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Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH WENDY ROSE BURTON - je connais mes limites, c'est pourquoi je vais au-delà.  79124 WENDY ROSE BURTON - je connais mes limites, c'est pourquoi je vais au-delà.  79124

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 WENDY ROSE BURTON - je connais mes limites, c'est pourquoi je vais au-delà.
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Lun 3 Jan - 22:06

WELCOME TO SAN FRANCISCO !

Burton, Wendy Rose

CARACTÈRE
La vie est un combat, nous devons sans cesse nous battre pour être heureux, pour réussir, pour s'en sortir, pour tout.
Ma vie est un combat, depuis mes dix ans je n'ai fait que me battre pour rendre les gens heureux, pour qu'ils me voient réussir, pour essayer de soulager des peines. Je me bas chaque jours pour les gens que j'aime, mais qui se bat pour moi ?

Je pense que ma plus grande qualité est mon envi de réussir, je veux réussir ma vie dans tout les domaine bien qu’après le départ d’Elliot j’ai fait un peu n’importe quoi de ma vie, il faut que je le dise, j’ai toujours eu beaucoup de facilité et la détermination qui va avec a fait qu’au final je ne me suis jamais réellement laissé coulé. Je suis une battante, une vraie. Je me bas pour tout le monde, pour ma famille, mes amis, pour n’importe qu’elle cause dans le monde. Rajoutez à ça le fait que je sois très extravertie, oui j’suis ouverte à tout le monde, j’aime le contact avec les gens, j’aime les gens, c’est sur qu’il m’arrive quelques fois d’avoir des accrochages, surement a cause de ma trop grande franchise mais je suis tout de même très extravertie et sociable, personne ne pourra dire le contraire. Je suis aussi quelqu’un de très naturel, je n’exagèrerais jamais rien, ni le maquillage, ni mon comportement, je reste naturelle, je reste moi-même à longueur de journée donc ca passe ou ca casse. Joueuse ? Un peu ! C’est vraie que j’aime user de mes atouts pour charmer, c’est plaisant de se sentir attirante, j’aime jouer avec les garçons sans m’attirer de trop gros ennuies. Je rajouterais à ça le fait que je suis très souriante se qui fait de moi une fille, je pense, agréable à côtoyer. Je suis bon public, j’aime rire et m’amuser. Je suis aussi très généreuse et donnerais ma vie pour n’importe qui.

Bien sur, je n’ai pas que des qualités et j’ai même d’énormes défauts qui prennent le dessus… souvent. Je crois que le plus gros de tous, c’est ma jalousie. Oui je suis très jalouse, enfin qui ne l’est pas vous allez me dire ? Mais moi je vous réponds surtout, qui l’est comme moi ? Je suis une fille très jalouse et possessive, j’ai sans cesse peur de perdre les gens qui m’entourent, j’ai peur qu’on me laisse seule, je supporte mal la solitude. Je pense que mon histoire joue beaucoup sur ces deux défauts, voire trois défauts là. Je suis également lunatique, enfin c’est se qu’on dit, moi je trouve pas vraiment, c’est sur qu’il m’arrive quelques fois de passer des rires aux pleurs, mais est-ce que cela fait de moi quelqu’un qu’on peut qualifier de lunatique ? Je suis aussi terriblement impatiente, mais j’apprends à le contrôler ! Oui car c’est vraiment un défaut embêtant. Etant bélier, je suis très colérique et têtue, j’ai un caractère de feu, je pars souvent au quart de tour, je me vexe facilement mais je ne suis pas rancunière donc c’est jamais pour très longtemps. Ma sensibilité reste ma plus grande faiblesse, avec se que j’ai vécu, mon corps possède comme une plait ouverte incapable de se refermer.




ft. Rachel Bilson
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SURNOM:
aucun
ÂGE:
22 ans
DATE DE NAISSANCE:
8 avril 1988
NATIONALITÉ:
Américaine

GROUPE:
Ladies, you drive me crazy
ORIENTATION:
hétérosexuelle
SITUATION AMOUREUSE:
célibataire
QUALITÉS:
déterminée ; franche ; joueuse ; naturelle ; extravertie ; sociable
DÉFAUTS:
colérique ; impatiente ; jalouse ; lunatique ; sensible ; posséssive


IN REAL LIFE


ON JOUE A UN JEU ?

(Pour cocher une case, rajouter "checked" derrière "checkbox" )

● Plutôt ;
Noir
Blanc

● Si tu étais un smiley ?
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● Plutôt ;
Sciences
Littérature

● Chocolat....
Noir
Au lait
Blanc

● Plutôt ;
Matin
Après midi
Soir

● Plutôt ;
Semaine
Week end

● Trouves-tu toi aussi ce questionnaire inutile et sans intérêt ? :p
Oui
Non
INTRODUCING YOU


● Prénom ; Lisa
● Âge ; 18 ans
● Fréquence de connexion ; 7/7J
● Niveau en rp ? jamais en dessous de 30
● Star de l'avatar : rachelPERFECTbilson
● Votre personnage est un :
PI
Scénario
● Où avez vous découvert le forum ? question piège ?
● Un commentaire ? ca a intérêt à bien marcher ici :p
● Code du règlement ;
Spoiler:





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Anonymous
Invité
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Lun 3 Jan - 22:06

WENDY ROSE BURTON - je connais mes limites, c'est pourquoi je vais au-delà.  13123576



    I.

    « C'est une magnifique petite fille Madame Burton. Félicitation. » c’est à ce moment-là que je vis pour la première fois le monde qui m’entourait. Une femme me prit dans les bras puis me déposa contre le corps tout chaud d’une demoiselle légèrement tremblante, au visage humide entouré de magnifiques cheveux bruns, alors c’était ça qu’on appelait maman ? Elle était jolie en fait ma maman, elle semblait fière avec ses grands sourires, elle semblait aimante, elle semblait … parfaite. La femme qui avait prit la parole quelques secondes plus tôt se mit à nouveau à parler. « vous voulez l’appeler comment ? » tout les regards étaient braqués sur mon moi si petit et je ne bougeais pas d’un centimètre. La brune qui me tenait dans ses bras posa à nouveau son doux regard sur moi pour finir par lâcher une timide phrase. « Je vais faire plaisir au papa, bien qu’il ne soit pas là aujourd’hui … » la demoiselle s’arrêta un instant puis reprit sa phrase là où elle en était. « Wendy, Wendy Rose Burton, c’est comme ça qu’elle s’appellera ! » la sage-femme sourit à ma mère puis donna l’ordre à une autre femme présente de l’écrire sur un minuscule bracelet rose qu’elle me passa doucement au poignet. Ce prénom semblait ravir ma maman qui avait pourtant perdu son sourire quelques secondes auparavant. Où était mon papa ? Pourquoi n’était-il pas là le jour de ma naissance ? Pourquoi ne sera-t-il pas là durant toutes ses périodes importantes de ma vie ?




    II.

    « Allez Wendy, répète après moi : Papa » je tournai ma tête vers le mur, visiblement plus intéressée par celui-ci plutôt que par l'homme qui me faisait de grands sourires et de grands signes avec ses mains. J’avais un air moqueur sur mon visage, comme si je souhaits ne pas lui faire plaisir aujourd’hui. « Wendy, un petit effort ! Il faut juste dire Papa ! » je me dressai sur mes deux jambes et me dirigea dans la direction inverse de mon père. Je m'approchai du mur et y colla ma tête le touchant du bout des doigts comme si le mur souhaitait me murmurait quelque chose à l’oreille. J'entendis mon père lâcher un long soupir d'énervement. « Elle y arrive pas Juilet, non elle n'y arrive pas encore une fois. Elle marche, court presque mais ne parle pas, elle ne veut pas. Oui elle s'est encore mise contre le mur à côté du meuble, oui. Je crois qu'elle a un problème Juilet ... » mon père parlait au téléphone avec Juilet, ma mère. Il semblait inquiet, pourquoi ? Non je ne parlais pas, non je n'y arrivais pas et je voulais pas. Il était impossible pour moi de sortir quelques mots de ma bouche. Je ne comprenais pas réellement se qui m’arrivait, comme si je n’avais jamais besoin de m’exprimer, comme si mon corps refusait de s’exprimer par des paroles. Je marchais, c’est vrai, je marchais même bien, je traversais quelques fois les longs couloirs de ma maison en courant, j’étais rapide, vive, j’étais douée pour ça. Mais quand il s’agissait de parler, cela était impossible pour moi.


    ****


    « Votre enfant est atteinte de troubles du comportement. Vous devez surement connaitre le terme "autisme" non ? Je ne peux pas dire si votre enfant en fait parti, mais il faut vraiment surveiller cela, ne pas le négliger. » Ma mère avait ouvert la bouche surprise et mon père détourna le regard vers le sol, là ou je me trouvais, en train de jouer avec des cubes. Apparemment j'étais autiste. Personne ne savait comment cela été arrivé, ni comment cela s'était déclenché, à vrai dire, on ne l'a jamais su. J'attirée toute l'attention de ma famille et contrariée beaucoup de monde avec mes problèmes. J'étais pas normale d'après ma mère et j'avais comme l'impression qu'elle m'en voulait un peu de ne pas avoir été l'enfant aussi facile qu'elle aurait désiré. Je n'étais pas parfaite et ça elle me l'avait fait comprendre. Ce problème, en fait, je pense qu’il est sorti inconsciemment de mon moi, oui, en fait, j’crois que mon corps en voulait à mon père de ne jamais être là à cause de son travail. J’étais triste de voir ma mère inquiète, triste de ne pas voir plus souvent le seul homme de la maison, en fait j’crois vraiment que c’est sortie de là.
    « Elle répète tout les jours à la même heure la même phrase docteur. Lorsque l'on passe devant la librairie elle s'arrête et dit se qu'elle a dit hier. Si on lui demande de passer à autre chose, elle fait des crises de nerfs et se roule parterre. On ne sait plus quoi faire docteur, on y arrive plus. »
    Une semaine après j'étais en hôpital, ou plutôt en maison d'aide. Le docteur avait proposé à mes parents cette solution et ils avaient accepté. J'y ai vécu jusqu'à l'âge de sept ans, j'ai rencontré des gens, des personnes qui m'ont aidé. La dernière année s'est faite à ma maison et je m'en suis sortie avec quelques difficultés. L'autisme a disparu en moi lors de mes huit ans.
    Je crois que je leur en ai toujours voulu de m'avoir envoyé ailleurs, de ne pas avoir prit des soins à domiciles. Mais mes parents ont toujours été très occupé et n'ont jamais réellement eu le temps de s'occuper de moi. Entre ma mère qui organisait des mariages pour des personnes célèbres et mon père qui lui travaillait dans l’armée afin de sauver des vies, faut dire que je n’avais pas vraiment le soutient que j’aurais du avoir.





    III.

    « La mine a explosé en plein son visage, nous n'avons rien pu faire pour le sauver, je suis désolée madame Burton. » le téléphone tomba sur le sol en parquet de la maison, les larmes coulèrent sur le visage de ma mère, j'avais comprit, pourtant ce jour-là je n'avais que douze ans, mais j'avais comprit qu'il était arrivé quelque chose à mon père à cause du sale métier qu'il avait décidé de faire. Sauver des personnes, okay, j'avoue, c'est courageux, c'est beau, il a énormément de mérite de l'avoir fait, mais regarde nous papa, aujourd'hui, regarde se que tu as laissé derrière toi, maman est malade, en pire dépression depuis qu'elle t'a perdue, et moi je galère, je galère tout les jours à essayé de l'aider, de la sortir de là et je souffre, en silence, car je ne peux pas lui montrer que ça ne va pas, pour ne pas lui faire plus de mal, papa, tu nous regardes de là haut ? Je t'ai jamais vraiment connu mais je suis sûre que je t'aurais aimé papa, j'ai rien vécu avec toi, tu n'as jamais été là papa, j'ai même pas trouvé une photo de toi et moi dans les cartons de déménagement.

    Dans les jours qui ont suivi, nous avons fait les obsèques de mon père puis nous avons déménagé dans une autre maison afin d’effacer toutes traces de souvenirs, comme ma mère le souhaitait. Je ne pensais vraiment pas que ce soit la bonne solution mais bon, il fallait que ma mère s’en sorte, il fallait que redécouvre le monde sans mon aide, je commençais à grandir petit à petit, je commençais à avoir des problèmes de demoiselles de mon âge, j’avais besoin d’aide moi aussi, j’avais besoin que cela se fasse dans … les deux sens ?





    IV.

    Je n’ai aucune idée de comment m’en sortir, vraiment aucune idée. Je suis perdue, complètement perdue, regardez-moi en pleine chute scolaire alors que j’étais comptée parmis les meilleures. J’ai quinze ans, je ne sais pas quoi faire de ma vie, je me tape des sales notes, je rentre tard et sors déjà beaucoup trop pour mon trop jeune âge. J’ai déjà fume mon premier joint avec des amis, des amis qui ne devraient meme pas faire parties de ma vie tellement ils ont une mauvaise influence sur moi. Bordel, je suis consciente de tout ça et je ne sais pas comment m’en sortir. Maman ? Elle essaye de sortir de sa depression en sortant, elle aussi en fait elle sort beaucoup. Je me demande si elle pas rencontré quelqu’un d’ailleurs … c’est étrange, elle va mieux … C’est étrange, elle, elle va mieux alors qu’elle a perdu une des personnes les plus importantes de sa vie. Je n’arrive pas à comprendre et je me sens incomprise. Bien que l’envie soit souvent là, je continue à aller en cours parce qu’il faut que je sois forte, il faut que j’essaye de m’en sortir pour ma mere et pourtant, meme avec tout les efforts que je fais je n’y arrive pas. Je pleure tout les soirs en m’endormant … cela fait trios ans déjà, ca devrait m’être passé non ?





    V.

    « Wendy, Wendy, descend tout de suite, j'ai quelqu'un à te présenter ! » cela faisait déjà quelques jours que j'attendais ce moment, ma mère avait l'air d'aller mieux depuis quelques temps, elle souriait et mangeait, contrairement à son habitude. Je me rappelle la tête que j'ai fait ce jour-là quand j'ai vu cet homme châtain -terriblement sexy- en plein milieu de la cuisine, la main dans celle de ma mère. alors c'était lui, celui qui arrivait à faire rire ma mère, celui qui allait remplacer mon père. Comme toute adolescente, je lui avait lâché un simple bonjour puis finit par remonter dans ma chambre, ma mère lui avait simplement dit « ne te fâche pas Ronny, elle est jeune, en pleine crise d'adolescence, c'est dur pour elle tu sais.. un nouvel homme dans la famille .. » et je les avais entendu parler d'emménagement, de nouvelle famille, de joie. et puis quoi encore ? arrêtez je vais vomir. Cette idée ne m'enchantait pas du tout et pourtant quelques jours après, sans me demander mon avis, Ronald, ou devrais-je dire "Ronny", avait emménage ici et en plus de ça, son fils et sa fille devaient arriver, devait venir vivre ici, avec nous. Sympa l'idée, d’autres bigmac devaient emménager chez moi et ils allaient dormir où au juste lui ?

    ****

    « Allez Wendy, ne fais pas la gueule, il est sexy ton demi-frère ! » « Ouais, plutôt sexy pour quelqu'un qui a un père qui s'appelle Ronald ! Arrêtes un peu Hannah, il est complètement débile, puis c'est pas mon demi-frère, on a même pas de sang en commun ! » bordel, heureusement qu'on avait rien en commun, je n'aimais pas Elliot, je ne pouvais pas me le voir et je ne supportais pas qu'on dise que c'était mon demi-frère tout simplement parce que je passais toutes mes nuits dans son lit, serrais contre son corps, tout simplement parce qu'il m'faisait un truc bizarre, parce qu'avec lui tout semblait simple, et je ne voulais pas que ce soit simple,je n'étais pas habituée à se que tout soit simple. J'avais seize ans et j'étais tombée amoureuse, amoureuse du mauvais, c'était sur, il habitait sous le même toit que moi, son père couchait avec ma mère, cette histoire n'était pas normale et pourtant terriblement excitante. C’est vraie, je passais toutes mes nuits dans la chambre d’Elliot, on passait la plupart de notre temps ensembles et cela semblait … étrange aux yeux de tout les gens qui nous regardait. Un couple ? Non on n’était pas un couple en fait, on était … un mot qui n’existe sans doute pas. On ne savait pas vraiment si on était tombés amoureux, si on était simplement amis et qu’on cherchait ce réconfort qu’on a toujours cherché partout. Lors des réunions familiales, ou à table, on avait pour habitude de faire comme si on ne s’entendait pas et pourtant, lorsqu’on se retrouvait seuls c’était la parfaite osmose si je peux dire. Oui, on se cachait, de peur d’être séparés, d’être prit pour des personnes pas normales, de foutre notre merde encore une fois et la seule personne qui semblait commencer à dénicher notre secret c’était Calypso, la grande sœur d’Elliot, je pense qu’en fait elle s’est toujours douté de quelque chose, sans vraiment le voir et je sentais que ce petit quelque chose … elle ne l’aimait pas vraiment.

    ****

    « Ils couchent ensembles Juliet, ils dorment ensembles ! Putain mais c'est quoi le problème avec ta fille sérieusement ? Qu'est-ce qu'elle lui a fait ! On déménage Calypso, Elliot et moi, on part d'ici. Ne me cherche pas, ne me suis pas, je ne veux jamais revoir cette famille ! » son doigt était pointé vers la porte de ma chambre ou je m'étais réfugiée pour ne pas le voir partir, il partait, loin de moi, il partait et je pouvais pas comprendre, je ne voulais pas comprendre, mon cœur pleurait, je pleurais, j'étais détruite. J’entendais les pas furieux de Ronald dans le salon, les talons de Calypso claquaient sur le sol en direction de la porte mais je n’entendais rien d’autre. Un papier se glissa sous ma porte où il était écrit « forever » puis la porte de la maison se claqua. En quelques secondes je fus le visage collé contre la fenêtre de ma chambre, je ne sais pas se qui m’a prit ce soir là, mais j’ai enfilé ma veste tellement rapidement et j’ai descendu les escaliers qui menaient à l’extérieur de la maison à toute vitesse manquant de glisser sur la neige qui s’était déposée sur chacune des marches. Je me mis à courir après la voiture, franchissant les rues de San Francisco sans vraiment regarder ou j’allais. C’est à ce moment la que je traversais la route tentant d’arrêter la voiture qui arrivait, persuadé que c’était celle de Ronald, il faisait noir et la seule et dernière chose que je vis furent les phares de la voiture puis je fut propulsée sur le sol. Le lendemain, je me suis réveillée à l’hôpital, d’après les docteurs, j’avais de la chance d’être encore en vie, ou du moins d’être pas autant amochée que ce que j’aurais du l’être.

    Avec du recul, j’avais comprit plusieurs choses. Le fait que je dorme et couche avec Elliot n’était pas la seule raison de leur départ, j’en étais certaine. Ma mère m’en voulait, elle m’en voulait d’avoir fait partir Ronald loin et elle m’e avait voulu de tout ça. Mais je n’arrivais pas à regretter. Elliot n’était plus là, je ne savais pas où il allait et j’étais consciente que je ne le reverrais peut-être jamais.





    VI.
    Elliot est parti ce jour-là et je ne l’ai plus jamais revu, plus jamais. Il a disparut de l’école, disparut de la ville, disparut de ma vie et j’ai essayé pendant de nombreuses années de ne pas sombrer. On venait de m’arracher une partie de mon cœur. Il n’était peut-être pas mon tout premier amour, mais c’était le premier vraiment sincère. Je lui avais tout accordé, mon cœur ainsi que ma première fois, et il était parti emportant avec lui mon envi d’avoir un avenir et de retomber amoureuse.

    ****

    « excuses-moi » mes yeux se levèrent vers le visage du jeune homme qui se trouvait devant moi et que je venais de bousculer. Je lui souris, gêné et tenta de me baisser pour ramasser mes livres qui étaient tombés par terre. « laisses, je vais le faire » avait-il dit en me retirant les livres des mains pour m’aider à me relever. Depuis l’accident, depuis que je m’étais faite renverser par la voiture que je croyais être celle de Ronald, je boitais et ne cessais de boiter. Je ne voulais plus des béquilles que j’avais portées pendant trop de temps, mon genou avait prit cher et je payais maintenant les conséquences. Le docteur ne cessait de dire qu’il n’y en avait plus pour longtemps et pourtant la période ne cessait de s’allonger et moi je continué à galérer. Je me releva avec l’aide du jeune homme en face de moi et lui souris assez gênée. Je ne le connaissais pas, il était plutôt charmant et possédaient des yeux magnifiques. Il se baissa devant moi, ramassa un à un mes livres et me les donna. Je lâchai par la suite un simple « merci » presque inaudible et perturbée par sa gentillesse et sa beauté fit chemin inverse. Oui je n’étais pas habituée à temps de gentillesse et il faut dire qu’actuellement, dans cette période d’adolescence, vers les dix-huit ans, je n’étais pas forcement la demoiselle la plus sympathique qu’il y ai dans l’université. J’étais timide, renfermée aux premiers abord, calme et discrète surtout.

    Je finis par recroiser ce jeune homme plusieurs fois jusqu’à le retrouver assis à côté de moi dans le bus. Il ne semblait pas timide lui, il ne semblait pas gêné. J’crois que c’est ce jour-là ou on a fait vraiment connaissance, dans le bus. On a beaucoup parlé et bizarrement, avec lui, je ne me sentais pas si timide que ça. On est devenu rapidement amis, même à la limite du « meilleur ami » mais on ne souhaitait pas se donner de titre. Il avait prit une importance immense dans mon cœur en très peu de temps, il avait été pendant longtemps mon seul ami avant de m’avoir aidé à m’ouvrir aux autres et à passer à autre chose. Cette relation était étrange et l’est toujours, je passe toujours autant de temps dans ses bras, autant de temps à dormir dans son lit, j’ai même couché avec lui une fois en rentrant d’un bar complètement démontée. J’ai fumé mon premier joint avec lui, prit ma première cuite à ses côtés.

    ****

    Aujourd’hui ? Aujourd’hui je suis différente, ouverte et amicale, je garde toujours en moi cette grande part de sensibilité et je ne pourrais pas m’en séparer. Mon genou va mieux, je vais mieux, je suis arrivée à passer à autre chose grâce au jeune homme ci-dessus. Je suis étudiante en stylisme toujours à San Francisco. Ma mère à déménagé ne supportant plus tellement notre relation ni cette ville, elle est partie pas très loin, on s’appelle quelque fois. Quand à moi, je vis dans un jolie appartement, car oui j’ai les moyens de me payer un truc jolie grâce à mon héritage … Je n’ai plus aucune nouvelle d’Elliot. Je vis ma vie au jour le jour, rêvant de stylisme et autres fantaisies du genre. Ma vie est un long fleuve tranquille.







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Lun 3 Jan - 22:24

Fighting Lisa♥
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Lun 3 Jan - 22:46

Oh wendy laisse moi être ton Peter Pan Arrow xD
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Invité
Invité
Lun 3 Jan - 22:59

Mouhaha. C'est beaux quand vous m'accueillez les chéris.
Dougie a vraiment la gueule du Peter Pan, je veux de toi moi WENDY ROSE BURTON - je connais mes limites, c'est pourquoi je vais au-delà.  79124
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Invité
Lun 3 Jan - 23:54

Haha c'est trop vrai ça, il a la gueule de Peter Pan *0*
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Anonymous
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Invité
Mar 4 Jan - 14:53

Presque terminééé WENDY ROSE BURTON - je connais mes limites, c'est pourquoi je vais au-delà.  79124
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Mar 4 Jan - 15:54

bienvenuuuuuuuuuuue
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Anonymous
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Invité
Mar 4 Jan - 15:58

J'aime les gens qui disent bienvenue à leur gentille administratrice 34242
merci Noham.
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 4 Jan - 18:06

Bienvenue sur POH ! djsa
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 4 Jan - 18:07

Merci demoiselle, t'as interet à être gentille avec la gentille admin :p
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