Ah la fête foraine … Un endroit magique pour les petit enfants mais pas que. Les adultes aussi y prennent du plaisir. On a tous encore en nous un part d'enfant, qui s'exprime de différentes manière. Moi, je continue a faire des caprice, comme l'enfant gâtée que j'étais, bon, par tout le temps mais j'avoue que faire des caprices m'était rester avec le temps et je ne me gênais pas le moins du monde et le plus beau dans tout çà, c'est qu'ont me le reprocher rarement, donc, pourquoi arrêter ? Comme, je disais, en chacun de nous, il y a des reste d'enfant, même ceux qui dise « Oh mais non, j'ai grandis, je suis plus un enfant » et bien, la plupart de ses gens son déjà aller a DisneyLand, en prenant prétexte d'y emmener le dernier de la famille, le petit cousin. Ou alors ils viennent a la fête foraine comme ce soir. Il y a pas mal de monde, des familles, des couples mains dans la main ce qui me rappelle que je suis seule ce soir. Je me promène dans les allées, avançant lentement, regardant les enfants s'amuser et me rappelant qu'il n'y a pas si longtemps, l'enfant, c'était moi. J'ai toujours aimée les fête foraines, par ce que je faisais toujours plusieurs fois chaque manège que je pouvais faire, j'adulais mes parents d'être capable de me faire autant plaisir grâce a leur travail qui leur rapportaient beaucoup d'argent et qui leur permettait de me faire plaisir sans se restreindre ! Je repensais au fois ou mon père n'emmenais aux manèges, oui par ce que ma mère, elle, ne venait que rarement, trop prise avec je ne sais quoi. J'étais plus proche de mon père et de mes origines grâce à lui. Mon rêve : retourner à Porto-Rico avec mon père. J'espère y aller rapidement mais mon père n'est pas encore prêt a y retourne, et je ne sais pas pourquoi. Je me fraye comme je peux un chemin dans la foule, et aperçois le marchant de gourmandises. Le sourire aux lèvres, je me dirige vers lui et achète une grosse barbe a papa rose, évidement, le bleu, c'est pour les garçon ! Puis, je continue de regarder tout les stands de la fête forains, de regardais les gens pour y déceler on ne sais jamais, des amis avec qui passer la soirée, les lumières, brillantes, magnifiques, les différents manège, y cherchant lequel est mon préférée. Je marche sans vraiment avoir de but, je marche, c'est tout. Puis, a un moment, je relève les yeux et la, mon sourire étire mes lèvres pulpeuses. Je crois que j'ai trouver mon manège préféré : La grande roue. C'est tellement beau lorsque l'ont arrive en haut et que l'ont voit presque tout la ville, on se sens puissant, on a l'impression d'être dans les airs, de pouvoir toucher les nuages. Mon père venait toujours avec moi sur la grande roue. Et puis, je crois même que c'est la que j'ai embrassée un garçon pour la première fois de ma vie. Avec Landon aussi j'y suis monté quelque fois et chaque fois, je ressortais de la nacelle, le regard brillant, comme une petite filles. Je reste a regarde la roue tourner, tourner, en souriant, heureuse d'être sortit, même si j'étais seule. Je piquais de temps en temps dans ma barbe a papa en regardant le spectacle que m'offrait la roue.
J’avais toujours un peu de mal avec les endroits bondés. Le comble de l’ironie pour une rockstar n’est-ce pas ? Mains enfoncées au fond des poches, et regard fixé sur Sophie, mon rencard de la soirée, je souriais, alors qu’à l’intérieur, j’hurlais littéralement. Premièrement je ne me sentais pas à l’aise ici. L’ambiance était chaleureuse, certes, cet océan d’enfants, d’adolescents et de parents enjoués ne m’inspirait pas vraiment confiance. Deuxièmement, j’ignorais pourquoi j’avais invité Sophie à sortir. C’était une fille vraiment gentille mais quelque peut bavarde. Voir trop, et croyez moi, ce qui sortait de sa bouche n’était pas toujours très brillant. Pour en revenir donc au fait, j’observais cette dernière braquant sa carabine face aux ballons multicolores gonflés à l’hélium avec un amusement certain. Sophie était loin d’être une fille très habile avec ses mains, en une seconde, le plomb qu’elle tirerait pourrait en fait se retrouver au fin fond de ma boite crânienne. Mais qu’importe, je restais là comme un idiot, attendant que la jeune fille parvienne à gagner sa gigantesque peluche.
Alors que Sophie continuait sa vendetta contre les ballons multicolores, je fis le tour de moi-même dans l’espoir de reconnaître un visage, une silhouette ou quelque chose qui pourrait m’extirper de ce cauchemar. Mais rien. Des enfants impatients d’embarquer à leur tour dans les distributeurs d’adrénaline, des adolescents faisant la queue pour essayer le tout nouveau grand huit et une bande de romantiques s’entassant devant l’entrée de la grande roue, qui, pour l’occasion avait revêtis ses plus belles couleurs. Hébété, je contemplais silencieusement le spectacle un instant avant de me ressaisir. Alors que j’étais sur le point de me retourner pour affronter de nouveau Sophie, mes yeux se stoppèrent sur une silhouette. Oubliant totalement Sophie, ses ballons, sa carabine et notre rencard, je m’avançais en direction de cette jeune inconnue, pas si inconnue que ça finalement. C’était Ciara et même de dos, je l’aurais reconnu entre mille. Elle avait bercé mes nuits pendants plusieurs mois déjà, si ce n’est plus. Pour être honnête, cette fille avait eu un réel impact sur moi. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, elle était loin d’être trop superficielle ou encore stupide sur les bords. C’était certes une fille à papa, mais son âme d’enfant m’avait carrément fait craqué. Ouais, c'était le mot. On était toujours sur la même longueur d’onde, à la ville, comme au lit. Aussi loin que je me souvienne, ça avait déjà semé le trouble dans les esprits de nos proches. « Vous êtes ensembles ou… ? ». Nous, nous ne l’étions pas, et nous ne le sommes toujours pas. « Pourquoi ? » me demanderez-vous. La réponse était simple : nous cherchions seulement à profiter du jour qui nous était offert, les questions ce n’était pas vraiment notre truc à l'un, comme à l'autre. Plus je m’avançais vers elle, plus mes pas se faisaient inaudibles, silencieux, inexistants. L’envie de la surprendre me dévorant de l’intérieur. Je vins alors me placer derrière elle. Tellement près que j'avais pu deviner le parfum de son shampoing. Frais/Vanille, quelque chose comme ça. Je me penchais en avant, juste au niveau du lobe de son oreille avant de murmurer d'une voix douce.
- Pourquoi je ne suis pas étonné de te trouver dans ce genre d'endroit ?
Visiblement, je venais de sortir mon interlocutrice de sa contemplation de la grande roue... ou peut-être bien de ces pensées. Je ne pus m'empêcher de sourire. Ciara avait tendance à rêver, un peu trop souvent.
- Pourquoi je ne suis pas étonné de te trouver dans ce genre d'endroit ? Me demanda une voix que je ne connaissais que trop bien dans mon dos alors que j'étais plongée dans mes pensées.
Je sursautais légèrement avant d'étirés mes lèvres en un beau sourire. Duke … Il était si près de moi que j'avais sentis sont souffle contre mon oreille, me faisant du coup frissonné. Duke, ma rock star personnel comme j'aimais l'appeler. Je ne savais même pas comment le présenter, comment dire ce qu'il était pour moi. C'était vraiment bizarre, car pourtant, définir nôtre relation serait assez simple si je n'étais pas Ciara, et si il n'était pas lui. Normalement, je devrais qu'ont est ensemble, mais nous sommes deux personne qui ont une peur incroyable de l'engagement et qui ne pouvait pas se mettre volontairement des barrières dans la vie. On voulait être libre de faire ce dont on avait envie et n'avoir de compte a rendre a personne. Nous étions attaché l'un à l'autre tout en voulant être farouchement indépendant pour gardé notre liberté si cher de nos jours. Je fermais les yeux quelques secondes et le parfum de Duke arriva a mes narines et je l'inspirais, heureuse de la voir ici et de savoir que je ne serrais plus seule ce soir. Duke m'avais manqué, il me manquais tout le temps en faite mais j'étais trop fière pour le lui dire directement, et puis j'étais certaine qu'il le savait très bien sans que j'ai besoin de le lui dire a haute voix. Je respirais calmement et me retournais vers lui, le visage souriant, les yeux rivaient vers lui. J'étais vraiment contente de le voir. Doucement, je le prenais dans mes bras et lui faisais un câlin en profitant pour inhaler encore son parfum enivrant puis je le relâchais doucement, toujours souriante. Avec lui mon sourire ne quitter jamais mes lèvres, rien que par sa présence il me rendait heureuse, et je ne savais même pas comment il arrivait a faire çà.
- Peu être que tu me connais trop bien ? Suggérais-je, amusée. Je ne dois plus avoir de secret pour toi ! Je ne sais pas si cela doit me réjouir ou au contraire en pleurer ! Moi qui aime tant les mystères. Je suis contente de te voir Rock Star, tu m'a beaucoup manqué tu sais ? Dis-je en le regardant dans les yeux. Qu'est ce que tu fais là toi ? Je te pensais en répétition, ou en train de composer ou faire je ne sais quoi et qui te rend irrésistible ! Lâchais-je en rigolant.
Je m'écartais légèrement de lui. Si il me voulait plus près de lui, qu'il vienne me chercher ! Sans le vouloir, je trouvais toujours ses yeux, dans lesquels je me laissais plonger sachant que j'y serais en parfaite sécurité. Je n'avais pas peur qu'il connaissais tout de moi, je voulais qu'il me connaisse par coeur, sur le bout des doigts. Je le regardais durant de longue minute sans rien dire, sans bouger d'un pouce. Je sais, parfois j'ai quelque réactions bizarres mais Duke y était habituer et ne s'en étonné plus du tout. Je souris doucement, attrapais sa main et courrais jusqu'à l'entrer de la grande roue, un grand sourire d'enfant sur les lèvres. Je regardais tout çà, encore émerveillé par la magie de la fête foraine, une main tenant ma barbe a papa et l'autre serrant la main de Duke. Je m'arrêtais un peu a coté de la caisse pour pénétrer dans la roues et regardais Duke en souriant.
- Tu viens avec moi faire un tour de grande roue ? Lui demandais-je mais sans vraiment lui demander son avis. Je voulais qu'il reste avec moi ce soir et je ne le lâcherais pas. Je tenais vraiment trop a lui. On va bien s'amuser !!
Je me mis a rire, j'avoue avoir tout l'air d'une enfant a cet instant sauf qu'avec Duke, les jeux auxquels je voulais me livrer n'étaient pas les même que ceux des enfants, mais pas du tout … Nous achetâmes deux billets et nous nous sommes installés dans la nacelle de la roue et avons attendus que la roue commence son ascension. J'étais aux anges d'être la, avec lui, sur la grande roue, autant dire un endroit plus que romantique, même si cela ne nous correspondait pas vraiment. Les dernières personnes s'installèrent dans leur nacelles, enclenchèrent leur protection et la roue démarra son grand tours, je me collais contre Duke et posait la tête contre son épaules. Si jamais une photo avait était prise a cet instant, nul que que touts auraient dit « quel jolie couple », « ils sont tellement mignons ! » et cette image aurait du nous plaire, mais heureusement ou malheureusement, selon le point de vue, par ce que nous étions nous, Ciara et Duke, cette image de nous ne nous correspondait pas, pas encore. Je crois encore en l'amour, Duke aussi certainement, mais nous ne voulons simplement pas gâcher notre vie en se mettant trop tôt les ferres au cou. On est jeune qu'une fois et pour moi, tant que tu n'a pas assez vue du monde, tu ne peux te caser. Comment être sur que c'est la bonne personne ? Comment être certaine qu'autre part, il n'existe pas un homme ou une femme encore plus parfaite a nos yeux ? Je relevais la tête, regarde Duke, a coté de moi et je me surprise a imaginé ce que cela serait si lui et moi nous nous mettions ensemble pour de bon et cela ne semblait pas si mal, presque tentant.