stalinski ★ nina czarena ★ mon prénom est trop court pour que j'aie un surnom ★ 28 ans ★ féminin ★ américaine ★ russe ★ née à moscou ★ 17 juin ★ quelque part en 2007 ★ bisexuelle ★ moyenne ★ célibataire ★ études ★ sex (groupe) ★ yeux verts ★ percing à la langue ★

★ pseudo & prénom : mymz, marsha.
★ âge : 19 piges.
★ sexe : le plus fort, celui qui mène le monde, féminin.
★ nationalité : Haïtienne, d'origine Canadienne.
★ comment je suis arrivé sur POH : je le connaissais pour y avoir été membre avant.
★ commentaire : j'aime le design =D.
★ je suis un : PI
★ avatar : Evan Rachel Wood.
★ code du règlement :

Spoiler:

Ma fiche est complète à 100%

J’ai un caractère de merde, c’est un fait et je suis loin de m’en cacher. J’hésite jamais à me foutre de la gueule de quelqu’un ou à le faire chier jusqu’à temps qu’il demande en suppliant que j’arrête. J’ai toujours appris à ne jamais baisser ma garde ainsi que frapper quand les choses devenaient trop emmerdantes. J’ai été élevée par cinq frères, un père et ma mère a eu la brillante idée de me laisser me démerder avec eux quand j’avais 14 ans. Elle a estimé qu’elle arriverait à mieux s’en sortir si elle se cassait. Évidemment, le réflexe de partir avec sa seule et unique fille l’a pas effleuré une seconde. Je l’ai envoyée se faire foutre des millions de fois mentalement. Si elle est capable de nous tourner le dos, je vais faire de même pour elle. Plusieurs années après, elle est revenue, tentant de se réintégrer, mais ça a pas fonctionné. Bordel, j’ai cinq frères et un père beaucoup trop con pour pas toujours inverser les noms des triplés et se souvenir que j’existe. En même temps, il est malade apparemment. Rien à foutre, ça a jamais été mon problème et il a jamais rien fait pour que je m’en soucie plus que ça. J’me suis toujours débrouillée seule – parfois avec l’aide d’un de mes grands frères qui était à la fois mon meilleur ami, Bjorn, mais sinon. J’ai jamais été proche de personne, j’aime pas les gens en général et je me tiens plutôt à l’écart de tout contact qui pourrait ne rien m’apporter en fin de compte et qui me fera chier plus qu’autre chose. J’ai toujours su comment choisir mon entourage et ça m’a fait gagner du temps, plutôt que d’en perdre sur des trucs/personnes inutiles. Je m’attarde rarement sur une situation peu désireuse, je m’arrange pour la faire disparaître et continuer le cours de ma vie comme si rien n’était. « Nina, tu comptes utiliser ça ? » Que Johan vient me demander. Putain de con, comme s’il en avait besoin d’une quelconque manière que ce soit. « Fous-moi la paix et dégage de ma chambre. » Johan est le plus gentil de la famille, mais étant donné que je suis réputée pour être une teigne et que j’aime mon statut, je me gêne pas. On se prend jamais la tête, même quand je fais exprès de le pousser à bout parce qu’il en faut beaucoup pour qu’il pète un câble. Les fois où je l’ai vu réellement fâché, c’est quand maman est revenue comme une fleur en essayant de reprendre les choses telles qu’elle les avait laissées. Sinon, y’a eu quand ce petit trouduc de Caleb est venu me pourrir alors que je lui avais rien fait et qu’il m’a frappé. J’suis rentrée à la maison en pleurant, Johan était là et il a été le démolir, me disant que plus jamais un homme lèverait la main sur moi si c’était pas un de mes frères pour jouer. Ma mentalité est différente de celle de la plupart des gens, que ce soit homme ou femme, dans le sens où – ça doit courir dans le sang des Russes en général – je suis décalée et que j’en aie absolument rien à foutre. Froide, distante, tout c’qu’on veut. J’me fous de tout et de tout le monde avec un plaisir presqu’irréel. Je souris souvent aux malheurs des gens qui m'entourent et que je supporte pas parce que ça me fait du bien en quelque part de savoir qu'ils sont punis pour une quelconque connerie qu'ils ont fait ou un coup bas qu'ils ont perpétré envers mon énorme égo de garce. « C'est bon, j'suis ton frère et tu me dois le respect. » Et mon cul, c'est du poulet aussi ? « Oh, mais pardon votre majesté Johan Stalinski, je ne savais pas qu'il fallait que je me mette à genoux et que je vous lèche les pieds en plus. » Dis-je, le regardant avec un air glacial et un doigt d'honneur bien élevé. Il sort, exaspéré, je me replie dans mon lit et souris intérieurement. J'ai pas envie d'être gentille, ni de faire des efforts pour des gens qui en valent pas la peine. Quand t'es gentil, tout le monde te déteste, profite de toi, pense que tu sais rien et connaît rien à la vie et te joue des tours constamment. Le monde d'aujourd'hui est trop pourri pour qu'on tente de s'y faire une vie tranquille, sans emmerdes, ni embrouilles de n'importe quel genre que ce soit. Fuck off, si on devait tous suivre un certain code éthique, on se ferait tous mettre bien profond sans aucune alternative diverse. Mon indépendance a toujours été un fait important, un surplus que j'apprécie particulièrement parce que je rends de compte à rien ni personne. Je fume, je bois, je baise et peu importe les conséquences. Les limites sont toujours faites pour être repoussées, je vais tout de même pas me priver de ce que je veux parce qu'apparemment c'est mal vu. Quand quelque chose est interdit, c'est là que j'en ai encore plus envie et que je fais absolument tout – sans rien épargner – en mon pouvoir pour l'avoir. Comme la fois où j'ai filmé une partie de jambes en l'air entre un mec canon et moi et que je l'ai montré à sa copine parce qu'elle m'a traité de salope devant plein de gens et aussi parce qu'elle a trompé un de mes frères. Ouais, bon, ça paraît pas, mais j'ai certaines valeurs familiales indéniables. Je rends la vie impossible à tout le monde et je prends un plaisir sadique à le faire à ceux qui tentent d'entrer dans mon cercle. Mon espace m'est vital, pas besoin que des connasses viennent me pourrir ma tranquillité pour des sottises.

Salopard de voisin de merde ! Cet enfoiré a encore mis sa musique de con au maximum. Six bordel de jours sur sept, j'entends la bass résonner dans tout mon appartement alors que putain, j'en écoute pas. Monsieur Je-suis-mystérieux, grand, blond aux yeux bleus, particulièrement sexy, extrêmement baisable – ce qu'il doit certainement savoir – il m'énerve avec ses airs de supériorité, sans compter les remarques salaces – que j'apprécie grandement en silence – qu'il me fait chaque fois qu'on se croise. J'ai beaucoup trop d'estime de moi-même pour aller lui demander de me mettre à genoux devant lui et de lui faire plaisir parce que je le trouve canon. Non, ça c'est pour les putes bas de gamme. Je cogne sur le mur, le son augmente. C'est bon, j'vais lui régler son compte une bonne fois pour toutes. J'ai pas de fusil, pas encore le permis pour, mais putain le jour où j'reviens chez moi avec je lui fous sous le menton et le menace de lui exploser sa tronche de merdeux s'il continue ses imbécillités. Je me fous un minimum de vêtements sur le dos, histoire de faire simple. J'sors de mon appart pour me rendre devant le sien et hurle/cogne/sonne pour qu'il m'entende et vienne m'ouvrir la porte. Évidemment, il pue l'alcool à 30 km et a ce sourire à la fois sadique et hautain, ainsi que sournois sur le visage. Il se tient presque droit, accoté sur le seuil de la porte et me regardant de bas en haut. Parfois j'ai juste l'impression – en prenant en considération la manière dont il me mate et ses remarques – qu'il veut me baiser, mais ce serait me mettre des idées dans la tête. Ce mec est indomptable, il arrête jamais, il respecte que dalle et fait chier à mort. Il dégage une aura sexuelle tellement intense que j'arrive jamais à rester devant lui plus de deux minutes. Tout ce que j'sais sur lui, c'est qu'on partage la même nationalité et qu'on est voisins. Ça pourrait peut-être jouer sur une relation explosive, mais il a pas l'air d'avoir de potes ici. Son prénom, Alekseï et même, je sais même plus comment je l'ai su. « Tu la baisses ta musique, oui ou merde ? » Que je lui dis, en russe. Il répond pas, continue de me déshabiller du regard et fait élargir le sourire aux abords dangereux sur ses lèvres. On dirait que j'ai un blanc de comment j'me suis retrouvée en-dedans, mais la porte d'entrée est fermée et sa langue s'amuse avec la mienne. Ses mains baladeuses se promènent gaiement sur mes fesses, les modelant/massant comme elles veulent. J'réalise pas tellement, pas avant qu'on soit rendus dans son salon. J'tente de le repousser – malgré mes envies – mais ça sert à rien, il est plus grand, plus bâti, plus fort et même si je me l'avoue pas, s'il me baise là, tout de suite, ce sera une victoire personnelle. J'sais parfaitement qu'il se fait remarquer par les autres voisines qui jouent aux chaudasses quand elles le voient et qu'il leur accorde même pas un regard. Une de ses mains se faufile sous mon t-shirt pour dégrafer mon soutif alors que l'autre me soutient bien contre lui. Il m'étouffe presque, mais sentir ma poitrine pressée contre son torse me donne trop chaud pour me soucier du reste. J'lui mords légèrement la lèvre, il grogne et renforce son étreinte. Mon soutif ainsi que mon chandail rencontrent le sol, puis il me jette sur le sofa, se plaçant au-dessus de moi, ce qui me force à élargir l'espace entre mes jambes et à le laisser s'interposer. Il frotte son entre-jambes contre le mien et bloque mes bras avec les siens. Sa bouche englobe mes seins, l'un après l'autre, alors qu'il passe sa langue sur les bouts, ce qui me fait violemment frissonner. Il descend, lâchant un peu mes bras et tirant sans gêne mon short pour le jeter. Je me relève et retrouve ma place initiale quand il me pousse à me mettre sur le dos. Deux de ses doigts se logent entre mes jambes, ce qui me fait gémir instantanément. Il s'y affaire quelques minutes, malmenant mes seins. Ce connard sait comment s'y prendre, fuck. Il s'arrête brusquement et remplace ses doigts par son sexe, tellement rapidement que j'rate des battements. Ma respiration saccadée empire à chaque coup de bassin entre mes reins. Il accélère et intensifie sévèrement la cadence, mes ongles s'enfoncent dans le bas de son dos et il affiche un sourire satisfait. Je crie de plaisir, parce qu'à ce niveau-là, c'est plus seulement des gémissements, et serre mes bras autour de son cou alors qu'on change de position et que j'suis maintenant à califourchon sur lui. Ses mains soutiennent mes fesses, je fais bouger mon bassin contre le sien, gémissant toujours autant. Il coupe la distance entre nos corps et son membre recommence à s'agiter en moi. Je respire presque plus, je suis plus du tout le rythme, je l'entends soupirer, j'me retiens de pas me mordre la lèvre inférieure pour m'arrêter de crier. Il se cale de plus en plus profondément en moi, je savais même pas que c'était possible de ressentir quelque chose aussi fortement. Ses cheveux passent entre mes doigts et je mordille de son épaule à son cou pour finalement y passer ma langue. J'suis à bout de souffle, il décélère un peu et j'en profite pour me retirer. Je passe ma main sur son entre-jambes, avant de descendre de sur lui et de m'atteler à lui faire une putain de pipe. Ma langue joue avec le bout de son sexe, lentement, sensuellement, je le sens devenir un peu plus excité, alors je fais disparaître son membre dans ma bouche, passant ma langue sur chaque recoin, ne laissant jamais une parcelle de peau m'échapper. On m'a toujours complimenté sur le fait que j'aie une gorge creuse... Plus ça y va et plus ça s'enfonce, je reprends très lentement le souffle que j'ai perdu tout à l'heure. Une main sur le principal, l'autre tâtant le repère de testostérone, massant vigoureusement alors que la première main vise un seul but. Des mouvements de vas-et-viens sont effectués, il a l'air d'apprécier, je continue quelques instants avant qu'il retire ma tête de son gré et me fasse me mettre à genoux, mes mains comme appui avant et qu'il se mette derrière moi. Il passe une main dans mes cheveux pour me faire relever la tête et donne des coups durs, purs, secs et sauvages. Ma respiration est coupée à plusieurs reprises, il me relève légèrement vers lui et cache ma poitrine avec ses mains. Putain, ce petit manège à la con s'est répété à plusieurs reprises. Je me suis levée avec l'arrière-goût salace de la baise et ça m'a frappé de me rendre compte que jamais de ma vie une baise m'avait autant secoué. Évidemment, je trouve n'importe quel moyen de m'infiltrer dans son sanctuaire, habillée différemment chaque fois. C'est une espèce de jeu qu'on entretient depuis quelques temps et je compte pas du tout m'arrêter.