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 echoes of memory (heath)
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 15 Mar - 21:39

Dix-neuf heures trente. C'est avec indolence que je sors du travail. Je m'étais égarée dans les dossiers et les preuves étaient embrumées par le brouillard de mon indifférence. La rancune des insomnies me fait un peu vaciller sans pour autant éliminer mon équilibre. Je laisse un soupir de lassitude m'échapper lorsque j'entre dans ma voiture coupée sport. J'éteins d'un geste agacé la radio qui se met en route après que j'ai enclenché le contact et je démarre, en ne fixant qu'à moitié le chemin de retour beaucoup trop de fois emprunté. Parfois je maudis la fadeur des gestes mécaniques, je maudis la mise en place de ce système qu'impose la société actuelle. Je suis en saturation de quotidien. Je frôle l'explosion qui pourtant n'arrive pas. En roulant, je me dis qu'un café me ferait du bien alors je me gare non loin d'un Starbuck. Après avoir fermé le véhicule, je me dirige vers le café qui ne me semble pas trop bondé à cette heure. Chose dont j'allais grandement profiter le temps de quelques minutes volées. Je me dirige naturellement vers le comptoir pour passer ma commande. Je paie et je me tourne quelques instants afin de trouver un endroit tranquille où m'asseoir lorsque mon regard se pose sur des traits que je ne connais que trop bien. Je reste figée quelques instants, ne sachant pas réellement quoi faire et durant ces quelques minutes idiotes, des souvenirs enterrés sous la poussière reviennent danser devant mes prunelles. Comme si ils avaient été vécus hier et qu'aucune complication ne s'était immiscée entre eux. Heathcliff n'était plus qu'un fantôme, qui a longtemps été associé au manque. Aujourd'hui, nous n'étions que deux étrangers dont la mémoire était chargée. Il avait beau me manquer encore parfois, la séparation était une étape que j'avais largement surmonté depuis un bon moment à présent. J'inspire quelques secondes pour finalement m'approcher jusqu'à sa table. C'est quand il lève les yeux vers mon visage que les choses s'intensifient. La place est prise ? Je lui dis, l'air de rien. Avec mon air d'indifférence et mon détachement corrosif qu'il connaissait aussi bien que moi.

Je prends place sans vraiment attendre qu'il daigne me répondre. Entre nous, il y avait des éclats fracturés. Des cris qui ne s'associaient plus qu'à un silence. C'était peut-être la folie qui m'avait poussé à m'asseoir à sa table. À enfoncer mon regard dans le sien sans ciller le moins du monde. C'est le silence à présent qui domine, le genre de silence qui devrait mettre mal à l'aise mais peut-être et sûrement que nous n'en étions plus à ce stade. Heath m'en voulait, m'en veut peut-être toujours ; même si je misais plus sur son indifférence qu'autre chose. Définir mes sentiments à cet instant même me paraissait impossible. Le bordel. La confusion acide. C'est tout ce qui j'étais capable de penser face à ces retrouvailles loin d'être désirées. Les plaies avaient dû être panser de nombreuses fois avant de devenir cicatrices. On vivait très bien nos vies séparément et la nostalgie avait beau me chatouiller. Je ne regrettais pas réellement de pouvoir affronter ça. Faire face au fossé qu'il y a entre nous à présent. Silencieuse, je le restais toujours. Guettant ses gestes, curieuse de sa réaction, cherchant du regard tout ce que j'avais pu rater d'important ou d'essentiel dans sa vie et peut-être bien que mon regard était trop insistant mais qu'importe après tout. Puisque je n'étais plus rien à présent, n'est-ce pas ? C'était ce en quoi consistait le deal. Des inconnus. Retour à la case départ.
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Anonymous
Invité
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Dim 23 Mar - 0:07

T'écrase ta cigarette sous ton pied, recrachant le reste de la fumée dans l'air de San-Francisco. Tu venais de finir ta journée de boulot il y a seulement quelques minutes, t'étais encore une fois crevé, pour changer. En ce moment, t'avais du mal à trouver le sommeil. Non pas que l'insomnie frappait à ta porte, mais tu te posais trop de question. Lera qui te ramène un gamin, tu te demandais sans arrêt si tu ferais un bon père. Toi, bien trop amoureux de ta liberté, tu te pensais incapable de faire ça bien. Et pourtant, t'as quand même accepté d'assumer le gamin. Parce qu'il vient de Lera, c'est pas n'importe qui, t'aurais certainement prit tes jambes à ton cou si ce serait celui d'une autre. Les mains dans les poches, tu fais iruption dans le starbuck, allant commander un café. T'en avais besoin, t'allais très certainement encore une fois sortir ce soir et pas le temps de dormir avant. Après avoir payé, ta boisson en main tu t'installes à une table dans un coin assez tranquille du café. Tu ne saurais dire combien de temps t'es resté là, assis seul avant qu'on ne vienne te déranger. Le regard sur ton goblet, tu fais pas tout de suite attention à la personne face à toi. Et puis tu te souviens, tu te rappels. Cette voix.. Elle te disait beaucoup trop de chose pour être celle d'une inconnue. La personne prend place, sans attendre ton accord. Tu poses ton regard sur elle et puis, soudainement, t'as l'impression de retourner en arrière. « Sveta. », tu te dis à toi même.  T'as besoin de la regarder pendant de longues minutes pour te rendre compte que c'est bien elle, que tu ne rêves pas. Et puis le silence prend place. Tu ne sais que dire, comment agir.

En l'espace de quelques instants, t'as tout revécu. Votre rencontre, votre relation et par dessus tout, votre séparation. T'as jamais compris comment vous en étiez arrivé là. Passer de l'amour à.. la haine. Tu sais pas si l'adjectif convient, mais tu sais que c'est pas loin de ce que tu ressens à présent à son égard. Depuis, vous vous êtes plus jamais revu. Ni adresser la parole. Pas de contacte, pas de nouvelle ni de l'un, ni de l'autre. C'est comme si en l'espace de quelques minutes, vous aviez réussit à supprimer l'existence de l'autre dans votre vie. Perturbant. Tu avais l'impression de faire face à une inconnue.  Bien que finalement, tu te dis que t'as toujours eu l'impression d'être face à une personne dont tu ignorais tout. Tu finis d'une seule gorgée le peu de café qu'il te restait avant de plonger ton regard dans le sien. Elle était insistante, scruter les moindres recoins de ton corps. Tu te sentirais certainement gêné ou que sais-je, en d'autre circonstance, mais là non. La colère des dernières heures avait subitement refait surface. « Pourquoi à ma table ? » La question se devait d'être posé. Des places, ce n'est pas ce qui manquer ici. Alors pourquoi était-elle venue s'asseoir face à toi ? Que cherchait-elle ? Tu la fixes avec la même insistance qu'elle quelques minutes avant ça. A chaque clignement des yeux, tu revivais en l'espace de quelques secondes une scéne de votre vie de couple. Tu avais réussit à vivre sans, à ne pas penser à elle, à ce qu'elle devenait, à ce que vous auriez été, aujourd'hui. Et tout à coup, quand tout commence à reprendre un sens quelconque dans ta vie, la revoilà. Elle apparaît face à toi comme les démons du passé. Démon, le mot est peut-être exagéré.
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Anonymous
Invité
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Ven 28 Mar - 18:06

Trop de choses ont été partagées entre Heathcliff et moi. Trop d'effusion, de ressentiments découlent de cette relation pour que je ne puisse rien ressentir face à lui. Pourtant, je suis incapable de décrire ce que c'est, ni pourquoi la distance me paraît si fade. Après tant de douleur, l'indifférence que je devinais dans ses gestes me faisait flancher intérieurement. En apparences, j'étais tout aussi indifférente que lui et heureusement qu'elles étaient là pour sauver la mise. Ma mémoire bouillonnait si vivement qu'un sifflement agacé brûlait contre mes tempes. Les souvenirs devenaient tornade au cœur de mon esprit et une mélancolie refoulée enserrait ma gorge avec lenteur. Je me rassurais en me disant que c'était certainement le fait de revivre nos instants arrachés qui me troublait et uniquement cela mais je me doutais bien qu'au fond, je n'étais pas aussi insensible que ça. Perdre un être cher restait toujours une plaie, peu importe le temps. Peu importe ce que l'on prétend oublier. L'entendre parler redonnait vie à nos échecs et ce n'était pas plaisant, ni agréable. C'était même tout le contraire. Mais je refusais qu'il s'en aperçoive, je refusais qu'il me voit de cette façon ; comme la fille stupide et fragile en laquelle il m'avait changé après qu'il soit parti. On dit souvent qu'on ne se rend compte de ses erreurs que bien plus tard après l'acte commis ; moi, j'en avais toujours eu conscience mais l'attachement que j'avais ressenti pour cet homme m'avait rendue plus frêle, moins forte et pourtant, personne ne s'en été douté. Ni lui, ni moi-même puisque je ne l'avais jamais accepté.

Cependant, je restais sereine. Mes sentiments semblaient portés disparus, il ne restait plus que des ruines de notre idylle. Des souvenirs doucereux, des nuits passionnées. Des silences glacés, des disputes volcaniques. Au final, on s'était laissé sans rien dire. Je n'avais même pas claqué la porte. J'étais partie aussi simplement que j'étais arrivée et nos vies se sont dissociées pour s'oublier. C'était certainement mieux ainsi, pour nous deux. Lorsqu'il prit enfin la parole, je me rendais compte que sa voix était toujours aussi sèche et amère. La colère, c'était ce qui vibrait dans ses mots et je pouvais sentir sa déception jusqu'ici. Je finissais par abandonner son regard pour laisser le mien regarder évasivement le gobelet que mes phalanges caressaient doucement mais nerveusement. Tu aurais préféré que je t'ignore, n'est-ce pas ? Ma phrase se termine et mes prunelles remontent jusqu'aux siennes calmement. Je voulais juste prendre de tes nouvelles puisque tu es là et que je ne pense pas qu'on se recroisera de si tôt. Mais si tu souhaites que je m'en aille, suffit de demander Heath. J'attends alors sa réponse, toujours aussi calme face à son agacement.
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Anonymous
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Invité
Lun 7 Avr - 16:18

Elle te paraît irréel, tel un fantôme. Tu as beau te dire à de nombreuse reprise que tu ne rêves pas, qu'elle est bel et bien face à toi. Tu as du mal à te dire qu'après tout ce temps loin l'un de l'autre, il est possible qu'elle se retrouve à la même table que toi. Tu t'étais presque donné un mal de chien pour ne plus avoir à la croiser, et pourtant. A croire qu'on croise toujours les personnes qu'on ne veut pas revoir. Tu soupires, tu es déjà trop fatigué par la situation que tu sens te dépasser. « M'ignorer, peut-être pas. Je comprends juste pas pourquoi tu viens t'asseoir ici. On n'a plus rien à voir l'un avec l'autre. », tu sentais tes mots être tranchant, froid. Tu n'aimerais certainement pas qu'elle te balance ce genre de phrase, mais toi tu estimais avoir le droit. Après tout, tu n'avais pas été celui qui avait causé la fin de votre couple. Elle était la seule coupable. Tu étais toujours rester sincère avec elle. Tu aurais pu y avoir quelque chose à voir avec tes infidélités, mais tu avais eu la chance de passer à travers le barreaux. Tu remontes ton gobelet à tes lèvres, buvant ton café qui commençait déjà à refroidir et tu détournes le regard. Tu ne veux pas trop la regarder, ce serait lui donner de l'importance, en quelques sortes. Et tu ne voulais pas lui donner cette impression de puissance. T'étais devenu totalement indifférent à elle, bien que ses traits de visages avaient toujours un petit effet sur toi, tu étais tellement énervé contre elle que tu n'arrivais pas à y faire attention. « Non. C'est bon, reste puisque t'es là. », ta voix s'était faite moins brutale, plus douce, sans le vouloir. Ce n'était pas ce que tu voulais, mais le naturel reprenait le dessus. « Comme tu peux le voir, je vais bien. Très bien. Et toi ? », t'avais faillit lui balancer un fameux "je vais bien sans toi" provocateur, mais tu avais réussis à te rattraper, pas le temps de lancer les hostilités.
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 20 Avr - 20:53

Faire face à l'indifférence, à son indifférence plus particulièrement me décontenancer plus que je ne l'acceptais. Je sentais les ventricules de mon muscle moteur se resserrer doucement, en me laissant le temps d'assimiler toute la distance qu'il y avait entre nous désormais. C'était si étrange. Dans ma mémoire, nos corps l'un dans l'autre restaient malgré tout, malgré la profondeur dans laquelle je les avais enterrés. La froideur qu'il installe dans ses mots me glace littéralement. Je faisais face à un inconnu, un inconnu que j'avais pourtant cru incruster dans ma peau. Filant dans mes veines, comme l'alcool. Oui, nous n'avions plus rien à voir l'un avec l'autre. Je me retrouvais impuissante sous le poids de ce constat mais je reste silencieuse, laissant un peu mon regard se perdre aux alentours. Cette fois, c'est moi qui soupirait. Plus de tristesse que d'amertume. Peut-être que mon Heath avait disparu et que la Svetlana que j'étais à ses côtés est morte depuis un long moment. Sa colère vibrait toujours. Elle fissurait la terre de ma sensibilité et peu de gens étaient parvenus à aller jusqu'à elle. Pourtant, il y avait laissé son prénom, quelque part entre mes secrets et mes jeux de comédie. Il a l'air de se raviser, même si je reste consciente que ces illusions d'espoir sont inutiles. Je bois une gorgée de mon café, en me mettant un peu plus à l'aise. Il me répond, insistant subtilement sur le fait qu'il allait bien. Bien, sans moi. Je souris, coincée entre la sincérité et le regret. Je n'avais jamais souhaité qu'il soit malheureux et ça n'allait pas commencé aujourd'hui. J'en suis ravie pour toi. Pourtant je sentais des fissures limpides se dessiner dans les refuges occultes de mon esprit. Je l'avais oublié moi aussi, n'est-ce pas ? Complètement effacé... Bien sûr. Je viens m'asseoir à ta table par curiosité, c'est tout. Autant être sincère. Jouer l'indifférence sans la ressentir, à quoi cela sert ? La provocation était presque impossible à comprendre, pourtant elle était là. Dissimulée derrière mes sous-entendus et mon regard fixé à nouveau dans le sien.
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 7 Juin - 2:37

L'incompréhension était là, dans un coin. Elle se faisait silencieuse, mais pas assez pour que tu n'y prêtes pas attention. Pourquoi lui en voulais-tu toujours autant ? Après tout si elle n'était qu'une simple erreur de parcours, comme tu t'amuses tant à le lui faire comprendre, pourquoi être si affecté par votre fin désastreuse ? Tu avais toujours été du genre à dramatiser les situations, à partir très vite dans des extrémités. Avec toi, c'était tout rose ou tout noir. Il était difficile de trouver le juste milieu, encore plus lorsque tu devais ajouter Svetlana à l'équation. Votre relation n'a jamais été simple, mais tu l'avais aimé, sincèrement. Le temps a coulé. Tu devrais tourner la page, pourtant tu as toujours l'impression d'avoir été prit pour un imbécile dans l'histoire. Les débris sont trop présent, tu ne peux pas les ignorer et agir comme si de rien n'était en sa présence. Ses mots te font sourire. La curiosité dit-elle ? Qu'espérait-elle apprendre en venant s'asseoir à tes côtés ? Tu ne lui en dirais certainement pas plus que ce qu'elle pourrait entendre par les autres. « J'en sais rien, je suis pas à ta place. Moi, j'aurais tracé ma route. La curiosité à ton égard ne m'attire plus. », tu sors ton paquet de malboro de ta poche en délivrant une cigarette que tu places entre tes doigts. « J'ai de la chance de ne pas être curieux, que je me rappel, t'es plutôt secrète comme fille. », tu souris faussement en posant à nouveau ton yeux sur elle. Tu vois qu'elle aussi, n'a pas peur de te défié du regard, ça te fait rire intérieurement. Pourtant, t'es quand même un minimum déstabilisé, une première depuis longtemps.
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Anonymous
Invité
Invité
Ven 27 Juin - 13:03

La fierté de Heath faisait partie de sa muraille. Elle creusait parfois les distances, effaçait les illusions candides que l'on pouvait se faire à son sujet. Nos souvenirs avaient beau être enterrés, je n'en restais pas moins affectée. Mon indifférence ne fonctionnait pas sincèrement en sa présence car malgré les tempêtes qui parsèment notre histoire, un jour il a été le centre d'un monde qu'aujourd'hui j'oubliais de mieux en mieux. Je n'ai jamais été ce genre de femme, à me perdre pour un homme mais la rareté de mon attachement élevait Heath dans mon existence. Il était parvenu à percer l'armure de mon impassibilité, pour trouver la sensibilité occulte de mes faiblesses. Pourtant, je ne voulais plus y repenser. Replanter le couteau de notre séparation au creux des cicatrices qu'il avait laissé sur mon âme. Deux étrangers avec un passé commun. Des cendres, voilà tout ce qu'il restait de notre idylle troublé par les orages. Nos secrets ont été plus importants, nos vies mêlées et paradoxalement détachées l'une de l'autre nous ont mené à notre perte et peut-être que les choses étaient mieux ainsi. Je reprends une dose de caféine alors qu'il finit par me répondre, un sourire presque ironique sur les lèvres. Ses paroles imbibées d'un venin doucereux viennent troubler mon esprit mais cette fois-ci, ça m'atteint beaucoup moins car je sais qu'un jour, de nous deux, il ne restera plus qu'un fantôme incolore. Que grand bien t'en fasse. Je suppose que ma curiosité envers toi finira par disparaître aussi, tôt ou tard. Et j'étais sincère. Le temps détruit tout, c'est un fait avéré. Que cela me plaise ou non, je ne pouvais pas me battre contre les courants des heures qui s'allongent. Secrète ? Tu peux parler, Heath. Je pensais qu'avec le temps tu apprendrais à étouffer ta colère. Et son sourire plastique ne suffisait pas à éloigner mes doutes. Après tout ce temps, je pouvais percevoir son amertume envers moi et je crois que c'est ce qui me dérangeait le plus.
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