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 Lilas Amy Martin-Andrews
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Ven 29 Juil - 6:00



Lilas AmyMartin-Andrews


Martin-Andrews ★ Lilas ★ Lili ★ 18 ans ★ Femelle ★ Française ★ Franco-américaine ★ né à Paris ★ 03 mars 1993 ★ mi-avril 2011 ★ hétérosexuelle ★ très très aisée ★ En couple ★ deuxième année de biochimie ; hacker ★ love ★ 1m80 ★ 60 kg ★ roux ★ marrons ★ une cicatrice qui zèbre son dos et un tatouage sur le poignet ★ garçonne mais devient plus coquette ★aux télétubbies ★ aucune ★ O


★ une couleur: le orange
★ un animal: l'écureuil
★ une saison: l'hiver
★ un plat: des oreos et un verre de lait
★ une chanson: Jump – Girl Aloud
★ un film: Forrest Gump
★ un acteur : Tom Hanks
★ un chanteur(se) : Edith Piaf
★ un groupe : Superbus
★ un dessin animé: Raiponce
★ un super héros: Son frère
★ un pouvoir: La technopathie
★ un pays: La France
★ une devise: On fait ce qu'on peut avec ce qu'on a
★ un élément: Le métal
★ un fruit: La nectarine
★ un légume: La pomme de terre
★ un métier: Gérante d'Apple
★ un voyage: Dans le tardis

★ plus grand secret : Je suis un hacker
★ plus grand fantasme : Que les écureuils parlent
★ plus grand rêve : Fonder une famille.
★ tic nerveux : Jouer avec ses mains et bégayer
★ popularité : ★★★★★
Gentille ★ Forte ★ Déterminée ★ Amoureuse ★ Fidèle ★ Courageuse ★ Souriante ★ Rigolote ★ Tenace ★ Intelligente

Gamine ★ Timide ★ Jalouse ★Sauvage ★ Brute ★ Maladroite ★ Possessive ★ Paranoïaque ★ Geek ★ Curieuse

On me dis que :

★ j'ai le nez de ma mère
★ les yeux de mon père
★ la bouche de ma grand-mère
★ les sourcils de ma grand-mère
★ les cheveux de ma grand mère
★ le caractère de mon père
★ Douce, comme ma grand mère
★ Sauvage, comme ma mère
★ les talents d'Intelligence de mon grand-père
★ la même voix que ma mère
★ je ressemble à ma grand-mère.


hors jeu


★ pseudo & prénom : Toujours les mêmes
★ âge : Toujours le même
★ sexe : I'm a girl
★ nationalité : Française (comme mon perso huhu)
★ comment je suis arrivé sur POH : Par une cigogne

★ commentaire : J'ai la Poh attitude

★ je suis un : PI
★ avatar : Karen Gillan
★ code du règlement :
Spoiler:

Ma fiche est complète à 70%




Code:
[size=12][color=crimson][font=Georgia]Karen Gillan[/font] ▬[/size] [font=arial][size=9]Lilas Amy Martin-Andrews[/size][/font][/color]
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Anonymous
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Ven 29 Juil - 6:01

ton histoire





It's just the beginning...

03 mars 1993 à 03h33 du matin. Que des trois. Une petite fille vient au monde dans une clinique française. Sa mère pleure, son père est absent. La vie commence alors pour ce nouveau-né, cette beauté rare qui devrait normalement être accueilli par le sourire et non par les pleurs. Mais que voulez-vous, quand un enfant n'est pas désiré, on lui fait ressentir à peine conçu. Et j'en sais quelque chose. Vous voulez savoir pourquoi ? Parce que ce nourrisson que tient cette sage femme entre ses mains, c'est moi. Lilas Amélia « Amy » Martin. Mon prénom est une fleur. Je ne sais pas pourquoi ma grand-mère a choisi de m'appeler comme ça, mais elle l'a fait. Elle a choisi ce prénom qui sera sujet de moquerie, de raillerie, de beaucoup de bagarre et de tristesse. Mais j'aime mon prénom, il est ce que je suis, ce que j'aimerai être. Mon passé, mon présent et mon avenir. Ma mère ne m'a pas prise une seule fois, ce jour-là. Elle a refusé de me voir, prétextant qu'elle n'avait jamais voulu de moi. Que je n'étais pas le fruit tant désiré, qu'elle aurait du avorté. Ma grand mère lui hurle alors dessus que je ne suis qu'une enfant. Son enfant et qu'elle devrait m'aimer plutôt que me railler. Mais non, Béatrice n'y arrive jamais. Elle ne montrera jamais le moindre intérêt pour moi. Pour mes notes. Et disparaitra de ma vie quatre jours plus tard, comme toute mère indigne ferait. Alors comment est-ce que je sais qu'elle est encore en vie ? Vous le saurez plus tard. En attendant, je suis là, je suis un bébé et je suis confiée à mes grands-parents Amélia – de qui je tiens mon second prénom, un prénom de conte de fées – et José. Ma mère a pris sur elle de m'élever, de s'occuper de moi et de m'aimer plus que sa propre fille ne l'aurait fait. Quand à mon grand-père, ancien militaire, il m'a inculqué la discipline. Je ne dirai pas qu'il me battait. Tous les enfants exagèrent sur les traitements subis par nos grand parents mais quand on fait une connerie, il est normal de s'en prendre une.

Premier jour d'école. La petite fille de cinq ans que je suis s'apprête à entrer dans la cour des grands. Oui, oui, vous ne rêvez pas, j'ai bien dit cinq. Un an d'avance. Et ce n'est que le début. Le début d'une scolarité qui sera plus tard avortée, de force et non par plaisir. Je me dirige donc vers l'école. Les autres filles ont des sacs Barbie, des petites couettes, des jupettes et des lunettes, moi, je n'ai rien de tout ça. Je suis en pantalon, cheveux attachés en queue de cheval et un sac à dos qui est troué mais que j'ai volé à mon grand père. Je n'aimais pas les dessins animés, sauf ceux de Disney et c'est de là qu'en ressortira mon pseudo, mon surnom durant l'école primaire et le collège. Je n'aurai jamais la chance d'aller au lycée. Et alors ? J'arrive donc dans la classe et vous savez, il y a toujours un petit gros, le genre de garçon qu'on déteste et qui va vous maltraiter pendant toute votre scolarité. Eh bien, quelle chance, il était juste derrière moi. Je reçois donc une boulette de papier et baisse la tête, sans broncher. Je n'ai jamais été une pleurnicharde. «Diiis la rouqmoute, comment tu t'appelles ? » Je ne réponds pas, la maitresse nous a interdit de parler avec nos voisins. Nouvelle boulette. Puis une succession. Sauf qu'arrive le temps de la récréation. Je sors donc, tenant mon gouter dans la main droite quand 'Bouboule' trouve le moyen de me faire un croche-pied et je tombe à terre, lourdement. Il en profite pour me voler mes gâteaux et je sens la haine, la colère monter. Là, je lui saute sur le dos et le mord au cou pour qu'il lâche mais c'est la maitresse qui nous sépare. Mes grand parents sont convoqués à l'école. Leur petite fille a fait preuve de violence et ce n'est que le début. Les années filent et j'arrive quand même à me faire des amis. Dont une. Elle était plus âgée que moi de deux ans mais je me retrouvai quand même dans sa classe. Que voulez-vous, quand on est une surdouée, on saute les classes et je m'assoie à côté d'elle. « Sympa tes cheveux. » Je lui souris et cela sera le départ d'une grand amitié. Charlotte Marchand, elle s'appelait. Ma meilleure amie, ma sœur, ma moitié. Nous étions inséparables faisant les casses cou, les folles et c'est avec elle que j'ai presque tout commencé.

J'étais assise sur le rebord du muret, une bouteille de vodka à la main, Charlotte entre les jambes, par terre qui rigolait. Nous avions treize ans et nous commencions seulement nos expériences. « T'as vu la tête de la prof quand on est parties ? » Je savais que j'allais me faire défoncer par mes parents, elle savait que les siens s'en ficheraient et nous ne nous trouvions rien de mieux que de nous prendre une bonne cuite. La cuite du siècle comme on dit. Je rigole comme une tarée avant de vider la bouteille de vodka. Et le soir quand je rentre, je me fais gueuler dessus. Un peu normal non ? Quand on est bourrées et qu'on a séché les cours. Malgré ça, j'arrivai toujours à avoir des bonnes notes. Les meilleures même. Seules les appréciations étaient mauvaises. Mais j'aurai bientôt une circonstance atténuante. Deux ans plus tard. Je trainai un peu avec tout le monde. Et n'importe qui. Sauf qu'à force de rester avec n'importe qui, il peut vous arriver n'importe quoi. Je l'ai su...
Bien malgré moi.


Three years of my life...

Le 13 juillet 2008, dans une ruelle de Paris. Je marchais, consciente que quelque chose ne tournait pas rond, sans vraiment faire attention. Les rues étaient peuplées comme tous les vendredi soir, et je ramenai doucement les pans de mon manteau prêt de moi pour me protéger de la pluie. Un treize juillet pluvieux, il ne manquait plus que ça. Mais c'était de ma faute aussi, j'aurai du prendre mon parapluie. Sauf qu'il faisait beau quelques heures auparavant. Alors, je décidai de m'abriter sous le porche d'un bar quand il arriva. « Salut Laurent, comment vas-tu ? » J'avais rencontré l'homme dans ce même bar quelques semaines auparavant et malgré ses avances, je ne cessai de les refuser. Peut être parce que j'avais quinze ans. Mon sourire s'évanouit soudainement quand il s'approche l'air grave et me colle un mouchoir imbibé de chloroforme sous mon nez. Je lutte, je le griffe mais c'était inutile. Je finis par défaillir, doucement entre ses bras et il me porte jusque chez lui. Quand je rouvres les yeux, je suis enchainée dans le noir, contre la dalle dans ce qui semblerait être une cave. Je n'ai aucun souvenir d'où je suis, de ce que je fais. Mais je suis toujours vivante, c'est déjà ça. Je hurle donc de me venir en aide et la lumière s'allume donc. Quelqu'un descend pour se mettre en face de moi, l'air grave. Laurent. Celui que je croyais être mon ami se tient en face de moi. Je le regarde hébétée. Sans trop savoir quoi dire. Alors que je m'apprête à lui poser la question, il prend la parole soudainement me faisant taire. « Ton frère a fait une connerie. Je devais te tuer pour que tu serves d'exemple. » Je ne comprends pas, je fronce les sourcils. Mon frère ? Mais je n'ai pas de frère, je suis enfant unique. Son téléphone sonne alors et je l'entends s'engueuler avec son interlocuteur longuement en anglais. Une langue que je ne saisis pas. Puis il raccroche et se tourne vers moi avant de se coller une cigarette au bec. « T'es à moi. » Trois mots qui restèrent à jamais marqué dans mon esprit. Je tente de me dégager mais les chaines sont solides. Je me débats donc quand il retourne à la charge et me plaque au sol. Je me débats comme une forcenée, j'essaie de me dégager mais je n'y arrive pas. Les sanglots redoublent, je ne sais pas quoi faire, je ne sais plus. Il arrache mes vêtements, je suffoque, je hurle mais il me frappe. La douleur est vivace. Je continue de le supplier d'arrêter, de ne pas faire ça. Que je serai docile, je ne chercherai pas à m'échapper mais c'est trop tard. Il entre en moi de force et je crie, du fond de mes entrailles. La douleur, je tente de me dégager, de le frapper mais je n'y arrive pas. Le supplice dure trop longtemps à mon goût. Les minutes semblent être des heures, les heures, des jours et ainsi de suite.

Tous les jours, c'est la même rengaine. Quand je proteste, je me fais frapper. Jamais avec des objets, très peu souvent au visage. Le matin, il vient me donner à manger, le soir, il vient me forcer. Je pleure tout le temps. J'ignore ce qu'est le jour et la nuit, quel jour nous sommes. Et un jour, il revient avec un cadeau. Un ordinateur. Je fronce alors les sourcils. « Joyeux anniversaire, mon amour. Cela fait un an que nous sommes ensembles. » Mon monde s'effondre. J'allume alors le viel ordinateur, il a bien entendu retiré la carte réseau du bordel et donc plus aucune chance de s'échapper. Je pleure, je continue. Et je m'endors après avoir réussi à percer les défenses de cette merde. Le lendemain, je ne sais pas quoi faire. Il ne revient pas. Je me dis qu'il est peut être mort. Un an. Cela veut donc dire que j'ai seize ans. Je souffle les bougies, mentalement avant de me dire que la vie est injuste. Que c'est une salope. Que je la hais. Que j'aimerai le tuer. Je veux le tuer. Un cadeau suit. Un seul. Et quelques temps après, il me demande de lui dire 'je t'aime' Il me détache même. Sombre connerie. Croyait-il que je souffrirai du syndrome de Stockholm ou quoi ? Non, non, je ne pense pas. Alors je l'assome avec son cadeau. Cet ordinateur et me sauve en courant pour attraper un téléphone. J'appelle la police, leur hurlant mon nom. Nous sommes le 13 janvier 2011. Je suis au téléphone quand il revient à lui et frappe. La communication est coupée. Je tombe à terre et essaie de ramper jusqu'au dehors mais rien n'y refait. Il me reprend donc et essaie de me coller dans ma prison de fer. Il n'y arrivera pas cette fois. Non, pas cette fois.

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Anonymous
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Lun 1 Aoû - 1:22

ton histoire





Vers une nouvelle vie...

Il a réussi à me redescendre à la cave et essaie de me remettre mes fers. Quand soudain, au dessus de nous, une explosion retentit. Il détourne donc la tête et j'en profite pour ramasser un morceau de plastique qui jonchait le sol pour lui coller dans la gorge. Il s'effondre à terre mais je continue de le frapper, de hurler comme une démente quand la porte du haut cède. Un jeune homme descend et pensant que c'est son complice, je me jette à sa figure pour le frapper, essayer de le tuer mais les policiers me retirent et se présentent comme étant le FBI. Hein ? Quoi ?Le FB quoi ? Je n'en reviens pas mes yeux et ils s'accordent pour dire que l'affaire va être étouffer, que je ne devrais pas rester là. Alors, ils m'emmènent à l'hôpital où je subis la pire humiliation de ma vie. Les examens. J'en subis des tonnes et un homme vient me voir. Un jeune interne. Il se présente à moi et reste tout le long que je suis à l'hôpital. Âge de vingt cinq ans, lui aussi déteste son nom, il s'appelle Pascal. Tous les jours, il vient s'assoir sur la chaise à mes côtés et ne me dit rien. Pas la peine de parler. Les jours passent et j'apprends à vivre. Ma grand mère vient me voir accompagnée de mon grand père et demeurent compréhensifs quand à ma décision de quitter la ville. Ma ville natale. Paris. Mais je ne peux plus rester ici. Je sens que je dois commencer une nouvelle vie. Je ne sais pas où encore. Mais je sais que je dois m'en aller. Et cela me brise le cœur. Encore faible des suites de mes blessures, les médecins s'accordent pour me laisser sortir et je me rends sur sa tombe. Je ne crache pas dessus, je reste là à la fixer quand soudain, je me laisse tomber. J'ai alors appris qu'il m'avait volé trois ans de ma vie. Trois longues années. Celles qui font qu'une adolescente devient une jeune adulte. Je ne suis pas allée au lycée. Je n'ai pas eu de premier amour, de véritable première fois, de premier baiser. Je n'ai pas fait mes erreurs de boire, fumer, ou me droguer. J'ai été drogué par cet homme, violenté par cet homme. Laurent. Il m'a pris ma jeunesse. Une grande partie de ma jeunesse et je l'ai maudit pour ça. J'ai même fait pire. Je l'ai tué.

Pourquoi ? Cette question demeure dans mon esprit. Pourquoi moi ? On ne mesure pas l'ampleur quand on ne l'a pas vécu. Je l'ai vécu. J'apprends donc à revivre. A sortir, côtoyer les gens mais je n'y arrive pas si bien que ça. Les images restent dans ma tête, les cauchemars, l'envie de me jeter par la fenêtre, je suis brisée. Complètement. Mon frère essaie de m'aider. Luke Andrews et voit avec son père pour que ce dernier me reconnaisse. En réalité, il connaissait mon existence mais me croyait morte. Je ne lui en veux pas. Peut être devrais-je aller le voir. Nous sommes le 13mars 2011. Cela fait deux mois que je suis libre. Un mois que je suis sortie de l'hôpital. Je n'ai pas revu Pascal. Mais il reste à mes côtés puisque j'ai appelé mon ordinateur comme lui. Mon macbook. Comme le secret de cet interne reste dans mon cœur, je dis à tout le monde que c'est parce que j'ai eu le coup de cœur pour Raiponce. Un dessin animé de Disney. Tour reste en mémoire et mes gouts ne changent pas. Je me forge un caractère, commence à prendre des cours d'auto-défense quand Luke entre dans la pièce et vient me demander quelque chose. « Veux-tu venir avec moi à San Francisco ? » Une si grande ville. Mais il refuse de me laisser. Je suis encore trop fragile. Alors oui, il m'emmène à San Francisco. Je prends l'avion pour la toute première fois avec lui. Et je sens qu'une nouvelle vie m'attend. Nous sommes le 13 avril 2011.


Welcome to San Francisco Lilas.

San Francisco était une ville bien étrange, terriblement étrange. Les gens étaient tous pressés et je devais admettre qu'emménager avec mon frère était une bonne idée parce que qui d'autres, à part lui pouvait me quitter dans cette ville ? Réponse: personne, parce que je ne connaissais personne. Je n'avais plus mes amis de Paris, je n'avais plus mes marques, je m'ennuyais assez pour ne pas savoir quoi faire alors Luke a émis une idée qui serait probablement tentante. Et si j'allais à la faculté ? Et si je reprenais mes études, moi si intelligente qui passait mon temps sur mon ordinateur.

LUKE – Et si tu reprenais tes études Lilas ?
MOI – Mais l'année est presque finie...
LUKE – Tu es assez intelligente pour y parvenir non ?

J'aurai pu répondre non ? Mais je ne pouvais plus rester enfermée. Je passais mon temps à errer dans l'appartement telle une ombre, avec mon ordinateur que j'avais nommé comme cet interne, je gardai précieusement mon secret. Celui qu'un homme, un adulte m'a aidé à me remettre et à ne pas me tuer. J'aurai pu à l'hopital, me jeter par une fenêtre ou autres mais je ne l'ai pas fait. J'aurai pu correspondre par mail avec lui mais non. Et c'est en travaillant sur mes dossiers, un soir sur mon ordinateur que je réussis à percer les défenses de la police de San Francisco. Il y avait eu un tueur en séries dans les rues quelques temps auparavant et j'ai commencé à écumer leurs dossiers. C'est là que j'ai choisi de devenir hacker. Pas reconnue. Peu de personnes savent que j'en suis un et je ne suis pas l'une des meilleures, encore trop jeune mais je corresponds avec des amis, sur internet qui peuvent m'aider. Nous discutions de temps en temps et je restais stupéfaite de la stupidité de certains, sauf quand je suis tombée sur Simon. Il avait un cerveau brillant, qui réfléchissais comme le mien, bien qu'il soit plus vieux et nous avons commencé à nous parler en privé, à échanger des idées. Et étant un hacker reconnu, il a décidé de m'aider. J'ignorai alors qu'il était à San Francisco. Nous n'avions échangé que nos prénoms, cachant nos IP pour ne nous retrouver et il ne savait pas non plus que j'étais là.

Un jour alors que je me baladai à la fac, les écouteurs dans les oreilles, je butai dans un garçon plus âgé qui tomba par terre sous le choc. Il faut dire aussi que j'étais pressée. Cela faisait un mois que j'étais ici et je m'y perdais encore dans toutes ces salles, ces couloirs ou autres. « Oh je suis désolée est-ce que ça va ? » Je l'ai bien entendu aidé à se relever et il me surplombait de plus d'une tête. J'aurai pu tomber amoureuse de lui mais non. « Je m'appelle Simon. » Aussitôt mon sourire s'élargit, je le reconnus tout de suite. « Je suis Lilas. » Il allait devenir comme mon frère, mon mentor en quelque sorte. On ne se voyait pas souvent mais nos discussions étaient toujours là. Personne ne connaissait son existence, comme un ami imaginaire. Je n'avais pas réellement d'amis ici. Ce n'est que sur Facebook que j'allais rencontrer l'homme, enfin, le gamin qui allait changer un peu le court de mon existence. J'allais même tomber amoureuse. Et merde!

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Anonymous
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Jeu 4 Aoû - 16:58

ton histoire





Drake...

Drake Kennedy Malefoy. Sa soeur le surnomme Ken, je le surnomme Connard. On a commencé à se parler sur Facebook, via Internet. Au début, c'était un peu comme Simon et moi, sauf que c'est rapidement devenu autre chose. Quand j'en parlais à Simon, il a fait des recherches sur lui, comme on le ferait pour tous nos proches ayant des fréquentations louches et m'a dit de me méfier de lui car rien n'en ressortirait. Au courant de mon secret, mon mentor m'a déconseillé de lui dire. Ce que je n'ai pas fait bien sûr, je l'ai mis au courant et cela a été le désastre le plus total. Quand on s'est vu pour la première fois à l'université, c'est à peine si nous nous étions parlés puisque j'étais en cours – et que je passais plus de temps à baver sur le professeur qu'à lui parler – mais ensuite, tout s'est enchainé. Je l'ai vu s'éloigner de moi pour rejoindre une autre fille, Enora. J'aurai aimé qu'il reste à mes côtés même si nous passions notre temps à nous prendre la tête, mais visiblement je n'étais pas la rousse qu'il désirait. Tant pis, comme on dit, un de perdu, un de perdu.

Mais au moins, je n'avais rien à regretter pour la simple et bonne raison que quand je lui ai dit mon secret. Non pas celui que je suis un hacker, ça personne ne le sait même pas mon frère et pourtant il vit avec moi. Non, celui que je me suis faite enlever et torturer. A l'époque, les cauchemars, les images étaient incrustées dans ma tête, je ne pouvais plus vivre avec. Alors, j'ai tenté de me suicider. J'ai foncé dans un mur avec ma voiture. Du coup, plus de voiture, plus de permis et un bras dans le plâtre. Bien joué Lilas. Du coup, Drake a voulu venir chez moi pour en parler. Tu parles. Il m'a droguée, attachée sauf que mon chien a réussi à faire diversion. J'ai donc réussi à me libérer et je l'ai menacé avec un couteau et nous avons couché ensembles. Et puis, nous ne nous sommes plus reparlés. Après tout, je suis vite passée à autre chose. Je l'aimais, certes. Mon premier depuis Laurent. Mon Edward. Et comme il dit, fucking Jacob.


Christopher, you're my first real love...

C'est vrai qu'après tout ça, je n'allais pas bien, mais le pire de tout est qu'il y avait un professeur qui voulait tout le temps me voir. Or pourquoi y seras-je allée ? Je n'en avais aucune idée. Toute seule chez moi, mon père d'adoption est venu me chercher pour m'emmener chez lui avec Air pour me reprendre en main. Je devais donc me rendre à ce rendez-vous mais si j'arrivais une demi-heure en retard, il ne m'en voudrait pas, si ? Cela faisait des mois que je l'évitais alors, je n'allais pas m'arrêter maintenant. Sauf que voilà, j'étais assise tranquillement sur un banc à regarder quelque chose sur mon Mac quand il est passé et qu'il m'a demandé si je n'étais pas en retard. Au final, nous sommes restés à discuter quelques temps et je lui ai fait beaucoup trop de confidences. Alors, je suis partie en lui disant ma destination, du soir. The Bronze. Je ne m'attendais pas à le retrouver là. Mais si, déguisé en James Bond alors que j'étais en abeille et nous sommes un peu tombés dans les bras l'un de l'autre. En s'embrassant dans une ruelle, on a fini chez moi mais il ne s'est rien passé, peut être parce que nous étions tous les deux trop timides. Juste dormir l'un à côté de l'autre.

Les jours ont filé et je continuai de garder la petite fille d'une dame qui m'avait demandée de m'en occuper pendant qu'elle travaillait. Avec Christopher nous sommes partis en amoureux à Miami, une destination pour apprendre à nous connaître. J'avais réussi à oublier tous mes soucis. Les cauchemars étaient toujours là mais il me rassurait. C'était notre petit secret. Puis à peine rentrée, je vois la nana dont je garde la fille publier un message plein d'amours sur le mur de mon petit copain. Aussitôt mon sang n'a fait qu'un tour. Ainsi c'était lui le père de l'enfant. Je suis allée illico chez la fille chercher mon chèque pour tomber sur lui. Ils vivaient ensembles. Tout était fini dans ma tête. Puis les mots magiques. Le je t'aime et ma rancoeur s'est envolée. Le lendemain, je me suis envolée pour la France et nous sommes ensembles depuis. La première fois qu'il m'a dit je t'aime c'était le 8 juillet 2011. Une date gravée dans ma tête... A jamais.

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Anonymous
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Dim 28 Aoû - 20:33





Félicitations, vous êtes VALIDÉ[E]



De la part de tout le staff: Bienvenue!
Nous avons trouvé que votre fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées. Nous avons donc l'honneur de vous accueillir chez nous, qui est maintenant aussi chez vous!

Avant de commencer à Rp, il serait important que vous veniez recenser votre habitation, votre compte Facebook (si vous en avez un), puis de remplir votre profil avec les liens vers vos fiches de présentation et tout ce qui va avec (:

Sur ce, bon jeu!
En cas de problème, n'hésitez surtout pas à contacter un membre du staff.

DanykaJude & Avery
Admin.
, MarieMaël
Admin.
, NatašaRobbyn, Drake
Admin.
, JuneAndreas, Enora
Modératrice
, TiffanieLilas, Evelyn, Jordane
Modératrice
, HaileeAlan, Hadryin, Imogen
Modératrice.
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