✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
Dim 31 Mar - 18:12
i juste met you, this is crazy...
2 Avril, 09h” Le soleil frappe doucement ma vitre pour venir perdre ses rayons sur mon parquet où traine un millier de chose par rangées à leur place. C'est rare que mes rideaux soient pas tirés, surtout ces derniers temps où je préfère ma chambre plongée dans un pénombre pas totale mais plutôt sympathique. Surtout le matin. Mais bon.. faut dire que cette nuit j'y ai pas forcément pensé de suite. Voir pas pensée tout court. Cette nuit, où plutôt y'a quelques heures. Couché bien trop tard pour appeler ça une nuit. Mes yeux s'ouvrant depuis peu de temps sont donc un peu dérangé par cette clarté étrange, alors que je referme les paupières un instant. Seulement un instant pour sentir une présence dans mes bras. Évidement j'ai besoin d'aucune aide pour savoir l'identité de cette personne, faut dire que déjà la semaine passée pour le nombre de fois que je l'ai ainsi retrouvé éveillée... Elle est rentrée hier dans la soirée, on a discuté, on a mangé tous les trois, tranquillement, le temps à filer. Incroyablement lentement de mon côté, et j'ai détesté ça en faite. Puis Niki nous a laisser pour aller retrouvé son chéri, notre voisin de palier. Et c'est là que le temps s'est plus qu'embrayé pour finir ici...
Elle dort je le sais, sinon je ne me serais pas réveillé de moi même j'en suis assez certain, elle se serait tirée pour aller manger, ou alors elle m'aurait réveillé. Trop prévisible comme colocataire. Colocataire, je rie en silence finissant par ouvrir de nouveau les yeux me tournant pour l'observer un temps. Étrangement je me sens bien. Bon ça serait mentir de dire que je ne pense pas un dixième de seconde à Harvey, mais... juste un peu, et après sa moue dans son sommeil finit par me tirer de ce genre de pensée. Attrapant son soutien-gorge qui traine je l'observe en riant. Sérieusement elle a besoin d'en porter ? C'est pas comme si elle en avait énormément... Elle me frapperait. M'amusant à le tenir par un bout je viens chatouiller son cou avec le bout du tissu la voyant un peu réagir mais pas assez... Debout !! Je balance brutalement avec un sourire conquis aux lèvres. Well charlotte, bon retour à San Francisco dans mon lit sweet heart. Je l'observe alors se réveiller dans un léger sursaut, tiré du sommeil par ma brutalité. C''est pas que je m'en veux pas et que je culpabilise pas mais... un peu quand même quoi. Et puis bon c'est pas comme si il n'était que neuf heure, qu'elle a laisser échapper qu'aujourd'hui elle bossait pas, donc elle pourra se rendormir. Je veux bien même qu'elle le fasse dans mon lit... après. J'peux te poser une question ? Je demande à moitié sérieux passant un bras derrière ma tête pour m'appuyer dessus observant le plafond le temps que mademoiselle émerge de son sommeille. ”
et tranquillement, sans le savoir, on passe d'une chose à une autre...
J’étais rentrée à San Francisco dimanche en milieu de soirée. J’avais passé la soirée avec Camil et Nikita. J’avais emménagé avec eux quelques jours auparavant. Heureusement pour nous trois, nous nous entendions bien. Avant ça, je ne connaissais pas Nikita, mais elle était tellement mignonne qu’il m’aurait été difficile de faire autrement que de l’adorer. Quant à Camil… Sourire. C’était évidemment plus que de l’entente entre nous deux. Mais nous n’en parlions pas, puisqu’on préférait se prendre la tête pratiquement tout le temps. Les non-dits entre nous laissaient apparaitre des tensions. Mais aucun de nous deux n’était prêt à faire bouger les choses. Pourtant Sierra et Julie s’étaient mises en tête de nous caser ensemble, quant à Nikita elle m’avait raconté que Camil m’aimait « bien beaucoup ». Ce qui en langage Nikita laissait présager quelque chose de plutôt énorme.
Hier soir, comme beaucoup de soirs depuis la première fois que nous avions couché ensemble, j’avais rejoins Camil dans sa chambre. Plus d’alcool entre nous, juste… Juste quoi après tout ? Moi-même j’étais incapable de le savoir. Je faisais celle qui maitrisait la situation, mais la vérité c’était que je ne maitrisais rien du tout. Je préférais faire l’autruche, comme Camil et me contenter de le rejoindre dans son lit tard le soir. Je m’étais donc endormie et je me retrouvais dérangée par quelque chose qui me chatouillait dans le cou. Je fronçais les yeux sans pour autant les ouvrir. « Debout !! » Je sursautais. J’allais le tuer. Je grognais avant de remonter la couverture qui cachait mon corps nu, jusqu’au dessus de ma tête. Je détestais ce genre de réveil qu’il me faisait subir. Sans rien dire de plus, j’envisageais alors de me rendormir grâce au silence qui était revenu dans la chambre de Camil. « J'peux te poser une question ? » lança Camil, avec une voix plus sérieuse que d’habitude. Je relevais la couverture de ma tête et le regardais. Je me redressais un peu, en débarrassant mon visage des quelques cheveux qui trainait devant mes yeux. « Oui ? » répondis-je. « Si tu veux que je te prépare un petit-déjeuner, tu sais déjà que la réponse est « non certainement pas, t’as qu’à te bouger si t’as faim. ». » continuais-je dans ma lancée, en souriant. J’attendais finalement, la suite de sa véritable réfléxion.
✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
Dim 31 Mar - 19:27
i juste met you, this is crazy...
2 Avril, 09h” Les réveils matinaux, c'était pas vraiment se que je préférais au monde mais sérieusement se réveiller avec quelqu'un à côté ça a quelque chose d'assez... sympathique au fond. Du moins quand on connait la personne, qui plus est si c'est une personne assez sympathique. Parce que bon, je serais un menteur de dire que Charlotte je ne l'aime pas du tout. Nos prises de bec, nos engueulades et nos taquinerie, c'est l'amour vache, et puis qui aime châtit bien non ? En faite depuis qu'on a coucher ensemble la première fois, mêlant rhum, tequila et sexe faut dire que ça m'a pas mal paumé. Je suis pas dans le genre à coucher avec quelqu'un juste pour passer le temps,où alors juste avec Dante, pratique qu'on a abandonné depuis plusieurs temps. Où du moins si je le fais par erreur, je suis pas dans le genre à recommencer. Pourtant là, depuis plus d'une semaine, depuis l'aménagement de Charlotte surtout, faut dire que ces fois là c'étaient reproduite de manière assez... régulière faut dire. Bref, prise de tête bonjour. Faut dire que Nikita avait pas arranger les choses en allant parler à Charlotte. Au moins quand j'avais parlé de Charlotte avec Sierra celle-ci n'était pas aller arranger les choses en mode bisounours. Non pas qu j'en veuille à Niki, qui pourrait lui en vouloir ? Mais bon...
Oui ? ... Si tu veux que je te prépare un petit-déjeuner, tu sais déjà que la réponse est « non certainement pas, t’as qu’à te bouger si t’as faim ». Ma coloc, et toute sa gentillesse légendaire. Evidement je sourie en m'étirant un peu restant cependant allongé sur le dos. Non je voulais que tu ailles étendre ma machine de linge... le déjeuné tous le monde sait que tu foires à chaque fois le dosage du café. Je réplique à mon habitude, provocateur de dispute par des taquinerie sans méchanceté. Je la regarde en coin avant de regarder le plafond. Ça te dérangerais que j'aille coucher avec d'autres personnes ? ... Je demande finalement de but en blanc m'embarrassant guère des introductions à une conversation sérieuse. parce que... j'crois ça m'embêterait un peu que toi tu le fasses.. Oui, "un peu"... on y croit.”
et tranquillement, sans le savoir, on passe d'une chose à une autre...
J’étais assez perdue. Parce que je n’avais pas été bien avec quelqu’un depuis Eliott et qu’il m’était difficile pour moi de tourner la page. Oh bien sur, je savais pertinemment que je ne l’avais pas tournée, parce qu’on avait vécu beaucoup trop de choses tous les deux pour que je puisse l’oublier en un clin d’œil. Il allait me falloir énormément de temps, en imaginant que ce soit possible, déjà. Quant bien même, depuis que j’avais emménagé avec Camil et Nikita, je reprenais peu à peu des couleurs. J’oubliais qu’Eliott m’en voulait à mort et je m’étais réconciliée – plus ou moins – avec Khris. C’était un bon début, parce que j’avais besoin des Jones dans ma vie, je ne pouvais pas le nier, ils y étaient les deux encrés avec tellement de force que jamais je n’arriverai à me débarrasser d’eux, même si je le voulais. Néanmoins, Camil avait pris le relai pour ce qui était d’être le casse-pied de mes journées, il le faisait très bien et ça avait même tendance à m’attendrir, ajoutez à cela le fait que nous couchions régulièrement ensemble… Notre relation était étrange et mystérieuse, même pour nous deux. Surtout pour nous deux. « Non je voulais que tu ailles étendre ma machine de linge... le déjeuné tous le monde sait que tu foires à chaque fois le dosage du café. » lança-t-il, me tirant de mes pensées. Je souriais. « Ça te dérangerais que j'aille coucher avec d'autres personnes ? ... » me surpris-t-il. Je ne répondais rien. Est-ce que ça me dérangerait ? Je ne m’étais jamais vraiment posé la question, pourtant en y réfléchissant, je me rendais compte que… oui, il y avait des chances que ça puisse me déranger. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Est-ce que je n’avais pas envie de le savoir en train d’avoir des relations avec d’autres filles que moi ? Est-ce que je voulais que ça soit « notre truc » ? Apparemment. Sans que j’aie le temps de répondre, il ajouta. « parce que... j'crois ça m'embêterait un peu que toi tu le fasses.. » Je relevais la tête brutalement vers lui. Ah ? Vraiment ? Je m’asseyais dans le lit. Bon. Je ne savais pas quoi dire, ni quoi répondre. Je lui souris. « Ah oui ? Ca t’embêterait ? » lançais-je d’une petite voix. Je baissais la tête et commençais à jouer avec mes doigts. « Peut-être bien… peut-être bien que moi aussi, ça me dérangerait… » soufflais-je.
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Lun 1 Avr - 21:12
i juste met you, this is crazy...
2 Avril, 09h”Le plus étrange dans cette situation qui c'était lentement installé l'appartement ? C'est que je savais pas trop comment on en était arrivé ici. Enfin si avec de la tequila et beaucoup de rhum, une semaine de dépression profonde suite à ma rupture avec Alex. Du côté de Charlotte, j'avais jamais songé à demander ? Sans douce un accord tacite glissé depuis notre rencontre, ne pas plus en savoir, ne pas savoir pourquoi tant de personne la détestait de son retour. Je m'étais rarement posé la question, enfin si quelque fois, mais sans chercher de réponse. Ca avait commencé par du sexe sous alcool, pour anesthésié le manque de mon mec, pour oublier ses problèmes à elle. Et on a recommencé, encore. Et encore. Assez souvent, entre dispute qui ressemblaient plus à des chamaillerie, j'ai commencé à chercher à l'énerver plus pour voir jusqu'à où aller. Sacré habitude de voir où sont les limites... Et puis qu aime bien châtie bien... allez jusqu'à voir jusqu'à où elle m'aimait bien. Mais l'un comme l'autre on est pas allé bien loin, déjà qu'on vit ensemble... Mais surtout que lorsque je l'énerve trop, j'suis du genre à aller m'excuser...Et évidement, dans ce genre de jeu, j'suis le premier à me prendre aux propre règles, à me perdre et à oublier certain point important. Genre, quand on couche avec sa colocataire, pas trop s'attacher si elle en a rien faire de vous...
Sauf que.. pour le savoir autant le demander, et quoi de mieux que de mettre les pieds dans le plat ?! Bon, ba vu son mouvement vif, au moins j'ai toute son attention et j'ai même réussis à la surprendre. Ahah sacré camil ! Elle se redresse et jela suis du regard en fronçant les sourcils, mes yeux glissant lentement sur son dos nu alors que pour une fois, je reste silencieux. Ah oui ? Ca t’embêterait ? Elle sourit et un léger mouvement de mes lèvres imite le sien. Ba ouai tient amuses toi donc à jouer à ça, genre c'est déjà pas assez dure de cesser les "hostilités" pour te dire ce genre de truc. sauf avec une fille... mais que si on le fait à trois. Je réplique me sentant obligé de dédramatiser la discussion. Cependant elle finit par baisser la tête et sur le coup je me redresse sur mon coude intrigué légèrement. Peut-être bien… peut-être bien que moi aussi, ça me dérangerait… Ce que les filles peuvent être vague quand elles répondent à un truc. Stresses pas, je te promet de pas sortir la bague de fiançaille du placard, c'est encore trop tôt. Ok parfois je devrais réfléchir avant de parler... le problème c'est que je réfléchie justement... Je l'observe un temps en fronçant les sourcils. Si tu as besoin de vérifié si tu le serais ou pas.. je peux tester tu sais... Genre, on y croit. La seule personne avec qui j'ai couché est Alex, mais c'est différent... Alex je peux ps lui résister. Et encore, c'était avant... avant qu'il me vire une deuxième fois... Et puis Charlotte, c'est différent.”
et tranquillement, sans le savoir, on passe d'une chose à une autre...
Allongée dans le lit de Camil, ce qui était devenue une habitude ces derniers jours ; se transformait ce matin là en quelque chose d’assez étrange. Parce que la tournure que prenaient les choses était différente de toutes les autres fois. Ça se sentait dans l’air. Et puis la conversation que nous venions d’engager tous les deux laissait présager de nombreuses choses… « sauf avec une fille... mais que si on le fait à trois. » lança Camil, ce qui eut le don de me sortir de ma rêverie. Je haussais un sourcil. « Bien sur… » soufflais-je. Quelques secondes étaient passées, pendant lesquelles j’avais avoué qu’il y avait des chances que cela me dérange aussi. « Stresses pas, je te promet de pas sortir la bague de fiançaille du placard, c'est encore trop tôt. » Je souriais, doucement. Je riais jaune, en fait. Les fiançailles et tous ces trucs là… plus jamais pour moi. j’avais été fiancée deux fois et tout avait fini en massacre, alors forcément, ce n’était pas ce que je préférais. Je ne relevais pas, Camil n’était pas obligé de connaitre tout ce que j’avais fait dans ma vie. « Si tu as besoin de vérifié si tu le serais ou pas.. je peux tester tu sais... » dit alors Camil. Je pars dans un grand éclat de rire. « Oh, mais ce que tu es serviable, tu te dévouerais ? » Je m’allonge de profil dans le lit, face à lui. « Laisse tomber, j’ai pas envie que tu testes quoi que ce soit… » soufflais-je d’une petite voix.
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Mer 3 Avr - 22:18
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2 Avril, 09h”” Bien sur… Ca c'est en réponse à ma demande de libertinage féminin, surment pas masculin mais bon... il semblerait que ça ne soit pas accepter, malgré la réponse positive qui sent plutôt un bon sarcasme ou ironie, ou tout autre chose qui est que l'on dit le contraire de se que l'on veut dire, toute en laissant comprendre à l'autre que l'on pense le contraire de se que l'on dit. Bref. On va pas s'épiloguer sur sa phrase, de toute manière c'est pas comme si l'un de nous deux avait sérieusement envisager cela, c'était juste de l'humour pour détendre cette atmosphère de discussion sérieuse du matin. Et donc on continue de discuter, plus ou moins vaguement sur l'avancer de notre... situation ? Enfin on est surtout en train de patauger en tournant autour du plat sans vraiment mettre les pieds dedans. Même si je suis du genre à souvent poser les questions sans détour, là faut dire que j'suis pas un as de la sentimentalité, enfin pas des débuts.Et puis, c'est pas de la sentimentalité, hein ? C'est juste... bon ok, j'en sais rien.
Elle éclate alors de rire quand je propose d'essayer pour voir si elle veut ou pas. Je sourie à son rire, l'observant sans pour autant reparler, d'ailleurs elle se charge d'y répondre finalement. Oh, mais ce que tu es serviable, tu te dévouerais ? Je rie légèrement en restant appuyé contre ma main, mon coude enfoncé dans l'oreiller. Corps et âme même. Je rétorque avec un rictus de provocation amusée. L'observant s'allonger de nouveau à mes côtés je la suis du regard sans pour autant bouger, souriant en la voyant garder mes draps contre sa peau. Je rétorquerais bien que je l'ai vu nue genre... une bonne dizaine de fois depuis quelques temps, mais je dis rien, j'trouve ça amusant même. Laisse tomber, j’ai pas envie que tu testes quoi que ce soit… Sa voix plus basse reste distincte alors que je sourie légèrement, sans vraiment le vouloir, me sentant presque rassuré. L'observant quelques secondes , je finis par hocher la tête. donc... pas de visite corporel ailleurs... Je répond en récapitulant donc se que l'on vient plus ou moins de dire. Et donc... on officialise ? Je demande finalement l'observant sérieusement, plutôt tendu sur sa réaction à venir. Quoi généralement quand je couche avec quelqu'un, je le fais pas en "cachette" ou juste pour le fun alors... bon.
et tranquillement, sans le savoir, on passe d'une chose à une autre...
Il m’était difficile de me dire que j’allais me mettre en couple avec quelqu’un qui n’était pas Eliott. Et après tout, c’était finalement le meilleur moyen pour moi de tourner la page et commencer une nouvelle histoire. Oublier tout ce que j’avais fait par le passé, toutes mes erreurs. Mais après tout Camil pouvait être la meilleure personne pour moi et pour m’aider à oublier tout mes histoires passées. Bien qu’il ne les connaissait pas. Est-ce que j’allais devoir lui parler de tout lui raconter ? Mes deux fiançailles ? Mon avortement ? Mes tromperies ? Tout ce qui avait fait que j’avais foiré mes relations passées et qui semblait me crier que je n’étais pas faite pour donner de l’amour à quelqu’un. Mais je n’avais pas envie d’y réfléchir pour le moment. J’avais juste envie de profiter du fait que Camil m’aimait bien et que c’était réciproque. Que finalement, nous étions prêts à combler nos solitudes mutuelles ensemble. « Corps et âme même. » dit-il en répondant à ma question précédente. Je fis une petite moue avant de sourire. « donc... pas de visite corporel ailleurs… » conclu Camil. Je ne disais rien. C’était une façon étrange de dire les choses. Mais finalement c’était bien caractéristique du tatoué à coté de moi. Je fronçais les sourcils avant de hocher la tête de haut en bas pour lui répondre. Non, plus de visite ailleurs. Est-ce que c’était ainsi que nous devenions… un couple ? Ca me paraissait tellement surréaliste de me dire que j’étais en couple avec Camil. Pas parce qu’en avait pas envie, mais juste parce qu’il fallait que je m’habitue à cette idée. « Et donc... on officialise ? » Je levais mes yeux vers lui. Je pris une grande respiration, consciente que ce que j’allais répondre allait changer beaucoup de choses. Je hochais la tête. « Oui… je crois. » lançais-je tout doucement, avant de lui sourire.
✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
Mar 9 Avr - 18:22
i juste met you, this is crazy...
2 Avril, 09h”” Ok, le réveil plus weird de tous les temps. En même temps je crois ne jamais voir été doué pour ce genre de chose. Généralement c'est un peu plus naturel les discussions de... couple ? Alors on est en couple ? Sérieusement ?! Bon c'est pas comme si Charlotte était le genre assez dur à s'entendre avec. C'est pas autant un "mec" mentalement que Sierra... mais je peux pas dire qu'avec elle c'est aussi casse tête qu'avec d'autres filles. C'est naturel, et c'est peut-être ça qu'il me faut, qu'il nous faut. Pas de prise de tête, pas d'amour comme dans les livres, juste... du naturel, du bien être, juste ce sentir bien avec l'autre. Et d'un seul coup sous cette vision là, je l'aime que plus la fille nue dans mon lit.
Lorsque finalement comme un con je demande si on "officialise" donc notre relation, vu sa tête j'en conclus qu'on doit être tout les deux sur la même longueur d'onde. Ce truc c'est pas vraiment de la gêne, c'est juste... du bizarre. Parce que... c'est pas comme si ça avait été le coup de foudre, que je lui avais fait la cour etc... Non c'est... naturel. Et elle inspire fort alors que je sourie ayant l'impression de lui demander d'avaler un saladier entier d'oeufs crus Oui… je crois. Et voila, on le sait tout les deux que tout va changer. Je l'observe un temps avec un rire alors que j'imite la fille toute joyeuse bougeant dans tous les sens. Hourra.. Je finis par arrêter passant une main dans mes cheveux en me tournant vers elle avant de bouger et venir me glisser au dessus entre elle et la couverture, un sourire beaucoup plus calme aux lèvres. Lèvres qui d'ailleurs viennent glisser le long de son cou remontant sur sa mâchoire avant de venir lui voler un baiser. Je te prépare le petit-déj' en dédommagement de ce réveil brutal ? Je demande doucement restant contre elle.