Je suis venue au monde le 14 Février à Salamanca en Espagne, venir au monde le jour des amoureux fut le plus beau cadeau que je pus faire à mes parents, voilà déjà deux ans qu’ils s’efforçaient jour et nuit afin que ma mère tombe enfin enceinte. Dans sa jeunesse un grave accident ayant eu des répercussions abdominale avait ressurgit, les médecins lui avait dis qu’il serait extrêmement difficile de pouvoir un jour concevoir, mais qu’il ne fallait en aucun cas désespérer, puis je fus l’événement heureux. Je suis née dans la famille Fernandez, l’une des plus réputés d’Espagne, d’ailleurs si je n’ai jamais habité Madrid s’est simplement car mon père à toujours voulut notre bonheur, et, comme il le répétait souvent, pour vivre heureux il faut vivre caché. Mais, mon père, Stefan Fernandez était un très grand avocat mais surtout étonnant homme d’affaire très pris par son travail, il n’était que rarement à la maison. Ma mère, elle, avait arrêté sa carrière d’actrice fraichement fleuri afin de s’occuper de moi, elle refusait que ce soir de vulgaire nourrisse qui s’occupe de mon éducation, seulement, n’aller pas croire que tout étais aussi beau qu’il parait, apprendre les bonnes manières comme celle de ce mettre à table est bien plus dur que vous ne pouvez le penser, surtout lorsqu’il s’agit de recevoir la reine d’Angleterre le week-end suivant.

J’ai toujours était aux yeux de mes parents, une enfant prodige, j’étais la seule et unique enfant qu’il avait eu jusque là, et ils m’apportaient tout le bonheur dont j’aurais pu rêver, voir mieux. Toutes mes bêtises se transformaient en exploit, mon père, se reconnaissait parfaitement dans ma fougue. Mon petit nez était celui de ma mère, un parfait copier/coller, quant à ma couleur de cheveux, il était probable que le blond de ma mère l’avait emporté sur un bruns terne de mon père. Il est certains que je n’ai jamais aimé les ordres, j’ai toujours eu tendances à apprécier désobéir aux gens, plus particulièrement à mes parents, s’était un objectif que je mettais fixer, je ne sais plus très bien en quoi il consister sinon agacer mes parents quotidiennement.

Sans prétention, je pense que ma vie a étais un parfait tableau digne des plus grand films à l’eau de rose jusqu’à mes six ans. Ce soir là, il pleuvait, une pluie diluvienne comme l’Espagne n’en avais jamais vu, en quelques fractions de secondes l’eau s’engouffrais dans les canaux d’évacuation, quelques minutes plus tard, elle était si abondante que la route elle-même devenait une rivière. Les automobilistes, avait ralenti le pas, la chaussé glissante avait donné bien des frayeurs, pourtant une circulation très dense annonçait que les gens était pressé de regagnait leur domicile. Ce jour là, je m’étais lever avec une boule au ventre, comme un mauvais pressentiment, jamais auparavant je n’avais ressenti ça, ma gorge avait étais sèche et noué toute la journée, l’eau n’y faisais rien. J’avais la sensation que quelque chose allais changer, sans même pourvoir l’expliquer. Comme chaque lundi soir je gagnais la salle de danse en face de mon école primaire, j’y suivais des cours et je faisais partie du groupe de tête tant j’étais gracieuse et tant mon déhanché était déjà fort marqué du haut de mes sept jeunes années. La sonnerie de la fin de cour venait de retentir, j’en déduisais qu’il était sept heure, ma mère aller bientôt venir me récupérer, je courrais au vestiaire récupéré mon sac et enfilé rapidement ma veste avant d’aller me poster près du banc en face du gymnase. Les minutes défilèrent, sa voiture n’apparaissait toujours pas. Je restais poster là, une heure passa, puis deux, puis soudain la voiture de mon père déboula dans l’allée, elle s’arrêta brusquement devant moi, je m’apprêtais à ouvrir la porte passagère quand mon père en sortis, il hotta ses lunettes et je pu apercevoir les traces des larmes qu’ils venaient de versé, il me serra très fort, je ne me souviens pas qu’il m’ai un jour serrer aussi fort contre lui.

« Mon amour, si tu savais comme je suis désolé, et comme je regrette qu’il se produise une telle chose pour me rendre compte que rien n’est plus important que ma famille… Écoute, mon ange, tu es assez grande maintenant, il est inutile que je te mente, s’est horrible, ta mère a eu un accident et, elle est morte. »

Les mots résonnaient des secondes entières, durant quelques minutes mon visage ne montrait aucune expression, je semblais figer, tétaniser, dans ma tête tout était embrouiller j’avais du mal à saisir tout ça, comment ma mère pouvait elle nous avoir quitté aussi brusquement, sans même un au revoir. Je m’effondrais dans les bras de mon père, quoi qu’il ne me semble pas que ce terme soit approprié, je n’ai pas versé une larme, pas une seule, il s’agissait pourtant de la personne qui était la plus importante pour moi, entre vous et moi, ce jour là marqua la fin de mon existence. Je pense, qu’après ce jour là je n’ai fais que subsister, tentant de me débrouiller dans un monde où je n’avais plus réellement de repère, plus je grandissais, plus j’acquérais de la maturité et, plus je comprenais qu’il y aurait des tas de chose qui ne serais jamais comme je les avais rêvé. J’aurais rêvé d’un mariage, mon père m’abandonnerais à l’hôtel à l’homme qui serais celui près de qui je finirais mes jours et au premier rang ma mère, celle qui m’aurais tout appris, ma mère était morte, jamais elle ne serait là et jamais elle ne pourrait me conseiller, je n’avais que mon imagination pour me laisser aller a des discussions que nous n’aurions jamais.

Suite au décès de ma mère, je fus forcé de suivre mon père à San Francisco, bien loin de tout ce que j’avais pu connaitre. Lorsque j’arrivais là bas, je ne fus pas tout de suite scolarisé dans une école normale, mon père me fit l’école à la maison, lui comme les académies s’étaient mis d’accord sur le fais que le récent accident pouvais me rendre violente ou provoquer des réactions imprévisible contre n’importe qui même sans raison, ils s’accordaient parfaitement sur le fait que comme je n’avais rien exprimé concernant le décès de ma mère, je ne pouvais être saine d’esprit et consciente. Moi, je pensais qu’il se trompait, j’avais pleuré, je l’avais si bien dissimulé par une pudeur évidente de mes sentiments, je savais que si je disais à mon père ce qu’il en était, je le briserais aussi profondément que l’avais blessé la mort de ma mère. Je ne pouvais lui dire que le jour où ma mère était morte, j’étais morte avec elle, spirituellement du moins. Je ne savais plus très bien ce que j’attendais de la vie, et, je n’avais que huit ans. Les psychologues s’accordèrent sur le fais que j’étais extrêmement logique et mature pour mon âge et que cette expérience m’avais profondément troublé, pourtant à mes neufs ans je pu réintégrés une scolarité normale.


Vous racontez ma vie de mes neuf ans à mes dix sept ans ne servirais pas à grand-chose, mon adolescence n’a pas était très mouvementé, ma vie s’est stabiliser et même si je n’ai jamais réussi à accepter la mort de ma mère, j’ai retrouvé peu à peu le gout à la vie. Ce que j’aimais, s’était sortir, faire la fête, et rien d’autres n’avait réellement d’importance, je me sentais tellement bien dans ma bulle.

C’était en mars, je venais tout juste d’avoir dix sept ans, le seize mars plus précisément, il me semblait que s’était une journée comme une autres qui se levait sur San Francisco, je regardais mon téléphone, il affichait dix messages, la quasi-totalité provenait de ma meilleure amie, qui avait certainement du encore coucher avec quelqu’un et qui me raconterais sa soirée, j’en profiterais pour lui rappelais que nous devions nous voir, mais j’ajouterais ne pas lui en vouloir car la veille avait était une soirée finalement tout à fais fructueuse, j’avais rejoins des amis dans un bar ou nous pouvions boire grâce a nos cartes d’identité falsifié, ainsi j’avais fais la connaissance d’un charmant jeune homme tout à fais mignon, à ce moment là, je remarquais que le dernier message reçu provenait d’ailleurs de ce charmant jeune homme, je l’ouvrais.

De : EVAN
Bonjour petite ange, j’espère que tu as bien dormi, que dirais tu qu’on déjeune ensemble ?

Je regardais l’heure, il était tout juste onze heure, je m’empressais d’accepter l’invitation et partais me préparé, sous la douche je pu me rendre compte que le visage de mon interlocuteur m’était tout a fais flou, je me rappelais seulement qu’il m’avait réellement plus et je me rappelais surtout l’avoir embrassé lorsque celui-ci m’avais raccompagné devant la porte, une chance que mon père était partie pour trois jours à Paris. Arrivé au dressing j’enfilais une robe noir bustier très simple mais à la fois très classe ainsi que de jolie escarpins, je coiffais ma chevelure, me maquillais légèrement et quitter la maison. Le restaurant où Evan m’avait donné rendez-vous était à l’opposé de là ou j’habitais, même en voiture, à cet heure si, il était certain que j’arriverais en retard.

A midi et cinq précisément je fus enfin arrivé, mes cinq minutes de retard paraissaient anodine, il ne les remarqua pas, ou plutôt ne me suis-je pas attarder à ce détails. Même à l’heure d’aujourd’hui je pourrais vous décrire exactement ce que j’ai ressenti lorsque je l’ai vu. Pour faire simple, plus personne n’existait, je ne voyais que lui, mais pour entrée dans les détails mon rythme cardiaque s’accéléra dangereusement, mes mains devinrent moites et ma démarche mal assuré, j’avais étrangement chaud et comme l’impression que mes joues était écarlate et aller presque exploser, s’était littéralement le coup de foudre, je n’avais jamais ressenti ça, pour personne. Avec Evan, les choses se sont très vite enchainer, notre histoire à toujours était envier, nous étions beau et amoureux et l’insouciance de notre jeunesse nous laisser croire que notre amour suffirais toujours, que éternellement nous pourrions vivre l’un pour l’autre, coupé du monde à ne vivre que pour le souffle et le bonheur de l’autre. Mais, Evan était quelqu’un de très compliqué, et moi j’en demandais sans doute trop parfois, je ne sais pas, notre relation était si belle mais si chaotique, mais ce qui faisais que nous nous aimions tant était la souffrance que cette relation contenait. Entre nous s’était de long silence, des regards qui disaient tous ce qu’il y avait à dire, jamais on ne parlait de nos sentiments, jamais on ne se délivré, sans en avoir notre relation avait tant de complexe, d’un jour à l’autre nous avions le pouvoir de devenir de parfaite inconnue. Parallèlement, il me plaisait et je l’aimais comme au premier jour et je savais que s’était réciproque, jamais nous ne nous l’étions dis, vous savez « je t’aime », mais s’était naturelle, j’étais confiante quand à cet idée, et lui, en était certain. Pendant deux longues années se fut un bonheur sans nom, pourtant, les fissures du temps était de plus en plus visible, je n’avais jamais était particulièrement jalouse et de savoir qu’il m’étais infidèle n’avais jusque là jamais évoquer le moindre froncement de sourcil, j’y étais particulièrement indifférente, je le cachais, simplement car je savais qu’au plus profond de moi cet douleur était d’une immensité que la refoulé était bien mieux que l’affronté, elle bouillonnait et chaque jour la douleur m’envahissait, je la contenais, j’avançais, tête lever, comme si chaque jour j’avançais vers la guerre, je m’efforçais de masquer cet douleur, de la canaliser, jusqu’au jour où je n’en puis plus.

Oh, non, ce n’étais pas violent, rien des grandes disputes pleines de larmes habituelle, bien sur que j’ai pleuré, mais certainement pas devant lui. Ce qui nous à gâcher je crois, s’est notre soif du monde et d’expérience, à toujours vouloir envisager ou voir d’autres horizon, la différence entre lui et moi s’était que j’avais su lui montré qu’il était différent, d’ailleurs, je n’avais jamais accorder à un homme une tel importance, lui, il était avant même d’être Evan Tyler, l’homme dont j’étais folle amoureuse, celui à qui je m’étais donner entière, il était le premier, celui qui m’avais toucher, qui m’avais appris, celui qui m’avais fais ressentir les premiers émois amoureux, il avait cet pureté mais ce côté si sombre, s’est ce qui me plaisait tant. Il avait toujours su au cour de ses deux attisés la flamme, et malgré la souffrance que m'infligée cette relation jamais je n’avais pu partir, je l’aimais, je ne sais que vous dire d’autres, s’était si fort, je ne pensé pas pouvoir vivre sans.

Mais, je ne pouvais plus rester sourde et aveugle à la réalité, j’avais fais des sacrifices qu’il n’était visiblement pas prêt à faire, sans doute nous étions trop jeune, sans doute devions nous avoir d’autres personnes, je ne sais plus très bien quel était alors les raisons que je lui avais énoncé pour mettre fin à cette mascarade, qu’importe, il a bien vite compris les réels causes de lui-même. Je ne crois pas que dans un premier temps ça l’ai heurté, en deux ans, nous en avons vécue des choses mais malgré tout j’étais l’une de ces rares personnes capable de masquer ces sentiments, capable de faire comme si de rien n’étais, il n’étais plus là, j’avais mal, la simple vision de son visage me torturais, les souvenirs me hantais et chaque nuits lorsque je trouvais enfin le sommeil après que les étoiles m’ai torturé il venait dans mes rêves, il s’invité et dans mes rêves s’était comme avant, lorsque tout était beau, lorsqu’on y croyais encore. Au finale, le temps nous avait bouffés, tous, nos rêves, nos projets, mais pas cette passion. Quand on se croisait à San Francisco, nos regards s’entrelaçaient je savais qu’il me désiré et il avait en lui cette même certitude, mais nous savions, c’était perdue d’avance, nous avions essayez, ça n’avais pas marché. Ces rares moments était pour moi une véritable torture, je me sentais écorché vive, à nue, devant une foule de monde qui verrais chacun de mes sentiments, je ne pourrais plus alors me dissimuler sous des sourires, ou même ces fous rires futiles. Je savais au fond de moi que si nous n’arrivions pas à tirer un trait sur cet histoire s’était que certainement, elle n’était pas fini, mais je ne voulais plus, plus un homme ne me ferais souffrir comme il l’avait fais, j’avais envie d’exister, réellement d’être désirer et que ce soit moi celle qui brise des cœurs mais qui n’a pas le cœur brisé. Ce qui fut le plus dur, je crois, s’est de voir tout ses rêves, tous ses projets construit depuis tant de temps s’effondrais, au cour de notre relation nous avions pris la décision de s’installer ensemble, mon père n’avait pas était très enjouer pour cet idée aux premiers abords, mais Evan lui étais présent, ces arguments tout à fais stupide prenait leurs effets à cet période là, après avoir regagnais la demeure de mon père je me rendais compte que tout cela prenais fin, ma vie avait avancer si vite et désormais, j’étais à la case départ, dans cette grande demeure, seule.

Sans Evan, s’était simple, sans l’être, je n’avais plus qu’a m’occuper de moi mais en même temps je ne désirais personne comme je le désirais lui, inexplicable, retenez cela. Son absence m’a servis à prendre ma vie en main, jusque là j’entreprenais des études de droit, mais Evan, lorsqu’il m’a trahie m’a hotter toute envie, je ne sais pas, durant quelques jours je ne suis pas sortie, c’était mon deuil, en quelques sortes. Puis, je ne sais pas, un beau matin je me suis présenter à un casting, parfait hasard je passé dans cette rue que je n’avais pourtant pas l’habitude d’emprunter, à vraie dire j’avais modifié mon itinéraire, de sorte à ne pas le croiser, son visage me torturais à lui seule. Et là, cette affiche m’a interloquer, scotcher à une porte, un simple mot « CASTING » je suis entrée, sans book, sans rien de toutes ses conneries, pourtant ils ont flashés sur moi et très vite le bouche à oreille à fais sa magie légendaire, je me suis retrouvés propulsé au rang de top model nationale, mon échelle de popularité se limite aux états unis, bien que j’espère un jour pouvoir l’étendre… Ce métier, je ne sais pas, j’y ai pris gout, plaire, tout en restant inaccessible et être payer à être jolie et à porter de magnifique vêtement, que demande le peuple… Nous sommes restés séparés près d’un an, environ, je ne sais plus… ça m’a parut long, ça l’a étais, mais je ne sais pas à présent je me demande si s’est vraiment ce que j’attendais, si c’est vraiment ce qui me correspond. Je ne crois pas vraiment qu’un beau jour il se soit lever et que là alors, il est était subitement illuminer, que soudainement, sans un coup du sort il est réaliser que ce qui lui manquais s’était moi, que le lit était drôlement vide sans moi. J’avais du mal à penser qu’un jour, il se soit rendue compte comme par magie qu’il m’aimait, vraiment.

Je ne sais pas, je me suis remis avec lui, sans pour autant avoir réussi à lui pardonner et ce qui était le plus étrange s’était de savoir que mes sentiments à son égard n’étais plus les même, j’avais cette même passion mais plutôt une envie de m’en débarrasser... C’était dur, me connaissant je savais que ce n’étais qu’une réaction d’après coup et que je le regretterais horriblement, mais sur le moment je ne sais pas, peut-être avais-je envie d’évasion. Vous retranscrire la conversation ne servirais à rien, elle est dénué de sens et de dialogue, ou le peu de dialogue qu’il y avait ne provenais pas de moi. Au début, j’ai refusé, me remettre avec lui était loin d’être ce qu’il me fallait, et, finalement notre relation est devenue un peu moins compliqué, entre nous il n’y avait aucune ambigüité, on se voyait, on couchait ensemble et on se disait à demain, ou peut-être à plus tard. Ce qui était le plus étrange s’était qu’il n’y avait plus aucun complexe, lorsqu’on en avait envie on se retrouvait et lorsque notre compromis était fin terminer, chacun retourner à sa vie. Moi, cela me convenais et, je pense que dans un premier temps Evan s’en réjouissait, mais que tout ça, cette non officialisation, le fais que je ne sois plus sa propriété sa chose.

Les choses ont bien changé depuis, et bien vite, nous nous sommes remis ensemble après près d’un an de relation sexuelle continue, mes sentiments sont les mêmes, j’en suis certaine mais je ne sais pas je suis bloquer, je ne suis pas prête à me réinvestir dans cette relation. Je ne sais même pas si elle en veux la peine.