AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

N'hésitez pas à inscrire vos persos sur facebook et à nous y rejoindre ! (inscription facultative) ♡


N'oubliez pas de voter et afin de nous faire connaître !


Pour célébrer la nouvelle année, le Maire a organisé un bal masqué. Rejoignez-nous ici pour en savoir plus Why not... let's get over it. [HOT] 3997999705


Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH Why not... let's get over it. [HOT] 79124 Why not... let's get over it. [HOT] 79124

Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €
-67%
Le deal à ne pas rater :
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ (nouveaux clients / ...
4.99 € 14.99 €
Voir le deal

 
 Why not... let's get over it. [HOT]
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Anonymous
Invité
Invité
Mer 26 Jan - 21:16




Je ne me retournais qu’une fois ou deux pour vérifier son état et lui glisser quelques vagues sourires. Intérieurement, je savais que ça risquait de se terminer comme ça. Pas dans ces circonstances, certes, mais avec le même résultat final.

Le vieil immeuble où je vivais se dessina au coin d’une rue et j’ouvris la porte avant de la tenir pour laisser Andrew entrer. Il n’y avait pas d’ascenseur ici et mieux valait éviter d’essayer d’allumer la lumière dans le couloir, les ampoules tenaient jamais très longtemps. Ouais… j’étais content d’habiter seulement au deuxième étage.

Robbyn: « Fais gaffe où tu mets les pieds »

Je le guidais cependant sans hésitations jusqu’à mon palier, dans la pénombre, et m’arrêtais devant ma porte pour la déverrouiller. L’intérieur de cet appartement ne ressemblait pas à grand-chose, mais je faisais en sorte d’éviter qu’il y ait trop de choses qui trainent afin de ne pas accentuer l’impression qu’il s’agissait plus d’un squat que d’autre chose. L’endroit comportait une salle de bain et une cuisine séparée à l’intérieur de laquelle j’avais casé une cage pour les oiseaux de rue blessés que je soignais régulièrement. Actuellement, il y avait je ne sais trop quoi comme sorte de piaf à l’intérieur, mais ses couleurs étaient jolies. Il avait failli se faire déchiqueter par un chat avant-hier et j’espérais sincèrement qu’il ne mourrait pas de ses blessures, quoi que ça arrivait souvent…

L’unique pièce à vivre se trouvait droit devant, jonchée de tapis, une table basse au milieu, une télé dans un coin, le lit de l’autre côté. J’aimais bien cet endroit… ça faisait un peu junkie land mais c’était accueillant selon moi, dans le sens qu’on se sentait vite à l’aise à moins d’être « Bon chic bon genre » et de n’être habitué qu’aux baraques de riches avec des statues plus chères de mon appart entier en guise de décoration.

Je laissais tomber ma veste au sol et me tournais immédiatement vers Andrew pour tirer sur le col de la sienne afin de l’attirer vers moi et de l’embrasser correctement. Tout en reculant, je tirais sur son manteau pour dégager ses épaules. Si j’avais envie de lui ? Ah merde, mais plutôt deux fois qu’une, j’en oubliais même les filles de tout à l’heure, là.

Avant d’aller plus loin, j’allongeais un bras pour repousser le jeune homme à une distance d’environ un mètre ou deux sans le quitter des yeux. Doucement, je retirais mon t-shirt et fis quelques pas en arrière en lui accordant un sourire légèrement narquois mais non moins provocateur.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 26 Jan - 23:08

Robbyn & Andrew

« Why not... Let's get over it »



Andrew avait du mal à se remémorer tout ce qu’ils avaient fait depuis le début de la soirée. Se rappelant vaguement avoir prit de la drogue avant d’entrer dans le club et qu’une fois y être entré il avait bu, il n’arrivait pourtant pas à se souvenir ce qui était arrivé avec ces deux connes là. Ne les avaient-ils pas emmenées dans les toilettes ? Peut-être. Enfin. Suivant simplement Robbyn jusque chez lui, il se rendit compte qu’en marchant il avait la tête qui tournait. Merde, il devait être fatigué aujourd’hui pour que ça le rende comme ça! Ce n’est pas comme si c’avait été la première fois qu’il buvait et se droguait en même temps.

Une fois arrivé à l’immeuble où habitait Robbyn, Andy se rendit compte à quel point ce mec devait manquer d’argent. Enfin, par rapport à lui qui avait une de ces painted ladies sur Alamo Square… Pourtant, il avait l’impression qu’il s’y sentirait plus à l’aise encore que dans sa grande maison avec son père et tout ça. Il aimait bien sa famille, seulement c’était devenu un peu lourd d’habiter là. À 23 ans, il était assez grand pour voler de ses propres ailes, non? Ou de simplement planer hahaha. Bref…

Robbyn « Fais gaffe où tu mets les pieds »

Il fit comme il conseillait et, effectivement, lorsqu’ils entrèrent finalement son appartement, Andy s’y sentit presque chez lui. C’était sympa quoi qu’il se pose des questions à propos de cet oiseau qui prenait un bon espace dans la pièce. Peu importe. Il suivit Robbyn jusque dans la pièce voisine où se trouvaient un lit et tout un tas d’autres trucs qui rendaient la pièce agréable. Marty laissa tomber sa veste sur le sol et tira sur le col de celle d’Andy. Avançant au même rythme que son ami puisqu’il le tirait avec lui, il finit par sentir ses lèvres contre les siennes et répondit au baiser tout en le prolongeant. Retirant peu à peu ce vêtement futile qu’il avait sur le corps, Andrew était, encore une fois, docile face aux gestes de Robbyn.

Le baiser se rompit et Rob’ repoussa Andrew qui se contenta de le regarder de la tête aux pieds alors qu’il s’amusait à retirer son chandail devant lui. Il était encore pire que ces nana de tout à l’heure celui-là! Une vraie chaudasse qui ne pensait qu’à l’aguicher ! Mais ce n’était pas tout. La cerise sur le sundae ou le crémage sur le gâteau, dites le comme vous voulez, mais lorsqu’il lui lança ce sourire narquois et provocateur, Andy eu du mal à tenir en place. Il aurait été un animal qu’il aurait sauté sur lui en moins de deux, le plaquant au sol et le dévorant presque tellement il avait envie de lui. C’est fou comment de simple geste vous rende complètement dingue.

Avançant de nouveau vers lui en retirant sa veste ainsi que son chandail, Andy s’arrêta à une distance de bras de Marty. Il le regardait avec un léger sourire en coin qui voulait en dire très long sur ses intentions. Seulement, encore une fois, il repensait à ce qu’il avait apprit tout à l’heure… Est-ce que Robbyn faisait tout ça en le percevant comme tous les autres ? Comme un simple client? Voilà ce qu’Andy ne voulait pas et il comptait le lui faire comprendre. Ahh, si seulement sa sœur apprenait ce qui se passait actuellement, elle voudrait les tuer tout les deux…

Torse nu tous les deux, Danny passa ses doigts sur l’unique tatouage que Robbyn avait sur le torse, contrairement à lui qui en avait plusieurs. Glissant les doigts dessus en le regardant toujours dans les yeux, il sentit qu’il commençait à avoir la chaire de poule et ce n’était clairement pas du à la température trop basse, il faisait assez chaud. Passant sa main libre, soit la gauche, dans les cheveux de son ami, Andrew s’approcha et l’embrassa intensément collant son corps au sien.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 27 Jan - 1:06




J’avais déjà vécu ça des dizaines de fois, déjà effectué ces mêmes gestes bien souvent au point de savoir lesquels fonctionnaient le mieux avec qui. J’étais clairement conscient de ce qu’il voulait et également de comment lui donner encore plus envie de l’obtenir. Tout ça… c’était juste des techniques. J’avais eu des relations avec tellement de gens qu’il m’arrivait d’oublier certains visages lorsque je ne les ai vus qu’une fois. Avec ces gens en manque d’attention, soit on fixait le prix au départ car c’était la première ou unique fois, soit on se retrouvait quelque part car on en avait l’habitude. J’ai eu affaire à tout et n’importe quoi, un jour je me suis même fait envoyer des billets d’avion parce qu’une de mes Dames avait besoin de ma présence à New-York, dans sa chambre d’hôtel qui surplombait la ville… et on n’a presque rien fait de physique ce soir-là. Elle avait juste besoin qu’on lui donne de l’affection et qu’on l’écoute. J’avais le profil parfait pour ça, j’étais cet amant qui n’appartenait qu’à lui-même... et même si je suis qu’un gigolo, je crois sincèrement que c’est pas impossible d’aimer quelqu’un.

Je laissais les mains d’Andrew se poser sur moi sans broncher et répondis à son baiser. Je ne me lassais pas de la manière dont il embrassait, et celle-ci me fit soupirer à elle seule plusieurs fois, mais les secondes passaient et il fallait passer à la suite. Il avait l’air plutôt pressé dans la rue, tout à l’heure, qu’est-ce qui lui prenait tout à coup ? Je n’avais pas envie de repenser à son discours sur le fait qu’il voulait que je le traite différemment des autres… mais il n’y avait rien à faire. Plus le temps s’écoulait, et plus cette vision qu’il avait de la situation me prenait la tête. Comment est-ce que je devais faire ?! Je sentais bien qu’il n’y allait pas aussi franco que tout à l’heure, alors je compensais de mon côté en tâchant de donner l’impression que je ne réfléchissais pas à mes gestes… Et c’était pas facile du tout de faire ça.

Quelques temps plus tard, les vêtements étaient au sol et les draps du lit tirés. En dessous de ça, il y avait nous deux, et ça se passait plutôt bien. J’avais encore rien fait de très concret avec Andrew, mais il était bon… même si je ne ressentais rien de plus que des sensations standard à son toucher. Il n’y avait peut-être que ses baiser qui sortaient de l’ordinaire à mon goût. À plusieurs reprises, nous avions des contacts visuels, et je voyais l’évolution dans son regard au fur et à mesure que les choses avançaient. Il aimait ça, il s’amusait bien, il me voulait, et moi je voulais bien m’offrir gratuitement, mais je n’avais rien d’autre à partager avec lui que mon corps et ma chaleur physique.

Mes yeux clairs restaient quant à eux neutres pour ne pas dire inexpressifs, alors je les fermais le plus souvent possible et priais pour que mon ami se dépêche de me retourner sur le ventre afin que je n’aie plus besoin d’avoir son visage en face du mien. Par miracle, ça arriva juste après que j’y pense. Oh, merci ! Je tournais la tête sur le côté et gigotais sèchement en-dessous de lui en grognant d’appréciation, mais lorsque son bassin se posa, ce fut une toute autre affaire. En une fraction de secondes, je me mis à me poser tout un tas de questions et serrais les dents.

Robbyn: « Danny... Qu’est-ce que tu veux obtenir de moi? C'est où qu'tu veux en venir? Qu'est-ce que ça change...? »

Oui, qu’est-ce que ça changeait que je baise sans y mettre vraiment du mien ou non ? Ca ne voulait pas dire qu’il était nul si je ne réagissais pas comme un puceau face à sa première fois…

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 27 Jan - 1:47

Robbyn & Andrew

« Why not... Let's get over it »



Danny posait ses gestes dans une lenteur exagérée pour que son partenaire comprenne qu’il ne faisait pas tout ça sans but et sans sentiment. Je ne dis pas qu’il faisait la chose avec amour, seulement qu’il ne la faisait pas avec indifférence. Il tenait à Robbyn en tant qu’ami et si les choses changeaient, il tiendrait tout autant sinon plus au beau brun là. L’embrassant intensément et passant la moitié de son temps à le regarder dans les yeux Andrew espérait faire son bout de chemin.

Enfin, au bout d’un moment il n’eut d’autre choix que de se laisser aller au plaisir de la chair, retirant ses vêtements et se retrouvant sous les couvertures avec Robbyn. Leurs corps l’un contre l’autre semblait être parfaitement fait pour être ensemble -à quelques détails près bien entendu. Andrew s’amusait bien et Robbyn semblait y mettre un peu du sien aussi tout de même, surtout lorsqu’il l’embrassait. Chose certaine, ils avaient envie du corps l’un de l’autre et ils le démontraient assez explicitement.

Vint le moment où Danny plaqua son ami sur le ventre pour le prendre par derrière. Il plaça ses mains sur ses hanches et s’avança, appuyant son bassin contre le creux de ses reins. Seulement, il n’eut pas le temps de faire grand-chose entre les gigotements de Robbyn, ses grognements et ses soudaines questions existentielles. Andy arqua un sourcil, totalement perplexe.

Robbyn « Danny... Qu’est-ce que tu veux obtenir de moi? C'est où qu'tu veux en venir? Qu'est-ce que ça change...? »

Il s’arrêta de tout mouvement, laissant tout de même ses mains sur les hanches de Robbyn et baissa la tête un moment, les yeux fermés. C’est vrai au fond, que voulait-il obtenir de lui? Où voulait-il en venir? Par contre, une question était facile de réponse. Qu’est-ce que ça changeait? Tout. Il n’était pas un client, il ne payait pas pour ses services et ce n’était pas non plus des services tout ça. Enfin, il l’espérait du moins, il espérait bien que Robbyn de faisait pas ça simplement pour lui faire plaisir. Mais bien parce que lui aussi en avait envie. N’avait-il pas vu de l’excitation dans son regard? Du désir aussi? S’était-il complètement trompé? Il prit une grande inspiration, releva la tête et regarda Robbyn.

Andrew « Je veux que t’arrête de te voir comme un simple objet Robbyn. T’en ai pas un d’accord ? J’te paie pas pour coucher avec moi parce que je ne veux pas de tes services. Si tu n’y prends pas goût ou plaisir, alors arrêtons maintenant. Je ne veux pas être le seul de nous deux à apprécier ça, j’ai pas envie d’te baiser comme cette comme dans les toilettes. Où est-ce que j’veux en venir? En venir au fait que je t’laisserais pas faire de toi un rebut. Pas avec moi, pas à mes yeux Marty. Tu vaux plus que ça, mille fois plus que ça. Et tu mérites mieux que ça aussi… »

Il prit une pause, il venait quand même de lui en déballer un max là. Se déplaçant pour s’assoir à côté de lui, il s’appuya la tête sur le mur et soupira en fermant les yeux. Puis, les rouvrit et tourna la tête vers lui.

Andrew « Et puis, ça change tout Robbyn… J’ai rêvé en voyant de plaisir dans tes actions et du désir dans tes yeux? J’ai rêvé en entendant tes soupirs et tes grognements? C’était du faux tout ça, c’est ça? »
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 27 Jan - 11:34



En réalité, c’était un peu compliqué. Mon esprit s’était en quelques sortes séparé de mon corps avec le temps, et même si celui-ci avait des réactions tout à fait normales durant les relations sexuelles, dans ma tête, je crois que le plaisir il a eu de plus en plus de mal à se faire une place. Pourtant j’adore ça, je le sais, tout comme je n’ignore pas mes tendances nymphomane bien que je connaisse des cas beaucoup plus sérieux que le mien. Mais voila… j’sais pas, j’infligeais à mes partenaires un « comportement placebo » totalement artificiel parce que le cœur n’y était plus comme avant, et ça m’arrivait d’être jaloux en voyant ces gens s’éclater au point qu’ils en arrivaient à l’orgasme à la fin. Putain ouais, je sais que je suis bon, je sais que c’est pour ça que vous revenez me voir en dehors de ma belle gueule et de mon caractère, je sais que c’est pour ça que vous voulez parfois quitter votre copain ou votre copine pour vous caser avec moi…

Mon œil était toujours levé sur Andrew avec attention. Je finis par lâcher les draps de mes mains moites et écoutais ce qu’il me disait comme s’il y avait moyen d’y trouver une solution à mon problème. Lorsqu’il quitta sa position pour s’asseoir contre le mur, je me redressais sur les coudes.

Ca faisait combien de temps exactement ? Combien de temps que j’avais pas couché gratuitement avec quelqu’un pour le fun et non pas pour assouvir un simple besoin en soirée? En fait, j’m’en souviens pas. Mon regard partit sur le côté. C’était depuis la sœur de Danny, j’crois… et en parlant de Mary, elle en avait appris pas mal au niveau « technique » durant les quelques mois qu’on a passé ensemble, c’était sympa même si j’ai jamais pu lui dire comment je faisais pour être aussi attractif et efficace au pieux. Avant qu’elle l’apprenne, j’ai décidé de la quitter parce qu’elle l’aurait mal vécu. C’est une fille qui se pose plein de questions et qui m’aurait tout le temps demandé si je l’aime après ça. Hum. Et même… même avec elle, je me souviens pas d’avoir jouit. Sans Harmony, il n’y avait plus rien putain, c’est depuis que je suis parti de chez elle pour la dernière fois que j’suis vraiment devenu un objet, comme le dit Andrew. Avant ça… on faisait notre travail avec un réel plaisir tous les deux, et quand on était ensemble c’était des expériences toujours intenses et sincères… mais je l’ai perdu, ça.

Je ne savais pas quoi répondre à mon ami, surtout à ses dernières questions. Il avait deviné juste… et je crois que mon court silence le laissait clairement comprendre.

Robbyn: « J’suis désolé… je ressens que dalle à l’intérieur, c’est niqué depuis un moment. Je t’aime beaucoup, mais tu peux rien changer Andy. »

Malgré ça, j’aurais bien voulu aller jusqu’au bout pour voir ce qu’il valait lorsqu’il montait les gens. Évidemment, c’était agréable de coucher avec lui, physiquement parlant, mon corps réagissait tout seul et semblait vraiment tout content, mais y’avait un problème et je ne sais pas d’où il venait. Mhh… le seul truc que je peux dire en étant à peu près sûr de ne pas me tromper, c’est que j’ai retrouvé personne pour m’aimer moi avant d’aimer mon corps, alors je vois pas de raison de leur donner plus que ce qu’ils attendent en priorité. Avec le temps, le blocage est devenu inconscient, mais je suis pas triste de ma situation pour autant. Cependant, c’était la première fois que j’avais ce genre de conversation avec quelqu’un. Je respectais Andrew, c’est pour ça que je ne l’ai pas laissé aller plus loin sans qu’il sache qu’il baisait gratuitement cette pute dont il voulait pas tout à l'heure. Je crois que s’il a été capable de se rendre compte qu’il y avait quelque chose qui clochait chez moi, c’est parce qu’il avait prit le temps de m’observer malgré son état vaseux, parce qu’on était amis et que comme il me l’avait fait comprendre, j’avais une certaine valeur à ses yeux. Ou alors peut-être qu’il se sentait juste insulté que j’agisse avec lui comme avec n’importe qui. J’espère pas… j’avais pas envie qu’il garde un mauvais souvenir de sa relation avec moi. Avec un petit sourire aux lèvres, je tendis un bras vers son entrejambe pour la caresser du bout des doigts.

Robbyn: « Tu bandes à mort, laisse pas ça comme ça. C’était pas désagréable, t’sais… »

Bizarre… c’était le premier à vraiment faire attention à « mon bien être » à moi et pas juste au sien... J’appréciais le fait qu’il m’estime à un autre niveau. Un petit soupir m’échappa. Je réfléchissais, et plus ça me travaillait dans la tête, plus j'avais envie de disparaître sous le matelas. À la place de ça, je tournais la tête du côté opposé au sien pour et me pinçais les lèvres avant d'élever à peine la voix.

Robbyn: « Tu veux me faire sentir que ça peut être différent, hun? Bah... montre moi que je vaux mille fois plus que ce que je pense avec autre chose que des mots alors... je sais plus ce qu'on ressent dans ces moments-là... fais-moi l’amour »

Je connaissais pas d'autre terme pour exprimer cette manière là de coucher avec quelqu'un, celle où on s'implique et qu'on le fait comprendre, même si c'était juste amical. C'était peut-être égoïste de ma part.


Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Ven 28 Jan - 10:31

Robbyn & Andrew

« Why not... Let's get over it »



Le silence de Robbyn était lourd à supporter. Ainsi, il avait raison. Ce qu’il avait cru voir n’était que du feu. S’il couchait avec lui ce n’était pas pour son plaisir, mais celui de Danny. Son corps réagissait simplement aux stimuli, rien de plus. Avalant difficilement sa salive, il regardait droit devant lui, le mur qui leur faisait face sans aucune expression. Il était déçu.

Robbyn « J’suis désolé… je ressens que dalle à l’intérieur, c’est niqué depuis un moment. Je t’aime beaucoup, mais tu peux rien changer Andy. »

Ça il avait comprit, pas la peine de le répéter. Serrant les poings du plus fort qu’il le pu, Andy tentait de passer par-dessus cette situation. Enfin, mentalement parlant puisqu’il ne pouvait pas réellement faire comme si de rien était alors que Robbyn venait de lui dire mot pour mot qu’il n’avait rien à faire de ce côté-là. Andy inspira profondément, puis laissa échapper un long soupir. Parfois il aimerait faire abstraction de tous sentiments face aux personnes qui lui tiennent à cœur. Comme cette pute dans les toilettes plutôt. Il l’avait baisé sans sentiment, sans remord et c’était aussi bien comme ça. Elle avait eu ce qu’elle voulait et lui aussi. Seulement, il ne pouvait simplement pas faire la même chose avec Robbyn. Merde, pourtant, ce n’était qu’un pote non? Et c’était son travail aussi…

Rien n’y faisait. Danny ne pouvait simplement pas voir les choses sous cet angle. Il acceptait mal de savoir son ami dans une situation pareil. Il ne voulait pas le baiser et s’en aller ensuite pour faire comme si de rien était au travail lundi matin. Il n’avait pas envie de le croiser tous les jours en se disant qu’ils avaient eu une nuit torride, mais qu’il n’y avait pas eu de plaisir émotif là-dedans. Il ne demandait pas à être aimé et lui-même n’aimait pas non plus. Seulement, j’en sais rien, un petit quelque chose…

Robbyn finit par couper le nouveau silence qui planait en tendant une main vers l’entre jambe de Danny, toujours aussi dur. Baissant les yeux pour voir ce qu’il ferait sans toutefois bouger, il ne fut même pas surpris que ce dernier joue un peu avec. Il fixa ses doigts joueurs un instant et tourna lentement le regard vers lui.

Robbyn « Tu bandes à mort, laisse pas ça comme ça. C’était pas désagréable, t’sais… »

Effectivement. Il était toujours dur comme un chevreuil, rien à faire pour perdre son érection. Il eu un sourire en coin en le regardant et ne pu s’empêcher de rigoler un peu. Ce n’était pas désagréable, encore pas mal… S’il avait fallu qu’en plus de ne pas y mettre du sien il n’ait pas aimé, je crois que notre Danny serait retourné chez lui sur le champ. Enfin. Robbyn se retourna et Andrew fronça les sourcils. Il avait quoi d’un coup? Il voulait dormir? Se rapprochant un peu au dessus de sa tête en entendant à peine sa voix, Danny tendit l’oreille pour bien entendre.

Robbyn « Tu veux me faire sentir que ça peut être différent, hun? Bah... montre moi que je vaux mille fois plus que ce que je pense avec autre chose que des mots alors... je sais plus ce qu'on ressent dans ces moments-là... fais-moi l’amour »

Andrew ouvrit grand les yeux, incertain d’avoir correctement compris ce qu’il venait de lui demander. Lui faire… l’amour. Restant figer un bon moment, ni l’un ni l’autre ne bougeait ou ne disait mot. Il devait le faire, voilà tout ce qu’il pensait. Si c’était là la seule façon de le lui prouver, alors il le ferait. De toute façon, il était trop tard pour reculer, il était déjà accro à lui, une vrai drogue. Non, c’était même pire….

Prenant finalement le visage de son ami dans sa main, il le força à se retourner sur le dos et à le regarder. Une fois qu’il l’eut bien face à lui, Andy plongea son regard dans le sien et l’embrassa doucement en tenant toujours son visage dans sa main. C’était étrange de faire ça. Il n’avait jamais été aussi… tendre avec un homme. Au bout d’un moment, il se redressa et le retourna de nouveau sur le ventre lui demandant seulement de se mettre sur les genoux.

Andrew « Abandonne toi… »

Oui, voilà ce qu’il devait faire. Cesser de penser à quoi que ce soit. Vivre le moment présent, apprécier et aller puiser au plus profond de lui-même ces sensations qu’il avait perdues depuis longtemps. Entrant d’un bon coup en lui, Andy eu du mal à retenir un soupir de soulagement. Attrapant Robbyn par le torse, il le releva pour le coller contre lui, lui retournant la tête pour l’embrasser passionnément. Ses mouvements de bassins se faisaient de plus en plus intenses. Courts et vifs au départ, puis de plus en plus longs, rapides et posés au fur et à mesure que le temps passait. Ne retenant plus ses soupirs ou encore ses gémissements, Andy avait du mal à l’admettre, mais il faisait l’amour à un homme qu’il ne considérait maintenant plus comme un seul ami…
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Ven 28 Jan - 16:43


Un silence, et puis une main. Je le laissais faire et me tournais sur le dos pour relever doucement les yeux vers les siens. Je ne savais pas trop ce que j’y cherchais ni si j’allais y trouver quoi que ce soit, mais un gros soupir m’échappa pendant ce temps mort et je fermais les paupières lorsqu’il s’approcha pour m’embrasser. Vraiment. Je sentais la différence entre les autres fois et celle-ci, parce qu’il prenait son temps pour bien faire. C’était pas juste une question de laisser son corps réagir à sa guise mais de se canaliser parce qu’on veut communiquer d’une manière ou d’une autre. Il le faisait pour moi…

Putain… depuis combien de temps c’est moi qui fais tout pour les autres sans me poser de questions? Depuis quand je l'attend, cette attention?

J’eus à peu près le temps de prendre conscience de ça avant qu’Andrew me fasse changer de position pour la suite. Le déclic ne fut pas immédiat pour moi malgré ce qu’il m’avait demandé de faire, me laisser aller, et j’étouffais une petite plainte en le sentant entrer. J’entendais son ressenti à chaque mouvement, je sentais son cœur battre contre mon épaule encore et encore, et tout cela me fit grincer des dents pour je ne sais pas trop quelle raison si ce n’est que je me braquais automatiquement. C’est au moment où je m’y attendais le moins qu’il me fit tourner la tête pour m’embrasser, et là… je crois que tout avait changé en un claquement de doigts. Merde, il prenait le temps de m’embrasser ? Je fus un peu surpris car absolument pas habitué à ce genre de traitement, et à son mouvement de bassin suivant, un gémissement m’échappa. Je répondis immédiatement à la langue du type au-dessus dont je savais plus le prénom sur le coup, cherchant le maximum de contact avec lui avant de commencer à craquer. Tout tombait en morceaux à l’intérieur, ou plutôt se liquéfiait, libérant mes poumons et mes cordes vocales. Je sais pas, je sais plus, y’avait trop de choses d’un coup et il fallait que ça sorte, alors je commençais à soupirer plus ou moins bruyamment. Andrew. Les gémissements prirent le dessus sur les soupirs. Andrew. Je redressais mon visage entre mes épaules et ouvrit à moitié les yeux en sentant que je tremblais. S’il ne m’avait pas retenu au niveau de la poitrine, je crois que je me serais écroulé en quelques secondes parce que mes genoux me laissaient progressivement tomber. C’est fou, c’était impossible que ça se passe comme ça, j’avais une condition physique qui me permettait de tenir facilement une heure en temps normal et là j’en pouvais plus au bout de quelques minutes à peine. Il était où le problème ? Je sentis Danny aller plus loin et mon dos se cambra pour l’aider avec un certain plaisir… mais intérieurement, y’avait trop de trucs qui se passaient. Et je savais même pas ce que c’était. J’avais mal mais j’étais content, je ressentais des nausées mais je ne voulais pas que ça s’arrête. En fin de compte, tout ce que je fus capable de faire pour m’exprimer clairement, c’est de crier en mordant l’oreiller pour ne pas faire trop de bruit. Je fis de mon mieux pour tourner la tête sur le côté en haletant, puis lançais un regard vers le haut avant d’appeler Andrew. J’arrivais pas vraiment à prononcer plus que la première syllabe de son prénom en fait, mais bon… ça semblait suffire puis-ce qu’il est revenu m’embrasser avec plus de volonté qu’avant. J’étais vraiment stupide, y’a pas d’autre mots, tellement stupide que j’me suis mis à chialer parce que j’étais bien grâce à un débile qui s’assume pas.



Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Dim 30 Jan - 17:50

Robbyn & Andrew

« Why not... Let's get over it »



Plus le temps passait et plus Andrew arrivait à faire l’amour à Robbyn comme il le lui avait demandé. Il s’abandonnait réellement à ce qu’ils étaient en train de faire et Drew le sentait flancher un peu plus à chaque instant. Lorsqu’il l’embrassa en le collant contre lui, tout changea et à partir de ce moment, Robbyn se mit à soupirer et à gémir librement. Il ne semblait pas faire semblant ou se forcer pour quoi que ce soit, c’était naturel, tout simplement.

Au bout d’un moment, il ne réussissait plus à ce contenir visiblement puisqu’il se planta la tête dans l’oreiller en criant. Andrew le regardait toujours, n’arrêtant pas ses mouvements de vas-et-viens de plus en plus intenses. Il était au max de sa puissance et ne comptait pas ralentir. Robbyn tourna légèrement la tête et murmura à peine la première syllabe de son nom. Pourtant Andrew comprit. Il se pencha un peu et l’attrapa pour l’embrasser en y mettant tout ce qu’il lui restait. Lorsqu’il se redressa enfin un peu pour finir, il regarda Robbyn et vit qu’il pleurait. Son cœur se contracta fortement dans sa poitrine lui donnant presqu’un spasme. Il gémit une dernière fois et s’allongea de nouveau sur Robbyn un moment, le serrant dans ses bras.

Dites moi qu’il pleurait parce qu’Andrew avait réussit à lui faire voir ce qu’était faire l’amour. Andrew avait un certain sentiment d’accomplissement après avoir fait ça. Seulement il s’en foutait. Tout ce qui comptait, là, maintenant, c’était Robbyn et lui. Il se retira et se coucha à côté, l’attirant vers lui pour qu’il couche sa tête sur son torse. On pouvait entendre son cœur battre intensément à des kilomètres à la ronde, mais il avait envie qu’il soit tout près pour le sentir contre sa joue. Il le serra très fort et embrassa instinctivement sa tête.

À bout de force, son rythme cardiaque changea lentement et redevint plus régulier. Il commençait déjà à sombrer et à s’endormir, mais il n’en avait pas envie. Tout ce qui comptait là c’était Robbyn, Robbyn et Robbyn. Il l’obsédait totalement et il avait envie de l’écouter respirer toute la nuit. Son cœur avait reprit de l’ampleur dans sa poitrine à un point tel qu’il se demandait comment il pouvait y entrer. Qu’est-ce qu’il lui avait fait pour qu’il se sente comme ça? Il lui releva le menton et l’embrassa, tentant d’évacuer les tourbillons qu’il avait dans l’estomac. Rien à faire, c’était seulement pire. Il le regarda dans les yeux et resta comme ça un bon moment, incapable de penser correctement. Putin, il devrait aller prendre l’air.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Dim 30 Jan - 21:02


Horrible. Maintenant que ça avait commencé, j'arrivais plus à m'arrêter. C'était vraiment pas dans mes habitudes de craquer au point de me mettre à pleurer, pourtant. En général, si je me sentais pas bien, je fumais jusqu'à ce que ça me calme ou bien dans le pire des cas j'allais vomir, mais là c'était même pas du mal être. Au contraire, j'étais content je crois, tellement content que j'arrivais pas à gérer tout ce que cet espèce de réconfort qu'on m'avait amené durant la soirée me faisait. Bordel Andrew, mais qu'est-ce que tu m'as fais?

Je ne fis même pas attention au changement de position du jeune homme et posais simplement ma tête contre lui lorsqu'il se coucha avant d'éclater en sanglots dans ses bras. Je cherchais un endroit où m'agripper à lui presque immédiatement et me collais à son corps pour maximiser le contact entre nous tandis que je me calmais progressivement malgré deux ou trois crises qui revinrent me secouer à chaque fois qu'il me touchait gentiment. J'étais pas habitué à cette position, pas du tout, mais ça me donnait l'impression d'être... je sais pas... humain sensible plus qu'objet de réconfort. J'suis pas une peluche avec qui on se console, merde, ouais, voila.

Une main arriva pour me relever le menton un peu plus tard, et je me laissais totalement faire en fermant les yeux dans un petit soupir de soulagement. Ma paume se posa sur la joue d'Andrew durant notre baiser et je rouvrais les paupières pour le découvrir juste en face de mon visage, le regard rivé sur mes pupilles. Ça ne me dérangeait pas qu'il me fixe ainsi... et je n'avais pas vu autant de concentration dans les yeux de quelqu'un depuis longtemps. Je pensais savoir ce qui lui traversait la tête, d'ailleurs. Apparemment, je n'étais pas le seul à qui il arrivait des trucs ce soir, hein? Combien de mecs avaient passé dans son lit jusqu'à aujourd'hui? Même pas une demi-douzaine j'imagine. Il n'arrivait pas à accepter cette partie de lui à cause des autres personnes et de notre société de merde qui traitait n'importe quelle personne un peu différente comme un animal de foire. L'homosexualité n'était même pas le pire des cas selon moi... et il suffisait juste d'avoir un prénom un peu étrange pour qu'on nous mette de côté parfois. Combien j'en connais qui se sentent rejetés à cause de conneries? Je sais à quel point c'est dur d'être dans la merde, à quel point on peut se faire traiter comme un chien par des imbéciles juste parce qu'ils ont plus de fric ou d'influence que vous, et ça fait très longtemps que je laisse plus l'avis des gens prendre le dessus sur ce que je fais de ma vie ou de mon corps. C'est moi qui décide depuis que je suis gamin comment m'auto-éduquer, alors allez vous faire foutre. Je suis encore en vie après plus de vingt ans sans avoir eu besoin de vos conseils. Société pourrie... je la déteste, tout comme je déteste ceux qui s'y plient aveuglément. Andrew en est la victime actuellement et je ne compte pas le voir se refermer sur lui-même par manque de confiance. Mais ce soir... je lui en avait peut-être trop demandé... malgré ça, je me sentais terriblement bien grâce à lui, alors je lui souris sincèrement avant de le lâcher en voyant qu'il était prit entre deux feux. Ma petite voix finit par s'élever après un silence.

Robbyn: «Les cigarettes sont sur la table si tu veux...»


Je reposais la tête sur le matelas et inspirais profondément. Bon, ça sentait pas l'air frais, c'est sûr, mais j'étais presque mieux qu'après une dose d'héroïne, et mon sourire ne voulait plus partir. Je fixais alors simplement le plafond où j'avais placé un attrape-cauchemars qui pendait au-dessus du lit et laissais deux dernières larmes couler le long de mon visage. J'avais pas envie de les essuyer, ni celles-ci, ni celles d'avant, ça sécherait tout seul, je crois je pendant quelques minutes, je serais heureux. À ce moment-là, je ne me rendais pas encore compte que Danny allait progressivement commencer à m'obséder dans les jours à venir. Alors oui, c'est ça, je vaux mille fois plus que ce que je pensais?

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Lun 31 Jan - 17:37

Robbyn & Andrew

« Why not... Let's get over it »



Robbyn était face à lui et Andrew s’en sentait bien. Enfin. D’un côté seulement. Il ne se sentait pas particulièrement bien d’être aussi bien face à un homme justement. Et puis, Robbyn avait raison tout à l’heure. On s’en fou des gens, on s’en fou de ce qu’il pense. Andrew y arrivait assez bien normalement, enfin, à les laisser faire je veux dire. Mais par rapport à sa bisexualité c’était simplement impossible pour lui… pour l’instant en tout cas. Les commentaires déplacés, les regards de travers dans la rue, les préjugés et les images grotesques que les gens se faisaient… C’était trop con, trop dur.

Robbyn «Les cigarettes sont sur la table si tu veux...»

Andrew le regarda encore un peu alors qu’il reposait la tête sur le matelas, versant encore une ou deux larmes. Il prit ensuite une cigarette qu’il alluma après s’être quelque peu redresser sur le lit et il en tendit une à Robbyn avant de la lui allumer. Inspirant et expirant au rythme lent de sa respiration, Danny se calmait peut à peut. Le pire n’était qu’à venir. Il devrait en parler à Mary de tout ça, il ne pouvait simplement pas le lui cacher. Comment prendrait-elle la chose? Elle qui ne savait même pas qu’il avait une quelconque attirance pour les hommes, elle serait bien sur le cul de l’apprendre. Enfin….

Andrew « Merci Robbyn… »

Ce commentaire venait du plus profond de lui. Il le pensait et sentait un grand besoin de le lui dire. Il ne le remerciait pas pour l’avoir laissé faire ça sans payer. Il ne le remerciait pas non plus pour la baise qu’ils venaient d’avoir. Non, il le remerciait de lui avoir laissé une chance de lui prouver qu’il n’était pas cette catin qu’il croyait être. Et puis, il ne le savait pas encore, mais tout ce qui arriverait avec sa sœur le rendrait triste et enragé au point de s’accrocher encore plus à son ami.


;; Terminé ~
Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut Aller en bas
 

Why not... let's get over it. [HOT]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Lets dance - Dom & Emi
» LETS DO THIS TOGETHER ☮ Dehlila, Mary Jude & cie
» IMOGEN RAYNE ELIN GINSTORM ★ lets play a game little motherf***ers

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Pursuit of Happiness :: POH V.1 ::  :: RPs autres.-