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Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH « Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. » - Lorenzo 79124 « Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. » - Lorenzo 79124

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 « Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. » - Lorenzo
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Julie R. Evans
Julie R. Evans
i'm a motherfucking admin
AVATAR : K.STEW
✱ ÂGE : 32
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✱ COLOCATAIRES : Dom sometimes.
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Sam 3 Nov - 0:01

« Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. » - Lorenzo 121102114105717357




Lorenzo&Julie


Maintenant que je n'allais plus l'Université, il m'arrivait de m'ennuyer intensément, comme jamais auparavant. Normal. Dorénavant, j'avais une toute nouvelle vie. J'étais devenue actrice, comme ça, l'air de rien. Et malgré quelques journées bien chargées, lorsque je me retrouvais chez moi, à San Francisco, je me sentais bien seule. Pourtant, Domenico était à l'appart, mais malheureusement, je ne le voyais que très peu souvent, à cause de ses cours et de ses entrainements. J'avais d'autres amis mais je ne souhaitais pas les importuner. Néanmoins, mon moral était vraiment à zéro. J'avais besoin d'être avec quelqu'un, de parler avec quelqu'un. Et mon premier choix se portait sur Lorenzo. Mon meilleur ami depuis l'enfance. Si je l'invitais maintenant à me rejoindre chez moi, il n'hésiterait pas. Il était quelqu'un sur qui on pouvait compter. Bon, je ne voulais pas non plus le déranger, pourtant, je tentai quand même le coup. Je lui envoyai alors un sms pour lui indiquer que je voulais qu'il vienne.

" Hey Lolo, y aurait-il moyen que tu passes chez moi maintenant, stp ? J'ai besoin de voir ta bouille. 34242 "

Il allait sans doute y être réceptif. Il savait que je n'étais pas au top de ma forme ces derniers temps, tout comme lui. Sa petite-amie Katsya, était partie, loin de lui. Il était mal. Il avait donc aussi besoin de réconfort et soutien. C'était ce que j'essayais de lui apporter dès que je le pouvais, et là, ça allait être une nouvelle occasion de l'épauler, comme je le devais.






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Anonymous
Invité
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Dim 4 Nov - 18:02

y'a des gens comme ça, qui nous donne le sourire.
Etant occupé aujourd'hui, Will m'avait demandé si je pouvais garder notre fils. Ce n'était même pas une question à me poser, quand il s'agissait de garder mon fils, j'étais toujours disponible, et j'étais même prêt à décliner un rendez-vous pour pouvoir être disponible pour ce dernier. Depuis que ce petit était entré dans ma vie, je me sentais d'autant plus épanoui. Il me redonnait le sourire quand sa n'allait pas. Parce que oui, j'avais beau prétendre aller bien aux yeux de tous, au fond de moi, ce n'était pas la gloire. Ma petite amie avait été internée dans un centre spécialisé pour les personnes étant atteinte de troubles bipolaires et disons qu'entre nous en ce moment, tout n'était pas beau et rose. Au début, persuadée que j'étais à l'origine de son internement, cette dernière refusait catégoriquement de me voir, mais heureusement, Lera, celle qui était à l'origine de tout ça lui avait avoué la vérité. Cependant, même si maintenant elle savait que ce n'était pas moi, cela ne l'empêchait pas de penser à d'autres bêtises comme elle avait pu me dire lors de sa dernière connexion sur facebook. Je crois que cette fille avait énormément de mal à comprendre combien je pouvais tenir à elle, combien je l'aimais. Ou alors peut être que je n'étais pas assez expressif. Je ne sais pas trop. Toujours est-il que mon moral n'était pas à son plus beau fixe.
Assis sur le canapé, mon bébé dans les bras, je le regard, d'un regard attendri. En l'espace de quelques temps, ce petit bout avait prit une telle place dans ma vie, il était de loin l'une des plus belles choses qui me soit arrivée. Avant son arrivé, je ne savais pas ce que s'était être père, mais depuis sa naissance, ce mot avait prit tout son sens. J'avais un rôle à tenir, prendre soin de cet enfant, m'en occuper dignement. Et autant vous dire que je tenais ce rôle à merveille, du moins, c'est ce que je pensais, d'après tous les commentaires qu'avaient pu me faire mes amis.
Mon téléphone se mit alors à sonner, s'était un message. Julie, ma meilleure amie me demandait si je pouvais passer maintenant chez elle. Comment refuser ? Il m'était tout simplement impossible de refuser quoi que ce soit à ce petit bout de femme qui me soutenait depuis mon plus jeune âge. Cette fille représentait beaucoup pour moi. Elle était pour vous dire, au même étage que celui de ma soeur. Pour vous dire à quel point elle était importante pour moi. Nous n'avions pas le même sang, mais pour moi, c'était tout comme.
sms : coucou ma Juju, c'est avec plaisir, en plus tu vas avoir la chance de voir ton neveu ! on arrive d'ici dix petites minutes ♥.
Aussitôt le message envoyé, aussitôt je me levais du canapé, et partais dans ma chambre pour enfiler un petit blouson à Landon, car le temps s'était rafraîchi et je ne voulais en aucun cas que ce dernier n'attrape mal. J'enfilais quant à moi un pull, puis une fois le bébé mit dans son cosy, nous montions en voiture pour nous rendre chez Julie. Garé à côté de la voiture de ma meilleure amie, je descendais, prenais le cosy dans lequel ce trouvait mon fils, fermais la voiture, et hop direction chez ma Juju. Arrivé au pas de la porte, je frappais de coup pour marquer ma présence.

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Julie R. Evans
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Lun 5 Nov - 21:20

« Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. » - Lorenzo 121102114105717357




Lorenzo&Julie


A y réfléchir, ma plus longue relation amicale était avec Lorenzo. Depuis tout petit, on s'est tapés dessus, faits des bisous de réconciliation, chamaillés pour des bonbons qu'on ne voulait pas toujours partagé par gourmandises mais au final, on s'est toujours soutenus. Cela résultait d'une amitié inconditionnelle. D'habitude, ce genre d'amis trop proches finit par sortir ensemble et alors, soit ça passe, soit ça casse. Or, même si Lorenzo et moi étions sortis ensemble plus jeunes, notre amitié a toujours été conservé. J'étais heureuse qu'il partageait encore ma vie et j'étais vraiment fier du jeune homme qu'il était devenu. C'était donc avec enthousiasme que j'attendais son arrivée. Il m'avait prévenu qu'il viendrait, avec Landon. Son petit bout de chou qui venait tout juste de naitre. Il était à croquer ce petit. Il avait hérité des gènes de son père à coup sûr, et de sa mère aussi, parce qu'autant dire qu'elle était très belle aussi. Enfin bon, ravie, je rangeais quelques affaires qui trainaient ci et là afin d'accueillir les garçons dans de bonnes conditions. Une dizaine de minutes plus tard, voilà qu'on sonnait à la porte. Nul doute qu'il s'agissait de Lorenzo et son fils. Je courus à la porte pour l'ouvrir bien en grand. J'affichais un grand sourire et pris de suite le cosy que portait mon meilleur ami. « Bonjour mes amours ! Comment va ? » Je laissais Lorenzo entrer après l'avoir prit dans les bras et fait les bises. De mon côté, je sortis le nouveau-né de son cosy. C'était dingue comme je me trouvais bien entourée par des bébés ces derniers temps. Ils me rendaient toute gaga d'eux. Après une foule de baisers je décidai à m'asseoir sur le canapé en compagnie de mon Lolo. « Merci d'être passée. Ca me fait beaucoup de bien de te voir, ou plutôt de vous voir. » Je regardais Landon avec béatitude. « Tu as plus de nouvelles concernant Katsya ? » Je le regardais soudainement avec plus de sérieux, consciente que j'abordais sujet plus douloureux. Je n'avais pas envie de sombrer l'ambiance qui était plutôt joviale, cependant c'était un problème à ne pas négliger. Et entre meilleurs amis, on pouvait tout se dire, c'était de cette manière qu'on pouvait faire avancer les choses, à deux.





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Anonymous
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Mar 6 Nov - 22:07

y'a des gens comme ça, qui nous donne le sourire.
A chaque fois que Julie me demandait de la voir, je répondais toujours présent. Depuis qu'elle avait entamé sa carrière d'actrice, nous n'avions plus forcément le temps de nous voir, elle était souvent en déplacement pour des promos de films, résultat, nous ne pouvions plus nous voir autant qu'avant, c'est pourquoi, lorsqu'elle me demandait de la voir, je ne pouvais pas refuser, c'était hors de question, je saisissais chaque occasions qui s'offraient à moi pour la voir un peu, profiter un peu d'elle. D'ailleurs, sa tombait bien car j'avais Landon, mon fils, et la connaissant, j'étais persuadé qu'elle serait énormément contente de le voir. Après avoir répondu à son message, je ne perdais pas de temps pour aller dans la chambre afin de préparer Landon, et d'enfiler à mon tour une petite veste, car en ce moment le temps avait tendance à se refroidir, et autant vous dire qu'un petit lainage n'était pas de tout refus, bien au contraire, je dirais plutôt qu'il était le bienvenu. A présent prêt, nous montions dans la voiture, direction le quartier de Crocker Amazon, là où résidait ma meilleure amie.
Garé à ses côtés, je descendais, et vins également attraper le cosy de Landon qui se trouvait du côté passager. Ce dernier me regardait, et je ne pus m'empêcher de sourire bêtement. Je vins ensuite donner deux coups contre la porte de Julie afin de me manifester. Elle ne perdit d'ailleurs pas de temps à venir nous ouvrir, toute enthousiaste. Son enthousiasme me fit d'ailleurs grandement sourire. « Bonjour ma belle ! Ca va très bien merci, et toi alors ? » lui demandais-je gentiment, tandis qu'elle s'empressait de me prendre le cosy des mains, pour le poser, et attraper Landon. La voir se comporter ainsi avec mon fils ne pouvait que me faire sourire. Au début, cette dernière m'en avait voulu, lorsque je lui avais appris, mais rapidement, elle m'avait soutenu, et lorsqu'elle avait apprit la naissance du bébé, elle était d'autant plus contente. « Ca me fait également plaisir de te voir, en plus ça tombe bien, j'ai Landon jusqu'à demain » dis-je en souriant légèrement. Rapidement, elle en venait au sujet de Katsya. Mon sourire perdait tout de suite toute son ampleur. Bon, Katsya décidait à présent de me voir, disons qu'entre nous sa allait mieux, cependant le manque lui était bel et bien présent. « Disons que ça va un peu mieux, elle a comprit que ce n'était pas moi qui était à l'origine de son enfermement dans ce centre, elle a décidé de me voir, on s'est expliqué, mais elle me manque. Beaucoup » lui avouais-je en toute sincérité. « Ce n'est pas facile tout ça tient. Et toi alors ? Comment tu te sens ? »
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Julie R. Evans
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Ven 9 Nov - 21:01

« Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. » - Lorenzo 121102114105717357




Lorenzo&Julie


Je n'aimais pas particulièrement assombrir une ambiance, surtout lorsqu'il s'agissait de passer un bon moment. Toutefois, quand ça va mal, parfois, il faut en parler. C'est ainsi que ça va mieux et que certaines choses se répare. Evidemment, Lorenzo et moi faisions face à des problèmes indépendants de notre volonté, cependant, on pouvait essayer de faire en sorte d'aller mieux, soit en arrangeant un peu les choses soit en se soutenant mutuellement. J'avais pleinement confiance en Enzo et je savais très bien que je pouvais compter sur lui pour me confier et chasser ma peine. En l'occurrence, je tenais à jouer ce rôle en première. J'interrogeai Lorenzo au sujet de sa petite-amie, actuellement internée pour sa bipolarité. Il vivait une période difficile. Surtout au départ de Kat. Entre eux, c'était tendu. Ca me faisait très mal de voir mon meilleur ami ainsi. Et je compatissais pour Kat. Et les deux méritaient tellement d'être ensemble, heureux. J'étais donc concentrée à écouter la réponse du garçon que je ne prêtais pas attention à Landon qui s'endormait petit à petit. C'est seulement lorsque Lorenzo me demanda à mon tour comment j'allais, que j'eus le réflexe de baisser les yeux et découvrir un Landon bien fatigué. Je me levai donc pour le réinstaller dans son cozy, bien au chaud. C'était pas l'idéal pour dormir, cependant, je ne savais pas où l'installer. « Landon dort, je le mets où ? » Je préférai questionner son père à ce sujet, il devait en savoir plus que moi. J'en revenais ensuite à son couple. « Ah tant mieux alors ! Ca ne pourra donc qu'aller mieux pour elle, pour vous deux qu'elle sache ça. Je sais qu'elle doit te manquer, ça n'est pas facile oui malheureusement, mais dis-toi qu'elle est à toi, et que tu vas bientôt la retrouver. » J'esquissai un petit sourire en guise de soutien et pour démontrer que j'étais confiante. « Continue à lui montrer que tu l'aimes et que tu es là pour elle. Elle a besoin d'être rassurée, je pense. Et tu pourras la revoir bientôt ? » Puis, je répondis à la suite à sa seconde question. « Ouais bof. Les choses ne se font pas comme je le souhaitais mais bon... » Je fis une légère moue et pinçai mes lèvres. Elyes était la raison pour laquelle je n'avais pas toujours le moral. Il m'avait renvoyée paitre quand je lui ai dit ce que je ressentais pour lui. Certes, j'avais plus tôt souhaité m'éloigner de lui, en raison de ce qu'il a fait à mon père, mais je ne m'y étais pas faite. J'avais besoin de lui. Et son absence m'affaiblissait de jour en jour...





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Anonymous
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Sam 10 Nov - 18:48

y'a des gens comme ça, qui nous donne le sourire.
Le message de Julie m'avait vraiment fait plaisir. Je n'avais alors pas perdu de temps à me rendre chez elle. Son accueil était des plus chaleureux qu'il soit, elle était tout aussi contente de me voir que de voir Landon. J'admirais Julie, malgré tout ce qu'elle pouvait avoir vécu, elle gardait la tête haute, et avait toujours ce joli sourire sur les lèvres. Malgré ce qu'elle pouvait dire, à mes yeux, elle était une fille vraiment forte et courageuse. Elle avait récemment perdu son père, sa relation avec Elyes était des plus compliquées qui soit, et pourtant, elle était tout souriante. Quand on ne la connaît pas, on pourrait vraiment croire que tout va pour le mieux pour cette jolie fille, alors que finalement, à l'intérieur, s'en est tout autre. Comme quoi, il est vrai que l'on peut facilement tromper l'ennemi avec un simple sourire.
Tandis que Julie s'occupait de Landon, cosy en main, je la suivais jusque dans le salon, prenant place sur le canapé. Elle s'assit à mes côtés, mon fils toujours dans les bras, et commençait par me parler de Katsya. Avant de répondre à sa question, elle reposait le petit bout de chou dans son cosy, car il s'était endormi. Cela ne m'étonnais pas car c'était le moment pour lui de faire la sieste. « Tu peux le laisser avec nous, dans son cosy, ne t'inquiètes pas pour lui » Je souriais, puis rapprochait le cosy pour le mettre prêt de moi, et tout naturellement, je posais ma main sur la anse pour bouger un peu le cosy, afin de bercer Landon qui, lorsque Julie l'avait posé dans son cosy, avait doucement ouvert les yeux. Je lui répondais ensuite où cela en était avec Katsya. Disons que depuis la dernière fois, les choses entre Katsya et moi avaient évolué, en bien, et heureusement. Cependant, l'absence de cette dernière commençait à me peser. Elle me manquait, chaque jour un peu plus, et je n'avais qu'une seule hâte, que le 17 novembre approche pour qu'elle sorte de ce fichu centre. Julie quant à elle, trouvait toujours les bons mots pour me rassurer, pour me faire sourire. Si je ne l'avais pas, je me demande bien ce que je pourrais faire. Cette fille avait toujours été là pour moi, et je lui en serai reconnaissant jusqu'à la fin de ma vie, je crois bien. « Oui, tu as raison, merci beaucoup Julie » répondis-je dans un premier temps, mon regard dans le sien, afin d'essayer de lui montrer ma gratitude. « Je vais essayer de passer la voir demain ou après-demain, avec Landon, je lui ai promis que je lui amènerais » repris-je doucement. « Il faut qu'elle voit Landon, elle a peur, peur de lui faire du mal à cause de ses troubles, sauf que j'ai confiance en elle, et je veux lui prouver qu'elle ne lui fera pas de mal, je veux qu'elle vois que j'ai confiance en elle, et qu'elle peut également se faire confiance à elle-même.. Je pense que c'est ça son problème, son manque de confiance en elle » concluais-je doucement. Et c'était bien vrai, depuis que je la connaissais, Katsya n'avait cessé de se rabaisser, elle avait toujours manqué de confiance en elle, et en vain, j'essayais de lui faire trouver confiance en elle, mais je n'étais pas au bout de mes peines, cependant, il était hors de question que j'abandonne.
Par la suite, j'en étais venu à son sujet. Je savais qu'elle aussi traversait une période difficile avec Elyes. Disons que leur relation était vraiment compliquée. Elle avait préféré s'éloigner de mon patron par respect pour son père, décédé par la faute d'Elyes justement. Néanmoins, je connaissais assez suffisamment Julie pour savoir qu'elle souffrait de ce choix. Et mon petit doigt me disait qu'elle était tombée amoureuse de lui. Je grimaçais face à sa réponse, négative, comme je m'y attendais. « Racontes moi tout, tu sais que tu peux tout me dire » lâchais-je doucement en posant ma main sur la sienne, l'espace de quelques secondes, en signe de réconfort. Je tiens à préciser qu'il n'y avait strictement rien d'ambigu, ce geste était tout simplement un geste purement amical. Geste qui signifiait que j'étais là pour elle, là pour l'écouter.
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Julie R. Evans
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Ven 16 Nov - 18:43

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Lorenzo&Julie


Les problèmes que Lorenzo et moi vivions étaient chacun compliqué. Cependant, à nous deux, on pouvais faire face à ces importunités. A deux, nous étions bien plus forts, n'est-ce pas ? Et puis ce jeune homme méritait de vivre un amour parfait et de vivre le bonheur tout simplement. Il était un homme merveilleux. A chaque fois que je le voyais, je voulais me blottir dans ses bras, parce qu'il était si adorable. J'étais toujours rassurée avec lui et l'aimais si fort que je pouvais tout faire pour lui. Je n'hésiterais même pas. Lorenzo était devenu une partie de moi. Mon meilleur ami avait une importance telle à mes yeux qu'être séparée de lui me serait insupportable. Dans le passé, nous avions expérimenté ça et vraiment, ça ne nous était absolument pas bénéfique. Bref, il était tout pour moi.

Il était donc clair que pour le problème de Lorenzo, Katsya avait une frayeur vis-à-vis de l'enfant du jeune homme. Et il était vrai que c'était dur à accepter pour Kat étant donné sa maladie. C'était ce qui la faisait souffrir. En fait, c'était évident. Pourtant, je n'y avais même pas songé plus tôt. Et c'est comme si soudain, la solution apparaissait aussi claire qu'étincelante. Lorenzo avait raison, s'il voulait la retrouver, elle devait se faire confiance, et c'est là qu'il devait intervenir avec Landon. Ainsi, ensemble, ils devraient faire en sorte qu'elle s'entraîne à s'occuper de lui, le pouponner et surtout à l'aimer sans crainte. Ses troubles passeraient sans doute outre si elle gagnait en assurance. Je souris donc à mon Lolo et acquiesçait de la tête. « Mais tu as raison. C'est ce qu'il faut que tu fasses. Elle sera ravie de constater que tu as pensé à le ramener, elle comprendra alors que tu lui fais confiance. Et ça, c'est déjà un très bon début. Ensuite, fais en sorte qu'elle gagne en assurance ave le petit. Pour qu'elle l'aime et le gâte sans peur. » D'un coup, j'avais l'air très optimiste. Et puis, j'avais toujours ce petit dicton en tête qui passait en boucle " l'amour vaincra toujours ! ". C'était vrai. C'est probablement ce qui aidera le plus pour Katsya. « Fais donc ainsi et puis, surtout, n'oublie pas, dis-lui que tu l'aimes. » Je souris à nouveau, pleine d'espoir. Enfin, quand on aborda le sujet d'Elyes, je devins bien moins optimiste. Malheureusement, je ne sais même pas ce qu'il allait advenir de nous. Je n'aimais pas ça. Pas cette situation. Il m'avait laissé. Alors que je lui avais révélé mes sentiments. Il m'a affirmé qu'on ne pouvait pas être ensemble. Ca m'avait littéralement brisé le coeur. Pourtant, je ne savais que faire. Mis à part insister ? Mais, en valait-il la peine ? « Lorenzo... Je... Je suis bêtement tombée amoureuse de lui. Et je le lui ai dit... Sauf que, il m'a avoué qu'on ne pouvait pas être ensemble. C'est tout. Rien sur ce que lui ressentait. Même si je suis sûre et certaine qu'il doit ressentir la même chose que moi. » En effet, après tout ce qui s'était passé entre lui et moi, tout ce qu'il avait fait, que j'avais fait... Il ne pouvait pas être indifférent à mon égard. Et je devais lui montrer que je ne me retirerai pas. « Je n'aurais pas du le laisser. J'ai fait une bêtise en rompant. Mais, je devais songer à la viabilité de notre couple alors qu'il a tué mon père, je ne pouvais pas faire comme si rien ne s'était produit... » Je marquai une pause. « Oh wow, dit comme ça, c'est vraiment glauque. Mon Dieu, je suis complètement folle d'aimer le meurtrier de mon père. Cette histoire est vraiment trop compliqué. » Je fronçais les sourcils et secouais mes tête tout en me levant pour nous servir quelques boissons. J'étais une hôte bien impolie ! « Excuse-moi, je n'ai pas pensé à te demander si tu voulais boire quelque chose. Alors, dis-moi, soda, café, thé ? »





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Anonymous
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Dim 18 Nov - 20:40

y'a des gens comme ça, qui nous donne le sourire.
Passer une petit moment avec ma meilleure amie ne pouvait que me faire du bien. C'est pour cette raison que j'avais accepté de passer chez elle. De plus, j'avais mon fils, et connaissant Juju, je savais qu'elle serait également contente de le voir. En ce moment, tant Julie que moi traversions une passe difficile, elle avec Elyes. Et moi, avec Katsya. Cependant, le fait de savoir qu'elle était là pour moi, et qu'en retour j'étais là pour elle ne pouvait que nous aider à faire face à tout cela, même si en apparence, cela pouvait être très dur. J'avais beau faire bonne figure bon coeur, au plus profond de moi, je me sentais mal, blessé que Katsya ait pu penser une seule seconde que je sois à l'origine de son internement, mais aussi j'avais le mal de cette dernière. Elle me manquait tellement. Depuis son retour de Londres, elle vivait avec moi. J'étais habitué à la voir quotidiennement, à m'endormir et me réveiller à ses côtés, mais depuis quelques temps, s'était bel et bien différent. Cependant, les choses avaient changé. Je lui avais glissé une lettre sous sa porte, récemment, et après l'avoir lu, elle avait prit conscience que ce n'était pas moi. Que je n'aurais jamais pu lui faire ça. Ainsi à présent, elle acceptait de me voir. Seulement, le problème demeurait Landon, mon petit garçon. Katsya refusait de s'en approcher. Elle avait énormément peur de lui faire du mal. Néanmoins, quoi qu'elle puisse dire, au plus profond d'elle, elle savait qu'elle ne pouvait pas faire de mal à Landon, sans m'en faire. Il était ma chaire et mon sang, et lui faire de mal me ferait automatiquement du mal. C'est pourquoi, j'était persuadé qu'elle ne lui ferait jamais rien, et qu'au contraire, elle finirait par l'aimer comme son propre fils. J'expliquais alors à ma meilleure amie le problème, et cette dernière trouvait toujours les mots pour me rassurer, pour me réconforter. C'est d'ailleurs ce que j'aimais le plus chez elle, elle savait comment s'y prendre avec moi, pour me rassurer, pour m'épauler quand sa allait le moins.
« Disons que lorsque je lui ai proposé de lui emmener, elle ne m'a pas répondu.. L'infirmière est venue la chercher, et je pense que pour elle, s'était plutôt un échapatoire qu'autre chose » Je grimaçais légèrement, parce qu'en y repensant, c'est vraiment l'impression qu'elle m'avait donné. Celle d'être soulagée de ne pas avoir à répondre à ma demande, cependant, elle devait tôt ou tard lui faire face, et selon Julie, c'était une très bonne idée de lui amener Landon, afin qu'elle comprenne que j'avais confiance en elle, et ainsi, cela permettrait à Katsya de gagner un brin de confiance en elle. C'était d'ailleurs dans ce but que je comptais lui amener Landon, pour lui prouver qu'elle était capable de se maîtriser et qu'elle ne lui ferait aucun mal. Pour conclure tout ça, Julie me conseillait de lui rappeler que je l'aimais.
« Ne t'inquiètes pas pour ça, je ne cesse de le lui rappeler » lui confiais-je en toute sincérité. Je n'avais jamais été ce genre de personne. Je ne savais pas comment m'y prendre. J'aimais Katsya démesurément, mais j'avais l'impression de ne pas assez lui prouver parce qu'elle demeurait toujours dans le doute. Elle me rabachait souvent qu'elle ne me méritait pas, que je méritais quelqu'un de mieux qu'elle. Mais moi, je n'avais besoin de personne d'autre qu'elle. Je l'aimais malgré ses problèmes de bipolarités. Comme on dit quand on aime quelqu'un on l'aime dans sa totalité, on n'aime pas seulement ses qualités, on l'aime toute entière, parce que ce sont ses qualités, ses défauts, ses petits problèmes qui font ce qu'elle est. Et c'est de cette manière que j'aimais cette fille, avec ses qualités, avec ses petits problèmes. Parce que peut être que sans ça, nous n'en serions pas là. Peut être que sans ses problèmes nous ne nous serions pas autant rapprochés, et nous serions peut être passé à côté de quelque chose, parce que mine de rien, j'aimais ce que nous vivions, chaque obstables ne faisaient que renforcer l'amour que nous nous portions, ainsi que notre relation.
Alors que nous avions parlé de moi, il était temps de parler de Julie. Je connaissais ses problèmes avec Elyes. Elle aussi se trouvait dans une impasse où rien n'allait pour elle. Je ne comprenais pas trop leur histoire, ils s'étaient mit ensembles, mais finalement, Julie avait rompu, alors qu'elle l'aimait. C'était assez difficile à comprendre, mais tout ce que je savais, c'est que selon moi, Julie était tombée éperduement amoureuse de lui. Comme on dit « le coeur à ses raisons, que la raison ignore » Et c'était bien vrai. Elyes avait beau eu tué son père, elle était malgré tout tombée amoureuse de lui, contre son gré, c'est un fait, mais on ne peut tout simplement pas contrôlé ce que l'on ressent, c'est au dessus de nos forces. Et actuellement, Julie souffrait elle aussi de l'absence de mon patron. Elle avait besoin de lui. Et dans le fond, même si comme elle me disait, ce dernier n'avait jamais ouvert son coeur à cette dernière, pour moi, il ressentait quelque chose pour elle. Sinon, il n'aurait pas tenté avec elle. On ne tente pas avec une personne, sans ressentir ne serait-ce que quelques sentiments à son égard. Et selon moi, Elyes ressentait quelque chose pour elle, mais refusait de l'admettre. Pourquoi ? Ca je ne le saurais jamais. Peut être de par son statut ? Ou alors parce qu'il avait peur. L'amour peut parfois nous rendre vulnérable, plus faible. Je ne sais pas trop finalement.
« On ne choisit pas qui on aime Julie. J'imagine que ça doit être dur pour toi de te lever chaque jour et de te dire que tu es tombée amoureuse de la personne qui a mit fin aux jours de ton père, mais... Ce n'est pas de ta faute, tu ne pouvais pas prévoir ça. Ca nous tombe dessus quand on s'y attend le moins, il est vrai que ça t'es tombée dessus au mauvais moment » commençais-je par dire, espérant la rassurer un minimum. Je ne voulais pas qu'elle s'en veuille d'être tombée amoureuse de lui. Elle ne l'avait pas choisit ça. Et je comprenais sa réaction, mais l'amour est un phénomène que l'être humain ne peut contrôler.
« Je tiens également à te dire, non pas pour te faire plaisir, mais de mon point de vue, je pense également qu'Elyes éprouve quelque chose pour toi, et c'est peut être pour cette raison qu'il refuse de te voir, peut être qu'il ne veut pas l'admettre, mais peut être qu'il a été blessé lorsque tu lui as avoué vouloir rompre. Seulement tu le connais, ce n'est pas le genre de mec a déclaré ouvertement ce qu'il ressent, il préfèrera perdre la personne, plutôt que de lui avouer ce qu'il ressent. S'il faut, il a aussi peut être peur, peur de s'attacher à toi, peur de s'engager. Ou peut être qu'il veut tout simplement te protéger » terminais-je par dire. Néanmoins, j'espérais qu'un jour ce dernier ait un déclic, et revienne vers ma Juju. Elle méritait d'être heureuse, cette fille était une fille en or. Et si j'avais pu faire quoi que ce soit pour elle, je le ferais, rien que pour la voir sourire, la voir heureuse. Seulement, Elyes était une personne très spéciale, dont il fallait se méfier. Mais autant vous dire que j'aurais aimé avoir une quelconque discussion avec lui, lui faire prendre conscience que Julie était une fille en or, et qu'il ne devait pas la laisser partir, parce que tôt ou tard, il s'en mordrait les doigts.
« Tu sais ma Juju, tu mérites d'être heureuse, vraiment, tu es adorable, tu as le coeur sur la main, tu es une fille en or, et tout le monde aimerait être à la place d'Elyes. Je suis sur que beaucoup de garçon aurait aimé être la personne que tu portes dans ton coeur. Tu as un coeur gros comme ça, et si Elyes ne s'en rend pas compte, c'est qu'il est vraiment stupide, et qu'il risque de passer à côté d'une fille vraiment merveilleuse » terminais-je en toute sincérité. Tout ce que je venais de lui dire, c'était ce que je pensais, à mes yeux, ma meilleure amie était vraiment exceptionnelle, et j'étais fière d'avoir une meilleure amie comme elle. Elle avait tout pour elle, elle était adorable, attentionnée, présente, à l'écoute, elle avait le coeur sur la main, et était prête à tout pour rendre son entourage heureux. Elle me l'avait prouvé à de nombreuses reprises.
« Je veux bien un petit soda si tu as s'il te plaît, quelque chose de frais, et de sucré » Je souriais légèrement. Encore une preuve que Julie était vraiment attentionnée.
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Julie R. Evans
Julie R. Evans
i'm a motherfucking admin
AVATAR : K.STEW
✱ ÂGE : 32
✱ QUARTIER : crocker amazon.
✱ COLOCATAIRES : Dom sometimes.
i'm a motherfucking admin
Mer 28 Nov - 13:59

« Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. » - Lorenzo 121102114105717357




Lorenzo&Julie


Dehors, il faisait beau, éclairé, bon et agréable pour se promener. Tiens, on devrait songer, Lorenzo et Landon, ainsi que moi à aller faire une petite ballade. Ca serait relaxant pour nous deux en particulier et pour le troisième, respirer de l'air frais ne pourrait que lui faire du bien. Je regardais la merveilleuse petite bouille que me laissait apercevoir le cosy en souriant. Un bébé c'est vraiment un cadeau, une offrande. C'est tellement formidable. Comment quelques mois plus tôt, ai-je pu reprocher à Lorenzo de devenir père ? Certes, c'était imprévu et donc stupide pour lui, vu son jeune âge et surtout que la mère n'était qu'une aventure d'un soir, cependant, au final, tous deux étaient excités à l'idée d'être parent, et encore maintenant, ils sont satisfaits que le petit bout de chou soit né. Maintenant, c'est moi qui me trouvais stupide. Bon, finalement j'étais revenue sur ma position et je m'excusai auprès de Lorenzo. On ne devait pas se disputer pour ça, c'était idiot, pourtant, et épisode m'a permis de comprendre à quel point je tenais à mon meilleur ami. Et le fait qu'il ait reconnu l'enfant et accepté de participer à sa vie était tout bonnement admirable. J'étais désormais convaincue que cet enfant ne pouvait que lui apporter le meilleur. Tous deux grandissaient ensemble en fait. Et à vrai dire, je crois pouvoir justifier pourquoi j'étais en colère contre lui au moment où Willa était enceinte. Je devais être en quelque sorte possessive. J'étais un peu triste de savoir que Lorenzo allait être père, il murissait, il avançait, contrairement à moi, et je craignais d'être délaissée. Mais jamais il ne m'abandonna. Il me montrait depuis le début qu'il ne m'oublierait jamais. Je souris à nouveau, cette fois-ci en contemplant Lolo. Décidément, j'étais bien chanceuse de l'avoir à mes côtés. Seuls nos peines de coeurs gâchaient l'humeur générale.

Katsya n'allait pas tarder à sortir et Lorenzo devait être prêt pour l'accueillir. Il avait déjà songé à ramener Landon avec lui une fois pour qu'elle s'y habitue. Il devait continuer de faire participer son fils dans la vie de Kat. Ca ne pouvait que l'aider, les aider. Evidemment, rapidement elle craquerait pour le petit ange et ainsi elle comprendrait qu'elle n'a rien à redouter. « Tu fais bien. Répète lui c'est important. Et laisse lui du temps pour réfléchir à l'idée de voir Landon. Elle a peur et elle doit vaincre cette crainte toute seule avant d'oser agir. Mais elle le fera, et si elle pense ne pas être prête, tu lui donneras un petit coup de pouce. » Je fis un petit sourire puis repris. « Ca ira Lolo. Vraiment, ça ira. » C'était en toute honnêteté que je souhaitais le rassurer. Bien entendu, c'était plus facile à dire qu'à faire, toutefois, les choses allaient mieux une fois qu'elles étaient dites. J'avais hâte de retrouver Katsya, c'était une très gentille fille. Et ainsi, je voulais la voir avec Lorenzo. Ils étaient tellement mignons ensemble. Je ne me lassais jamais de les voir ou d'être avec eux. Je les enviais un peu, parce qu'ils s'aimaient vraiment, c'était fort, vrai et sérieux. J'étais contente que Lorenzo l'ait rencontrée. Avec Landon, c'étaient les deux meilleures choses qui pouvaient lui arriver.

On bifurqua alors sur le sujet d'Elyes. Enzo me rassura d'une manière tellement inattendue, touchante et honnête que les larmes coulèrent par elles-mêmes. Je ne saurai les expliquer. Peut-être qu'ils me disaient des mots que je n'avais plus entendus depuis un certain temps ou peut-être que je croyais un peu en ses paroles. Il était tellement aimable envers moi et si gentil. Forcément, son discours ne pouvait que me faire plaisir. J'étais ravie de l'avoir invité. Il venait de me faire réaliser un tas de choses auxquelles je n'arrivais pas à faire face. C'était comme s'il venait de chasser toutes mes peurs et mes interrogations. Oui, j'étais tombée amoureuse d'Elyes, et alors ? C'était pas raisonnable en un sens, et de l'autre, pourtant, c'était juste naturel. Lolo avait simplement raison sur le fait qu'il ne fallait pas que je me reproche un fait naturel et inexorable de la vie, de l'Homme. Je ne devais plus avoir peur, et Lorenzo me rassurait tellement que je n'avais plus peur soudainement. Tout s'était envolé. Et les larmes confirmaient donc ce soulagement et cette libération. Il était génial, je pouvais me reposer sur lui je le savais. Il avait raison sur plusieurs notions. Elyes n'était pas du genre à clamer à vois haute ses sentiments, sa fierté était importante et surtout il craignait que je sois mêlé au danger qui le suivait de près. Et je savais pertinemment au fond de moi que je ne le laissais pas indifférent. Je hochais alors la tête en souriant et en essuyant mes larmes. Ce fut surtout ses dernières paroles, à mon sujet, qui me rendirent émue. J'eus droit à un flot d'éloges et compliments qui permirent de confirmer ma haute sensibilité. Je me levai alors et allai en direction de mon meilleur ami pour lui faire un gros câlin. Je me laissai me reposer durant quelques instants dans ses bras, où je me sentais bien, rassurée et reboostée. Je songeai alors à notre enfance, où, pareil, on s'entraidait le plus possible. Plus jeunes, cela concernait davantage des problèmes par rapport à l'école ou la famille, c'était bien plus enfantin et naïf. Maintenant, les problèmes étaient considérablement plus importants et bien plus troublants. Bref, j'étais heureuse de pouvoir encore compter sur lui, arrivée à l'âge adulte. « Je te remercie, tu m'as fait pleurer ! Le mascara ça coûte chère tu sais ? » Je ris. Ca me fit beaucoup de bien. « Merci pour tout ce que tu viens de me confier. Vraiment, merci, ça m'a touchée, fait plaisir. Sans toi, je ne sais vraiment pas ce que je ferai. Honnêtement. Tu me permets de reprendre du poil de la bête et de faire face à tout ça. Tu as raison, je ne peux pas blâmer ma nature humaine qui m'a faite tomber amoureuse de l’irrationalité. Je dois l'assumer. » Je souris légèrement puis continues. « Il est vrai que Elyes soit compliqué. Tu as tout résumé à son propos. Cependant, il ne faut pas que je le laisse faire. J'insisterai. » Je me levai alors, sûre de moi et obstinée. Je devais tenter le tout pour le tout. « Du coca ? De la limonade ? Du jus de fruit ? Une bière ? » Je ris et m'en alla dans la cuisine lui rapporter la boisson qu'il avait choisie. Je revins avec son soda et avec une bouteille d'eau pour moi. « Cette conversation nous aura fait du bien à tous les deux je crois. Merci encore d'être venue. J'ai le meilleur ami du monde. » J'eus alors un grand sourire. Enchantée par sa présence, j'aurais aimé qu'il reste le plus longtemps possible avec moi aujourd'hui. Mais je me devais de ne pas être aussi possessive. « Une ballade dehors, ça te dit ? Il fait bon et ça pourra faire du bien au petit. »





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Anonymous
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Dim 6 Jan - 16:54

y'a des gens comme ça, qui nous donne le sourire.
Me retrouver là, assis aux côtés de ma meilleure amie me faisait vraiment du bien. Je pense que, j'avais réellement besoin de la voir, de passer un petit moment avec elle. Nous avions certes tout deux nos petits problèmes, elle avait Elyes, moi avec Katsya, mais à deux, nous serions désormais plus fort pour traverser ces impasses dans lesquelles nous nous trouvions actuellement. Julie était de très bons conseils, et je ne sais pas quels moyens exactement, elle parvenait toujours à me rassurer, à me faire sourire de part ses mots. Tout en l'écoutant, je berçais doucement mon petit bout dans le cosy, les yeux clos. Lorsque je regardais ce dernier, je ne pouvais m'empêcher d'afficher un léger sourire sur mes lèvres. J'espérais de tout coeur que Katsya n'ai plus aucunes craintes envers le bébé, et que nous puissions vivre tous les trois une vraie petite vie de famille, bien que Landon ne soit pas son propre enfant, c'était tout comme lorsque nous nous retrouverions tous les trois. Encore une fois, Julie me rassurait au sujet de Katsya et du bébé. Elle semblait vraiment sûre d'elle lorsqu'elle me disait qu'avec le temps, Katsya n'aurait plus aucunes craintes auprès du bébé. Pour ma part, j'étais persuadé qu'elle ne pourrait jamais lui faire du mal. Ma petite amie me répétait sans cesse qu'elle ne voulait pas me faire du mal, et elle savait pertinemment qu'en touchant le bébé, elle me toucherait directement, et la connaissant, elle n'en serait pas capable.
« Oui, tu a entièrement raison, de toutes les façons, je ne la forcerais pas à voir Landon tant qu'elle ne se sentira pas capable, dans la semaine, j'irai la voir avec Landon, et si sa se passe vraiment mal, qu'elle a peur, ou autre, alors je repartirais, et reviendrais la voir plus tard, tout seul. Merci ma Juju » répondis-je en tout sincérité à cette dernière. Mes derniers mots, étaient surtout pour la remercier de sa présence, de son écoute, et des nombreux conseils qu'elle m'avait donné depuis mon arrivée à ce sujet. On ne pouvait pas rêver mieux que d'avoir une meilleure amie comme la mienne, et j'étais fièr de ce qu'elle était devenue. Un petit bout de femme, qui avait réussi à surmonter toutes les dures épreuves que la vie lui avait fait traverser, tel que le décès de son père, et ce qui lui arrivait actuellement avec Elyes. Si on ne connaît pas Julie, lorsqu'on la voit pour la première fois, on est à mille lieux de se douter qu'il n'y a pas si longtemps elle a perdu son père, et que son moral n'est pas au top. Elle est toujours souriante, avenante, elle aspire la bonne humeur. Cette fille est un véritable petit rayon de soleil à elle toute seule.
A ce propos, en évoquant Elyes, cette dernière semblait totalement perdue, honteuse d'aimer l'homme qui avait mit fin aux jours de son père. Bien entendu, je la comprenais, ce n'était pas facile, elle avait l'impression de salir la mémoire de son père, de le trahir. Mais ce n'était en aucun cas sa faute, elle n'avait pas choisi de tomber amoureuse de lui, c'était comme ça, et comme on dit si bien, le coeur a ses raisons que la raison ignore, et Julie en était le preuve par excellence. Cependant, je ne pouvais pas la laisser penser de telles choses, c'est pourquoi, je lui expliquais mon point de vue sur le sujet. Auparavant elle m'avait donné son point de vue sur mes petits soucis avec Katsya, c'était donc à mon tour de me montrer sincère avec elle, et ce jusqu'au bout. Je me permettais par ailleurs d'en profiter pour la rassurer, d'abord sur les sentiments qu'elle pouvait ressentir pour Elyes, mais lui expliquais aussi mon ressentis de par les sentimens que pouvaient éprouver mon patron à son égard. Je ne le connaissais pas plus que ça, peut être que je me trompais sur toute la ligne, mais je n'avais pas besoin de connaître en long, en large et en travers le personnage, pour savoir qui il était vraiment. Il dégageait une apparence froide, l'homme d'affaire par excellence au coeur de pierre, sans attache. Mais dans le fond, pour moi, c'est ce dont il avait le plus peur : s'attacher. C'était peut être la première fois qu'il ressentait quelque chose d'aussi fort pour une fille, et ça lui faisait peut être peur, cependant, pour ne pas casser l'image de la personne forte, n'ayant aucune craintes, il était prêt à tout perdre, et à laisser filer Julie, chose que je trouvais complètement absurde, car Julie représentait tout ce qu'un homme rêverait d'avoir à ses côtés, la douceur, la sincérité, l'attention, c'est tout ce que représentait ma Juju. De part mes mots, cette dernière avait versé quelques larmes, j'avais surement touché là où il fallait, mon but n'était pas de la faire pleurer, mais seulement de lui faire prendre conscience de l'image qu'elle dégageait aux yeux de tous. J'étais sûr que beaucoup pensaient la même chose que moi au sujet de Julie. On ne pouvait penser que du bien de cette dernière. C'est donc tout naturellement qu'elle vint se blottir dans mes bras, je pris ce geste comme un remerciement. Je la serrais alors tout fort contre moi, l'embrassant sur le front. Depuis notre plus tendre enfance, Juju et moi avions toujours été très tactile l'un envers l'autre. Rien d'ambigu, c'était purement affectif, une sorte de relation fraternelle nous unissait finalement. Sa première remarque me fis légèrement rire. « Ca va, je te rachèterais un tube la prochaine fois qu'on se verra, plaisantais-je, tu sais, je préfère voir une Juju sûre d'elle, déterminée, pleine de vie comme maintenant qu'une Juju qui broit du noir, s'en veut de ce qu'il lui arrive ! Et puis je ne t'ai pas forcément dis tout ça pour te faire plaisir, je voulais seulement te faire prendre conscience que tu étais une fille tout simplement merveilleuse, chaleureuse, pleine de vie, souriante, tu es un véritable petit rayon de soleil ! » Je souriais de plus belle, ça me réchauffais le coeur de voir que ma meilleure amie se sentait nettement plus soulagée suite à mes paroles. Sa bonne humeur refaisait à présent surface, elle avait reprit du poil de la bête, elle venait même tout juste de rire.
« Du coca ! » m'exclamais-je doucement du salon, afin qu'elle m'entende dans la cuisine. Mon petit bout quand à lui, ouvrait doucement les yeux, je souriais puis me baissais à sa hauteur pour le détacher et le sortir de son cosy. Je le prenais alors dans mes bras, et me calais dans le canapé une nouvelle fois, berçant et jouant doucement avec ce dernier, lui déposant un petit bisou sur le bout du nez. C'est fou ce qu'il avait prit comme place dans ma vie en aussi peu de temps, depuis sa naissance, j'étais devenu complètement gaga de ce dernier. Je ne le lâchais plus, je ne me reconnaissais pas moi même. Au début, je ne pensais pas que mon instinct paternelle se développerait autant et aussi rapidement, et pourtant. Juju revint, avec mon soda, ainsi que de l'eau.
« Merci. Oh ça oui, tu as raison, ça m'a vraiment fait du bien, et si à toi aussi, c'est l'essentiel, souriais-je. Ca tombe bien car moi j'ai la meilleure amie du monde, ajoutais-je, toujours ce même sourire aux lèvres. Par contre, tu pourrais m'ouvrir ma canette s'il te plaît, parce qu'avec Landon dans les bras, ça va être un peu compliqué » Je riais légèrement avant de jeter un petit coup d'oeil vers mon enfant. Par la suite, elle me proposait d'aller faire une petite balade avec elle, en vue du beau temps qu'il faisait à l'extérieur, je ne pouvais qu'accepter volontier sa demande, et comme elle le disait si bien, cela ferait du bien à Landon.
« C'est une très bonne idée, par contre, il serait possible que je fasse chauffer le biberon du petit pour que je lui donne avant que l'on parte, parce que l'heure de son bibi approche pour lui » Cette demande était en effet quelque peu rhétorique, parce que je savais pertinemment que sa réponse serait un oui, mais comme je n'étais pas chez moi, il me semblait tout à fait logique que je le lui demande avant de ne faire quoi que ce soit.
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« Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. » - Lorenzo

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