Ft. Luke K. Hendrix

Sans savoir pourquoi, je m’étais retrouvé dès les heures matinales dans les rues de San Francisco, j’airais, de droit à gauche sans but précis à atteindre, flânant dans immeubles à casting, à la recherche de quelconques distractions. Jusque là, ma recherche de casting avait étais fructitueuse, j’entrais machinalement, dans chaque immeuble ou maison ayant le « casting » noir sur blanc accroché, j’avais ainsi récolté deux défilés et deux séances de shootions pour diverses marques connues nationalement ou bien, d’avantages, internationalement. Pourtant, je ne faisais pas tout ça en parfaite conscience, comme abattue par la cuite du veille qui m’avais préalablement préparés à un réveil amer, j’avais encore mes oreilles qui bourdonner et la seule chose que j’aurais alors voulut boire s’est de l’eau bien fraiche. Les amateurs de cuite l’a comprenais très bien de ce fais. Et, depuis mon réveil mon cerveau avait eu bien du mal à se réveiller, j’avoué que je n’avais aucune pensée précise, aucune envie particulière. Je reniflais l’odeur des croissants chauds de la boulangerie devant laquelle je passer. Habituellement ; cela éveiller instantanément mes sens, j’avais faim, et à la suite d’affreux gargouillis de mon ventre se faisais ouïr à l’oreille de toutes personnes à proximité de moi, aujourd’hui ; rien. L’indifférence totale. Ce qui me redonna le sourire, c’est lorsque j’aperçu errant tout autant que moi Luke, je souriais instantanément, et le rejoignez d’un pas décider.

« Hey Luke ! Comment vas-tu mon chou ? » Je déposais une bise sur sa joue, rajoutant un de mes sourires tant enviés, ou peut-être pas tant que ça. « Tu fais les boutiques ? » a vraie dire, je n’avais aucune idée de ce qu’étais fais venir Luke, aussi tôt car il était tout juste dix heure et demi… pourtant sa mine m’indiquait qu’il avait un but en tête, il semblait savoir parfaitement où il aller, je me sentais alors comme un obstacle sur son chemin. Mais qu’importe, il était trop tard, la conversation étais engagé.

LILYE & LUKE
LA FLÂNERIE EST UN ART RICHISSIME

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« Ça te dit de venir avec moi ? Ensuite, on peut aller boire un café... enfin... si tu n'as rien à faire bien entendu... » A cette proposition que je trouvais plutôt flatteuse je souriais, je faisais courir mes doigts sur son torse et ajoutais « comment pourrais-je refusé ! Puis, je suis une femme alors je pourrais peut-être te conseiller ? » Un café, c’étais une de mes grande motivation, et, parallèlement j’étais ravie si je pouvais lui apporter mon aide. Je me rappelais de ces journées entières à flâner boutique par boutique à la recherche du présent parfais pour mon père ; tous s’accorderont à dire avec moi que s’est un peu plus simple lorsque l’on doit faire un cadeau à quelqu’un du même sexe que le sien. Lorsque vous êtes un garçon ; vous ne savez jamais qu’offrir à votre compagne, spontanément vous saurez tenter de dire un parfum mais, c’est déjà fais, un bouquet de fleur mais n’est-ce pas trop simple… Quant à nous les filles, nous ne savons jamais quoi vous offrir, caleçon, chaussette, ou un jeu de console mais bien sur nous oublierons précipitamment cette idée, rien de mieux si nous voulons passer la soirée la plus horrible de notre vie, car Fifa, PES et tout ça, s’est incontestablement le pire ennemis de la femme ; si ce n’est pas ça, ce sera autre chose bien entendue, quelque chose de pire tel que les infidélités car parlons en toute franchise, ne connaissez vous pas des hommes qui rejettent toute forme d’attachement, qui détruise ce qu’il vienne tout juste de peiner à construire, vous savez de ceux qui préfère choisir la route goudronner qui ne vas nulle part à celle caillouteuse qui laisse déjà percevoir ses milles et unes splendeurs. Certes, ce chemin cachait de grand désert, mais en cherchant bien, peut-être y aurait il un oasis perdue ? C’étais là ainsi le défis, il fallait être courageux, perspicace et surtout curieux, cherché jusqu’à perdre l’haleine, et ne jamais baisser les bras, ne jamais laisser le désespoir guette la recherche de l’amour parfais car étonnement, un beau jour, que vous croirez comme toute autre vous croiserez certainement le bon regard, de cette bonne personne, à vous simplement de ne pas gâcher cette chance. A présent, je savais ce que j’allais faire, j’aurais moi aussi un but, aider Luke à trouver le cadeau parfait pour sa mère. Je plongeais mon regard dans le sien, déchiffrant nettement l’importance qu’il attribuait son cadeau, s’était justement là de me changer les idées, mais pas seulement, de faire plus ample connaissance avec le jeune homme, jusque là, nos conversations ne nous en apprenaient jamais réellement l’un sur l’autre.

J’apercevais une bijouterie au loin, je souriais à cette vue qui m’éveiller quelques idées, il était certain qu’un bijou étais la meilleure chose lorsqu’il s’agissait d’éprouver un attachement. J’attrapais le bras de ce dernier, l’enlaçant du mien tel des mariés se rendant à l’hôtel, je souriais à ce dernier lui faisant signe de la tête pour qu’il se rende compte de où notre escape se finirais. Je l’entrainais près de la boutique, tout juste devant la porte « Ta mère aime les bijoux ? »