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 Dante & Constance ─ « After the storm »
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Dim 18 Sep - 22:12

Dante & Constance ─ « After the storm » Z3G8FkU7MBKns9b
like a broken arrow

Je dormis mal cette nuit là bien que j’eusse pleuré. Les claquements permanents des gouttes et du vent sur le toit refusaient de s’estomper en un simple bruit de fond. Je ramenai la couette, l’oreiller puis pour finir tout l’habillage du lit sur ma tête. Rien n’y fit : je ne m’assoupis pas avant deux heures du matin, lorsque les gouttes finirent par transformer en un simple crachin étouffé.

Au matin, ma chambre m’offrait pour seule spectacle un épais brouillard, une sensation de claustrophobie monta sournoisement en moi; c’était comme être en cage. A croire que la météo s’était accordée à mon humeur. Cela faisait plus de trois jours que l’éternelle soleil de San Francisco ne pointait plus le bout de son nez. Comme trois jour que mon soleil à moi, ne m’adressait plus la parole. Comme pétrifiée, j’observais la peinture blanche fraichement posée qui recouvrait le plafond tout en luttant contre les larmes. Afin de facilité l’épreuve, je pris de longues et régulières bouffées d’air, tout à fait consciente de la vanité de mon effort. Je fermais ensuite les yeux, m’avouant vaincue, et laissais alors les perles d’eau douces rouler abondamment sur mes joues avant de les balayer d’un revers de la main. Quand je fus enfin calmée, je quittais avec regret l’environnement chaud et douillet que m’offrait le couvre lit.

J’emportais avec moi ma trousse de toilette dans la salle de bains commune afin de me débarrasser du sentiment de vide qui me collait à la peau depuis plusieurs jours. La sensation des gouttes brulantes venant s’écraser sur mon corps entier me procurait un bien fou. Je laissais l’eau brûlante couler en abondance sur mon corps un bon moment avant d’avoir la présence d’esprit de laisser un minimum d’eau chaude pour mes deux colocataires. Tout en démêlant mes cheveux extrêmement frisés et indomptables, je m’examinai dans la grande glace de la salle de bain. Peut-être était-ce l’éclairage, mais j’avais mauvaise mine, mon teint était terme. Les marques du décalage horaire qu’avait laissé mon fameux week-end à New-York étaient parfaitement visibles. Agacée par mon propre reflet, je sortis de la salle de bain avant d’enfiler les un après les autres les vêtements que j’avais préalablement prévus pour cette journée qui promettait d’être une nouvelle épreuve. Jean slim, basket et sweatshirt, j’étais partie.

Le petit-déjeuner en compagnie d’Ariadna se déroula en silence. Depuis quelque temps, nos échanges se limitaient à « Bonjour. Bon-appétit. Bonne nuit », rien de plus. Le nouveau couple qu’elle formait avec notre autre colocataire, Alan, avait le dont de me mettre mal à l’aise au point même où je ne parvenais plus à leur adresser la parole, l’un comme l’autre. Je ne m’intégrais pas, c’est tout. C’est pourquoi j’avais emménagé le temps d’une semaine chez des amis, avant que ça tourne mal avec l’un d’entre eux et par n’importe lequel… Résultat, je passais l’intégralité de mes journées à l’hôpital au chevet de l’un de mes proches amis, qui avait récemment tenté de se suicider. Je haïssais ma vie. Histoire d’en rajouter un peu, les souvenirs de mon enfance chaotique refaisaient surface et le manque de mes parents ne faisait qu’accroitre au point même que quelque pensées macabres traversaient quelque fois mon esprit, cependant, je parvenais malgré tout à les chasser.
Ariadna se sauva la première vers CHANEL - sa vie, son gagne pain. Une fois seule, je restais sur une des quatre chaises entourant la grande table en verre de la salle à manger. Je ne pouvais m’empêcher de penser à ce Dante, à ce week-end catastrophique et à ma connerie. La veille, je lui avais envoyé un sms lui demandant de me rejoindre aujourd’hui au Golden Gate Park, pas de réponses évidemment. J’avais alors imaginé plusieurs raisons sur le pourquoi il n’avait pas répondu à mon message : répétitions, fatigue ou quelque chose comme ça. Après plusieurs heures, je fus contrainte d’admettre que je me mentais et qu’il ne tenait tout simplement pas à reprendre un quelconque contact avec moi.

Je ne tenais pas à arriver trop tôt au parc, mais je ne supporterai pas de rester dans cet immense appartement une minute de plus. La solitude m’effrayais plus que tout. Tout en saisissant mon Iphone, je sortis tout en verrouillant derrière moi. Il bruinait encore, pas de quoi me tremper néanmoins. Ma mini se trouvais de l’autre côté de la route mais, étant dans un état plutôt instable, j’optais pour un trajet à pied. Je sortis les écouteurs de mon Iphone de l’unique poche de mon sweat et après quelque seconde de démêlage, je pus enfin choisir le morceau qui accompagnerai ma marche jusqu’au parc. Finalement, je laissais libre cours au portable de choisir le morceau qui lui plaira. «  Pixie Lott - Broken Arrow. ». Très belle chanson, mais très mauvais choix. D’un pas plutôt rapide, je marchais en direction du parc en évitant les nombreuses flaques s’étant formées la nuit précédente.

Après vingt bonnes minutes de marche, j’arrivais enfin au parc. L’endroit était désert, mais mettons ça sur le compte de l’heure et du mauvais temps. Je ne n’essayais même pas de m’assoir sur un des nombreux banc de l’immense parc de San Francisco sachant très bien que le bois était encore humide. J’espérais que Dante vienne tout en restant assez réaliste à ce sujet, de peur d’être déçue.
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Anonymous
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Mer 21 Sep - 21:47

Des sueurs froides... Putain, moi je me reveille pas avec ça. Mes draps était trempés et j'avais un fuc***g mal de crâne. J'aurais pas du allez à New York. Robbyn, elle aurait pas pu inviter quelqu'un d'autre. Elle m'avait dit qu'ont serai seul et son mensonge de "j'ai pas fait exprés" Pathétique. Je jeta mes couvertures à terre, pris ma tête entre mes mains en hurlant. J'ai trop mal. Je ne pu l'admettre. Cette fille me rend addict. C'est un désir qui s'apparente à la folie. Je n'ai jamais voulu devenir dépendant. J'avais mal aux tripes.

Douche vite fait, déjeuner vite fait. Je revoyais chaque journée défilé comme un mauvais film. Elle me regardait avec des yeux innocent. Mon corps frémit quand je pense à elle. Constance, Constance, que m'as tu fait ? Je savais que je devais te voir aujourd'hui mais je ne sais pas si j'allais réagir de la bonne façon. Je me posé trop de question. Tout était si flou et complexe. L'Amour ? ... Même pas envie de parlé de ça. J'avais trop de truc en tête j'allais explosé ! Pour me décompresser, un peu de basse. Mon coeur et ma tête font des tourbillons. Je me sens heureux et anxieux. Qu'est ce que je puvait être débile. Personne ne peut percé en moi aussi facilement. "Je t'aime, dit lui ça pour commencer". Qui avais dit ça ? Ma conscience ? En tout cas c'etait un mauvais conseil. Elle aurai pris peur, surement...

Allez, il allait être l'heure. C'était parti pour le parc. Warning Sign- Coldplay dans les Oreilles. Je marchais silencieusement sous cette pluie. Quelle horrible temps. La basse m'avais faite passez la folie, mais non l'envie. Qu'allais-je faire quand je la verrai ? Franchement ? Je ne dirait rien comme d'habitude. Mon blouson en cuir dégoulina et je me demandait si sur mon visage il n'y a seulement que des gouttes de pluies... Je cru oui. J'arriva alors au parc. Facile de trouvez Constance. C'est la seule qui rayonne sous la pluie. Je vue son regard me fusillé. J'avais mal, si mal. Mais un homme n'avoue jamais ses douleurs et ses blessures. Son visage triste me donna mal au coeur. Je veut constamment la voir sourire. Rire. M'embrasser... Je n'osa pas... Comme un enfant.

"Constance, avant tout je veut te dire que parler n'est pas mon point fort. Mais quand je dit quelque chose je le dit avec le coeur. Je suis vraiment désolé de mon comportement je sais qu'il en faudrait plus pour te convaincre mais c'est tout se que j'ai. J'aime ta façon d'être et ta façon d'exister. Ne change pas. Jamais. tu m'as convaincue qu'un homme pouvait avoir mal. Je me suis comporté comme le pire des con. Je ne fait jamais de grand discours et pourtant pour toi...."

Je me tue. Je la regardait de façon à se qu'elle de cerne pas mes sentiments. J'était passionné tout en étant détaché. Constance, me croira tu ? Tu est faite de la même matière que les rêves.
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Anonymous
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Mer 28 Sep - 0:52

Contrairement aux prévisions météorologiques de la veille, la fine pluie ne se stoppa pas, pire même, j'avais l'impression qu'elle s'était désormais transformée en terrible averse. L’expression «trempée jusqu’aux os » prenait désormais tout son sens. L’intégralité de mes vêtements était mouillé et j’avais la sensation que les gouttes d’eau douce passaient par les pores de ma peau afin de se loger dans mon flux sanguin. J’étais frigorifiée. Je fis plusieurs fois le tour de moi-même dans l’espoir de repérer un petit abri mais malheureusement, rien. Rien à des kilomètres à la ronde. Qu’elle idée avais-je eu là. Le parc avec un temps aussi merdique. A présent agacée, j’étais sur le point d’envoyer un message à Dante dans le but de remettre notre entrevue à plus tard quand j’aperçue une silhouette aux portes du parc. Je battais des cils afin de chasser les gouttes qui tombaient d’une rapidité affolante devant mes yeux. Cette façon de se déplacer, ces gestes, uniques. Je les reconnaîtrais entre milles, ils avaient bercés mes nuit de rêve depuis cette fameuse rencontre au Ruby Skye. Malgré cette pluie abondante, Dante était d’une beauté parfaite. Le stéréotype même du surfeur californien à l’exception qu’il ne s’armait pas d’une planche mais d’une basse, ce que je trouvais encore plus attirant. Il faisait partie de ces mes ultra-inaccessible qui trainaient toujours un petit amas de groupies derrière eux. Le genre de mec que chaque filles rêverait d’avoir à son bras. Grotesques clichés. Dante lui était différent, certes toutes les filles devaient craquer pour lui , c’est certain, mais derrière ce physique se trouvait une personnalité hors du commun pour laquelle j’avais totalement… craqué.

Dante était venu se placer face à moi et m’observait avec son air étrange. Ses traits étaient tendus, expression que je détestais chez lui. Instinctivement, je fronça les sourcils désormais persuadée que ça allait peut-être pas si bien se passer finalement. Un long silence, assez gênant, s’installa, il y avait de l’électricité dans l’air, ce qui me rendait plutôt nerveuse. Il fallait que je dise quelque chose. C’est vrai quoi, c’est moi qui avait réclamé ce rendez-vous, je n’allai tout de même pas me défiler. Je pinça nerveusement ma lèvre inférieur à l’aide de mes dents avant de prendre une longue inspiration réconfortante. Quand je me décida enfin à l’ouvrir, Date me coupa dans mon élan.

Quand sa voix retentit, un sentiment de soulagement s’empara de moi, je craignais que notre conversation débute sur une note épineuse. Les mots qu’il sortit de sa bouche me firent l’effet d’un électrochoc au point même où je me demandais si j’avais mal entendu. C’est à ce moment là que j’aurais du fondre en larmes mais j’étais bien trop heureuse pour ça. A ce moment précis, j’aurais pu déplacer l’Himalaya avec tout mon bonheur. Un paquet de sentiments me traversa. La joie, l’euphorie, mais surtout la peur… L’envie de le serrer contre moi et de sentir ses lèvres contre les miennes se faisait plus forte, me retenir était un exploit. J’avais envie de le déballer tout ce que j’avais dans les tripes, tous les SMS dont je n’avais jamais trouvé le courage de lui envoyer. Il fallait que je me lance, la peur de me ridiculiser me dévorant les entrailles.

- Attends... Je comprends plus rien. Pourquoi !? Pourquoi tu m'évites !? Je n'arrive pas à mettre le doigt dessus. Tu me dis tout ça mais tu passe ton temps à m'éviter. Qu'est-ce que je t'ai fais bon sang !? C'est pas juste... Je t'apprécie vraiment, enfin non, je ne t'apprécie pas. Je... Écoutes, ne me force pas à le dire là, maintenant... J'ai besoin de savoir pourquoi à chaque fois qu'on commence à se rapprocher, qu'on passe de supers moments, tu me fuis pour n'importe qu'elle raison ? Tu sais, si tu veux me sortir le fameux « Je t’aime bien hein, mais restons bons amis… », fais-le ! Mais s'il-te-plait, arrête de me faire tourner en rond, j'arrive pas à te cerner... Un jour je suis ta Constance, le lendemain c'est comme si on ne s'était jamais rencontré. Tes sauts d'humeur me donnent vraiment le tournis. Il faut que je sache... Qu'est-ce que tu attend de moi Dante ?


Ça s'était fait. Je baissais le regard en espérant ne pas avoir à verser une larme avant de reposer les yeux sur Dante. Les battements de mon coeur m'assourdissaient complètement, si bien que la pensée que mon organe vitale bondisse de ma cage thoracique pour atterrir sur la macadam traversa mon esprit. Décidemment je ne pouvais pas la fermer. Ça non. L’idée de la réaction qu’aurait Dante me terrifiait. J’aurais voulu partir en courant. Disparaître.
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