| Sam 22 Jan - 0:26 | |
| WELCOME TO SAN FRANCISCO ! Reynolds, Bristol Miles Ma qualité première ? Et bien sans prétention, je dirais que j'ai du goût. Ce que je veux dire par là c'est que... je suis, je l'admet, un esthète. J'aime ce qui est beau. Que ce soit en matière de fille ou de n'importe quoi, pourtant, ça n'est pas valable sur ma personne car je ne suis pas le genre de petit prétentieux à passer trois heures à s'habiller et se coiffer, non... pour ce qui est de moi même, j'avoue avoir un style assez simple, mais lorsqu'il s'agit des choses environnantes et qu'il me faut -nécéssairement- émettre un opinion dessus, alors là, je penche toujours (obligatoirement) pour ce qui est le plus beau, car ce qui est le plus beau et selon moi le mieux. Heureusement, je pense avoir une assez vaste vision de ce qu'est la beauté, un nénuphare abandonné au milieu d'un lac pourrait me paraître aussi beau qu'une fille en bikini, et oui, sur une photo après tout, de l'art c'est de l'art... et ça vous semblera tout aussi beau, sauf que vos pensées sur la fille en bikini seront sans doute très différente de celle par rapport au nénuphare. Je me connais déterminé et débrouillard, j'ai un côté assez solitaire et j'ai tendance à vouloir me débrouiller tout seul, cependant je ne suis pas un asocial, loin de là, j'apprécie la présence des autres et bien que je ne sois pas particulièrement bavard, il m'arrive de tenir sans peine une conversation, encore faut-il que la personne en face de moi ça assez intelligente pour en tenir une. J'ai une tendance à être trop pessimiste, enfin, je pense être réaliste surtout, je ne vais pas rêver de choses impossibles, j'ai des buts clairs et précis et je suis prèt à tout pour les atteindre, cependant, je suis du genre à me préparer à toutes les situations possibles, c'est une façon de me préparer pour ne pas être déçu en cas d'echec. Enfin, j'ai beau dire ça, je n'aime pas l'echec. Je déteste ça même et je suis un assez mauvais perdant.. je préfère donc les jeux en solo car on est jamais mieux servis que par soi même. Je pense être quelqu'un de créatif, voir même parfois original, j'ai hérité de mon père ce besoin de ne jamais faire comme les autres, du coup, si je sais que quelqu'un ferait quelque chose "ainsi" je me sentirai obligé de faire autrement. Je suis impulsif lorsqu'on m'embête un peu, j'ai tendance à vite m'emporter, cependant lorsqu'il s'agit de discuter calmement, je sais me montrer très patient, je sais que c'est assez paradoxal d'ailleurs, tout dépend du contexte.. Cela dit, je pense ne pas être trop difficile à vivre... je suis un ami loyal, un petit ami fidèle et attentionné, assez protecteur... mais il paraît que les filles aiment se sentir protégée non ?
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| ft. Garrett Hedlund |
Histoire " Je vais te dire un truc p'tit gars, y a pas grand chose qui importe dans la vie. Mais il faut bien choisir dés le début ce qui est important et ce qui ne l'est pas. Et moi, jvais te dire ce qui est important : Un, ta petite copine, deux, Être en bonne santé, trois, avoir un toit où dormir, puis surfer une vague de temps en temps. Je sais de quoi je parle gamin. Y a que ça de vrai dans la vie : le surf et les nanas. "
Je m'étais toujours dit que mon père était un modèle que je devais suivre, quand j'étais gosse, il me surprenait toujours avec ses grandes phrases philosophiques, c'était un peu un marginal et je me demandais ce que ma mère lui avait trouvé car il n'avait rien des pères avocats ou médecins de mes amis. Loin de là. Mon père n'aimait personne, il s'engueulait toujours avec les voisins, les traitait de cons la moitié du temps, l'autre moitié il les ignorait. Je pense qu'il est la personne qui a eu le plus d'influence sur ma vie, car nous passions beaucoup de temps ensemble. Il avait un travail comme journaliste pour une revue mais il travaillait à la maison et envoyait ses articles par mail, il n'aimait pas la société, les autres, et il se faisait un plaisir de les descendre dans ses articles souvent très polémiques. Il assumait ses actes et ses paroles et il m'avait toujours conseillé de faire pareille.
" Tu sais, y a rien de pire que de pas dire ce qu'on pense... ou de regretter ces actes. Faut s'accepter comme on est. Et moi, j'accepte pas comme sont les autres. C'est tout. "
Ma mère était tombée amoureuse de son côté rebelle et anti-conformiste à la fac, aujourd'hui, elle s'était faite à ses maximes d'idéalistes et elle ne réagissait plus vraiment, ça faisait partie de lui voila tout.
Je peux dire avoir vécu dans un environnement sain, mes parents n'étaient pas des drogués ou des dépressifs, ils avaient tous les deux un travail et ils continuaient de vivre leur amour à côté des tâches qu'ils avaient à faire pour l'entretiens de notre famille. Quelques années après ma naissance ils me donnèrent une soeur, ils restèrent dans le même registre de prénom un peu bizarre puisqu'il l'appelèrent Orlean, comme la ville oui... J'avais cinq ans de plus qu'Orlean et j'étais fier de jouer les grands frères, du coup, j'aimais jouer avec elle et il m'arrivait de prendre le ton solennel de mon père pour tenter de lui apprendre certaines choses comme " Et bien tu vois ma petite, on prend les ciseaux de la main droite en mettant les doigts dans les trous, sinon ça marche pas, et ouais.... " et ma mère riait à me voir me comporter ainsi. Aujourd'hui je me demande si son rire n'était pas un peu jaune et si elle ne craignait pas un peu que je finisse comme mon père en Hermite à ne plus sortir de chez lui sauf pour aller prendre quelques vagues et gueuler sur les voisins...
Je passais mon enfance sur ma terre natale, l'Australie. Mon père m'avait très tôt initier à ce sport qu'il chérissait plus que tout et qui est coutume chez nous : le surf. Les vagues chez nous étaient connus pour être géantissime, et je me faisais une joie dés l'age de 10 - 11 ans d'aller m'aventurer dehors la nuit sans permission lorsque je savais que des gros rouleaux étaient à prévoir. Je me suis fait attraper une fois par mon père, cependant, il délaissait ma mère pour aller surfer lui aussi, il ne lui dit donc jamais rien sur mes activités illégales et de mon côté, je gardais également le secret. Ma relation avec Orlean était tout à fait normal, c'était une fille assez simple qui ne demandait pas grand chose de la vie, mon père lui avait inculqué ses valeurs à elle aussi et elle était rapidement devenue une rêveuse, un peu trop distraite à l'école, occupé à rêver d'arc en ciel, de poney et de prince charmant.
Nous avons grandis assez simplement, dans un environnement modeste, rien de très grand ou incroyable. Mon père était contre les démonstrations de richesses, il n'aimait pas les riches, il n'aimait pas les pauvres non plus d'ailleurs, en tout cas je ne me suis jamais plaint. En cours tout allait pour le mieux, je n'étais pas un élève trop perturbateur, même si légèrement perturbé par l'ambiance particulière qui rentrait à la maison. Il n'était pas rare d'entendre mon père crier " FOUTUS ANGLAIS " ou " ENFOIRE D'AMERICAINS " lorsque je rentrais à la maison, cependant je n'avais jamais trop cherché à comprendre pourquoi il tenait de propos pareille. J'excellai dans les matières scientifiques comme dans les matières littéraires, j'aimais les deux et lorsqu'arriva au lycée le moment de choisir entre les deux, le choix fût très difficile. Cependant, pendant l'été de mes 16 ans je m'étais découvert une passion pour la photographie, un art que mon père n'approuvait pas. Ma mère elle, trouvait que c'était une façon originale et nouvelle de s'exprimer, elle me soutenait à cent pour cent et je décidai pour une fois de ne pas suivre les conseils de mon père. Ainsi, au lieu de faire une fac de droit ou d'histoire, ou même de politique comme lui, j'avais décidé d'opter pour une école d'art. En même temps j'avais aussi décidé de quitter l'Australie pour voir du pays car je n'avais jamais eu l'occasion de voyager. Les études c'était le prétexte parfait. Je m'envolai donc vers San Francisco.
18 ans, des rêves pleins les yeux, je sillonnai la cité près de la baie armé de mon appareil photo le plus puissant afin d'immortaliser des scènes de vies banales ou anodines selon l'inspiration, selon ce que la vie m'offrait. J'adorais cette nouvelle ambiance que je découvrais. L'Amérique, c'était autre chose que l'Australie. J'ai rapidement pris mes marques dans la ville, j'adorais ce que j'y faisais, les gens que je connaissais, que je côtoyais. J'adorais sortir, m'extasier sur ce rêve dans lequel je marchais comme on marche sur un nuage. Je sais qu'il y a toujours un moment où l'on finit par retomber sur ses pattes, cependant j'ai plaisir à dire que je suis pour l'instant sous une bonne étoile et que rien de bien grave ne m'est arrivé, j'arrivais à anticiper les mauvaises surprises de façon à ce qu'elle ne m'atteigne pas, ça révélait peut être mon côté pessimiste ou trop réaliste, cependant c'était plus un outil que quelque chose qui me gâchait réellement la vie. Aujourd'hui je suis en dernier année d'étude à l'université de San Francisco, en Photographie et j'ai un petit job dans une revue mensuelle pour laquelle je dois faire quelques photos. Un bon début selon moi.
SURNOM: BRIS ou simplement REYNOLDS ÂGE: 23yo soon. DATE DE NAISSANCE: 15 février 1988 NATIONALITÉ: Australien
| GROUPE: ici ORIENTATION: TOUT DROIT. SITUATION AMOUREUSE: Célibataire | QUALITÉS: Débrouillard, déterminé, protecteur, attentionné, créatif, honnête, original, solitaire, réfléchi, réaliste, patient, ordonné... DÉFAUTS: peu bavard, légèrement pessimiste, impulsif, orgueilleux, obstiné, imprévisible, flemard...
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IN REAL LIFE ON JOUE A UN JEU ? | |
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