Savez-vous combien de temps une fille met pour choisir les habits qu’elle portera à une soirée. Des secondes, des minutes, des heures, essayant chaque modèle, une fois puis deux pour avoir la certitude de celle qui fais la différence, atteindre la perfection aux yeux des autres. Balivernes, je m’en contre fichais à vraie dire de l’avis des gens, j’avais cette facilité à plaire, ce charisme attrayant ayant toujours joué en ma faveur… J’avais pourtant passé du temps à apprêter à ma silhouette des tas de tenue, sublime les unes autant que les autres, j’avais finalement opté pour une magnifique robe rouge scintillantes dessinant la perfection de ma silhouette dans ses moindres recoins. J’apprêtais à cette tenue de haut escarpin noir.

Les bars du Castro, aucun endroit n’avait meilleure réputation en ce qui concernait l’oublie de soucis. En générale, les gens venait ici pour ça ; s’évacuer, oublier leurs frustrations, noyer leurs problèmes par la gorge dans de grand verre d’alcool qu’il terminerait ensuite avec de grandes promesses, les yeux pleins d’espoir ; pour le lendemain, qu’il soit gorgé de bonne nouvelle comme l’avait pu être la journée de mauvaises nouvelles. S’étais avec autant d’espoir que ce genre de personne là que je me rendais au Castro, l’optique de la soirée était de fêter ma liberté ; j’étais célibataire. S’était nouveaux, quoi que pas tellement étant donner l’attitude que j’arborais en ce moment ; mais cette fois-ci les tournures officiels ne rendait la chose que plus excitante. Lorsque je pénétrais, je fus d’un pas intégrés à la cohue infernale du bar musicale aux allures plutôt discothèques que bar. Je m’avançais vers le bar difficilement, les gens s’entrechoquaient en eux, ce qui me répugnais le plus là dedans s’était de ceux qui transpire et qui colle leurs sueurs à votre peau, quelques choses comme quatre gramme d’alcool dans le sang, plus aucune logique ou réalité terrestre assimilés, la chaleur, l’alcool qui monte, encore et encore. C’est également ceux-ci que vous retrouverez plus tard, couché dans leur vomi, des plus charmants. Je souriais, saluant de loin des connaissances que je voyais défilé, l’envie de les rejoindre ne me submergea pas, ils ne s’attardèrent pas sur moi voyant que je leurs détournais le regard continuant ma trajectoire jusqu’au bar où je prenais place. J’adressais un sourire au barman qui comme par habitude conversa avec moi.

« Comme d’habitude ma belle ? » « Non ça sera du Kir cette fois ci, j’arrête la tequila, j’ai trop de mal à me souvenir de la soirée le lendemain. » je souriais à ce dernier, Nous nous sommes toujours cherché à vraie dire, son métier seulement exigé quelques réglementation comme celle de ne pas se laisser entrainer dans les toilettes avec les clientes ; s’était le hic. L’un comme l’autre bien sur n’avions pas envie de perdre du temps extérieurement ; s’était d’avantage moi enfin de compte. En quelques secondes mon verre me fut servi. C’est alors que je remarquais non loin de moi Reese, une amie de longue date. Reese et moi, s’était une histoire bien particulière, ensembles nous avions fais les quatre cent coups à nos parents plus jeune ces derniers considérant réciproquement que nous étions l’une pour l’autre une « mauvaise fréquentation » s’était donner du mal pour nous séparé, nous avions longuement résisté mais peu… Naturellement, les années ont passés et nous avons pu discuter depuis lorsque nous nous croisions de temps à l’autre, ce soir ; s’était une occasion en effet.

Je m’avançais vers cette dernière, m’installant à ses côtés, je déposais première mon verre et me disposait ensuite saluant d’une joie vive cette vieille amie. « Salut ! Qu’est ce qui t’amène ici ? »

Téquila téquila ! La boisson coulait dans mes veines depuis un bon moment. J'enfilais les verre un après l'autre sans me soucier de la quantité que j'avais pu avaler depuis que j'avais mit les pieds dans le bar. Ça m'aide à oublier tout simplement. L'alcool roulait à l'intérieur de ma gorge la brulant. Même si ma tête disait de stopper , car je savais que je finirais par le regretter , mes mains attrapait les verre entre mes doigts et le déposait vide sur le comptoir. Ces soirées là comme ça je les accumulaient depuis quelque semaine. Après la drogue on s'évade dans l'alcool. Que dire ? j'ai si honte de moi , mais quand j'y pense pour le nombre de fois que je suis tombé tellement bas cette fois je ne sais même pas si ça vaut la peine de remonter la pente. J'ai du mal à m'accrocher de plus en plus. Mes doigts frêles serrèrent mes mèches de couleur blé en soupirant. Mon crâne me faisait un peu plus mal à chaque secondes qui défilaient devant mes yeux. Le barman se présenta de nouveau devant moi , mais cette fois je ne réclama pas une autre téquila. Je fis une simple signe de main comme de quoi non et il retourna vers d'autre client. J'avais déjà l'étrange impression que je réussirais pas à me rendre chez moi et la soirée ne faisait que commencer.

Je détourna mon corps assie sur le banc vers les personnes qui composait l'endroit. Je fronçais les sourcils fasse à plusieurs dévergonder qui marchait déjà tout croche. Des dévergondés par millier dans un seul bar. Je grimaça de dégout en pensant que je pouvais en faire partie maintenant. Une voix de velours me fit sursauter mon esprit plonger dans mes pensées. Je pivota mes prunelles vers la présence qui s'était adresser à moi.« Salut ! Qu’est ce qui t’amène ici ? ». À mon grand étonnement je découvris Lilye. Un mince sourire se dessina sur mes lèvres en regardant la petite blonde.

Une bonne amie . Mais une amitié qui avait subie des épreuves douloureuses. Je l'avais rencontré très peu de temps après mon arriver à San Francisco. Une des seules personnes presque que je n'aie pas envoyer balader. Il est vrais que en arrivant chez ma tante la présence de mon frère commençait à me suffit de moins en moins. Et Lilye est apparu . Mais nos parents n'en étaient pas tout autant daccord. En parlant de parents j'avais toujours présenté ma tante et son marie comme étant mes parents. Je ne voulais pas apporter le passé donc je mentais. Même à Lilye. Elle ne le sait toujours pas et je n'aie pas l'intention de lui. «Le besoin de me changer les idées»

«Le besoin de me changer les idées» Il était clair après avoir obtenue une réponse que les gens venait quasiment toujours dans un bar avec un objectif particulier, je regardais les humains se disposant autour de moi et les observés, tentant de deviner la quête une à une de chacun d’entre eux. Ils étaient clair que ; certains étaient venues pour rencontrer l’amour, d’autre pour se changer les idées et a vraie dire se changer les idées était une réponse fréquente. Dans le cas nous étions déjà deux présentes afin de se changer les idées, les miennes à propos du commencement d’un nouvel air et les raisons de mon interlocutrice m’étais encore inconnue. A vraie dire, je ne m’y attardé pas, de ma propre initiative, je déroulais toujours la conversation sur tout autre lieu car si nous étions là ce n’étais en aucun cas pour ressasser nos problèmes, nous tentions en outre de les oublier, le temps d’une soirée du moins grâce à l’aide de ce magnifique liquide nommé « alcool ». Je posais délicatement mes doigts sur le verre, faisant tinter mes ongles sur les rebords de ce dernier, j’avalais progressivement mon verre savourant tout les délices et les environs qu’il me suggérait. Celui-ci une fois terminé je le reposais, d’un geste quelque peu déterminé, dans ce cas-ci déterminée à boire sans jamais m’arrêter. « Ressert m’en un mon chou » Ce dernier me souriait, d’un de ses sourire charmeur qui après quelques verres en trop me ferait certainement tourné la tête, à l’instant même ce n’étais pas le cas ; mon sujet de prédilection n’étais autre que Reese, désirant tout comme moi noyé ses problèmes « et, une tequila pour Reese. »

Après quelques secondes, je m’adressais enfin à elle. « Peu importe tes soucis, je te promets que ce soir, tu vas tout oublier. » Je lui adressais à la suite de cette phrase qui se voulait rassurante un sourire soutenant agréablement le tout. Tout d’abord mes promesses seraient tenues car nous étions toutes deux dans des situations nous préoccupant fortement et peu importe la diversité de nos problèmes, les solutions quand il s’agissait de passer outre étaient toutes les mêmes. « Je sais comment te remonter le morale… » j’arquai un sourcil, désirant titiller la curiosité de Reese car bien sur, la connaissance je savais qu’elle ne s’attarderais pas longuement avant de décider de prendre connaissance du plan qui s’agitais désormais derrière ma tête, un plan qui assurerais à l’une comme l’autre de l’amusement, de la festivité qu’importe même ce qui nous tracasse.

Ensemble nous avions toujours étaient capables de se faire oublier n’importe quel chagrin d’amour, n’importe quel soucis, je ne voyais pas pourquoi il en serait différent aujourd’hui… Fièrement, je savourais mon verre de Kir tout juste resservie, avançant la tequila vers Reese et déclarais arborant un sourire joyeux mais tout aussi sérieux. « Bois ! ce soir tu danses en petite tenue sur le bar. »

Tout ce que j'avais en tête c'est d'oublier l'histoire d'une vie dans un verre d'alcool. Celle que je n'aie jamais oublier depuis mes douze ans.« et, une tequila pour Reese. ». Je releva subitement ma tête. j'avais refuser il y a peine quelque minute d'un boire un autre verre. Mon amie ne semblait pas du tout d'accord sur ce fait. Il fallait vraiment que je me noie dans de la téquila. Si il le faut donner moi la bouteille complètement ça va aller plus vite. Mais avant même que je puisse glisser un mot au barman comme quoi je n'en voulais pas le petit verre attendais devant moi près à boire. Je grimaça fit glisser mes doigts lentement sur le rebord de celui ci et d'une main ferme j'empoignai ce dernier et l'enfiler d'un coup sec. Je ferma doucement les paupières et laissa couler l'alcool à l'intérieur de moi. À quoi bon reculer maintenant la soirée était déjà mal commencer.«« Peu importe tes soucis, je te promets que ce soir, tu vas tout oublier. » ». Je leva les yeux au ciel. Bonne chance ça fait des semaines que je traine ici en essayant d'oublier qu'une seule chose. Ça fait des années que j'essaie de l'oublier et rien n'a changer. J'ai l'impression que même se soir je ne pense pas être capable d'oublier , mais je promets de faire une seule chose me vider complètement l'esprit et perdre consience un peu. Me libérer. «Peut-être pas..mais peu importe se soir je m'amuse et j'oublie point final.» « Je sais comment te remonter le morale… ». Mes sourcils se froncèrent intrigué et je regarda le petit regard ses yeux avec une brillance de malice. Qu'elle pouvait bien être l'idée qu'elle avait en tête. Ça me faisait un peu peur , car quand il s'agit d'oublier Lilye sait bien faire les choses , mais de façon bien fêtarde parfois.

« Bois ! ce soir tu danses en petite tenue sur le bar. ».Mes yeux s'agrandirent. Il en était pas question que je danse sur le bar en sous-vêtement. Mais je le savais très bien que c'était pour m'aider à me remonter le moral. J,avais même un peu l'impression qu'elle me lance un défi. Avec toute l'alcool que j'avais dans le corps je sentais que malgré moi je finirais par le faire sans problème. Je demanda qu'on me refile une nouvelle téquila. Je la bu tout aussi rapidement. «Seulement si tu le fais aussi». Je ris doucement et retira mon haut. «Aller je suis prête !».

Ma tête qui avait un peu perdu la raison je ne savais plus vraiment ce que je faisais déjà. Mon rire retentis de nouveau et je m'assoyais sur le bar en entendant mon amie.

La soirée s’annonçais rythmer, le DJ avait pris place à son poste, défilant des musiques entrainantes les unes par les autres dans le but d’attirer foule sur la piste de danse. La piste de danse ne m’étais étrangement pas venue à l’esprit, à vraie dire, j’avais toujours étais plus attiré par les podiums que par les simples piste, ce qu’une fois de plus en disait long sur ma personnalité extravagante, car je n’avais absolument peur de rien, ayant toujours affronté les défis haut la tête. Je m’étais rendue compte que l’humanité ne pouvait se contenter de ce qu’elle avait, elle désirait toujours d’avantages, sans jamais voir la chance d’avoir tel ou tel appartenance. Ma philosophie étais de regarder les choses présentement obtenues et de m’en contenter, bien entendue, ça ne n’empêchais en rien d’en désiré d’avantages, de m’en donner les moyens.

Les choses divaguaient parfois très vite et je savais que parfois il fallait se laisser aller à ses envies ; après tout, le monde s’était transformé sous l’impulsion des cerveaux humains au fil des découvertes, nous étions passé d’un monde ou la liberté avait un sens réel à un monde ou nous vivions, ou nous avions toujours vécue, truffé de lois et d’interdit, l’expression elle-même se voyais parfois rejeté, la liberté… c’était ce que nous recherchions sans jamais l’obtenir, se lançant des défis, se mettant à l’épreuve dans le but de connaitre nos propres limites, non celle du monde. Lorsque-celle-ci m’invite à se défis finement placé, je souriais et riais simultanément, à vraie dire, être en petite tenue ne me gênais en aucun cas lorsqu’il s’agissait de mon métier, hors, moi, Lilye j’étais une toute autre personne, peut-être un peu pudique pourtant après un ultime verre, je pu sentir l’alcool vagabondant dans tout mon être, mon cerveau se plié sous cette substance hallucinogène. « Tu ne me le diras pas deux fois. » je retirais la robe dans laquelle j’avais confiné ma silhouette, me retrouvant à vue de tous en sous-vêtement ; sous vêtements en dentelle rouge écarlate, autant dire que je ne passais pas inaperçue. Je m’asseyais sur le comptoir et m’y hissais d’un geste las, très vite, tournant la tête, je retrouvais ma complice de toujours. C’est alors que nous commencions à nous déhanché publiquement, ce qui fut très vite suivis d’une cohue d’homme s’engloutissant vers le bar pour y admirer le spectacle.

Plus je dansais, plus le rythme refreiner de la musique me pénétrais la peau. Je rigolais, je sentais la joie monté en moi, l’excitation que provoquais la réalisation d’un seul défit. L’odeur nauséabonde de l’alcool sécher sur le sol n’étais plus à porté de mon odorat, en hauteur par rapport à tous nous avions une vue d’ensemble, nous permettant d’aguicher les plus lointains. Pourtant, je remarquais que l’amusement étais telle que j’en avais oublié mes soucis. Je m’approchais de Reese, venant à être en contact avec son corps nous dansions collé sous le rythme endiablé de la musique résonant toujours plus fort dans ma tête.

Tout défilait devant mes yeux dans une fraction de secondes je ne comprenais pas trop ce qui se passait. Tout ce que je savais et qui était bien présent autours de moi c'était la musique . J'aurais tout le temps pour regretter mes gestes. L'alcool qui coulait dans mes veines prenaient de plus en plus le contrôle de mon esprit et je laissais la sage fille plus loin. Mon cotée fêtarde ressortait sans problème. Après mon t-shirt retirer mon jean suivit sur le sol. Mon corps n'était que maintenant couvrit que de jolie sous-vêtement noir qui fit tourner plusieurs tête. « Tu ne me le diras pas deux fois. ». Je fis un sourire complice à mon amie qui retira à son tour ces vêtements. Je posa mes deux pieds sur le comptoir et regarda la pièce avec mes prunelles scintillantes. À peine qu'on était debout sur le bar qu'un public s'était ramener devant. La chaleur envahie ma peau au rythme que je faisais bouger mes fines courbes au sons de la musique qui résonnait dans mes tympans. Mon rire accompagnait celui de Lilye. Je lançais parfois des petits regard à nos spectateurs et revenait par la suite à ma complice qui n'avait aucune gêne à se déhancher.

Elle se rapproche de moi pour coller notre corps au long de notre danse. Ma conscience était complètement ailleurs sans aucun doute et j'en avais pas un seul soupçon de honte. Mes jambes commençait à être légèrement faible , mais mon corps continuait de danser à un rythme fous tout en ondulant mes parfaites courbes dans mes sous-vêtements de dentelles noirs. Je me rapprocha un peu plus de Lilye suivant chaque mouvement qu'elle faisait avec un sourire en coin. Je savais maintenant ce que l'effet d'alcool avait sur moi. Je ne réalisais peut-être pas ce que je faisais en ce moment , mais il en était déjà trop tard. Le temps avançait si rapidement que je ne pouvais reculer. Et maintenant que j'avais commencer ma danse sur le comptoir je ne pouvais pas arrêter ainsi je devais finir ce que j,avais commencer. Je n'aurais jamais fait ça seul. Oui mon amie avait peut-être enfin de compte une mauvaise influence.

Je rapporta mon attention sur elle et me pencha à son oreille. «Pas de doute tu danse comme une déesse». Un nouveau regard complice et je lui fis un signe de tête vers les hommes qui semblaient presque baver devant la danse rythmer de Lilye. Je lui fis un petit clin d'oeil.

Lorsque j’étais entrée dans le bar, je ne savais pas exactement alors ce qu’adviendrait de ma soirée, j’étais venue sans but particulier, sans rendez-vous, rien ne m’amener à ces lieux pourtant instinctivement je m’y étais rendue, comme ci j’avais eu cette sensation que quelque-chose d’important s’y produirais. Reese, étais venue éblouir ma soirée, une heure s’était passé depuis mon arrivé et ma soirée s’était déjà dessiner un horizon mémorable, de ce genre d’horizon qui restent dans la tête de tous durant une semaine. Je ne pensais plus désormais à toutes ces choses, toutes ces futilités qui nous constitues. Ces quêtes de la vie destinés à répondre à nos questions existentielle, qui nous sommes ? Que voulons-nous ? De quoi somme nous fais et autres questions dont nous n’aurons probablement la réponse. Aucune réponse ; pour la simple et bonne raison qu’il n’y a aucune raison, aucun dessein à notre vie, nous sommes des sims contrôlés par des choses qui nous dépassent, nous n’en avons ainsi aucune conscience, nous n’imaginons pas être aussi futile pourtant nous ne sommes que des poussières à l’échelle de l’univers.

La soirée battais son plein, la chaleur des corps se mêlant qui nous enveloppé de son voile fin satiné étais presque visible, les fumés des effets spéciaux remontés aux plafonds, comme pour s’échapper de cette boite, les cries, l’ambiance festives communes nous transportaient aux vibrations des baffes non loin. Les yeux scintillants, le sourire aux lèvres exprimant la joie collective dans laquelle chacun de nous baigné ; je fixais l’horizon quelques instants avant de revenir retrouvé le regard de Reese, son regard à elle, était d’avantage amusant, elle était tel une enfant découvrant ses cadeaux de noël, je connaissais l’engouement de ce regard par cœur, de nombreuses fois j’avais pu le constater lorsque nous nous livrions à nos idées déjantés comme une fois de plus ce soir. Nous avons toujours eu une influence égale l’une sur l’autre, je pense que s’est pour cela que notre relation ne s’est jamais porté mal. Des lumières présentement braqué sur le bar, laissant à profiter de notre démonstration à tous qui par leurs joie enthousiaste très communicative semblait apprécier le spectacle. «Pas de doute tu danse comme une déesse» je rigolais face aux constatations de la demoiselle et pu déguster toutes l’ampleur de deux blondes se dandinant sur un bar. Je rigolais… « Crois-moi chérie ! Tu y es aussi pour quelques-chose. » Me baissant dans un frottement du corps de Reese très significative, j’aguichais de la sorte des tas d’hommes dont peu aurait un jour le plaisir de parcourir mon corps. Je lui souriais malicieusement, le tout accompagné d’un regard des plus complices, retrouvant notre complicité sans limite d’entant, je me saisissais d’une bouteille de tequila et m’en déversais par flot sur mes lèvres. Je m’approchais ensuite de Reese, et lever la bouteille la penchant, synonyme qu’elle serait la prochaine à le faire.

« Crois-moi chérie ! Tu y es aussi pour quelques-chose. ». Je détourna de nouveau le regard vers les hommes suivit d'un éclat de rire. Je pouvais bien danser en petite tenue sur le bar , mais malheureusement aucun de ses beaux jeunes hommes auraient seulement la chance de me parler se soir encore moins de me retrouver dans leur lit. Les faire rêver un peu pourquoi pas ils n'auront que ça qu'à faire. Une soirée dans toute ces semaines que je me sens enfin un peu m'amuser. Plus aucune pensée à envahie mon cerveau . Ma peau brûle de plus en plus la musique ne cesse de retentir dans mon esprit et je m'abandonne sous les projecteurs du bar. Le corps de Lilye ondule contre le mien pour venir chercher une bouteille de téquila non loin. Je lui rends son sourire pleine de complicité. Mon regard s'accroche sur ses lèvres qui déguste le liquide en aguichant les spectateurs qui ne lâche plus le spectacle d'une seconde maintenant.

D'une main ferme je prends la bouteille à mon tour qu'elle me tends souriant toujours. En peu de temps le breuvage se retrouve à couler le long de mes lèvres le long de ma gorge et légèrement sur mon ventre. Par la suite j'en avale un peu. Je reviens proche de Lilye et verse lentement par la suite l'alcool sur son corps divins en riant et je jeta la bouteille un peu plus loin . Je n'ose même pas imaginer de quoi j'aurais l'aire demain. Je ne crois pas que j'aurai la force de sortir de mes couvertures quand les premiers rayons de soleil frapperont à ma fenêtre. Sans mon amie je serais rentrer le corps plein d'alcool , mais sans folie. J'aurais ressembler plutôt à un zombie seul qui ne demande qu'un peu de solitude. En moins de quelque minute elle avait fait sortir mon cotée fêtarde bien enfouie depuis quelque année. L'influence que cette chère Lilye à sur moi je ne l'avais pas vraiment remarquer avant se soir. Je dois dire que ça me dérange très peu j'avais grand besoin de me changer les idées.

En quelque mouvement de courbes je retourne vers ma complice et me colle de nouveau contre elle déposant mes doigts sur sa peau aussi chaude que la mienne. «Les pauvres ils n'auront jamais la chance de nous avoir pour une soirée.». Bien entendu je parlais des garçons qui continuait de nous regarder. Deux belles blondes qui pouvait résister à ça ?

Sur mon corps s’abattais la tequila encore fraiche faisant frémir ma peau, je rigolais de cette douche in extrémiste, me collant à ma partenaire, l’inondant à son tour de tequila bien que son ventre était couvert autant que le miens. Je me collais à elle, frôlant ses courbes, aguichants les hommes au pied du bar puis en réponse à son affirmation je répondais « laissons les au moins rêver ; tu sais à quel point l'inaccessible est excitant. » il était vraie que personnes ne pouvais résister aux deux blondes se frôlant sur le bar, une complicité perdue en quelques instant retrouvé, les jeunes femmes retrouvés ce « non complexe » qu’elle avait l’une vis-à-vis de l’autre autrefois, avant que bien sur elles soient séparés par le coup du sort.

L’alcool me faisais à présent perdre la tête, mon corps luisant d’alcool, bouillant continué à se déhanché, mes talons noir claquant sur le bar, mes bras retenant mon corps accroché à la barrière plus haut. Je riais sous le feu des projecteurs, prolongeant les regards complices et les gestes de Reese qui semblait s’adonner à ce loisir autant que moi. J’étais heureuse, la tête parfaitement clair, le regard trouble, l’impression d’être sur un petit nuage sans parvenir à en descendre ; peut-être également par manque d’envie. La musique nous entrainais toujours plus loin, elle nous emportait d’un tel élan que la chaleur n’existait plus où l’on se trouvait, il n’était plus abstraction à notre amusement tant ils nous plaisaient une tel exhibition publique, nous faisions ce que jamais nous n’avions imaginé faire pourtant ça nous plaisait peut-être car nous ne l’avions jamais osé. Les spectateurs abasourdies consommaient, le bar faisait certainement son meilleure chiffre en une soirée et nous savions que nous en serions la cause, personnes ne semblait se lassais de ce spectacle éblouissant des deux corps des jeunes blondes aux courbes parfaites s’effritant l’un contre l’autre dans des gestes terriblement sexy emplie de grâce et de finesse… « Combien pour que j’enlève le haut ? » une question qui repousserai encore mes limites, je ne savais pas moi-même si j’en étais capable, je savais que ce ne serais pas la première fois, le topless avait été une partie de nombreux photo shoot pour la marque de lingerie avec laquelle j’avais signé, mais devant autant de monde, ce serais bel et bien la première fois, c’était à Reese de lever les enchères assez haut pour que j’hotte les barrières. Pourtant, L’alcool déambulant dans mes veines avaient éloignés toutes raison, ma question le soulignais particulièrement ; j’en étais capable même si cette dernière ne misais rien, la réel question me brulant les lèvres était de savoir si elle franchirait le pas avec moi.

« laissons les au moins rêver ; tu sais à quel point l'inaccessible est excitant. » . Lilye n'avait pas tord de quoi de plus excitant qu'une femme inaccessible. Notre danse sexy n'avait pas encore cesser et nos corps luisaient de téquila. De l'alcool bien gaspiller me direz-vous , mais selon moi les yeux braquer des spectateurs sur nous n'en disait pas autant. Ils semblaient bien avoir apprécier le spectacle de l'alcool couler sur nos courbes parfaites. Je retira lentement mes talons haut pour avoir un peu plus de liberté , car mes chaussures commençait à me faire une de ses douleurs. Je n'avais jamais été aussi loin que ça dans une soirée. Lors d'une fête j'avais l'habitude de danser à travers la foule et d'enfiler quelque verre , mais là j'étais debout sur le bar et je dansais de façon aguichante mon corps coller contre celui de mon amie. Mais aussi pour tout les verres que j'avais enfiler il était vrais que je n'avais plus toute ma tête. La téquila me contrôlait complètement. Je fis doucement voler mes mèches blondes dans un jolie jet suivant mes pas de danses.

« Combien pour que j’enlève le haut ? ». Je ne pu m'empêcher de arquer un sourcil un peu intrigué . Je ne pouvais croire qu'elle était prête à le faire sur le bar ici devant tout cette foule. Un petit rire de ma part en pensant. Une parfaite occasion de la mettre au défi. Quoi que j'avais un peu peur que se soit après mon tour qui vienne d'enlever mon soutient-gorge. Quelque chose que je ne suis ps prête à faire. C'est déjà beaucoup que je danse en sous-vêtement dans l'endroit alcoolisée. Je glissa une main dans son dos et fit claquer l'élastique de son vêtements à l'aide de mes longs doigts fins. «Si tu le fais je ne te suis pas je te le dis tout suite.»

Mon regard devint sérieux . Mes mains accrocher à son soutient gorge n'avait pas quitter la place. Je la menaça de le détacher en m'approchant des agrafes , mais je dévia mon geste m'éloignant un peu plus loin d'elle dans des geste de déhanchement de mes belles courbes. Je crois que je sous estime ma chère Lilye. Je crois qu'elle en serais bien capable , mais une chose est sur et je n'aie pas peur de l'avouer moi j'en suis incapable.

Le défis était de taille, est pour sa proportion je me devais de le relever, s’était là alors que je saurais si j’avais ce cran là. Je savais que ça ne serais en aucun cas montré ma poitrine, cependant mon être entier frémissait sous cette question, allais-je le faire, de toute évidence il étais hors de question que je fasse étalage de ma poitrine à tous, je veillerais à la dissimuler par mes bras mais je me demandais si je n’irais certainement pas trop loin, hors je savais que il n’y avais là rien de vulgaire, nous étions avec Reese d’avantage dans une instance d’avantages glamour que sexuel, les hommes fantasmaient sans jamais pouvoir toucher, nous nous amusions de la situation. La jeune femme m’informa qu’elle ne me suivrait pas, je rigolais, désireuse de savoir si elle décrocherait l’agrafe qu’elle tenait présentement dans la main. Je m’approchais d’elle, donnant un impact à sa main qui déchira la première agrafe, je descendais la première bretelle et souriais à cette dernière. « Tu crois que j’en suis capable ? » lui demandais-je alors, arquant un sourcil avec autant finesse que celle dont j’avais fais preuve pour hotter la bretelle de mon soutien-gorge, j’étais bien curieuse de connaitre les ambitions que me réservais cette dernière, si elle me connaissait aussi bien même après tant d’année car le fond étais toujours là. Quelques pars, il nous reste tous cet enfant innocent, emplie de nostalgie qui ne demande qu’à retourner à cet époque où les problèmes n’avaient aucunes existence autres que les robes de leurs poupées, la couleur de laquelle colorié les cheveux sur le magasine.

Reese avait hotter ses talons, je gardais les miens ayant appris à être à l’aise même dans les pires attirailles, je veillais toujours à prendre la bonne taille afin d’éviter de me retrouver avec les pieds en compote, mais ce qui restais le plus dur étais de façonner les chaussures à talons, il fallait toujours quelques soirées avant qu’elles ne vous torture plus, bien heureusement ces escarpins noir étaient mes fétiches, ils étaient de ce fais parfaitement façonner et épousés parfaitement la forme de mes pieds.

Je me retournais, de façon à être dos à cette dernière s’apprêtant à m’hotter cette ultime bou de tissue masquant ma poitrine qui ne serais pas divulguer assez longtemps pour être vue, elle serais instantanément remplacé par mes mains.

Sous mes doigts frêles je sentie un des agrafes de son soutient-gorge se détacher lorsqu'elle s'approche un peu plus près de moi. Je ne savais pas jusqu'à où vraiment elle comptait aller , mais je ne suivais pas le même chemin qu'elle. Je ne voyais pas le même intérêt que mon amie à exposer ma poitrine face à des hommes qui bavent presque à mes pieds. Lilye savait de toute façon ce qu'elle faisait c'était maintenant une grande fille qui assume parfaitement ces actes. Je la regarda se détourner pour se défaire de son morceaux de tissus rouge. Et bien elle n'a peur de rien c'est ce que je me dis. Je fus pas surprise qu'elle ne l'expose pas complètement ses mains là cachait correctement et je lui sourie. Il avait des limites à s'amuser et à se lâcher complètement au sons de la musique et Lilye semblait connaître ses limites. Pour éviter qu'un bout de peau ne dépasse de ses doigts je me rapprocha de nouveau de ma complice et colla mon corps contre elle. Poitrine contre poitrine afin d'éviter que les regards des petits spectateur en voient trop.

Je l'entraîna de nouveau dans une danse , mais seulement au point de vu de mouvement de nos jolies jambes. On ne pouvait plus être considéré comme étant des femmes les plus sage. Une chose est sur c'est que j'avais bien fuit le monde de l'enfance et j'étais belle et bien rentrer dans le monde des adultes. Depuis mes douze ans contre mon gré on m'a forcer à vivre dans ce monde. On m'a voler une partie de ma vie me forçant à vivre de dure épreuve. J'ai souffert et je souffre encore c'est d'ailleurs pour ça au départ que je suis venu ici. Mais plutôt que l'alcool coule à l'intérieur de ma gorge elle compose mon corps brûlant qui s'évade dans une danse enflammer.

«C'est raté si tu ne veux pas que les hommes te courent après se soir. Je crois qu'on ne se fera pas lâcher d'une semelle tant qu'on aura pas mit un pied en dehors du bar ..et encore ». Je ria. Deux belles jeunes femmes qui se livrent complètement sur le comptoir attire bien des garçons et leur donner bien des idées par la tête. Donc je ne crois pas que le bar les limitera à venir nous parler avec leur petit rêve de pouvoir toucher nos corps de rêves.

Depuis ma plus tendre enfance j’avais toujours veillé à toujours respecter ce que l’on attendait de moi ; ce soir, je faisais un peu ce dont j’avais envie, tout ceci cependant en respectant les règles comme à mon habitude, l’effet de l’alcool malgré l’emprise qu’elle avait sur moi ne m’empêchais pas d’y voir clair et je savais que tant qu’on ne voyait pas ma poitrine nue ou mes parties génitales tout était comme je le désirais… Ce soir, j’avais hotté toutes les barrières, toutes, sauf celles qui aurait pu m’être fatale, hors mon soutien gorge tomba sur ma robe, cette dernière étendue sur la chaise où je m’étais précédemment bourrer au côté de Reese, quant à moi, je ne bougeais pas mes bras continuant les ondulations de mon bassin… Des cries se firent entendre et détrompez-vous, le spectacle n’intéressais pas seulement des hommes. Le 21e siècle donnait beaucoup à réfléchir, les choses et notamment en ce qui concerne le sexe avait changé, les gens se montrait plus ouvert, je dirais même que les gens l’avait adopté tel un style de vie, l’exubérance, l’absence d’intimité, s’est là que tout avait commencé…

Reese avait parfaitement compris que malgré mes envies, malgré les pires folies que j’effectuais, je respectais à chaque secondes les valeurs que mes parents s’étaient donné tant de mal à m’inculquer. Elle m’aida en collant son corps au miens, poitrine contre poitrine nous continuons nos déhanchement sensationnelle sous la cohue des gens se relayant, la foule ne faisais que grandir, l’horizon était assombris par les couloirs bondé. Je souriais le faisant sympathiquement remarqué à Reese, celle-ci déclara ensuite, «C'est raté si tu ne veux pas que les hommes te courent après se soir. Je crois qu'on ne se fera pas lâcher d'une semelle tant qu’on n’aura pas mit un pied en dehors du bar… Et encore » ce que me fit remarqué la jeune femme n’étais pas stupide en un sens, seulement tout résidé dans le fais d’imposer des limites à ces jeunes hommes aux hormones déchainaient à présent, les recaler tout en douceur… « Ne t’inquiète pas pour ça, il suffit d’être ferme, et si il ne comprend pas, vexe le… ça marche à tout les coups. » La soirée avait atteint son pique culminant, cela faisait plus de trente minutes que Reese et moi nous déhanchions torridement pour le plus grand plaisir des hommes et femmes de la boite… Je me frottais d’avantages à elle et lui murmurait « La suite de la soirée, c’est quoi ? » un œil interrogatif suivis d’un sourire complice car il était certain que la foule ne resterais plus inactive très longtemps, bientôt viendrais le moment où nous nous rhabillerons et nous extirperont rapidement de la boite tel des voleuses, où bien, puisque nous sommes courageuses, nous retournerons en quête d’aventure dans cette boite, toutes deux main dans la main, cherchant quelques peu à se distraire par d’autre moyen car la soirée ne faisais que commencer, ce défis n’en étais qu’un d’une liste très longue. Laissant le loisir à celle-ci de réfléchir, je m’apprêtais moi aussi, du moins je tentais de réfléchir sur le défis que je lui proposerais en suite, détournais par des yeux d’un bleue exquis je dévisageais un homme sorti de nulle part du bar… Je me retournais, me retrouvant dos à Reese, me frottant à elle, mes mains couvrant ma poitrine je descendais d’un geste très sensuelle le long de ses courbes avantageuses… Je me retournais vers elle, en quête d’une réponse… Il fallait dire que la soirée opportuniste que nous nous étions bâtis commençait réellement bien, avec autant d’alcool il était très difficile de penser objectivement sans s’égarer dans son propre sube conscient.

De toute évidence restaient dans le bar s’avérerai compliqué, je n’eu besoin que de la confirmation de la jeune demoiselle pour voir une idée me fusait à travers l’esprit… Bien sur, ceci mettais en ligne de compte de nouvelles bouteilles d’alcool et bien sur la compagnie de Reese. Avec l’aide de cette dernière et après une danse aussi chaude à en faire perdre la tête, je pu enfin remettre mon soutien gorge me détournant de toutes vues. Je sentis alors les doigts de cette dernière courir délicatement sur mon épaule et j’entendis sa douce voie retentir tout près de mon oreille «Très amusant de danser avec toi..», je souriais à cette réflexion est renchérissais à mon tour « Je te retourne le compliment, aller, on prend des bouteilles et on va se finir dans la rue toi et moi ! Partante ? » Je descendais d’un geste gracieux du comptoir où nous nous étions niché pour entamer notre danse endiablé, j’enfilais la robe rouge dans laquelle j’étais venue, sentant l’alcool la collé, je rigolais à ce léger picotement, sous l’effet de l’alcool ceci semblait d’une tel futilité, j’aider ma compagne à descendre de son pied d’éstal, et d’un geste joyeux ajoutais « putain ! Ça colle.. » Je rigolais, accompagné de celle-ci. Je lui tendais ces vêtement préalablement disposais sur la chaise où elle avait siégé en un sourire complice…

Il était clair que jamais je n’avais eu quelconques expériences avec une fille, cependant je ne me montrais pas hostile à cette idée… La danse que j’avais entrepris avec Reese bien évidemment s’avéré très chaude, de toutes évidences personnes même nous ne pouvait y rester insensible. Pendant que celle-ci renfilais ses vêtements, je m’apprêtais près du barman, demandant deux bouteilles de Tequila, je lui filais la liasse de billet payant nos déboires, je lui tendais une bouteille qu’elle attrapa et alors qu’elle renfilait son dernière escarpins j’attrapais sa main, nous faufilant rapidement dans la foule pour s’extirper du bar.

C’est alors que sous nos yeux envahis d’alcool se délivrait le quartier du Castro, idéale pour les jours de fêtes, main dans la main je l’amenais dans une rue non loin, un cul de sac où nous pouvions prendre place en toute liberté sans regard inopportuns. Je prenais place en face d’elle et m’abreuvés à nouveau d’alcool dans un rythme encore refreiné par la musique de la boite se faisant entendre de là où nous nous trouvions.

« Je te retourne le compliment, aller, on prend des bouteilles et on va se finir dans la rue toi et moi ! Partante ? ».. L'idée de sortir du bar pour prendre l'aire avec une bouteille me plaisait beaucoup. Après un danse des plus chaude j'en avais bien besoin. Je ria en l'entendant ce plaindre. Je découvris rapidement que oui la téquila est les vêtements plutôt serrées ne font pas bon ménage. J'en prends note pour la prochaine fois. Les spectateurs étaient retournés à leur occupation. Bien fait de leur part je n'aurais accepter aucune avance de toute façon. À peine que j'avais enfiler mon dernier escarpins , Lilye avait prit possession de ma main me dirigeant vers l'extérieur de l'endroit alcoolisé. Je fis un bref signe de main pour dire aurevoir au barman , mais déjà je me retrouvais parmi la foule .

Enfin que je respira l'aire frais de l'extérieur ma tête avait déjà reprit un peu plus conscience et la chaleur brûlante qui collait à ma peau se dissipait lentement. Je profita de chaque brise qui caressait mon visage de porcelaine. On se retrouva tout les deux dans une rue quelconque tout proche du bar. Je déplia lentement mes membres légèrement douloureux pour m'asseoir sur le sol. J'entraîna aussi sur le passage mon amie en rigolade. Mes lèvres vinrent se poser directement sur la bouteille de téquila en avalant de grande gorgée du breuvage ignorant le léger mauvais goût fort qui brûlait ma gorge. Je détourna mon regard sur la jolie petite blonde avec mon sourire complice habituel.«Ta raison tu m'as vraiment aider à me changer les idées.». Elle m'avait fait cette promesse au départ de la soirée et elle l'avait bien retenu et remplie. J'en étais heureuse. Ça me faisait vraiment du bien. Même si cette évènement me laissait légèrement perplexe. C'était la première fois que j'avais fais ce genre de choses avec Lilye. J'avais même encore l'impression de sentir sa douce peau contre la mienne au moment de notre danse torride.

Mes mains lâchèrent la bouteille pour la poser sur le sol et je m'approcha de ma complice de nouveau un peu plus proche. «Tu me permets que je fasse ça ?». Je me pencha lentement vers son visage et vins celer ses lèvres au miennes le temps juste d'un baiser. Je voulais simplement tenter. Je le savais Lilye était parfaitement hétéro.

« Ta raison tu m'as vraiment aidé à me changer les idées. » je souriais à cette dernière, bien heureuse de ne pas avoir faillit à ma mission, le regard un peu évasif, le cœur un peu déchiré je murmurais comme par peur que quelqu’un m’entende « J’ai l’habitude de noyer la réalité. » J’adressais un sourire masquant le tout à la jeune demoiselle car désormais l’heure n’étais pas aux pleures et aux apitoiements, mais à l’amusement encore plus que jamais, nous étions deux, avec deux bouteilles et j’avais encore de quoi nous faire passer la soirée… Cependant ; il était vraie que « oublier » ce simple verbe faisait l’objet d’une étude de ma propre vie. Pendant trop longtemps j’avais désiré me cacher la vérité, vivre dans le mensonge pour moins souffrir mais lorsque j’ouvrais quelques secondes les yeux ; hors du piège amoureux je parvenais à y voir clairement et ça faisais une tel souffrance que la refoulé, chaque soir, chaque nuit, dans un verre où dans les bras d’un autre s’était tout ce que j’avais trouvé à faire. Désormais que tout ceci s’était achevé dans de grand fracas de verre, je ne me sentais pas libéré de ce poids. Je portais une nouvelle fois la bouteille à mes lèvres d’un geste rapide et buvais plusieurs gorgés avant de la ramener à son point de départ.

« Tu me permets que je fasse ça ? » la tête de Reese s’approcha de la mienne, là alors elle déposa ses lèvres sur les miennes, le temps d’un baiser, je fermais les yeux, prolongeant et appréciant le baiser à sa juste valeur. L’alcool, voilà ce qui m’entrainait, j’allais là alors dans des chemins que je n’avais jamais découvert. J’ouvrais les yeux et riais, je levais alors la bouteille vers le ciel en déclarant à ma partenaire. « Tu as vu comme je suis sexy sérieux ? Et je vais te dire !... j’ai jamais fais ça mais, t’embrasse sacrément bien ! » L’alcool ; encore une réponse aux propos de la jeune femme car habituellement, on ne se montre pas aussi direct sur ce que l’on ressent pourtant Lilye pour une fois désirais plus que jamais oublier tout ces principes qui font que certaines choses ne peuvent pas être dis. Je m’approchais de la jeune femme, déposant un baiser puis, après quelques secondes, j’engouffrais ma langue dans sa bouche, caressant sa langue de la mienne, entrelaçant mes doigts aux siens. Après quelques minutes je décollais ma bouche de la sienne, admirant son visage porcelaine. Les choses étaient hors de contrôle, elle nous mènerait là où elle nous mènerait, de toute façon je savais que peu importe la situation, notre amitié ne changerais jamais.

Je la regardais quelques instants dans les yeux, puis buvais une nouvelle fois sans même hotter mon regard du sien, un long regard complice, tandis que l’alcool s’engouffrais toujours en masse à l’intérieure de mon corps. « L’alcool c’est comme activia, c’est actif à l’intérieure et ça se voit à l’extérieure » je rigolais à ma propre remarque, j’étais dans un état quelques peu euphorique, embrasser Reese m’avais parut tellement simple, et à présent ça ne m’affecté pas des moindres, je recommencerais certainement quand l’envie m’en prendrais, attisant toujours l’excitation à présent installé l’une envers l’autre. Je fronçais les sourcils, d’un air interrogatif et demandais alors « C’est moi ? Ou il fait chaud !? »

Toutes cette alcool dans nos veines influencé notre comportement, pourtant, libre de nos mouvement nous n’aurions aucunement besoin de regretté nos gestes le lendemain, s’est ce qui me rassurais le plus dans cet inconnue, pourtant parallèlement, je me disais que étant une fille je connaissais l’anatomie féminine précisément, et je saurais donc me guide celons mes propres désir… La main de celle-ci grimpait délicatement sur ma cuisse, me faisant frissonner la douce chaleur apparus en bas de mon ventre, je m’approchais d’elle, posant une main sur sa joue, l’embrassant langoureusement d’un geste emplis de désir. Je posais ma seconde main sur son jean, caressant circulairement m’approchant toujours près de son intimité, la frôlant mais l’évitant toujours dans le but de succiter l’envie chez Reese. Je basculais son corps dans la ruelle, de façon à me retrouver en avantages, elle couché et moi un peu plus haute, je l’embrassais, la caressant toujours au plus près. Je ne contrôlais pas exactement mais geste mais je me laisser aller à cette douce excitation, cette chaleur au bas du ventre me poussant toujours à m’approcher de son corps, désirant lui donner du plaisir et parallèlement en recevoir. « C’est dingue à quel point j’ai envie de toi. » Jamais auparavant notre relation n’étais allé aussi loin, je m’apprêtais à faire ce que jamais auparavant je n’avais fais avec une fille, appréciant chaque frôlement de ses doigts le long de mes cuisses, ses doigts dans de délicieuses caresse se faufilant près de mon intimité et cette alcool me faisant oublier tout ce qui aurais pu m’arrêtais. Je l’embrassais, caressant de ma main précédemment posé sur sa joue les courbes de son corps, remontant son tee shirt dans d’infiniment douces caresses.

Je ne considérais pas comme bisexuelle, pourtant, pour la première fois je me laisser tenter par une femme, s’était certainement aussi car j’étais complètement saoul, pourtant jamais une femme ne m’avais autant donné envie, Reese avais suscité mon désir, les barrières n’existais plus dans le monde que nous nous étions forgés, nous étions peu consciente de ce que nous entreprenions pourtant, aucune ne semblait regretter, faisant les gestes spontanément soulignant une vie fougueuse.

Je ne comprenais point vraiment l'instant présent , mais mon esprit légèrement perdu et embrouiller par toute l'alcool que j'avais enfiler , ne s'en préocuppait pas et se laissais guider par l'instant. Jamais auparavant je n'es été aussi proche de la jolie blonde et je dois dire que ça ne me déplait pas du tout. Je restais toute fois un peu confuse ne comprennant pas encore une fois pourquoi j'éprouvais un désir pour les femmes. Ma main timide qui s'était lentement glisser sur sa cuisse prennait de l'assurance caressant plus en vigeur sans douce peau. La chaleur montait en flèche et je sentais des fourmillement partout dans mon corps. L'instant présent me faisait perdre totalement le contrôle. Lilye vint caresser ma cuisse à son tour et un frissonement parcouru le long de ma colone vertébral. Ses doigts qui s'approchaient sans gêne de mon intimité me fit arracher quelque soupire et des gémissements presque silencieux au creux des oreilles de mon amie. Je me retrouva contre le sol. Je regarda pendant un instant le visage de Lilye.« C’est dingue à quel point j’ai envie de toi. ». Je l'embrassa de nouveau plus langoureusement remontant ma main vers le bas de son ventre et approcha ma bouche de son oreille et vint lui mordiller son lobe d'oreille. «La même chose pour moi..». J'entrenais mon amie toujours plus loin dans une direction bien différente de ses habitudes. Peu importe ce qui pouvait se passer dans cette ruelle je savais que rien ne changerais par à rapport à notre amitié.

Nous ne faisions que profiter du moment présent. Il n,avait pas vraiment de question à avoir honte dans nos gestes. je n,avais pas vraiment peur et je ne faisais que lui connaître quelque chose de nouveau. Nous sommes jeunes autant profiter de la vie au maximum.Je glissa lentement mes doigts frêles sur sa peau toujours plus loin arrêtant à la lisière de son soutient gorge. Mes lèvres dérapèrent de sur les siennes et vint dévorer son cou avec fougue. Je m'enivrais de son doux parfum mêler à l'odeur de la téquila qui était rester coller contre sa peau.

Je m'approcha un peu plus de son intimité , mais je m'avançais toujours plus de l'endroit sans lui toucher pour la faire désirer au maximum comme je le pouvais. Mon autre main glissait dans sa chevelure de blé.

Les choses étaient dans une situation telle que je me prêtais à ce jeu de séduction mis en place, cette danse mélanger à cette alcool avait rendue ces gestes à priori anodins à une finale débauche. Cette aventure m’étais cependant inconnue, pourtant je sentais cette chaleur provenant du bas de mon ventre, m’en faisans à présent perdre la tête tant le désir étais fort… Plus son corps se frottais aux miens, plus ses caresses se rapprochaient du but finale, plus je sentais ma tête bouillir et mon corps se remplir de désir, un désir impossible à rassasié. Je dégageais son débardeur, passant ma langue sur sa poitrine à présent légèrement dévêtue, son soutien-gorge m’empêchant cependant de progresser au delà… Je descendais une main le long de son ventre, la glissant à présent en dessous de son jean. Je caressais son intimité au dessus du dernier tissus qui la séparé de ma main. Je faisais quelques vas et viens, stimulant le désir sexuelle montant toujours plus vivement, je l’embrassais, mordillent tendrement sa lèvre inférieur, et descendais, léchant son corps jusqu'à ce que son pantalon me fasse obstacle, sa peau avait ce coup de Tequila sécher, et le gout de sa peau le rendais quelque peu caramélisé, un gout assez savoureux. L’obstacle étais là, je déposais quelques baisers et hottais le premier bouton de son jean, le glissant le long de sa silhouette. Son corps était à présent comme précédemment, peu vêtue, je l’observais, d’un sourire assez malicieux… Je me repenchais sur elle après ce court moment d’admiration, l’embrassant tout en caressant son intimité à travers le léger bou de tissue lui restant. « Plutôt pas mal pour une débutante… » L’alcool étais toujours là, s’était sûrement pour cela que je me permettais de m’envoyé des fleurs, par la même occasion, je laisser s’échapper quelques gémissement de plaisir, du à l’excitation, les choses s’étendaient, en repoussant l’instant nous attisions l’excitation jusqu’à lui faire atteindre son point le plus culminant.

Je passais ma main dans ces cheveux blonds, venant me perdre dans son coup où je déposais des baisers, je frôlais ma langue à sa peau, me laissant tenter par ce gout légèrement vanillier bien propre à cette dernière. J’y déposais quelques essoufflements qui faisaient frissonner sa peau, je sentais le bou de tissue s’inonder au fur et à mesure de mes frôlements, laissant courir mes doigts attisant le désir de cette dernière. Puis, je rapprochais mon corps au sien, les laissant s’entremêler, une chaleur émanant de part et d’autres de nos intimités, tel des aimants ne désirant qu’à se coller. Il était certain que Reese me faisais beaucoup d’effet, cette première expérience s’avéré assez réussite… nos actes étaient spontané, sans retenue, d’une douceur extrême, d’un désir inouïe.

Ma robe à présent hotté, mon corps à présent basculé dominé par celui de Reese, je prolongeais ses baisers, caressant ses cuisses d’une main, l’autre se pressant sur les courbes de sa peau de porcelaine, d’une douce infinie, je progressais sur le chemin de courbe s’offrant à moi. La splendeur de ce corps réchauffant le miens, la lenteur de ses ondulements m’attirant l’envie de progresser dans nos ébats. Je glissant lentement ma main caressant sa poitrine, arrachant sur le passage le tissue séparant nos intimités, je caressais tendrement l’endroit convoité. Mes sens étaient en parfais éveille bien que légèrement maladroit, j’étais sous l’effet de l’alcool, étourdis par l’odeur enivrante de la peau de vanille de Reese. Je ne me préoccupais pas de l’endroit où j’étais, sans être consciente de mes gestes je progressais dans cette aventure parfaitement inconnue, s’était justement ça qui rendaient tout ceci excitant. Je me dévouais inconsciemment à ce jeu de séduction nous entrainant au delà des barrières mais qu’importe, cela ne faisais que pimenter mon existence, le semblant de vie que j’avais, certes le travail m’apportais un peu de réconfort, je me disais inlassablement que je finirais par trouvé parfaite chaussure à mon pied mais cela me semblait pourtant impossible ; Evan, il étais tout ce que j’avais toujours eu, inconsciemment il m’étais devenue vitale jusqu’à son amertume et son caractère d’une fatalité déconcertante. Pourtant, je n’y pensais pas, s’étais bien hors de ma conception, dans le monde alcoolisé où je me trouvais ; tout étais celons mon idéale, et celons mon idéale, il n’existerait pas, je n’aurais jamais eu à faire à lui, triste façon de fuir cette souffrance que m’infligeais de croiser son regard où d’ouïr sa voix.

Reese, voilà où étais concentré toute mon attention, cette blonde aux cheveux de blé, avait attiré mes sens au delà de tout ce qu’il avait pu connaitre auparavant, pourtant l’inconnue j’adorais, constamment je m’y plongeais tête baissé, trouvant en générale mes propres limites par ce biais, hors là, je ne semblait pas vouloir penser être dans un monde aux libertés trop restreint, là même, nous étions en infraction nous faisions l’amour, dans une rue, tout près d’une boite de nuit et si par malheur quelqu’un s’aventuré de pars ces rues ils auraient une vue assez choquante, il n’y avais qu’a espéré qu’il s’agisse d’un adulte assez ouvert. Je progressé de pars sa poitrine, embrassant tendrement jusqu’au bas de son ventre, son intimité à présent ouvert à moi, je la caressé tendrement de ma langue, sentant les frissons hérissait la peau de ma partenaire.