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i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
Invité
Invité
Sam 2 Juin - 15:32

imogen & william ღ all good things have an end


VENDREDI 1er JUIN

J'ai mal. Ca fait plusieurs jours que ça dure. Je ne comprend pas. Une douleur perçante dans le poitrine. Ca ne peut pas recommencer. Tout allait si bien. Ca ne peut pas se terminer maintenant. J'étais en bonne santé. J'allais faire mes examens régulièrement. Que cela soit ici ou même à New York. Je voulais tout faire pour vivre le plus longtemps possible sans transplantation. L'idée de vivre avec le coeur de quelqu'un d'autre me répugne, me donne des frissons dans le dos. Je ne veux pas que tout mes efforts soient détruits. J'ai arrêté la drogue, pour Logann, pour nous, pour vivre. J'ai tout fait pour faire attention. Plus de possibilité d'anorexie. Plus d'envie dépressives. J'étais bien pour une fois. J'étais bien dans mon corps. Dans ma vie. Tout ne pouvait pas s'effondrer à nouveau. Cela n'avait pas le droit. Je voulais ne plus jamais retrouver ce gouffre. Il me faisait peur. J'avais des images dans ma tête. Moi au fond. Je ne voulais pas. Je ne voulais pas revoir ses images. Cauchemar. Je m'enfonce. Non. Je me réveille en sursaut couverte de sueur avec la respiration haletante. J'ai fais un cauchemar. C'est le premier depuis longtemps. Un mauvais signe. Je reprends doucement mon souffle. c'est bon. Rien ne peut se passer. Je suis dans ma chambre d'hôtel. Seule. Je tremble. La douleur revient. Je secoue la tête. C'est pas possible. Il faut que ça s'arrête. Je crois que je vais appeler l'hôpital pour avoir un rendez-vous parce que je ne vais pas tenir longtemps. j'ai beau prendre mes médicaments, ça ne me mets pas en confiance. je laisse échapper un petit soupire avant de sortir de mon lit. Je devrais peut-être appeler Logann et lui dire. Il va s'inquiéter après, et sauter dans le premier avion pour venir me rejoindre. Et après, si c'était rien de grave. Il serait venu pour rien alors que tout n'est pas encore fait à New York. j'ai presque envie de lui dire, de juste tout laisser là-bas, de garder l'appartement et de tout recommencer ici. La maison que j'avais trouvé était géniale. Je l'adorais. Elle avait une vue sur la baie, était spacieuse, moderne, lumineuse, avec piscine et un peu écarté du reste de la ville. La maison de rêve en gros, et surtout très cher. Je ne comprenais même pas pourquoi j'avais pris celle-là. Il y en avait d'autre, plus petite, belle aussi et moins cher. Cependant celle-là était mon coup de coeur et je savais que Logann allait l'adorer. Je l'adorai déjà.

UNE SEMAINE PLUS TARD

La douleur continue. Je suis de plus en plus fatiguée. Je ne comprend plus rien. Logann est arrivé, plus tôt que prévu. Je l'avais prévenu pour mon état qui semblait s'aggraver de plus en plus. J'avais une sale impression que le pacemaker était défectueux. Mais au dernier contrôle, on m'avait dit que tout est en ordre. C'est pour cela que je ne comprenais rien de ce qui se passait en ce moment. J'ai rendez-vous à l'hôpital aujourd'hui. Heureusement, je crois que je n'aurais pas tenue plus longtemps sans consultation. J'avais dis que c'était une urgence, c'était peut-être pour cela. J'avais rendez-vous avec un nouveau médecin. Je ne le connaissais pas. Mon ancien avait été muté quelques part dans le Texas et son successeur avait pris en charge mes dossiers. Je faisais confiance à l'hôpital pour qu'il soit aussi bon que le Dr. Roberts. De toute façon, l'hôpital savait qui il engageait, ça ne pouvait pas être n'importe qui. Je me levais doucement. Logann était déjà réveillé. On avait emménagé dans la maison la veille. Il y avait encore un tas de carton partout, des valises qui trainaient. Ca ne ressemblait pas vraiment à quelque chose pour le moment. Nos vêtements jonchaient sur le sol, ne sachant absolument pas quo mettre. Il y avait toute une différence entre le climat sur la côte Est et celui de la côte Ouest. Je sauta rapidement sous la douche, entendant mon mari qui faisait à manger dans la cuisine. La douleur était toujours là. Je me mords la lèvre. C'est pas possible. C'est quoi cette merde. je sors de la douche, enfile rapidement un short et un tunique légère. Il faisait chaud, ou peut-être que c'est juste moi qui avait chaud. J'arrive dans la cuisine et embrasse Logann. Je souris. Il a l'air inquiet. « Comment tu te sens? » La question qui valait un million de dollars. Comment je me sens. Complètement lessivé. « Fatiguée. » Nous mangions en silence. Aucun de nous ne dit quelques choses, trop préoccupé par nos pensées respectives. Après le petit-déjeuner, nous parties en direction de l'hôpital. Logann conduisait. Je ne dis rien. Il me tient la main. Je stresse. J'ai peur de ce que le médecin va dire. Logann me sert la main. Je relève la tête. Il sourit. Je lui rends sons ourler. Il me rend heureuse, même dans les pires moments. « Ca va aller. » J'espère aussi. Nous arrivions à l'hôpital. Je commence à trembler. j'ai horreur de cet endroit. Tant de mauvais souvenirs s'y récoltent. Mon malaise, Andreas, ma tentative, la perte de mon premier enfant, la mort du deuxième. Je n'étais toujours pas prête de parler de ce qu'il s'était passé en février. Je le gardais pour moi, faisant comme si cela n'avait pas eu lieu, et je continuais à vivre ma vie. Nous attendions dans la salle d'attente, en attendant notre tour. Mes mains tremblaient. Logann tentait à tout prix de me calmer, de me rassurer de me dire que tout allait bien se passer, que je n'avais rien. Mais je n'en serais seulement convaincu lorsque j'aurai le résultat du médecin. J'étais perdue dans mes pensées. « Madame Washington, c'est à vous. » Je me lève, j'avale ma salive. Logann me tient toujours la main. Je la lache et entre dans je ne sais même comment je peux appeler cela.

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William H. Weinmeister
William H. Weinmeister
all i care about is sex
AVATAR : Theo Hutchcraft
✱ QUARTIER : Richmond District
✱ COLOCATAIRES : Personne.
all i care about is sex
Dim 10 Juin - 10:45

La porte du bureau s’ouvrit peu après que j’aie envoyé une infirmière aller chercher ma prochaine patiente. Immédiatement, je me levais et m’approchais des nouveaux arrivants pour les saluer chacun leur tour poliment d’une poignée de main.

« Prenez place, je vous en prie. »


Tandis que le couple allait s’asseoir, j’échangeais encore quelques mots avec mon assistante pour lui demander d’aller me chercher des résultats d’analyse au laboratoire ainsi que du matériel qui manquait dans la réserve. Ceci fait, je me dirigeais ensuite vers mon siège et croisais les mains tout en déposant mon regard sur la jeune femme en face de moi, puis-ce qu’il s’agissait de s’occuper d’elle aujourd’hui.

« Bonjour, je me présente, William Weinmeister, je remplace le Dr. Roberts. Je suis sincèrement navré que votre médecin-traitant ait été muté depuis votre dernière consultation dans cet établissement… on ne m’a raconté que du bien à son sujet depuis que je suis ici, mais ne vous inquiétez pas au sujet de mes qualifications, vous ne verrez pas la différence. »

Un sourire assuré se dessina sur mon visage. J’étais en confiance au sujet de mon métier, je savais parfaitement ce que je faisais et entretenais mes connaissances régulièrement pour me tenir a jour, tant au niveau des noms de médicament à retenir que pour les nouveautés scientifiques. J’étais extrêmement perfectionniste dans mon art, et c’est sans end douter ce qui faisait qu’on était venu me demander directement s’il était possible que je fasse « l’honneur » de travailler ici. Les patients n’avaient pas besoin d’un « ami », ils avaient besoin d’un professionnel qui savait ce qu’il disait et pouvait trouver une solution a leurs problèmes, en ce sens, je me rapprochais très légèrement de ce monsieur « House » qui passait à la télévision, bien que contrairement à lui, je n’étais pas arrogant pour une livre. Simplement… il était impossible de m’attendrir. Toutes les larmes du monde ne pourraient changer l’expression neutre sur mon visage suite à l’annonce d’un dépistage de cancer ou d’une maladie handicapante à vie. Ce n’était pas de la cruauté, même si j’étais effectivement un insensible total en mes qualités de tueur en série, mais du professionnalisme. S’il fallait perdre du temps de travail à s’inquiéter pour les autres, les médecins deviendraient tous fous. Le sang froid était une qualité requise pour exercer ce métier, et je l’avais naturellement. Cependant, je faisais de mon mieux pour me montrer compatissant afin de ne pas passer pour un être froid et sans cœur aux yeux de mes patients.

« Très bien, je vous écoute… que vous arrive-t-il ? »

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Anonymous
Invité
Invité
Mar 19 Juin - 22:36

Ca me faisait franchement bizarre d'être ici dans cet endroit après tant de temps passer à l'hôpital à New York. Il y avait tant de souvenir qui étaient relié à cet endroit. Il n'y avait pas juste les souvenirs de mes nombreuses visites dans cet section. Au contraire, il y avait tout mes suivis psychologique qui refaisaient surface. Toutes ses souvenirs que j'aurais préféré oublier. Je soupirais un bon coup avant de venir m'asseoir sur la chaise en face du médecin. Je n'avais aucune idée de qui il s'agissait, et au fond ça m'angoissais légèrement. Je me doutais bien qu'il devait être un expert en la matière, mais j'étais déjà normalement angoissée des hôpitaux qu'en fait, ma pauvre ne devait être dû que cela. Arrête de te mentir Imo. Je sais très bien que je suis entrain de stresser à mort pour savoir ce q'il se passe. Cette douleur dans ma poitrine depuis une semaine, c'est pas normale. Elle devrait pas être là. C'est pas normale que j'ai autant. Ca faisait une semaine que ça dure, une semaine que j'essaie de me dire que c'est pas normale, une semaine que ça marche pas. Au fond, j'avais bien fait de venir. Peut-être qu'il allait juste me dire que c'était des câbles mal branchés et qu'après une petite intervention de rien du tout tout allait revenir en ordre. Je priai intérieurement que cela soit le cas, qu'il n'y avait rien de grave. Mais au fond de moi, je savais que ce n'était pas le cas. Depuis un ans que j'avais ce pacemaker, je prenais régulièrement mes médicaments, j'allais faire toute mes check-up nécessaires et je faisais tout pour que rien de mal ne se passe. J'évitais la surcharge de travail, la drogue, le café, je mangeais normalement. Rien ne devrait se passer, et pourtant ça l'était. Quelque chose s'était passé dans mon corps pour que je me retrouve aujourd'hui dans ce cabinet de médecin a devoir attendre qu'on me dise ce qu'il se passe. Je tremblais. je ne savais absolument pas quoi dire, faire, j'étais paniquée à l'idée qu'on me dise "il n'y a plus aucun espoir." J'étais pétrifiée à cette idée. Je ne pouvais pas abandonner les gens comme ça. Je ne pouvais pas partir maintenant. Pas avant que je m'suis excusée au près des gens que j'aime le plus, au près de ceux que je devais m'excuser. Ryan. Evelyn. Je crois que j'irais la voir bientôt. Tellement d'autres gens dont j'avais peut-être oublié le nom mais au près des qu'elle j'avais des excuses à faire. Seulement, je ne savais même plus qui était en ville et qui ne l'était pas. J'espérais peut-être retrouver des anciennes connaissances et surement m'en faire des nouvelles. Je savais qu'il y avait des amis de New York ici, et ça me rassurait quelque peu de savoir que je n'étais pas si seule que ça. J'avais Logann et ça qui m'importait le plus. J'aurais pu être n'importe où sur cette Terre, si j'étais avec lui, j'étais heureuse. Il me comblait chaque jour de ma médiocre vie. Il était là supporter mes crises depuis le début de notre relation, et c'est ça qui m'importait le plus. Je regardais le médecin en face de moi. Il se présenta. William Weinmeister. Hm aucune idée, jamais entendu parler. Mais bon j'espérais à tout prix qu'il était aussi bon que le Docteur Roberts. Il me demande ce qu'il se passait. Je me suis remise à trembler. Logann prit ma main et la serra doucement. La douleur revient mais j'essayais de ne pas y faire attention. Je levais mon regard sur lui et lui sourit discrètement. Il me répondit avec un sourire confiant. je me tournais alors vers le docteur et soupirait légèrement. « Ca va faire un peu plus d'une semaine que j'ai cette douleur persistante dans la poitrine au niveau de mon pacemaker, et elle revient toujours dans le même endroit. »
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