la deuxieme étoile a droite et tout droit jusqu'au matin
ft. Hannah Muray
Je m'appelle Maureen-Lyne Anastasya et j'ai 19 ans. Je suis Bisexuelle, Libre comme un oiseaul et né(e) à Berlin en Allemagne/i], le [i]30 septembre 1992.
Ses petits pieds s'agitaient , des murs blanc l'entouraient et le cliquetis du colier de sa mère qui se faisait agiter par la nervosité de celle-ci. Ses petits yeux vert s’élevait vers la présence de sa maternel. Long cheveux blond remonter dans un fin chignons de femme d'affaire. Joue rose tapoté avec soins d'un fart à joue pour en retirer l'éclat de sa peau blanche complètement luisante. Ses yeux ne brillaient pas de bonheur ou d'une lueur de chagrin , mais bien d'espoir. Ses mains se joignaient et ses talons commençaient à faire rage sur le sol à force de les faire claquer sur le carrelage. La petite fille tenait dans ses mains un chocolat chaud.Maureen apporta une tasse chaude à ses lèvres pour en goûter le breuvage chocolaté fumant d'une odeur sucrée. C'était un lundi comme tout les autres. La même pièce , le même établissement. La routine ne changeait pas. Chaque fin d'après midi Veronika passait prendre sa fille à l,École pour ensuite se diriger vers l'hôpital. Même conversation était échanger dans la voiture. Chaque fois la dame assoyait Maureen sur une chaise et lui donnait son chocolat chaud. Elle lui racontait aussi par la suite une histoire pour en faire pétiller ces yeux de mille feux. La fillette en riait , la regardait émerveillé et souriait jusqu'au dernier mot. Mainte fois sa mère lui avait répéter d'une certaine vie merveilleuse aux États-Unies en compagnie de son père dans une villa . Elle pesait ses mots en disant que chaque jour un repas fumant ou un dessert sortirait du four de ses propres mains. Que le soleil refléterait sur son visage de crème et que Lyle aurait la chance de pouvoir jouer à la poupée sur une grande terrasse. Sa progéniture âgée de 5 ans ne comprenait pas toujours l'importance de chaque détail qui accompagnait ses récits et ses rêves. Mais aucune fois elle n'avait refuser entendre sa voix se prêter à ces espoirs. Seulement Véronika était bloquer par quelque chose qui ne la ferrait sans doute jamais traverser l'océan. Son marie. On pouvait deviner la situation en apercevant l'écriteau «problème psychologique». Le même homme habituel s'avança vers la mère suivit de son calepin et de son crayon à l'encre. «Madame Ackemann ?» «Oui ?» «Veuillez me suivre svp.» Il entra dans le bureau juste en face des sièges de la salle d’attendre. La porte était légèrement entrouverte juste asser pour que les yeux curieux de Maureen puisse s'aventurer. Elle en vit les traits de sa mère s'affaisser et réprimer une grande colère envers le médecin si bien que quelques feuilles volèrent au passage et elle fut surprise se faire tirer vers la sortie en moins de deux secondes. «Papa ne rentre pas avec nous aujourd'hui ? »«Non ma chérie. Je t'expliquerai plus tard.»Ses petits yeux inquiets baissèrent vers le sol , mais sa voix continuait de poser des questions. «Mais alors qui va me chanter une comptine avant de me coucher ?» Véronika ne répondit pas. Diagnostic : Schizophrène. Ho elle était déjà tout au courant de ça , mais cet fois son marie ne pouvait pas rentrer avec eux pour la semaine. Cas aggraver selon le médecin aucune sortie. Dernière fois ou Maureen-Lyle mit les pieds dans un hôpital ou plutôt la dernière fois d'avoir vu son père.
Hooo un lapin rose !
«Ma mère disait que mon père voyait des choses étranges. Et bien c'est la première fois que je vois un lapin rose ! ». La lumière du placard étai tamiser par une ampoule accrocher au plafond et par l'embrasure de la porte. «Tu es marrante.»Les mains de Raffael papillotaient sur les hanches de la jeune adolescente dans le même instant que ses lèvres rencontraient la peau de son cou. « Ça fait toujours cet effet ce truc ? ». Elle gloussa et avait les pupilles dilatées au maximum. Sa résonnait dans sa tête alors que la musique frappait contre les murs de la pièce. Le jeune homme lâcha un soupire ne finissant pas ses baisers qui s'étaient approchés dangereusement de sa poitrine. «Est-ce que tu parle toujours autant ?». Elle se mit à rire. La drogue une invention stupide. Serte Maureen voulait avoir l'esprit complètement dans les vapes pour pouvoir comprendre ce que vivait un peu son père . Mais quel comparaison des plus ridicule quand on y pense. Encore elle aurait sans doute eu une idée plus brillante de demander à une autre personne. Sa pauvre virginité venait d'être mise en jeux. Par chance toute ces paroles et sa folie naturel commençait à agacer son ami qui lui n'avait qu'un but. Il essaya encore une fois glissant une main baladeuse sous sa robe. Elle se mit à gigoter dans tout les sens en faisant retentir ces éclats de rire de plus belle. « Mais arrête tu me chatouille.» «Ho ça va j'en ai marre !» Il ouvrit la porte suivit de la jeune femme complètement à l'ouest. Bouteille de vodka à la main elle lui fit des petit yeux. «Quoi tu n'as plus envie de moi ?»«Oui c'est ça salut !». Une petite mine de gamine triste prit possession de ses traits , mais enfila une longue gorgée d'alcool avec un haussement d'épaule. Son corps tomba sur le lit tout prêt en regardant le plafond d'un air rêveur. Elle continuait de rire alors qu'elle était seul dans la pièce. Tout ses sens étaient en alerte et complètement plonger dans le pure et simple folie. En à peine quelque seconde une présence doter d'une longue chevelure cuivrée faire son entrée. «FELICIA» Maureen se jeta au coup de son amie et l'embrassa à pleine bouche. Felicia a repoussa en secouant la tête et en apercevant la bouteille dans ses mains elle lui retira de suite. «Mais ça va pas toi dit-donc aller je te ramène chez toi !» Tel un enfant elle secoua sa tête , mais elle ne put protester . Ainsi se termina sa quatorzième année.
Promenons nous dans les bois !
«Tu regarde quoi comme ça ?»«Les étoiles.» Sourire bête accrocher encore une fois. Ses prunelles avait cet éclat si pure de l'innocence. L'herbe caressait la peau fraiche de son dos tant qu'on reste de son corps en était cacher par une couverture. Raffael emmêlait les mèches de sa chevelure de blés entre ses doigts longs. Aventure dans un bois sombrer par la noirceur de la lune. Leur visage était éclairer paisiblement par le reflet de la lune qui se déposait aussi sur les arbres munie de nombreuses feuilles. Deux jeunes gens qui profitent tout simplement de la jeunesse de façon non raisonnable. Le jeune homme vint se coller sur le cotée des formes nues de Maureen. Mensonge était au rendez-vous. Non jamais Véronika aurait eu la puce à l'oreille de ce comment sa fille avait décider d'occuper ses soirées. «Qu'est-ce que c'est l'amour dit moi ?» Ses yeux ne s'étaient pas détacher des astres mais ses oreilles étaient de tout ouïe à sa réponse. «Quelque chose de stupide et futile.»Elle détourna sa silhouette pour se retrouver face à son visage et fronça légèrement les sourcils. «Et si je te disais que je t'aimais ?» Une sincérité au fond se cachait quelque part derrière ses mots. Premier attachement. Vous savez le première amour ? Les premiers sentiments. On dit que l'on ne l'oublie jamais. C'est une sorte d'attachement asser fort quand on y pense. Raffael ne détruisait pas ses craintes en lâchant un rire sarcastique et avança vers ses lèvres . «Tu ne m'aime pas ?» Un nouveau soupire pour une fois de plus. Il se releva attrapant ses vêtements et les enfila à la première vitesse. Aucune parole aucun sons il s'était contenter de s'enfoncer dans la forêt. Maureen avait pleurer. Pas comme une jeune adulte de 18 ans , mais plutôt comme une adolescente de 15 ans. Tout était à la vitesse lente. Premier cœur brisée. C'est à peine si elle en était sortie au stade de l'enfance dans sa tête.
Réalité Blessante Les valises fait sur le lit blanc . Maureen se débattait sans cesse alors que sa mère continuait de lui tenir plus que fermement les poignets. Apeuré elle en versa quelque larmes en hurlant . «NON JE NE VEUX PAS GRANDIR !» Véronika finit par la maitriser la poussant à l'extérieur de la maison sous la pluie ou le déluge plutôt. «J'en ai marre de toi et de toute tes conneries va t'en je ne veux plus te voir !». Dans sa tête tout allait pourtant bien. Elle ne lui avait pas fait un reproche ou laisser l'ombre d'une frustration. Un silence avait planer entre elle par contre depuis quelque année. Elle lui lança un sachet de poudre blanche à la figure. «Et garde tes saloperies moi je n'en veux pas !» Au plus bizarre que ça puisse paraître un billet d'avion avait été glisser dans ses affaires. À croire que même si elle lui retirait son foyer elle voulait son bien. San Francisco. Et la voilà partit pour le rêve américain. Dans celui que son enfance avait été bercer.
Ouuuf l'histoire la plus nul que j'ai écrit. Je l'es écrit d'arrache. Je vais mettre un avatar plus tard comme Bazzart est en maintenance donc je n'es pas accès à des vava --'
Y'a pas que Bazzard dans la vie, c'est comme le riz et les pâtes ! (y'a aussi Ebly) Ce que je veux dire par là c'est que en tapant Hannah Murray + avatar sur google tu vas en trouver à la pelle des avatars ^^
Merci tout le monde Bin désoler , mais non j'ai pas trouver justement parce oui j'ai chercher par google. Voilà avatar mit et merci Imogen pour m'avoir offert de m'en faire un.
De la part de tout le staff: Bienvenue! Nous avons trouvé que votre fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées. Nous avons donc l'honneur de vous accueillir chez nous, qui est maintenant aussi chez vous!
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