✱ JOB/ÉTUDES : Etudiant en commerce international et coach sportif à domicile. ✱ SITUATION : Célibataire. ✱ ORIENTATION : Hétérosexuel. ✱ ÂGE : 21 ans. ✱ ORIGINE : Sao Paulo, Brésil. ✱ AVATAR : Marlon Teixeira, le magnifique. ✱ GROUPE : Money.
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« enlève ton masque d'anonymous è.é »
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JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
« Si tu veux vivre alors prouve-le, prouve-le et bats-toi jusqu'à ton dernier souffle, coûte que coûte. Renoncer c'est pour les faibles, les mauviettes, ceux qui se feront toujours marcher sur les pieds et qui l'acceptent sans sourciller. Franchement, tu vaus mieux que ça gamin ... »
Par où commencer ... Disons que la vie de Milo est une succession de circonstances dramatiques. Lors de sa naissance déjà, il fut sortie du ventre de sa mère le cordon autour du coup, échappant de peu à une asphyxie certaine. Il y a des signes comme ça qui ne trompent pas, et l'on pourrait presque penser que c'était même une sorte de présage pour sa vie future ... Rien ne s'est vraiment passé comme sur des roulettes, tout à un moment ou à un autre a fini par foirer inévitablement. Certains parlent de destin, d'autres n'y croient pas mais il y a bien des choses qui sèment un doute énorme. Pourtant tout semblait avoir bien démarré, Milo était l'enfant tant désiré, celui que l'on attendait plus, le petit Prince de sa mère. Rien n'était trop beau pour cet enfant, il avait souvent trop de tout malgré les faibles revenus de ses parents, et on peut dire que ça le rendit quelques peu capricieux par la suite. Mais très vite, sa mère perdit la vie des suites d'un cancer alors qu'il n'était encore qu'un bout de chou. Être confronté si tôt à la mort et d'aussi prêt fait toujours froid dans le dos. Il n'était pas préparé à la laisser partir, il aurait voulu avoir le temps d'en apprendre d'avantage sur elle, sur sa vie passée, ses habitudes aussi ... C'est horrible de n'avoir quasiment rien d'un parent partie trop tôt, de son souvenir qui devrait pourtant être indélébile dans la mémoire ... Il ne se doutait pas à la naissance, que chaque instant partagé avec elle lui était compté. Au fil des années, il cherchait à se convaincre qu'il n'avait pas besoin de tous ces petits rien pour l'aimer et être proche d'elle au-delà de la mort ; mais en même temps ils lui manquaient terriblement ... Tout ce qui le reliait à elle en définitive ce n'était plus que quelques photos et un vieux carnet d'adresse sur lequel était apposée son écriture manuscrite ... C'est dur à six ans à peine d'accepter les épreuves qui s'imposent à nous, et pourtant quelle autre solution y a-t-il ? ...
Extrait d'écrits personnels.
« Je me souviens encore les premiers jours où je suis allé à l'école tout seul, j'avais cette sensation de froid en moi, un froid immense. Je regardais les lumières chaudes qui émanaient des appartements dans les rues, j'observais chaque fenêtre et j'avais encore plus froid. Je me perdais dans mon imagination débordante, j'imaginais derrière les carreaux une famille. La mère fraîche et parfumée, les enfants autour de la table de la salle à manger en train d'engouffrer du pain et du Nutella, j'imaginais le jus d'orange venant tout juste d'être pressé, le père qui sifflote en train de se préparer dans la salle de bain ... Du froid du trottoir je sentais cette chaleur palpable, je pensais à leur unité, leur force que je n'avais plus et ma gorge se serrait. Chaque appartement me contait une histoire qui amplifiait considérablement ma solitude. J'avais la profonde impression que mon âme fondait lentement dans mon corps, que ma peau se ramolissait pour devenir comme un crâne de bébé et que n'importe quel petit choc aurait eu raison de moi. Le chemin qui me séparait de l'école me semblait interminable et souvent je pleurai sans vraiment y pouvoir quoi que ce soit. Je me disais que moi aussi un jour, j'aurais un appartement aux couleurs vives avec une chaleur palpable et du jus d'orange pressée. Mon chagrin devenait insupportable quand j'arrivais enfin devant l'école. Les parents en train d'embrasser leur progéniture, en train de porter les cartables et de faire des projets pour le goûter de 16h30. Il y avait toujours une maman qui sentait bon ou un père avec des fossettes pour me caresser les cheveux en me disant un "ça va Milo ?" hyper sucré. Mes os gelaient dans mon corps, prêts à s'effriter et bien souvent je courais aux toilettes du premier étage de l'école, près de ma salle de classe, et je restais enfermé jusqu'à ce que la cloche sonne, me libérant de cet enfer. »
Continuer à vivre n'est plus un droit, s'en devient un devoir envers la personne disparue. Sur son lit de mort il le lui a juré, il a juré de sourire tout le temps pour elle, de rire, d'être un garçon bien. Il lui avait promis de vivre pour deux , et quand il n'en aurait plus la force eh bien il ne vivrait que pour elle. Chaque bouffée d'air qu'il inspire il la lui doit. Et son père dans tout ça -un garagiste de profession-, sombrait jour après jour dans une forte dépendance à l'alcool. Il en voulait à la terre entière de lui avoir retiré l'amour de sa vie et à Milo aussi, de lui ressemblait autant et de la lui rappeler sans cesse. Tous les prétextes étaient bons pour lui infliger des coups. Un jour, par accident, le petit garçon avait renversé un verre sur le tapis du salon ; un déchaînement de violence s'abbatu presqu'aussitôt sur lui, il le frappait dans une ardeur inouïe, ses poings s'écrasant méthodiquement contre le petit corps dans le but de générer de la douleur. Comment se défendre quand on est qu'un enfant ? Comment faire en sorte que ça s'arrête ? Ce jour-là c'est aux urgences que Milo repris conscience, près de cet homme qui jouait à présent la comédie pour n'alerter personne, oscillant toujours entre coup de griffe et caresse : c'était sa virtuosité. Il était devenu sa hantise, son pire cauchemar ... sa seule famille aussi. Chacun de ses coups est marqué en lui au fer rouge, tout comme cet appartement d'angoisse. Dans la cuisine un jour, il avait vu une de ses bestioles énormes, un insecte à longues antennes qui fichent la trouille aux gamins. En y regardant de plus prêt, il y en avait un peu partout, au sol, sur le plan de travail, dans les placards ... Ca lui avait fait tellement peur qu'il n'y était plus jamais retourné. Mais il se disait que dès l'instant où la porte restait fermée ça ne risquait rien. Son père n'y allait plus donc ça ne changeait rien. Milo lui, c'est à la cantine qu'il reprenait des forces, puis le soir comme son père ne cuisinait pas, il ramenait le pain de la cantine dans son cartable, au cas où. C'était dur dans ces conditions d'honorer la promesse faite à sa mère quelques années plus tôt, mais il se battait pour elle. Au bout de quelques temps à l'école ça a finit par se savoir. La conseillère d'éducation le convoquait sans relâche pour savoir si ça allait, s'en devenait insoutenable d'affronter les regards appitoyés et les questions gênantes. On finit par le placer loin de son père, en famille d'accueil, le temps que ce dernier puisse recevoir des soins.
Se retrouver de l'enfer au pays des bisounours, imaginez le choc. La maison dans laquelle on l'acceuillit était en quelques sorte le paradis des enfants. Il n'était jamais seul bien longtemps, recevait les gestes d'affection qui lui avaient cruellement manqués jusqu'à présent et appris également le partage avec les autres enfants de la famille. Il se disait qu'il faisait maintenant le bonheur d'une famille, c'était tout bête mais ça lui suffisait à être heureux. Bien sûr il y avait toujours une place pour sa mère dans chacune de ses pensées, mais il n'en parlait jamais. Ils avaient essayés de le questionner sur tout ça, mais Milo ne disait jamais grand chose, il ne voulait pas de pitié, il n'en avait pas besoin. Du coup, ils ont arrêtés, c'était mieux comme ça. Ne perdant jamais de vue l'école, il poursuivait sur sa lancée, passant les classes les unes après les autres. Il avait toujours été doué pour l'apprentissage sans vraiment avoir besoin de se forcer, et depuis toujours il savait que se serait sa bouée de sauvetage, son échappatoire pour fuir la vie msérable qu'il avait connu.
Tout se passa sans accroc et à dix-sept ans, presque dix-huit, le jeune homme obtint son diplôme de fin d'étude secondaire. Le moment était venu de faire ses adieux à ce foyer, à ces gens si agréables, eux qui l'avait accueilli à bras ouvert, et de quitter la ville de Chicago pour se rendre à l'université de San Francisco. C'était le premier jour du reste de sa vie, sa vie d'adulte responsable. Il était désormais le moment de se construire, lui tout seul, et de devenir ce qu'il avait toujours voulu être, autrement dit tout l'inverse de son père : un homme charmant et cultivé. Tout sauf un lâche. Ce qu'il y a de positif dans tout ça c'est que maintenant plus rien ne peut plus l'atteindre, personne n'est plus en mesure de lui faire du mal d'une quelconque manière. Ca lui a apportait une vision de la vie bien personnelle, pour lui hormis ses études rien n'a vraiment d'importance. Il a développé un côté je-m'en-foutiste assez prononcé et rien ne mérite vraiment qu'il sorte de ses gonds. Cependant, c'est tout de même quelqu'un d'assez excessif dans ses émotions et dans la vie en générale. Il a, par ailleurs, des difficultés à extérioriser ce qu'il ressent et prouver aux gens qu'il aime qu'il les aime vraiment. Mais en contrepartie, il leur est dévoué autant qu'il le peut. C'est quelqu'un de franc, qui dit toujours la vérité peu importe les conséquences que ça engendre. C'est sans doute sa plus belle qualité, et à la fois un défaut de taille.
Pour le reste je ne vais pas tout vous dire, si vous désirez connaître la vérité et la voir de vos propres yeux, je vous invite à la visiter ...
J'ai bien aimé le fait que tu fasses un 'journal intime'
Parfait, t'es validé[e], babe!
Bienvenue, nouveau POHien !
Ça y est, tu es désormais chez toi ! Nous avons trouvé que ta fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées.
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