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Anonymous
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Ven 15 Fév - 15:34

Your name is on my lips.
Jim & Ambre

Ambre sortait d'une séance photo interminable, elle avait été pitoyable. Le cœur n'y était plus depuis quelques temps, surement depuis qu'elle se trouvait horrible et énorme. Elle était consciente du fait qu'elle s'affamait, qu'elle maigrissait de plus en plus. Elle aurait aimé disparaître, personne ne semblait être prêt à l'aider. Qu'est-ce que les gens peuvent en avoir à foutre d'une pute parmi tant d'autres ? Luca l'avait laissée tomber, Lera avait le même problème et les autres.. Ils avaient autre chose à foutre. L'italienne avait réussi quelques belles photos, elle s'était forcée. Elle avait arboré son air sur d'elle, son petit sourire moqueur et sexy. Ambre savait que si elle faisait croire qu'elle confiance en elle, qu'elle se trouvait magnifique, tout le monde le croirait. Ce sont les apparences qui comptent dans ce métier non ? Elle appliquait cette méthode à sa vie personnelle, si bien qu'on ne se souciait plus de son bien-être depuis longtemps, elle non plus d'ailleurs. Elle avait décidé de rentrer tout de suite, la nuit commençait à tomber doucement et puis Miaou le chat devait avoir faim à cette heure si. Passer par la plage lui sembla être une bonne idée, d'elle n'avait plus de maquillage – cette connasse de maquilleuse n'avait pas voulu lui laisser – on pouvait facilement voir ses cernes et son teint pale, qu'elle trainait avec elle depuis quelques semaines déjà. Ambre enleva ses chaussures à talons vertigineux et les fourra dans son sac, impossible de marcher avec ces merdes dans le sable. Il n'y avait personne qu'elle connaissait. Seulement des couples, des familles ou des ados en cercle. Un gars au loin apparut peu à peu, tatoué de ce qu'elle voyait, il marchait dans sa direction mais sans aller vers elle. Ambre ne put s'empêcher de le mater au fur et à mesure qu'il s'approchait, pourquoi s'en priver ? Mais pas après pas elle semblait le reconnaître, elle l'avait déjà vu quelque part, elle en était sur. Oui ! C'était un photographe, il l'avait déjà photographiée plusieurs fois, vraiment doué d'ailleurs. Elle l'avait toujours trouvé putain de sexy mais le con sortait avec Edda. Une mannequin paumée qui était tombée dans la drogue, si t'es pas assez forte pour ce monde alors barre-toi, Ambre et ses copines lui avaient bien fait comprendre. La blonde était trop faible pour être mannequin, il faut avoir un instant de dominante pour régner dans ce milieu. Il y a quelques mois elle avait apprit qu'elle était morte, d'une overdose dans son appartement. Ambre l'avait prévenue pourtant. Lorsqu'il passa à coté d'elle, elle lui attrapa le bras pour le retenir, mais ne se tourna pas vers lui pour autant. Seulement son visage pivota dans sa direction.

- C'est toi le copain de la morte ?

Mesdames et messieurs, Ambre et son tact légendaire.


« I push it to the limits 'cause I just don't care » ► LANA DEL REY
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Dim 17 Fév - 16:48

i think i know you
ambre & jim

Pourquoi j’étais là ? Pourquoi j’étais venu m’asseoir au bord de l’océan ? Il se passait toujours tellement de trucs incompréhensibles dans ma tête que j’avais arrêté depuis bien longtemps de chercher des explications. Mon cerveau avait toujours été embrumé et envahi de pensées diverses, pour la plupart sans grand intérêt.
J’étais arrivé depuis quelques temps à San Francisco. Revoir Lera avait ravivé les souvenirs de cette vie que j’avais laissé derrière moi. Les photos, la magie du moment. Le pouvoir de sublimer tout et n’importe quoi. Je savais que j’avais toujours été doué, raison pour laquelle c’était devenu mon métier. Mais ce que j’avais vécu ensuite… on pouvait qualifier ça de traumatisme. Je ne voulais plus toucher un appareil photo. Je ne voulais plus approcher un/une mannequin de ma vie. Je savais avant même de me jeter dans la gueule du loup que ce monde n’était pas pour moi. J’en avais été conscient, j’avais essayé de fuir. Mais le besoin d’argent était plus fort que tout, pour tout le monde. Je n’avais pas eu le choix. Les filles en maillot de bain payent plus que les paysages ensoleillés, c’était un fait.
Ma clope terminée, je décidais de rentrer chez moi. Je marchais dans le sable, le regard absent, totalement déconnecté de la réalité quand soudain un bras m’arrêta. Au bout du bras, une fille brune plutôt jolie. Je redescendais doucement sur terre. « C'est toi le copain de la morte ? » Le copain de la morte ? Edda ? Cette fille connaissait Edda ? La seule explication était donc que cette même fille était mannequin. Et que si elle connaissait Edda, assez pour savoir qu’elle était morte, je devais la connaitre aussi. Mais son visage ne me disait rien. J’avais vu défiler des tas de jolies brunes au regard aguicheur, persuadées de leur pouvoir sur les hommes que j’avais arrêté de faire attention à elles.
D’un geste brusque je dégageais mon bras. Je détestais qu’on me parle d’Edda, surtout de cette manière, alors que je n’avais pas la moindre idée de qui était cette fille. « Désolé, tu m’confonds avec quelqu’un. » Je n’avais aucune envie de me coltiner une minute de plus cette fille. Et si elle me poussait un peu à encore parler d’Edda, j’allais faire un massacre. La blessure qu’Edda avait laissé en mourant était toujours béante en moi, quoi j’essaie de faire, quoi que je puisse dire. Je n’arrivais pas à l’oublier, et encore moins à me dire que ce n’était pas de ma faute si aujourd’hui elle n’était plus là. C’était une petite fille fragile, qui s’était fait bouffée par ce monde trop grand pour elle et je n’avais pas su la protéger.
C’était assez difficile comme ça, sans qu’une brune sortie de nulle part en rajoute une couche. Sérieusement, dégage avant que je t’en colle une.
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Dim 17 Fév - 22:55

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Jim & Ambre

Ambre voyait bien qu'il ne se souvenait pas d'elle, elle ne se souvenait pas vraiment de lui non plus puisqu'ils ne se connaissaient presque pas. Elle savait qui il était puisqu'il l'avait prise en photo, un photographe mignon de nos jours ça ne cours pas les rues. Aussi parce qu'elle se souvenait d'Edda. Elle l'avait persécuté comme toutes les autres, il fallait dans le milieu. Ambre aussi s'en était prit plein la gueule au début, surtout à cause de son fort caractère. La plupart des filles la détestait, mais Edda n'était pas de ce genre. Elle ne parlait pas aux autres généralement, elle restait dans son coin, un signe de faiblesse, tout ce que l'italienne adorait. Si elle avait été passablement belle elle l'aurait laissé tranquille, mais elle avait quelque chose de spécial qui la différenciait des autres, et elle n'aurait pu le tolérer. Les mauvaises blagues avaient fusés à chaque rencontre, elle s'était mise en tête de la mettre hors course, elle avait réussi apparemment. Personne ne pouvait lui faire de l'ombre très longtemps, elle savait comment se débarrasser des gens. Des remarques blessantes pas « fait exprès », parler dans son dos alors qu'elle était juste à coté, les rumeurs.. Aucune ne résistait à cette pression et Edda n'avait pas été une exception. Oui, Ambre y était surement pour quelque chose, mais elle n'avait pas été la pire de toute. Elle ne lui avait pas conseillé de se droguer pour tout supporter comme certaines et ne lui avait pas vendu le produits. Elle n'avait pas souhaité sa mort, juste qu'elle parte. Ambre avait apprit sa mort par une autre mannequin. « C'est son copain qui l'a retrouvé morte, overdose à ce qui parait, jcrois pas qu'elle méritait mieux. Le pauvre, jvoudrais bien le consoler, il est sexy. ». C'était triste mais elle avait autre chose à faire que de pleurer sa mort, surtout qu'elle ne l'avait jamais aimé. Retour à la réalité soudain : « Désolé, tu m’confonds avec quelqu’un. ». Non non, elle était sure que c'était lui, aucun doute possible.

- Nan, t'es euh.. John ? Jim ! Ouais, c'est ça. Et la blonde c'était Edda, une overdose de ce que je sais. Il paraît que c'est toi qui l'a trouvé.


Elle n'aimait pas les ragots et les histoires du genre, mais elle avait un besoin de lui faire mal. Ambre perçut en elle-même de la jalousie et elle ne comprit pas pourquoi. Par à l'égard de Jim, on ne pouvait pas être jaloux de lui, mais d'Edda. Parce qu'elle était morte ? Parce qu'elle était belle ? Trop de questions, p as de réponse claire dans sa tête. Elle laissa tomber ce coté de la chose qui sembla soulever trop de mauvais cotés d'elle-même.


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Lun 18 Fév - 11:06

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ambre & jim

J’essayais de retrouver dans ma mémoire, sans doute bien tapis, un souvenir de cette fille. Mais rien ne venait. J’avais vu des milliers de filles comme elles et j’avais arrêté de faire des efforts pour me souvenir d’elles. Ces filles ne m’intéressaient pas. Surtout depuis la mort d’Edda, je n’avais plus aucune envie de côtoyer des filles comme elles.
Cette brune en face de moi semblait être la pire de toutes. J’arrivais assez bien à cerner les gens généralement et sans savoir qui était cette fille, je sentais qu’elle n’était pas là pour sympathiser.
A coup de déduction j’avais finalement compris que cette fille était une mannequin et qu’elle avait donc travaillé, de près ou de loin avec Edda. Et vu son caractère, il y avait peu de chances pour qu’elle ait choisi d’aider mon ex petite amie et qu’elle avait plutôt du choisir de l’enfoncer dans sa descente aux enfers. Merci.
J’avais de plus en plus envie de péter un plomb. Comme à chaque fois que le sujet « Edda » était lancé dans une conversation. Et je savais que si cette fille continuait à me parler, alors que je ne savais pas qui elle était et que la mort d’Edda n’était pas un sujet qui la concernait, j’allais littéralement faire un massacre.
« Nan, t'es euh.. John ? Jim ! Ouais, c'est ça. Et la blonde c'était Edda, une overdose de ce que je sais. Il paraît que c'est toi qui l'a trouvé. » lança-t-elle, fière de sa trouvaille. Flashback, Edda ensanglantée et trempée dans la baignoire. Je respirais profondément. Putain, ta gueule.
Je me mis face à elle et serrais mes mains autour de ses petits bras tout fins de mannequins. « Sérieusement, c’est quoi ton problème ? Ferme-là, ok ? Tu sais rien. Va jouer ailleurs et fous moi la paix avant que j’ai envie de t’en coller une dans la gueule. » criais-je. C’était fait, je ne pouvais plus contrôler. Edda avait le pouvoir – même morte – de réduire mon cerveau en bouillie et de m’empêcher de réfléchir et de me contrôler. Ça avait toujours été comme ça. J’étais agressif dès qu’on commençait à me chercher, je n’arrivais jamais à contrôler mes émotions. Je relâchais mon étreinte (avant de lui casser les bras) et respirais un grand coup. « Je sais pas qui t’es, j’ai même pas envie de le savoir, alors dégage. » soufflais-je calmement. C’était un conseil. Mais j'avais comme l'impression que cette fille se foutait des conseils qu'on pouvait lui donner.
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Lun 18 Fév - 15:59

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Jim & Ambre

Ambre savait qu'elle allait l'énerver à force, c'était ce qu'elle voulait après tout. Chieuse de naissance, le point faible de Jim était bien trop voyant pour qu'elle ne l'exploite pas. C'était même un énorme point faible, une morte, un boulet qu'il trainait au pied comme si elle était encore vivante. Enfin, elle était plutôt mal placée pour parler. Depuis que Luca était partit elle avait perdu encore plus de poids, une brise aurait put la faire s'envoler. Ses os étaient de plus en plus visibles et elle avaient de moins en moins faim. Un putain de cercle vicieux, plus on y pense, plus on en souffre. Plus elle ressassait son histoire avec Luca, ces 18 ans de perdus à lui courir après, plus elle s'oubliait et avait envie de disparaître en un claquement de doigts. Et quelle était l seule chose qui la maintenait en vie, ces temps-ci ? Savoir que d'autres étaient dans un pire état qu'elle, une chance qu'elle soit tombée sur ce pauvre Jim, il ne devait pas y avoir meilleure cible pour elle à San Francisco. Ambre avait décidé de ne pas le lâcher. Il serait son antidépresseurs, pour quelques minutes en tout cas, c'était déjà ça. Après sa dernière phrase il avait réagit au quart de tour, ses grandes mains s'étaient enroulés autour de ses minuscules poignets, elle avait super mal. Il allait lui broyer les os, mais elle n'avait pas peur, elle se laisserait pas faire, jamais. « Sérieusement, c’est quoi ton problème ? Ferme-là, ok ? Tu sais rien. Va jouer ailleurs et fous moi la paix avant que j’ai envie de t’en coller une dans la gueule. » Son réflex fut de lui sourire à plein dents. J'me fous bien de ta gueule mon gars, tu m'auras pas par l'intimidation. Jim la lâchât, elle se massa les poignets discrètement, c'est qu'il avait de la force le colérique. « Je sais pas qui t’es, j’ai même pas envie de le savoir, alors dégage. » Qu'il était mignon, elle l'adorait déjà, un passe-temps de qualité.

- Tu sais chéri, j'aime bien le sexe violent, tu peux continuer si tu veux.

Un petit clin d'œil ironique, elle savait bien qu'il ne lui sauterait pas dessus, il y avait encore une blonde dans son petit cerveau et elle n'était pas prête de le quitter.

- Plus sérieusement, je m'appelle Ambre et je détestais ta meuf. Pauvre petite chose, dommage qu'elle nous ai quitté, j'aimais bien m'amuser avec elle.

Ambre sortit une clope et l'alluma, soupirant à la pensée d'Edda, oui pauvre petite chose.



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Lun 18 Fév - 16:25

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ambre & jim

J’avais envie de partir en courant. Pas par peur, bien sur juste parce que j’avais envie d’être seul. Je voulais m’isoler, le plus longtemps possible. Et je voulais à tout prix me débarrasser de cette nana. Elle représentait tout ce que je détestais. Et c’était vraiment trop dur de rester calme face à elle, alors que je savais très bien qu’elle faisait toujours pour m’énerver, chaque seconde un peu plus. Le plus dramatique restait qu’elle y arrivait. J’en étais aussi conscient qu’elle.
« Tu sais chéri, j'aime bien le sexe violent, tu peux continuer si tu veux. » Oh mon dieu, retenez moi de lui en coller une grande dans la gueule pour la faire redescendre ! Elle était tellement maigre que j’allais la casser et c’était la dernière chose que je voulais avoir sur les bras. Une deuxième morte dans les pattes.
« Plus sérieusement, je m'appelle Ambre et je détestais ta meuf. Pauvre petite chose, dommage qu'elle nous ai quitté, j'aimais bien m'amuser avec elle. » J’allais la descendre. J’allais la briser en mille morceaux, c’était clair et net. Je respirais profondément pour me calmer et empêcher tout acte que je pourrais regretter.
Ambre, son nom me disait vaguement quelque chose. Toutes les mannequins avaient des prénoms et des noms à coucher dehors des trucs originaire de Russie, Suède et autres pays nordique. Je me souviens qu’entendre un prénom aussi simple et commun que celui de Ambre m’avait surpris. Et peu à peu, j’arrivais à relier son prénom et son visage ensemble. j’avais déjà fait un shooting de cette fille, elle avait été insupportable, juste pour le plaisir. Petit à petit, les choses se remettaient dans l’ordre dans ma tête.
« Ecoute moi bien, des petites salopes allumeuses dans ton genre, j’en ai vu des milliers ; j’espère que je t’apprends rien en te disant que t’as rien d’unique. Vous voulez vous donner un genre, mais vous êtes toutes les mêmes. Toi plus particulièrement, tu me donnes envie de gerber. Alors juste dégage et me parle plus de Edda. » Je la dévisageais de haut en bas. « Parce que si je te regarde bien… on dirait que toi aussi t’as un petit problème, hein ? Tu te fais vomir combien de fois par jour, princesse ? Tu veux que je te dise ? Même ça, ça te rend pas unique parce que vous faites toutes ça. C’est répugnant, et j’ai aucune leçon à recevoir d’une gamine comme toi. Alors commence par te faire soigner et après viens faire la maligne devant moi. » Je déversais toute ma rage sur elle.
J’écartais les bras. « Ca y est, on a fini ou bien t’as encore quelques potins sur ma copine décédée à me raconter ? » lançais-je.
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Lun 18 Fév - 18:05

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Jim & Ambre

Ses dernières attaques avaient encore fait monter la rage en Jim, elle voulait le voir exploser, elle voulait le voir en miette. Pourquoi lui ? Parce qu'il lui rappelait l'époque où elle allait bien, parce qu'il lui rappelait ses pires vices avec Edda, parce qu'il était trop beau, trop parfait. Le gars gentil et mignon avec de graves blessures, blah blah blah, elle ne supportait pas ce genre de personne. « Ma copine est morte bouhouhou », t'as envie de t'apitoyer sur ton sort ? Ambre va te donner de bonnes raisons de pleurer. Tu n'as plus envie de vivre ? Elle va te donner une corde et un tabouret en te disant « de rien. ». Faut pas jouer au con avec elle, du suicide pur et dur. « Ecoute moi bien, des petites salopes allumeuses dans ton genre, j’en ai vu des milliers ; j’espère que je t’apprends rien en te disant que t’as rien d’unique. Vous voulez vous donner un genre, mais vous êtes toutes les mêmes. Toi plus particulièrement, tu me donnes envie de gerber. Alors juste dégage et me parle plus de Edda. » Ambre mit sa main devant sa bouche, faussement choquée. Si elle avait reçu un dollar à chaque fois qu'on lui avait dit ça elle serait plus que riche. Du déjà vu tout ça, il n'avait rien trouvé de mieux à lui balancer ? C'était trop gentil ! Jim la regarda de haut en bas, elle attendit la suite, qui ne mit pas longtemps à arriver. « Parce que si je te regarde bien… on dirait que toi aussi t’as un petit problème, hein ? Tu te fais vomir combien de fois par jour, princesse ? Tu veux que je te dise ? Même ça, ça te rend pas unique parce que vous faites toutes ça. C’est répugnant, et j’ai aucune leçon à recevoir d’une gamine comme toi. Alors commence par te faire soigner et après viens faire la maligne devant moi. » Touché. Ça c'était dur pour elle par contre, elle serra les poings et tenta de garder son calme malgré tout. Plus facile à dire qu'à faire. Il avait appuyé au bon endroit. « Ca y est, on a fini ou bien t’as encore quelques potins sur ma copine décédée à me raconter ? » Non, elle n'en avait pas fini avec lui, loin de là.

- Ta gueule, tu sais même pas de quoi tu parle Monsieur « Je-suis-tellement-meilleur-que-tout-le-monde ». Tu te sens supérieur ? Tu l'es pas. T'es autant dans la merde que moi si j'me trompe pas. Et puis, ta copine était pas bien en chair non plus. Je compte pas le nombre de fois où je l'ai entendu vomir.

Elle ne se rappelait pas si Edda se purgeait en fait, mais qu'importe, elle était morte et elle pouvait dire ce qu'elle voulait. Ambre eut un petit rire ironique, elle qui se foutait de la gueule des filles qui le faisaient, c'était son tour. Mais rien à voir avec de l'esthétisme pour les défilés, elle avait toujours été assez maigre pour le faire. C'était différent, elle se détestait.

- Tu peux dire ce que tu veux sur moi, mais contrairement à la morte, j'suis pas assez conne pour faire une overdose. C'est quand même pitoyable que tu l'ai découverte longtemps après sa mort, elle est restée combien de jours inerte dans votre appart, ? 3, 4 même ?




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Lun 18 Fév - 18:25

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ambre & jim

Je n’arrivais pas vraiment à comprendre ce qu’Ambre voulait. Quelques minutes plus tôt on ne se connaissait pas, et reconnaissons le on se portait beaucoup mieux comme ça. C’était elle qui était venue vers moi. C’était elle qui avait déclenché tout ça. Et il me semblait que ça lui faisait autant de mal à elle qu’à moi. J’avais pas demandé à avoir une petite mannequin de seconde zone qui me traine dans les pattes. Je voulais juste qu’elle se taise, qu’elle parte. Je voulais juste ne plus jamais la revoir. On s’en porterait pas plus mal, elle comme moi.
Je voyais bien que les dernières paroles que je lui avais adressées avaient frappé au bon endroit. C’était pas mon délire de casser les gens pour le plaisir, mais Ambre ne me laissait que cette solution pour me débarrasser définitivement d’elle. Sans compter que j’allais regretter tout ce que je disais. Putain, mais qu’est-ce qu’elle me faisait chier.
« Ta gueule, tu sais même pas de quoi tu parle Monsieur « Je-suis-tellement-meilleur-que-tout-le-monde ». Tu te sens supérieur ? Tu l'es pas. T'es autant dans la merde que moi si j'me trompe pas. Et puis, ta copine était pas bien en chair non plus. Je compte pas le nombre de fois où je l'ai entendu vomir. » Je savais que c’était faux. Edda se droguait oui, mais je savais qu’elle ne s’était jamais fait vomir. C’était bien la seule chose dont j’étais sur. Désolé Ambre, mauvaise pioche. Je dessinais un petit sourire sur mes lèvres. Elle n’avait que ça dans le ventre, alors ? Tous ces cris pour ça ? « Tu peux dire ce que tu veux sur moi, mais contrairement à la morte, j'suis pas assez conne pour faire une overdose. C'est quand même pitoyable que tu l'es découverts longtemps après sa mort, elle est restée combien de jour inerte dans votre appart, ? 3, 4 même ? » Edda était morte la veille de mon retour. Je m’étais toujours dit que si jamais pas décidé de rester un soir de plus à São Paulo, peut-être que j’aurais pu éviter ce qui était arrivé. Je regrettais encore plus en me disant que ça m’aurait évité cette rencontre avec Ambre.
« Le problème ma belle, c’est qu’Edda s’est jamais fait vomir, ça devait être des restes de dignité. Pas comme toi. Hein la dignité, tu sais pas vraiment ce que ça veut dire ? Qu’est-ce qui t’es arrivée ? Ton agence t’as dit que t’étais trop grosse ? Ton copain t’as plaqué ? J’le comprends tu vois. Te supporter au quotidien, ça doit pas être simple. » Je m’approchais tout près d’elle, je faisais environ deux têtes de plus qu’elle. Non fronts étaient presque collés. « Maintenant t’es gentille, je suis ravi d’apprendre que tu sais te droguer, mais on sait tous les deux que tu finiras comme Edda. Et ce jour là, je serai là, j’te le promets. Allez va voir ton dealer et arrête d’embêter les grandes personnes. »
Je me retournais et commençais à m’éloigner. Si ça se trouve, ce calvaire est terminé.
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Lun 18 Fév - 18:53

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Jim & Ambre

Ambre c'était lancée dans un truc qu'elle ne pouvait plus contrôler, Jim n'était pas la cible parfaite finalement. S'il l'avait fermé, comme le font les autres, tout aurait été parfait. Elle en aurait déjà fini avec lui. Il résistait le con, ses pics étaient bien placés et bien lancés. Elle respectait ça, surement la seule chose qu'elle respectait et respecterait chez lui. Maintenant il avait le dessus, elle le sentait très clairement. Puisqu'il avait comprit comment elle fonctionnait – ou à peu près – il pouvait parer les coups, dommage pour l'italienne. Il avait sourit au truc d'Edda vomissant, ouais, elle savait qu'elle aurait pas du le dire ça. Mais qui ne tente rien n'a rien comme on dit. Il valait mieux tirer un peu de partout et lui faire mal que de le manquer avec un seul argument. Mieux que rien. Ambre sentit qu'il regrettait de ne pas avoir put revenir à temps pour Edda, ce qui était normal, elle se sentirait coupable elle aussi. « Le problème ma belle, c’est qu’Edda s’est jamais fait vomir, ça devait être des restes de dignité. Pas comme toi. Hein la dignité, tu sais pas vraiment ce que ça veut dire ? Qu’est-ce qui t’es arrivée ? Ton agence t’as dit que t’étais trop grosse ? Ton copain t’as plaqué ? J’le comprends tu vois. Te supporter au quotidien, ça doit pas être simple. » Ma belle ? Mais c'est qu'on deviendrait intime ! Tout ce qu'il venait de dire lui était passé d'une oreille à l'autre sans faire un arrêt au cerveau, que du vent, rien qui ne pouvait lui faire mal. Sauf ces quelques petits mots « Ton copain t’as plaqué ? » Les larmes montèrent par automatisme, connard de Luca. Elles ne coulèrent pourtant pas, elle savait se maitriser quand il le fallait. Jim colla son front à celui d'Ambre, woh elle savait pas qu'il était aussi grand que ça. C'est pas possible d'être aussi beau et chiant à la fois ! Elle voulait l'embrasser et le gifler, sentiment qu'elle n'avait que trop expérimenté avec son cher italien. Elle recula sa tête par réflex de protection mais il restait tout près d'elle. « Maintenant t’es gentille, je suis ravi d’apprendre que tu sais te droguer, mais on sait tous les deux que tu finiras comme Edda. Et ce jour là, je serai là, j’te le promets. Allez va voir ton dealer et arrête d’embêter les grandes personnes. » Elle finir comme Edda ? Faut pas déconner, elle n'avait pas de la bouillie à la place du cerveau comme sa blonde. Qu'il ne les compare pas. Jim essaya de se défiler et de laisser Ambre en plan. Elle ne le laisserait pas faire, elle l'attrapa donc par le bras pour la deuxième fois.

- Tu sais pourquoi j'te fais chier depuis tout à l'heure ? Parce que tu m'as fait pitié, à 100 mètres je savais que t'avais un putain de point faible et ensuite j'ai vu ta gueule et je me suis dit « Ah. Lui. » T'as ton ptit cœur brisé parce qu'elle est morte ? Tu sais même pas ce que c'est d'aimer quelqu'un vraiment. Vous êtes restés combien de temps ensemble ? 1 an ? Elle devait pas t'aimer tant que ça si elle t'as laissé tomber, l'overdose est souvent considérer comme un suicide. Elle savait parfaitement comment doser, pour l'avoir vu à l'œuvre je te le dis, alors maintenant t'arrête de pleurer sur sa mort comme si t'allais la rejoindre ou qu'elle allait revenir. T'es pitoyable.


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Lun 18 Fév - 19:40

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ambre & jim

Plus je m’éloignais d’Ambre plus mon cœur se faisait léger. Quelle conne. J’avais rien demandé à personne et elle avait débarqué. Elle était tombée de nulle part et venait me faire chier. Alors que maintenant, je voyais bien qu’elle était plus mal que moi.
J’avais touché ses points sensibles, ce n’était pas mon but mais elle ne m’avait pas laissé le choix. Il était hors de question que je la laisse faire et j’avais du me défendre. J’avais du attaquer plus fort qu’elle.
Son bras m’attrapa une seconde fois. Je soupirais et me retournais face à elle. « Tu sais pourquoi j'te fais chier depuis tout à l'heure ? Parce que tu m'as fait pitié, à 100 mètres je savais que t'avais un putain de point faible et ensuite j'ai vu ta gueule et je me suis dit « Ah. Lui. » T'as ton ptit cœur brisé parce qu'elle est morte ? Tu sais même pas ce que c'est d'aimer quelqu'un vraiment. Vous êtes restés combien de temps ensemble ? 1 an ? Elle devait pas t'aimer tant que ça si elle t'as laissé tomber, l'overdose est souvent considérer comme un suicide. Elle savait parfaitement comment doser, pour l'avoir vu à l'œuvre je te le dis, alors maintenant t'arrête de pleurer sur sa mort comme si t'allais la rejoindre ou qu'elle allait revenir. T'es pitoyable. »
Sans me contrôler, je serrais ma main autour de son cou. « Mais putain, je t’ai rien demandé. Tu crois que je veux de la pitié d’une anorexique comme toi ? Sérieusement, casse-toi, lâche-moi. Trouve-toi un mec et arrête de faire chier les gens. Tu sais rien faire d’autre, hein ? Tout ce que tu sais faire c’est foutre la merde, parce que y’a que comme ça que tu te sens vivante, sinon personne sait que t’existes, tu te rends compte à quel point t’es plus pathétique que moi ? Ma copine est morte et je l’aimais. Elle m’a pas quitté comme ton mec t’as lâché parce qu’il te supportait plus. Alors lequel de nous deux fait le plus pitié, hein ? » Je desserrais ma main pour la laisser respirer. J’étais de plus en plus fatiguer de me battre avec elle aussi pitoyablement. « Maintenant s’il te plait, dégage avant que j’ai vraiment envie de te tuer. » soufflais-je.
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Lun 18 Fév - 20:02

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Jim & Ambre

Ambre n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait que Jim avait serré sa main autour de sa gorge. Il était dingue ou quoi ? Ok elle l'avait chier mais pas la peine de la tuer merde ! Bravo l'impulsivité. « Mais putain, je t’ai rien demandé. Tu crois que je veux de la pitié d’une anorexique comme toi ? Sérieusement, casse-toi, lâche-moi. Trouve-toi un mec et arrête de faire chier les gens. Tu sais rien faire d’autre, hein ? Tout ce que tu sais faire c’est foutre la merde, parce que y’a que comme ça que tu te sens vivante, sinon personne sait que t’existes, tu te rends compte à quel point t’es plus pathétique que moi ? Ma copine est morte et je l’aimais. Elle m’a pas quitté comme ton mec t’as lâché parce qu’il te supportait plus. Alors lequel de nous deux fait le plus pitié, hein ? » Après cette longue tirade il enleva sa main, elle fut remplacée par celle d'Ambre, crachant ses poumons pliée en deux. « Maintenant s’il te plait, dégage avant que j’ai vraiment envie de te tuer. » Son genoux vola rapidement jusqu'à ses bijoux de familles. Putain mais quel con, elle aussi avait envie de le frapper maintenant. Elle reprit sa respiration lentement pendant que lui souffrait, elle l'avait fait pour se donner du temps en plus pour récupérer.

- La ferme putain ! T'es qu'un connard pour oser étrangler une fille ! Elle doit être fière de toi la petite pute, au ciel. Mademoiselle t'aurais demandé de la compassion pour une fille comme moi. J'suis peut-être tout ce que tu déteste mais c'est réciproque. Lover à deux balles, mélancolique mon cul. Tu te donne un genre avec ta pathétique petite histoire de la meuf parfaite qui nous a quitté. C'est du vu et du revu, personne veut d'un mec qui s'apitoie sur son sort à longueur de journées. Tu vois, c'est ça la différence entre toi et moi -oui parce qu'au fond on est assez semblables- c'est que je fais pas la victime comme tu le fais. Et ta seule réponse quand on te met devant les faits c'est quoi ? La violence. Alors, non, je ne me barre pas. Si t'en a si marre de moi tu te casse cette fois. Et si t'as envie de me frapper fais-le maintenant qu'on en finisse au lieu de tourner encore une heure autour du pot, tue-moi au pire tu seras content, je serais contente aussi.

Et ces putains de larmes de merde qui étaient de retour, elle ne les laisserait pas couler. Elle était plus forte que lui. Plus forte que la rage qui essayait de la faire pleurer. Qu'il se décide maintenant, elle en avait marre de cette merde dans laquelle elle s'était foutue elle même, elle en avait marre de tout. Qu'il la bute, il était pas si loin du résultat tout à l'heure.


« I push it to the limits 'cause I just don't care » ► LANA DEL REY
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Anonymous
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Lun 18 Fév - 20:20

i think i know you
ambre & jim

Je ne savais pas trop pourquoi je l’avais étranglé. Ambre m’avait vraiment poussé à bout, je n’avais jamais été violent avec les filles. D’accord je m’étais pas mal battu dans ma vie, mais je ne m’en étais jamais pris à une fille, ça ne m’était même jamais passé par la tête. Il fallait vraiment que je suis à bout pour en arriver, et c’était ce qui était arrivé. Après tout, elle l’avait bien cherché. Depuis tout à l’heure tout ce qu’elle voulait c’était me mettre hors de moi ; voila, c’était enfin arrivé. Et je savais déjà qu’elle allait se plaindre et se placer en victime, alors que tout ça n’était que la conséquence de ce qu’elle avait déclenché.
Bien sur que je regrettais déjà. Pas mes mots, juste mon dernier acte. « La ferme putain ! T'es qu'un connard pour oser étrangler une fille ! Elle doit être fière de toi la petite pute, au ciel. Mademoiselle t'aurais demandé de la compassion pour une fille comme moi. J'suis peut-être tout ce que tu déteste mais c'est réciproque. » Je suis vraiment ravi de l’apprendre. Alors pourquoi tu viens me faire chier. « Lover à deux balles, mélancolique mon cul. Tu te donne un genre avec ta pathétique petite histoire de la meuf parfaite qui nous a quitté. C'est du vu et du revu, personne veut d'un mec qui s'apitoie sur son sort à longueur de journées. Tu vois, c'est ça la différence entre toi et moi -oui parce qu'au fond on est assez semblables- c'est que je fais pas la victime comme tu le fais. » Menteuse. « Et ta seule réponse quand on te met devant les faits c'est quoi ? La violence. Alors, non, je ne me barre pas. Si t'en a si marre de moi tu te casse cette fois. Et si t'as envie de me frapper fais-le maintenant qu'on en finisse au lieu de tourner encore une heure autour du pot, tue-moi au pire tu seras content, je serais contente aussi. » Je la regardais dans les yeux. En plus d’être conne et anorexique, elle était lunatique ? C’était vraiment le jackpot cette meuf.
« Tu fais pas la victime ? Arrête de te foutre de ma gueule, c’est exactement ce que t’es en train de faire. Tu te plains, tu me fais des reproches… c’est toi qui m’a sauté dessus, j’ai jamais demandé à trainer un boulet comme toi. Alors arrête de me faire chier. Et arrête de croire que tu me fais la morale, ce que tu dis c’est du vide, parce que c’est c’que t’es. » lançais-je en la pointant du doigt. « Et non je te ferais pas le plaisir de te tuer. Franchement, je pense pas que t’as besoin de moi pour ça. C’est déjà fini Ambre la grande gueule ? Tout ça pour que tu finisses à chialer devant moi ? C’est toi la comédienne de nous deux ; et t’sais quoi ? Tu me fatigues. »
Je fermais les yeux et respirais calmement tout en sortant une cigarette de mon paquet. Je l’allumais et regardais Ambre. « Est-ce-que-cette-fois-c’est-bon ? » criais-je, en articulant bien chaque syllabe. T’as fini ta crise d’adolescente ?
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Anonymous
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Lun 18 Fév - 23:22

Your name is on my lips.
Jim & Ambre

Ambre avait mal, autant dans son égo que dans son cou. Elles auraient des marques c'était sur et elle n'oublierait pas de si tôt la façon dont il l'avait enfoncée alors qu'elle aurait du dominer. Vraiment, s'il l'avait fermé ils n'en seraient pas là. L'italienne avait beaucoup d'ennemis, mais elle aurait bien mit Jim en haut de la liste pendant un moment, juste devant cette connasse de Sierra. Ils s'étaient tous les deux attaqués physiquement à elle, et elle détestait ça. Parce qu'elle savait qu'elle ne faisait le poids – et c'est le cas de le dire oui – contre personne. Avant elle lui aurait botté le cul facilement, maintenant... environ 20 kilos en moins plus tard, ce n'était plus la même chose. « Tu fais pas la victime ? Arrête de te foutre de ma gueule, c’est exactement ce que t’es en train de faire. Tu te plains, tu me fais des reproches… c’est toi qui m’a sauté dessus, j’ai jamais demandé à trainer un boulet comme toi. Alors arrête de me faire chier. Et arrête de croire que tu me fais la morale, ce que tu dis c’est du vide, parce que c’est c’que t’es. » Elle faisait la victime ? Il venait de l'étrangler merde ! Jim la pointa du doigt elle donna un coup dedans, qu'il arrête avec ses conneries. « Et non je te ferais pas le plaisir de te tuer. Franchement, je pense pas que t’as besoin de moi pour ça. C’est déjà fini Ambre la grande gueule ? Tout ça pour que tu finisses à chialer devant moi ? C’est toi la comédienne de nous deux ; et t’sais quoi ? Tu me fatigues. » En vrai il comprenait rien à ce qu'elle lui disait ou quoi ? Des baffes, des milliards de baffes, qui se perdent. Il alluma une clope, surement pour se calmer. « Est-ce-que-cette-fois-c’est-bon ? » cria le débile qui prenait Ambre pour l'une des siens. Pathétique., vraiment, y'avait pas d'autre mot pour le décrire ce mec.

- J't'ai sauté dessus on est d'accord, et ? Ta mère t'as pas apprit à ne pas frapper les autres juste parce que t'en as envie ? Et Ambre la grande gueule elle a pas fini mais elle en a marre de voir la tienne putain, tu m'as prit la tête. J'vais pas chialer pour tes beaux yeux, il m'en faut beaucoup plus. J'me retiens juste de te faire bouffer du sable. Bon, maintenant, c'est pas que tu me fais chier mais j'ai autre chose à faire vois-tu ? Bref, on se dit pas au revoir, ça serait trop proche. Jvais me contenter de, à jamais ? Ça te va ? Cool.

Ambre lui prit sa cigarette des lèvres et s'en alla avec. Elle ne put s'empêcher de penser « Va te faire foutre Jim, j't'oublierais pas de si tôt toi et ta grande gueule. ».



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