médecin légiste ! Il me faudra un lien avec mon DC Jules qui est thanatopractrice |
| | | Caleb A. Keynesi'm a motherfucking admin AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ QUARTIER : sunset District.
| Jeu 4 Juil - 0:01 | |
| - Kylian A. Maslof a écrit:
- Les gens savent pas l'apprécier à sa juste valeur pfff... Osef on va partir aux pays des spéculos Gaspard et Ian en amoureux
Ouaiiiis ! Cette alternative me plait bien Réserve-moi un bon lien ! (a) |
| | | | | | | Caleb A. Keynesi'm a motherfucking admin AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ QUARTIER : sunset District.
| Jeu 4 Juil - 0:06 | |
| HAN MAIS TELLEMENT ! Ca virerait pornogay mais osef quoi XD Oui n'oublie pas hihi (a) |
| | | | Jeu 4 Juil - 0:08 | |
| Purée de pois! Ne m'encourage paaaaas dans mon vice !! |
| | | Caleb A. Keynesi'm a motherfucking admin AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ QUARTIER : sunset District.
| Jeu 4 Juil - 0:11 | |
| XDD Tant qu'on y est, autant aller jusqu'au bout (bon j'arrête de flooder et de polluer ta fiche ) |
| | | Mia E. Parkerall i care about is family ✱ QUARTIER : Alamo Square
✱ COLOCATAIRES : Amélia & Lenny - mes enfants
| | | | | Jeu 4 Juil - 0:35 | |
| Bienvenu parmi nous. Ian est un très bon choix d'avatar. Bonne chance pour ta fiche. |
| | | | Jeu 4 Juil - 0:38 | |
| Ooooh deux jolis blondes pour un accueil chaleureux, merci les filles |
| | | | Jeu 4 Juil - 1:11 | |
| Bienvenue, un Ian très magnifique choix (fan de TDV voir amoureuse ) Bonne chance pour la suite :) |
| | | | Jeu 4 Juil - 11:23 | |
| WELCOME Mister Kylian, sexy boy. |
| | | | Jeu 4 Juil - 11:51 | |
| Bienvenue ! (je suis bien deg de n'avoir aucun perso féminim pour te sauter dessus ) EDIT; & touche pas à Capu elle est à moi |
| | | | Jeu 4 Juil - 12:30 | |
| bienvenue parmi nous |
| | | Denver Hopkinsall i care about is friendship ✱ COLOCATAIRES : Mickey et Snow
| Jeu 4 Juil - 12:44 | |
| Bienvenue parmi nous ! |
| | | | | | | | | | | | KYLIAN A. MASLOF ϟ « Les ennuis, c'est comme le papier toilette, on en tire un, il en vient dix. » | |
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