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 PETER ♣ Rumor has it /!\ hot
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Dim 3 Juin - 13:27


PETER ♣ Rumor has it /!\ hot Tumblr_m48nbfQnNj1qmbz78o1_250PETER ♣ Rumor has it /!\ hot Tumblr_m48nbfQnNj1qmbz78o2_250
Rumor has it ♕



Je danse.. un sandwich à la main. Je mords de temps en temps dedans et je fais attention de ne pas en mettre partie ma loge. C'est la pause déjeuner. Je viens de faire presque 5 heures de sport intensif, enfaite cela fait presque 2 semaines que c'est comme ça, mais que voulez vous, on doit faire de moi une pro des cascades et de l'action. Oui j'ai la chance d'avoir été choisie sans casting pour l'un des rôles principales dans une grosse production, vous savez les blockbusteurs. Je stresse légèrement, la dernière fois que j'ai joué la comédie cela remontait au lycée, juste avant mon accident de voiture qui m'a goûté presque 4 ans de coma. Mais apparemment je dois être la personne à avoir dans ce film pour les producteurs. De plus je n'ai pas à me plaindre je connais déjà l'acteur qui va jouer avec moi. Peter.. Pour ceux qui ne suivent pas l'actualité, il est mon petit ami, quoi que les journaux que le savent pas. Presque personne ne le sait, seulement les proches. Ils se compte je dirais sur les doigts d'une main, Ciara, Skye, Katniss, Aaron et Lenny. Ce dernier généralement se faisant parfois passer pour mon ami ami au près des caméras. Enfin il m'accompagne régulièrement à mes soirées mondaines etc. C'est histoire que les journaux avec Peter nous laisse tranquille. Car les gens lancent tout de même certaine rumeurs sur nous. Il est vrai que même si on joue les amis, on est souvent ensemble et on est proche. Certaine personne ne sont pas dupes.

En dansant je prends l'un des magasines qu'on m'a laissé dans ma grande loge. Je ne comprendrais pas pourquoi j'ai un tel endroit juste pour moi. Mais je ne vais pas me plaindre. Je sus en couverture, une photo faite par Constance une amie photographe fantastique. Je jette le magasine, j'en ai presque marre de me voir partout. Si ce n'est pas sur les magasines de mode comme celui ci c'est dans la presse à scandale. Dès que je sors avec un ou une amie les magasines de ce style s'en donne du plaisir à décrire mes faits et gestes. Je ne suis pourtant qu'une écrivain. Je ne crois pas J.K Rowling ait été aussi médiatisée ! Mon histoire ok, elle a marquait les moeurs, pourtant elle est horrible, j'ai bu, j'ai pris la voiture pour aller cherche ma soeur à la danse par obligation et on a eu un accident. Elle est morte j'ai fait 4 ans de coma. En me réveillant j'avais mon père qui me disait qu'il ne pouvait plus continuer à me fréquenter.. que je lui rappelais trop ma soeur et la perte de ma mère car celle ci m'a totalement tourné le dos et ils s'en sont séparés. J'ai pourri la vie de trois personnes. Pour moi je suis un monstre, je vis avec la culpabilité tous les jours, je me lève en pensant que j'aurais dû mourir et ma soeur aurait dû vivre. C'est elle qui aurait dû devenir célèbre.

Cet accident m'a fait prendre conscience combien j'étais une gamine égoïste, une gamine idiote et presque garce. J'avais tout ce que je voulais avant. J'étais belle, populaire, j'avais plein de garçons qui voulaient aller au bal de promo avec moi.. Je crois que je n'ai pas fais attention à ce que je faisais, mes parents étant rarement à la maison en semaine je faisais ce que je voulais. J'adorais ma soeur, pour moi elle était tout ! Je n'ai pas assez fais attention à elle et je m'en veux terriblement !

Je prend un second magasine ou je vois Peter en couverture. " Le sexe symbole aurait-il le coeur pris ? " Je souris. Je croque dans mon sandwich et je pose mais fesse sur le sofa, je suppose qu'ils vont parler de nous. Je cherche la page de l'article qui fait la une. Je le trouve rapidement. Je commence à lire curieuse. On c'était promis de ne pas pas faire attention à ce qu'ils pouvaient dire. Parce qu'on est censé être ensemble pour eux du coup, les relations imaginaires et surtout pour Peter fuses. D'ailleurs en voila une. Je le vois aux bras d'une jeune actrice, je ne sais plus son nom, il est tout sourire comme il le fait souvent. Je hausse un sourcil et je sens déjà la jalousie monter en moi. Je tourne la page. Il la serre dans ses bras.. Je déglutis, je prend sur moi. Ce n'est que du cinéma.. il ne l'embrasse pas non plus. Et heureusement j'ai envie de dire ! Je jette le magasine à mes pieds et je pouffe en remordant dans mon sandwich. Pourquoi je m'énerve ? Parce que je suis jalouse et que j'aimerais être à la place de cette fille. Mais on s'est mis d'accord si les magasines venaient à le savoir avec la popularité qu'on a cela serait l'enfer. Surtout que moi je me plains d'en avoir aux culs, Peter c'est trois fois pire. Notre couple n'y résisterait pas longtemps.. Enfin peut-être que si, mais je trouve dans un sens que c'est mieux.

Je finis mon sandwich, je ne reprend pas tout de suite, il fait trop chaud dehors, c'est limite la canicule. Et ils ne veulent pas me faire grimper, ou courir par un soleil de plombs. Du coup j'ai jusqu'à 16 heures pour m'occuper et il est à peine 13 ans. Je crois que l'après midi va être longtemps. Puis j'entends toquer et la porte s'ouvre, je vois une personne que j'adore entrer. Je suis pourtant un peu vexée de ce que j'ai vu dans les magasines, mais je suis quand même ravie de voir mon acteur préféré débarquer sans me le dire. J'ai toujours les bras croisés sur ma poitrine le magasine à mes pieds et je fais une moue. Il va tout de suite comprendre. Moi je veux qu'il se fasse pardonner ! Plein de bisous et de câlins pour la peine.

- Hello mister love.. tu fais encore des ravages..


Je lève les yeux au ciel et je me lève parce que je ne lui résiste pas. Avant je voulais le faire, je veux dire lui résister, mais au fur et à mesure qu'il essayait de me séduite je n'arrivais plus à dire non. Les gens l'ignorent mais il est loin d'être comme ce que les magasines disent. Déjà l'image de séducteur n'est qu'une façade. D'ailleurs le fait qu'on reste secret en fait parti, son agent ne veut pas que celle ci se brise, elle lui fait avoir un tas de fans, certes surtout de la gente féminine, mais peu importe, c'est sa carrière et je ne peux pas lui briser par une simple envie d'être avec lui h24.

En tout cas la petite surprise est totale, je ne sais pas pourquoi il passe, mais je suis contente. Je l'enlace et je dépose un rapide baiser sur ses lèvres.
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Dim 3 Juin - 17:30

Rumor has it
Bliss & Peter

Everyday everynight, I wanna see you baby stayin' baby by my side



7 :00 du matin, j'étais pris d'une envie de meurtre. Je ne savais pas ce que j'avais trafiqué avec mon réveil, en tout cas, il s'était mis à sonner sans que je ne lui ai donné l'autorisation. J'étais fou. Je poussais un grognement, énervé, je n'arrivais pas à l'éteindre. La radio crachait le dernier tube de LMFAO et le son était beaucoup trop fort. J'étais presque décidé à lancer ce satané réveil lorsque je trouvais enfin le bouton qui l'arrêtait. Ma chambre se plongeait à nouveau dans le silence, je regardais le plafond en soupirant et me rendormait.

Cependant, alors que j'étais replongé dans un rêve, une nouvelle sonnerie m'arrachait aux bras de Morphée. Cette fois, c'était mon portable, posé sur la commode qui ne cessait de vibrer. Je me demandais qui osait m'appeler si tôt, je décrochais et regardait le réveil, il était onze heures. C'était Lou, ma petite sœur qui venait m'annoncer qu'elle m'avait vu à la télé, qu'elle était fière de moi etc... Je discutais un long moment avec elle, prenant de ses nouvelles. Depuis que mon père m'avait mis dehors en apprenant que j'allais être acteur, Lou était la seule qui m'appelait régulièrement et participait à mon soutien moral. Je préférais savoir ce qu'il se passait dans sa vie, à vrai dire, la mienne était placardée dans les magazines - de plus qu'elle était majoritairement fausse, on m'inventait des idylles avec des personnes avec qui j'avais à peine parlé lors d'une soirée ou de simples amis. C'était l'envers de la médaille du succès, il fallait vivre avec cela. Je veillais à ne pas trop en dire sur moi à ma petite sœur. Mon agent me l'avait conseillé, car les journalistes devaient sûrement la harceler elle-aussi et elle pourrait faire une gaffe. Je l'écoutais me raconter sa vie, ce qu'il se passait à la maison. Nous avions parlé pendant une heure, ensuite, je raccrochais.

Je me décidais de me lever. J’avais un programme très précis afin de me mettre en forme. Je faisais couler du café et mis la musique à fond dans la cuisine, commençant à danser là au milieu. Ensuite, je m’enfilais au moins quatre tasses de cafés : c’était quelque chose de vraiment addictif chez moi, je savais que je devais calmer la dose, mais à force, une seule tasse ne me faisait plus rien. Ainsi, après mes quatre tasses habituelles, j’allais prendre ma douche, j’enfilais un jean et un marcel, découvrant mes trois tatouages, l'un sur l'épaule, l'autre sur la nuque et encore un autre au poignet. Enfin, lorsque j’étais prêt, je chaussais mes rayban sur mon nez et prit la voiture.

Les journalistes et paparazzi semblaient avoir campé devant chez moi, car lorsque le portail s’ouvrit, je du freiner pour ne pas en renverser un. Les flashes fusaient, heureusement que j’avais mes lunettes de soleil. Je leur faisais gentiment signe de se décaler afin que je puisse passer, leur faisant comprendre que j’étais pressé – règle numéro 1 : toujours être aimable avec les journalistes. Tout le monde me parlait en même temps entre « Alors Peter, comment ça va aujourd’hui ? » et les « Vous allez où Peter ? », je tentais de répondre, disant que j’allais bien, que j’allais sur le tournage du film pour travailler. On me demandait de parler du film, je haussais les épaules, leur assenant un grand sourire en lançant des « Désolé, c’est un secret d’état, je serais obligé de tuer si je vous en parlais ». Et puis, une fois rassasié de question, je parvins à sortir de chez moi.

C’était toujours la même chose, cependant, je m’habituais à force d’être harcelé par les photos et les questions. Cependant, c’était gênant lorsque je sortais avec des amis, à toujours être arrêté, je devais toujours faire attention à ce que je disais et à ce que je faisais. C’était un véritable travail. Mais pour rien au monde je ne changerais ma vie, je faisais ce que j’ai toujours voulu et j’étais payé pour ça, c’était le meilleur métier du monde, il fallait juste vivre avec la notoriété, aussi énervante soit-elle.

Je ne tournais pas avant seize heures. Ainsi, j’avais encore du temps. Je décidais de faire une visite surprise à Bliss, histoire d’être rien que les deux avant de travailler. Je saluais des gens de l’équipe, me dirigeant vers la loge de ma petite amie. Je frappais à la porte « Service de chambre ! » clamais-je avant d’entrer, conscient que nous n’étions pas dans un hôtel. Je retirais mes lunettes et fermais derrière moi, adressant un grand sourire à celle que j’aimais. Cependant, son accueil me semblait froid, je regardais le magasine à ses pieds. « Bliss, on s’était dit de ne pas faire attention à ce que disais les magazines … ».

Une relation secrète, ce n'était pas facile tous les jours. Moi-même, de mon côté, je détestais voir Bliss accompagnée aux soirées avec un autre que moi, l'enlaçant, riant avec lui. Parfois, j'étais pris d'une telle jalousie que j'aurais voulu m'approcher d'elle et lui voler un baiser pour lui montrer qu'elle m'appartenait, cependant, les caméras étaient toujours présentes. Parfois, j'aimerais officialiser notre relation, mais ce serait encore pire, nous n'aurions plus de vie privée et ce serait l'enfer. J'aimais Bliss, je ne voulais pas que les médias ne nous sépare, si elle commençait à lire les idylles qu'on m'inventait, nous étions mal partis.

Elle se levait, je passais mes bras autour d’elle pour l’embrasser. Puis, je la lâchais et ramassais le magasine. En couverture, j’enlaçais une amie qui m’avait accompagné à une soirée et souriait aux photographes. « Le sex symbol ? Ils ont craqués, on m’avait encore jamais appelé comme ça » je pouffais, les gros titres clamaient que mon amie, Marissa, était ma petite amie. A vrai dire, mon agent m’avait dit que je devais paraitre le plus disponible possible, ainsi, je passais pour un gros dragueur. Bliss pouvait clamer le contraire, je n’aimais qu’elle et j’avais un côté très romantique. Je tournais la page et lu l’article à voix haute « Peter Winston, le jeune acteur très prometteur a été vu avec sa nouvelle conquête… » j’échappais un rire devant cette connerie « … Nous ne savons rien d’elle, mais un proche de l’acteur à clamer qu’ils étaient très heureux ensemble et une source nous indique que des fiançailles seront bientôt annoncé ». Mon rire revint, j’en pleurais tellement c’était drôle « Whaou ! Je ne savais pas ça ! Franchement, c’est juste une pote » je levais les yeux au ciel en m'installant sur le canapé. Et puis, je vis l’autre magasine où Bliss faisait la couverture « Hé mais dites-moi, c’est qui cette fille super sexy en couverture ? J’en ferais bien mon dessert, elle est torride … ».
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Lun 4 Juin - 0:59


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Je fais tomber le magasine avec Peter et un brune écervelé bien trop belle pour rivaliser avec moi. C'est plus fort que moi je doute toujours de ma beauté, mon intelligence. J'ai beau être une filles populaires, voir supra populaire personne ne pourra m'enlever le fait que je n'ai absolument pas confiance en moi et que cela est un énorme problème. Je mâche mon déjeuné sans vraiment d’appétit, mais il faut que je me nourrisse, un malaise sur un plateau, même d’entraînement, c'est mal vu et les journalistes finissent toujours par le savoir. Je vois déjà les gros titres du magasine " People" La jeune auteur de roman et future actrice Bliss Jenkins est entrée à l'hôpital à la suite d'un malaise .. patati patata et là tout le monde s'inquiète mon téléphone n'arrête pas de sonner.. Enfin, l'horreur non merci.

Je soupire en m'enfonçant dans le canapé. Je finis mon repas. Je ne suis plus tellement d'humeur à danser d'un coup. La musique se termine et je ne la relance pas. Je mange tranquillement en fulminant. Dans les minutes qui suivent la porte s'ouvre. Je tourne la tête lorsque j'entends " service de chambre ". Je vois Peter mon fameux petit ami, super star entrée. Je m'empêche de sourire, oui parce que cet article m'agace que je veux qu'il s'en rende compte. Je reste donc assise, enfoncée dans mon divan les bras croisés. Je crois qu'il comprend de suite. D'ordinaire, de naturel joyeuse, je me serais jetée sur lui pour aller récolter un baiser sur ses lèvres, mais là, je ne bronche pas. Ce n'est pas l'envie qui manque. Il avance en me faisant remarquer qu'on s'était dis de ne pas prêter attention à ce genre de clichés. Il n'a pas tort. Je me lève finalement pour aller l'embrasser et l'enlacer. J'ai le droit à un baiser moi aussi puis il se penche pour ramasser le magasine où l'(on parle de lui. Je le regarde faire. Il regarde les photos puis l'article. La fille qui l'accompagne doit-être fière, je suis sûre qu'elle se dit qu'elle est sorti avec lui et tout.. Rah j'en jalouse rien que d'y penser. Je tâche de me calmer tout de même.

Il commence à lire l'article entre les lignes. Je pouffe en m'enfonçant de nouveau sur le sofa. Je le regarde lire, il est mort de rire, je m'empêche de rire, certes c'est drôle mais je déteste cela quand même. A la fin, il m'informe que c'est une de ses amies qui était avec lui à cette soirée. Ok, admettons, de toutes façons on a dit qu'on se faisait confiance, si je lui fais une crise tous les jours il risque d'en avoir marre. Il s'installe à coté de moi et attrape le magasine de mode ou je fais la une. Celui ou Constance à pris la photo.. je me trouve presque vulgaire dessus, j'ai un décolleté plongeant.. Ciara m'assure que je suis parfaite, moi je n'ai jamais trouvé ! Je manque totalement de confiance en moi et généralement c'est LE problème central et c'est ce qui fait que je suis jalouse. Je pouffe à son commentaire. Je pose ma tête sur son épaule en rougissant. Puis je lui enlève le magasine des mains et je grimpe à califourchon sur ses genoux pour me blottir contre lui. Il n'y a pas à dire, je suis une des celles personnes à avoir le privilège de connaître Peter correctement. Il est tellement différent avec moi qu'avec ses fans, son public ou même les personnes du milieu. On pourrait penser deux personnes différentes.

- On s'en fiche de cette fille.. tu m'as manqué..

Je cherche et trouve ses lèvres. Je les embrasse doucement..

- Comment ça se fait que j'ai le droit à une visite aujourd'hui ?

Pas que je ne sois pas contente, loin de là, je suis ravie de le voir et la surprise est plutôt réussie. Mais je pensais qu'il tournait lui. Car notre film ne commence pas tout de suite. Lui doit terminer un de ses films et il régulièrement pris la semaine. Je le vois parfois le soir lorsqu'il n'est pas trop fatigué, ou l'inverse, puisque j'enchaine pas mal de sport en ce moment.

- Je suis contente que je sois là.
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Lun 4 Juin - 21:35

Rumor has it
Bliss & Peter

I told you to be patient. I told you to be fine



J’avais décidé de rendre une visite à Bliss. En effet, j’avais le vague souvenir qu’elle ne reprenait pas les entraînements avant seize heures. Ainsi, afin d’en profiter pour me retrouver seul avec elle – ce qui était assez rare – je pris la direction de l’endroit du tournage. En me garant, l’effet fut immédiat. A peine étais-je sortit de ma voiture qu’une horde de flash s’attaquait à moi, je souriais néanmoins, espérant qu’il me laisse très vite tranquille. A mon plus grand bonheur, un des membres de l’équipe m’aida à m’en sortir et je bavardais tranquillement avec lui en prenant la direction de la loge de ma petite amie. Je devais l’avouer, je n’avais pas été très discret sur ce coup-là. De quoi risquer de me faire remonter les bretelles. Cependant, je frappais à la porte en la saluant de manière originale : c’est-à-dire, me faire passer pour un mec du service d’étage alors que nous n’étions pas dans un hôtel – très intelligent de ma part.

Lorsque je fermais la porte derrière moi, je remarquais que Bliss ne m’accueillait pas comme d’habitude. Habituellement, elle se serait déjà jeté dans mes bras, je l’aurais embrassée et la serrant contre moi. Aujourd’hui, elle restait assise sur le divan, la mine renfrognée, les bras croisés. Je pris conscience que quelque chose n’allait pas. Je reconnaissais ce regard, c’était celui qu’elle me faisait lorsqu’une crise de jalousie était prête à exploser. En baissant mon regard sur le magasine, je compris.

Je regardais la photo de couverture : je me souvenais de cette soirée, j’avais simplement décidé de sortir en boîte avec une amie de longue date. Cependant, il avait été impossible d’être tranquille sans qu’un paparazzi ne vienne demander une photo. Ainsi, j’avais passé mon bras autour de Marissa et assenait l’appareil photo de mon plus beau sourire. Voilà que cette photo faisait la couverture d’un magazine qui clamait que mon cœur était pris. En effet il était pris, mais pas par Marissa.

En levant les yeux vers Bliss, je lui rappelais que nous nous étions promis de ne pas regarder ce que disais la presse sur l’autre. Elle était l’une des personnes avec qui je voulais que ma relation fonctionne et je ne laisserais pas les média la détruire. Ainsi, je lui avais fait promettre de ne rien lire. Nous savions tous les deux que ce que dressaient les médias n’étaient qu’un tissu de mensonge. Je ne voulais pas qu’elle pense que j’étais réellement un coureur de jupon. Certes, j’aimais jouer de cette image, c’était assez drôle d’être vu comme un « Sex Symbol ». Sex Symbol de rien du tout oui. J’étais un mec normal, je faisais juste le métier que j’aimais. Cependant, en entrant dans ce monde-là, je m’y étais attendu, mais jamais je n’aurais cru que c’était à ce point-là.

Bliss semblait convaincue, car elle se levait pour m'embrasser. Je la serrais contre moi avant de me détacher d'elle et lire le magasine. Celui-ci m'inventait de fausses fiançailles. Je lisais à voix haute, souvent pris d'un fou rire et vint m'installer sur le divan. D'accord, on pouvait vraiment dire n'importe quoi. Je notais pour moi-même d'envoyer un message à Marissa pour lui annoncer que nous étions fiancés, ça la ferais bien rire, elle qui me connaissait depuis que nous étions ado. Ensuite, je repose le magasine et un autre attire mon regard.

Ma bouche se décrochait toute seule devant la photo, Bliss était magnifique là-dessus. Je ne pouvais m’empêcher de faire un commentaire. Je ne quittais pas la photo des yeux, la photo était assez sensuelle, mais elle n’était pas provocante, juste assez pour faire saliver les hommes du monde entier. Je déglutis en me rendant compte que cette femme sur la photo m’appartenait. Cependant, une pointe de jalousie s’emparait de moi en imaginant d’autres hommes salivé devant cette photo. Je sentais Bliss poser sa tête sur mon épaule, elle rougissait. Je ne pouvais m’empêcher de sourire. Savait-elle qu’elle était adorable lorsqu’elle rougissait ? Qu’elle était si belle et qu’elle n’avait pourtant aucune confiance en elle ?

D’un coup, le magasine est arraché de mes mains. J’arque un sourcil, ne comprenant pas tout de suite jusqu’à ce que Bliss se mette à califourchon sur moi. Je me mordais la lèvre, cependant, je la serrais contre moi, appréciant l’odeur de ses cheveux. Sa réplique me fit sourire, cependant, je ne pouvais m’empêcher d’ajouter quelque chose. Je repris le magasine et le mettant entre nous « A elle aussi je lui ai manqué ? » Je pouffais. Cependant, je suis interrompu par ses lèvres. Elles ont l’effet d’augmenter mon rythme cardiaque, alors, je jette le magasine par terre, lui caressant le dos et l’embrassant tendrement. « Parce que je n’ai plus le droit de te rendre visite ? » j’arquais un sourcil « Disons que je me suis dis qu’entre tes entraînements, une pause douceur te ferait plaisir, je me trompe peut-être ». Je lui fis un petit clin d’œil et commençait à me dégager, cachant mon petit sourire au coin.
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Mer 6 Juin - 22:37


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Parfois la célébrité a un prix. Le notre avec Peter en a une. Nous ne pouvons pas assumer pleinement cette relation. Sans quoi nous serions traqués surement 24h/24. Ce qui deviendrait surement invivable et cela nous rendrait tendu, je n'imagine pas la relation que nous aurions. Elle serait surement houleuse et nous ne ferions que nous disputer. Déjà qu'on s'engueule souvent je ne vous dis pas. Mais je sais qu'entre Peter et moi ce n'est pas juste une question de célébrité, la preuve, s'il avait voulu de faire de la popularité il aurait annoncé à tous les magasines que nous sommes ensemble, hors il ne l'a pas fait et ne compte pas le faire. Enfin pas pour le moment et puis il aun agent qui ne le souhaite pas non plus Peter est vu comme un dragueur invétéré, s'il se case avec une fille telle que moi si tôt il perdra beaucoup d'intérêts aussi bien pour les médias que pour ses fans. Moi je suis sûre qu'elle aimerait le voir enfin stable, mais je ne dis rien, je trouve dans un sens que ne pas nous afficher c'est mieux.

Pourtant ce n'est pas facile. Vous ne serriez pas blessée vous de voir votre petit ami dans les bras d'une autre seulement pour la comédie ? Je ressens souvent cette peur de le perdre, qu'il se rende compte que la carte du dragueur lui va parfaitement, que de cette manière il s'amuse comme un fou et profite de la vie. Moi si un jour il me dit cela, je ne serais plus grand chose et il sera juste la confirmation, que ma vie est un chaos et que la célébrité n'arrange strictement rien ! Je n'ai tellement pas confiance en moi que c'est régulièrement à Peter d'en subir les conséquences. Crises de jalousie, larmes.. bref, le pauvre s'en prend parfois plein la figure alors qu'il n'a rien fait. Je ne sais pas s'il comprend la peur que j'ai qu'un jour lui aussi il parte. Mes parents sont partis, ils m'ont abandonné alors que j'étais dans le coma. J'ai eu mon père au téléphone qui m'a dis qu'il préférait plus me voir pour l'instant car je lui rappelais trop Teddy - ma soeur - et ma mère qui à cause de moi l'avait quitté. Il est vrai que beaucoup de couple se séparent après la perte d'un enfant. Je suppose que c'est ce qui a tout déclenché. Ma mère est partie vivre en Floride à l'autre bout du pays, je crois qu'elle a tout fait pour ne plus me croiser. Avait-elle imaginé que je deviendrais célèbre ? Je l'ignore, me considère-t-elle toujours comme sa fille ? Je suis sûre que non. Je pourrais mourir qu'elle s'en ficherait.

Peter arrive par surprise. Je fais une mine boudeuse, un accueil moins chaleureux que d'habitude. Forcément cette mise à l'épreuve recommence, il est dans les bras d'une brune que je commence à trop voir autour de lui. Je la déteste, c'est décidé, je ne l'aime pas, la pauvre n'a rien fait, je ne la connais même pas, mais je la déteste, elle est trop proche de mon Peter. Parce que même si je n'ai pas le droit de le crier sur tous les toits il est à moi, c'est à moi que son coeur appartient et la réciproque est vraie. J'aimerais parfois sortir dans la rue et l'embrasser, lui tenir la main. Mais non ce sont à d'autres filles de le faire. Moi je dois rester chez moi sagement, ou à m'entraîner pour un tournage qu'en plus nous allons partager. C'est tellement frustrant de ne pas pouvoir lui mettre des mots doux sur sa page facebook, de ne pas être dans ses bras lorsqu'il est près de moi, de ne pas lui tenir la main, le bisouiller.. on doit toujours faire attention, et cela devient pesant. Surtout lorsque je le vois avec ses filles dans les magasines.

Pourtant je finis par me lever, je ne lui résiste pas longtemps et de toute façon je ne suis pas rancunière, impulsive, une jalouse compulsive oui, mais pas rancunière, je tiens trop à lui pour risquer de le blesser ou le perdre. Je ne veux pas me retrouver seule encore une fois, surtout pas dans ce monde de critiques, magasine, papier glacé. Je l'embrasse et il attrape ensuite un magasine ou je suis dessus. Lançant des compliments. Je n'aime pas ce photoshoot, je fais vulgaire et je suis trop sexy. Je n'ai pas l'habitude des compliments et du coup je rougis. Je lui enlève le magasine pour grimper sur ses genoux et le faire taire de baiser. Sait-il combien il m'a manqué ? Certes on s'envoie beaucoup de sms, mais ce n'est pas pareil. Je pouffe lorsqu'il reprend le magasine ou je suis dessus et demande si je lui ai manqué, mais il fait parler l'image. Je lui arrache encore le magasine.

- Oui alors chut !


Puis il me fait de nouveau sourire.

- Si bien sur que si et heureusement ! J'étais en manque de ça !


Et je l'embrasse encore, parce que j'adore ses lèvres et que je suis accroc depuis la première fois qu'elles ont touché les miennes.

- Je crois que tu as bien fait.. cette idée est excellente.


Je me lève pour aller fermer ma loge à clé histoire qu'un technicien ne vienne nous déranger. Puis je reviens doucement à lui. Je retire d'abord mon gilet, laissant mon débardeur.

- Tu avais quelque chose en tête ou on improviste ?
je lui demande en me remettant sur lui ?
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Dim 10 Juin - 17:36

y
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Bliss & Peter

Everytime we kiss I swear I could fly



Ce n’était pas facile tous les jours d’entretenir une relation secrète. A vrai dire, elle avait beau être préférable que de s’afficher au grand jour, cela avait tellement d’inconvénient. Tout d’abord, afin d’entretenir cette réputation de dragueur qui faisait mon image, je devais me montrer avec un tas d’autres filles qui n’étaient pas Bliss. Ces dernières avaient beau être des amies, ce n’était pas la même chose. Mon cœur se pinçait lorsque je pensais à ma petite amie qui allait voir les clichés ou qui était à deux mètres de moi. Et pourtant, il ne fallait rien laisser paraitre.

Il ne fallait pas s’y méprendre. J’adorais jouer les séducteurs, c’était quelque chose qui m’amusait. De plus, entendre les filles crier lorsque je passais, c’était à la fois effrayant et satisfaisant. Cela montrait que je plaisais, qu’on m’appréciait. De plus, j’aimais rester accessible auprès des fans. Pas dans le sens « amoureux » du terme, mais lorsqu’on m’accostait dans la rue, je ne ronchonnais pas. J’aimais qu’on vienne me parler, demander des autographes ou des photos et lorsque j’étais pressé, je murmurais simplement de plates excuses en expliquant que j’étais attendu quelque part. Ainsi, j’assenais ce sourire charmeur dont on me connaissait et partais. C’était marrant de jouer ce rôle. Cependant, la drôlerie de la chose prenait fin lorsque cela blessait Bliss.

De plus, cela n’allait pas que dans un sens. Je détestais la voir avec un autre, qu’il soit un simple ami ou non, je réprimais mes envies de meurtre à chaque soirée. A vrai dire, j’étais très possessif avec Bliss, ne supportant pas qu’un autre la touche ou lui parle. Ainsi, je n’avais qu’une peur : qu’elle trouve mieux.

Ainsi, nous nous disputions souvent – certes, cela était de courte durée, mais avec les crises de jalousie de l’autre, c’était assez dur de gérer. C’est pourquoi je ne fus pas surpris lorsque Bliss montra ce magasine où je faisais la couverture avec une autre fille qu’elle. Je poussais un soupire. Je me demandais un instant ce que ça pourrait être si notre relation était mise au grand jour. Il était certain que nous n’aurions plus aucune vie privée et les rumeurs fuseraient comme quoi je pourrais la tromper avec ma meilleure amie ou quelque chose comme cela. Heureusement pour nous, aucun de nous deux ne voulait officialiser notre relation. De plus, cela pouvait être marrant de se cacher. Comme cette fois où j’ai été obligé de l’emmener dans un coin tranquille d’une soirée, effleurant ses lèvres, pouvant être surpris à tout moment. Il y avait ce côté excitant, cette impression de faire quelque chose de mal et dieu ce que c’était cool de faire du mal avec Bliss.

Elle me manquait tellement que je voulais la voir, c’est ainsi que je me retrouvais dans sa loge. Bien sûr, beaucoup de membre de l’équipe m’avait vu entrer. Peut-être étaient-ils en train d’espionner à ce moment même. Ainsi, elle se posait sur moi. Nos lèvres se scellèrent dans un doux baiser. Je passais mes mains dans son dos, remettant ses cheveux de l’autre côté de son épaule pour pouvoir regarder son visage. Je ne comprenais pas pourquoi elle avait si peu confiance en elle, elle avait tellement de charme. Cependant, le fait qu’elle rougisse, c’était plus qu’adorable. Je fondais littéralement.

Nos lèvres ne se décollent plus jusqu'à ce qu'elle me demande la raison pour laquelle j'étais venu. Ainsi, je fis semblant de partir, mais ses lèvres m'ont à nouveau retenu. Tant mieux. « J'ai toujours des idées excellentes, tu crois quoi ? » je lui fis un clin d’œil. Alors, elle se levait et verrouillait la porte, je me mordais la lèvre, je savais à quoi elle pensait alors qu'elle retirait son gilet. « Tu sais que j'aime quand t'improvises ». Mes paroles étaient pleines de sous-entendus. Je retrouvais ses lèvres « Les vigiles pourrait nous entendre... » je me mordais la lèvre et l'allongeait sur le divan pour prendre le dessus. Enfin, sans prévenir, je m'arrachais à elle, me dirigeant vers la fenêtre et après avoir vérifié s'il y avait des gens autour, je fermais les stores en me tournant vers ma petite amie. « Il fait chaud ici tu ne trouves pas ? » lançais-je en souriant. Comme pour marquer ma phrase, je retirais mon haut.
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Mer 13 Juin - 11:37


#Rumor has it
« We’re living in a powder keg and giving off sparks
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#Loge de Bliss
#Peter & Bliss



La célébrité a un prix. On perd des gens que l'on aime. On fait des rencontre fabuleuse. On n'a plus de vie privée. On souffre, on est riche, on fait la fête.. bref une vie totalement simple n'est plus possible, n'est même plus envisageable. Sortir dans la rue avec une personne devient le pire des parcours du combattant pour pouvoir avancer avec les paparazzis. Les journaux relatent toujours nos faits et gestes, on ne peut pas être tranquilles. Le pire c'est lorsqu'on est en compagnie d'une autre célébrité, encore plus populaire que nous et quelles médias s'arrachent à prix d'or sa vie privée. Mais quelle vie privée ? Elle est inexistante ! Nous n'avons plus que les murs de nos maisons pour se cacher. Heureusement on peut compter sur nos proches pour tenter de nous aider. Mais cela ne suffit pas toujours forcément.

La prix de la célébrité c'est aussi de devoir se cacher. Nous nous cachons tous pour essayer de vivre normalement. Pourquoi écrire un livre, ou jouer dans un film donne le droit d'être harcelé, ou épié ? Nous sommes des personnes comme tout le monde. Je me souviens lorsque je faisais partie de ses adolescentes sans cervelles fan de tout ce qui savait chanter et danser, ma mère me disait " tu sais Jude ils vont aux toilettes comme tout le monde ils sont comme nous " et moi je lui disais que non, ils étaient exceptionnels.. j'étais loin d'imaginée qu'elle avait totalement raison en plus.

C'est pour cela que lorsque je vois qu'on nous invente carrément des vie cela m'exaspère, j'aime être célèbre c'est sur, est ce que je l'ai mérité je ne suis pas sûre, parfois je me dis que je ne mérite pas les prix que je reçois pour avoir écris l'histoire de la mort de ma soeur. Je n'aurais jamais dû écrire cela, c'est de ma faute, ce n'est même pas négociable, les gens ont beaux me dire que c'est faux, mes parents le pensent, c'est moi qui avait bu, c'est moi qui est pris le volant, sans ça elle serait encore en vie, elle rigolerait, je pourrais voir ses longs cheveux bruns bouger et danser comme elle savait le faire, elle aurait pu devenir danseuse étoile, c'était son rêve. Nous adorions danser c'était ce qui nous lié. Je ne danse plus, je ne peux plus de toute façon, j'ai perdu la coordination de mes mouvements en me réveillant, j'ai dû apprendre à marcher une nouvelle fois, j'ai donc abandonné, et de toute façon il était hors de question que je redanse sans elle. La seule personne qui me fait penser à elle maintenant c'est Katniss, une superbe danseuse étoile.. Teddy l'aurait adoré j'en suis sûre !

Enfin passons, je passe une fois encore sur le fait que mon petit ami et accessoirement super star adulé par un tas de filles qui ont les ovaires en ébullition en le voyant, soit pris en photo avec une autre fille.. Et qu'on lui prête une relation avec celle ci. C'est le jeu qu'on se donne, qu'il doit donné. Un garçon accessible tout le temps et surement pas près à se caser tout de suite. C'est pour ça que notre relation aux yeux des médias reste de l'ordre de l'amitié. Certain disent que nous sommes très proches, puis lorsqu'on le voit avec une fille, et que ce n'est jamais la même, on ne pense surtout pas que je pourrais sortir avec. Moi de mon coté, j'ai engagé un ami pour se faire passer pour mon petit ami, le genre discret etc, il a une petite notoriété ce qui est parfait ben sur. Lui mène sa vie de son coté et moi la mienne, mais en même temps je l'aide à être propulsé et moi il me sert d'alibis, ce qui nous convient parfaitement à Lenny et moi.

J'embrasse donc Peter, je profite de sa visite après tout. Je profite toujours un maximum de lui, en cachette bien sur, ce qui parfait est dur, lorsque nous sommes tous les deux dans la rues, on ne peut pas se tenir la main, rien.. donc c'est assez difficile mais on s'en sort pas mal. Je m'empresse d'aller fermer la porte à clef cela serait assez bête de se faire surprendre par un agent de sécurité, ou un employé après tous les efforts que nous faisons !

- Improvisons alors, et les vigiles on s'en fiche..


Je retire mon gilet et je le rejoins.. nos lèvres se scellent et je le sens m'allonger sur le diva avant de s'arracher à moi sans que j'ai la moindre chance de le rattraper. Je m'apprête à protester, parce que là, je commence sérieusement à avoir envie de lui.. le lieu est plutôt.. excitant avec tant de monde autour, et lui toujours aussi séduisant ! Mais lorsque je comprends ce qu'il veut faire je me retiens. Il ferme les stores ce qui n'est pas une mauvaise idée si on veut éviter d'être surpris aussi ! Il se retourne vers moi insinuant qu'il fait chaud. Il est vrai que la température monte d'un cran là ! Sur ces paroles il retire son haut. Je me mord la lèvre inférieur me retenant de ne pas lui sauter dessus. Sait-il combien il est sexy à faire ça ? Il veut ma mort ? Je l'imite, retirant mon débardeur.. et puis même mon bas.. je le regarde avec un sourire mesquin puis je ne résiste pas. Je lui cours presque dessus pour lui sauter dans les bras. Mes jambes entourent sa taille et mes bras sa nuque. Mes lèvres heurtent les siennes pour un baiser fougueux. Nos langues entames un ballet et je sens mon coeur s'accélérer sous l'excitation..

- Il fait trop haut tu es raison !



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Sam 16 Juin - 0:19

Rumor has it
Bliss & Peter

Everytime we kiss I swear I could fly



Parfois, c'était tellement dur. Il m'arrivait souvent de vouloir l'emmener quelque part avec moi. Loin de tout. Dans un endroit où il n'y avait pas les paparazzis. Quelque part où je n'étais pas connu. Le japon peut-être ? Il m'arrivait souvent de vouloir agir comme un vrai petit ami avec elle. Je veux dire, en public. Ce n'était que lorsque nous étions tous les deux que je pouvais lui murmurer des mots d'amour à l'oreille, la tenir contre moi. Si seulement c'était aussi simple. J'aimerais pouvoir crier à qui voulait l'entendre que j'étais fou amoureux de Bliss. Cela m'arrivait souvent, lorsqu'on me demandait où en était ma vie sentimale, je n'avais qu'une envie. Crier : « Je suis complètement amoureux de Bliss, elle m'a eu avec son charme, je ne sais pas si je peux en démordre tellement je l'aime ». Cependant, je devais me contenir, détourner la question - pour ne pas mentir.

Je n’aimais pas mentir. Ces mots venant d’un acteur pourrait vous choquer, mais pourtant, je détestais cela. J’aimais l’honnêteté, car de toute façon, tout finit par se savoir un jour. Il était préférable de dire la vérité dès le début. Ainsi, je faisais la différence entre le mensonge et le métier d’acteur. Car certes, en incarnant un personnage, on mentait, mais ce n’était pas la même chose que de mentir sur sa vrai vie. Ainsi, lorsqu’on me posait des questions sur mon statut, je détournais par « Je devrais vous tuer pour savoir ça » ou encore « Je suis en couple avec tous mes fans, l’une d’entre elle m’a même demandé en mariage l’autre jour, bien sûr, je vais me marier avec elle, vous êtes tous conviés ! ». Ainsi, cela faisait rire et on me laissait tranquille.

Enfin, « laissé tranquille » était un beau mot. Ils ne me laissaient jamais vraiment tranquille. Je pouvais me promener avec n’importe quelle amie, ils m’inventeront une histoire avec elle. Pour cette raison, lire les magazines devenait une perte de temps. Je les lisais rarement et lorsque c’était le cas, je me marrais devant ce tas de conneries pour lequel les fans payent. C’était assez désolant. Mais pour manier encore plus le paradoxe, c’était aussi marrant. En effet, si les médias se tuaient à m’inventer une vie, c’était parce que je les intéressais et cela restait rassurant, cela voulait dire que j’intéressais les gens. Et cela était très plaisant.

Vous savez ce qui est le plus plaisant ? Bliss. J'étais accro à ses lèvres, elles avaient le don de m'envoyer une sorte de décharge électrique qui éveillaient tous les sens de mon corps, de plus, mon cœur s'emballait dès que nos lèvres se rencontraient. Elle était ma drogue, mon opium. Le liquide qui faisait brûler le sang dans mes veines. A peine nos lèvres s'étaient-elles rencontrer que le désir montait en moi - il m'en fallait peu avec Bliss, parfois un seul sexto d'elle me mettait dans un état second. Ainsi, je reprenais le dessus et l'allongeais sur le divan, me posant sur elle. Mes mains commencèrent à parcourir son corps que je commençais à connaître très bien. Cependant, je ne m'en lassais pas.

Soudain, quelque chose frappa mon esprit. Les stores. A vrai dire, si quelqu’un daignait jeter un regard à travers, nous étions fichu et tout notre travail pour rester discret se verrais vouer à l’échec. Ainsi, après avoir vérifié si personne n’était aux alentours, je les fermais – Bliss ayant déjà fermé la loge à clé. Nous n’avions plus de risque d’être dérangés à présent. C’est pourquoi, lorsque je me retournais vers ma petite amie, je tentais de nous remettre dans le bain – ayant un peu gâché le moment. Je fis une remarque sur la température, a vrai dire, cela était plus une allusion à la température entre nous qui venait de monter en flèche. Ainsi, je retirais mon haut. Ce fut sans surprise et en me mordant la lèvre que je vis Bliss en faire de même. Je serais les points, résistant à l’envie de lui faire l’amour là tout de suite, sur le champs.

Rien ne m’échappais. La courbure parfaite de ses hanches, ses formes généreuses, son dos cambré. Je ne réalisais toujours pas que cela m’appartenait. « C’est beaucoup mieux que la fille sur le le magasine » soufflais-je. J’allais faire une autre remarque, mais je vis une masse fondre complètement sur moi. Je passais mes mains sous ses fesses afin de la soulever. Nos lèvres s’entrechoquèrent et se mêlèrent en un baiser fougueux. J’en perdais l’équilibre, si bien que je me laissais retomber sur le divan, laissant Bliss prendre le contrôle – parce que c’est super sexy quand une femme prend le contrôle. « Tu es une vraie tigresse » je me mordais la lèvre en passant une main dans ses cheveux et l’embrassais encore « C’est pour ça que je t’aime ». Je lui fis un petit clin d’œil et me collait à elle.
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Lun 18 Juin - 0:48

J. Bliss Jenkins a écrit:

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L'homme est fait de désirs. Cela fait parti entière de lui, son but ultime est de toujours satisfaire ses fameux désirs. Les désirs nous viennent du monde dans lequel nous vivons, nous serions seul, entourés de rien, n'ayant jamais rien connu, nous n'aurions envie de rien, du moins de rien de superficielle, parce qu'il y a deux catégories de désirs, les artificielles et les naturelles, les artificielles sont ceux fabriqués par la société de consommation, nous nous créons nos propres désirs. Les désirs naturelles viennent de nous. Ils sont presque de l'ordre de l'instant, désirer de la nourriture par exemple c'est naturel chez l'être vivant.. Enfin je m'égare, parce que je veux parler du désir.. naturel et physique. Celui que les Hommes recherchent à assouvir. Les pulsions. Nous répondons tous à des pulsions parfois, c'est naturel, le sexe fait parti de ses pulsions, nous avons tous besoin de désirer une personne, et notre quête sera de toujours être désirer par la personne que l'on convoite, car elle seule peut assouvir ce désir si profond que nous avons pour elle. Nous désirons tous des choses, mais par dessus tout des personnes.

Je pense à tout ça, des cours de philos que je n'ai jamais vraiment pu suivre au lycée. Je n'ai pas eu le temps de terminer le lycée, je suis tombée dans le coma avant. Je pense à tout cela parce qu'en ce moment je désire une personne. Cette personne m'obsède, jour et nuit, je ne veux qu'elle, j'aimerais qu'elle soit totalement à moi seulement ce que n'est pas vraiment le cas. Elle ne le sera jamais tout à fait. Rassurez vous Peter n'est pas marié et je ne suis pas sa maîtresse. C'est juste que nous sommes deux personnes célèbres et que nous avons décidé de ne pas nous afficher devant les journalistes, pour les magasines. Nous passons notre vie à nous cacher pour un baiser, voila pourquoi il n' m'appartiendra jamais mais paradoxalement je sais qu'il est à moi, et moi à lui. C'est assez complexe, fusionnel, disons que c'est le genre de relation houleuse mais passionné. Ma vie n'est rien sans lui, et pourtant on passe beaucoup te temps à être jaloux pour x raisons. Encore tout à l'heure cela aurait pu mal finir.

Peter est ma recherche de bonheur, l'homme pour être heureux à besoin d'accomplir les désirs qui le hantent. Là tout de suite, le désir le plus fort que j'ai envie d'accomplir c'est lui faire l'amour.. Quand je disais que c'est passionné nous deux, c'est dans tous les sens du terme, on peut dire qu'au lit aussi c'est fougueux. Peter n'est pas mon premier petit ami. Enfin, je le considère un peu comme tel parce qu'il est le première après mon réveil. Mais avant 17 ans l'expérience sexe avait été tentée. Je me souviens, je pensais que c'était l'homme de ma vie, mais non, si cela avait été le cas, il serait resté lorsque j'ai eu mon accident. Je n'ai jamais eu de nouvelles de lui après. Et je m'en fiche, je n'en cherche pas, on pourrait sans doute devenir amis, mais je ne sais même pas à quoi maintenant il peut ressembler.

Je regarde alors Peter, sérieusement ? J'ai vraiment envie de lui.. ce qui me rend folle, c'est que je ne suis pas la seule à le désirer. C'est con, mais le partager avec ses fans parfois c'est dur, je sais qu'il doit en faire autant alors j'essaie de me contrôler, parfois j'ai un peu de mal, il le comprend, parfois non remarque.. on est toujours en désaccord lorsque l'un de nous s'affiche avec une personne n'étant aucun de nous. Je déteste quand il ramène des actrices ridicules avec lui à des remises de prix. Je déteste lorsque des photos circulent où une fille l'embrasse pratiquement. Ou lorsque lui tiens une fille par la main pour faire croire qu'elle est sa petite amie, pour nous couvrir. J'ai conscience que pour lui c'est dur de faire cela, mais moi je ne supporte pas le voir faire semblant. J'ai peur qu'il fasse un jour semblant avec moi aussi. Je sais que c'est totalement stupide qu'il me le répète sans cesse que cela n'arrivera jamais, moi je stresse.

Pourtant lorsque je le vois j'oublie tout ce que je peux ressentir, tous les sentiments négatifs. La simple vue de son torse parfait me fait oublier jusqu'à l'existence de mon équipe d'entraînement derrière les murs de ma loge. Je me jette sur lui, je n'y résiste pas, comment faire autrement ? Mon coeur bat rapidement et nos lèvres se collent aux siennes. Il se laisse tomber sur le divan. J'ai presque envie de sourire, le divan n'est pas grand, je me demande comment cela va terminer. L'improvisation reste la meilleure des choses. C'est qu'on c'est dit. Improvisons. Je sens ses mains sur mon coeur presque dénudé. Il ne reste que mes sous-vêtements qui couvrent mes parties intimes. Sur le divan je reprends ma place à califourchon sur lui. Nos corps se colle au sien. Je l'entends souffler quelque chose.. Je coupe le baiser.. je souris en levant les yeux en ciel, je ne m'attarde pas sur le compliment qu'il vient de me donner.. Je vais en rougir, si ce n'est pas déjà fait enfaîte. Nos lèvres se resoudent, mais il reparle rah.. Je suis un peu surprise par ce qu'il vient de dire. Je lui lance un regard plein de question, sa réponse de fait par un baiser pire que fougueux pour le coup. Je vois ce qu'il veut.. Et je dois dire que j'aime, il n'a pas peur qu'on se fasse surprise, parce que c'est risquer, on pourrait nous entendre.. Mais franchement j'en ai rien à faire. Il veut que je me lâche.. Pas de tabous !

- Tu m'aimes pour un tas d'autres choses j'espère.. Attention je ne répond plus de moi même !

Je me laisse glisser, lui a encore son pantalon et il est en trop, vraiment en trop. Je lui ouvre presque violemment celui ci pour le tirer avec son aide tout de même. Le voilà en caleçon, je peux constater toute la grandeur de son baiser. Je me mords la lèvre sentant une vague de picotement en moi l'excitation grimpe d'un niveau. Elle est loin d'être au sommet, mais je dirais que je suis plutôt très bien partie. J'ai l'impression presque de me jeter contre lui. Nos corps se collent, ainsi que nos lèvres. Il veut une tigresse, il va l'avoir. J'entame un série de mouvement de bassin contre son sexe pour l'exciter encore plus, déposant des baisers fiévreux dans son cou.. Je veux le rendre fou..



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Mar 19 Juin - 15:56

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La voie était libre. L'endroit n'était pas le plus romantique, il y avait beaucoup mieux. Cependant, je n'avais jamais pensé faire l'amour dans une loge - avec le risque de se faire prendre sur le fait à tout moment. C'était tout de même excitant. La peur, le danger, l'interdit. C'était toutes ces choses qui faisaient frémir, qui mettait du piment dans un moment intime. C'est peut-être pour cette raison que certaines personnes aimaient faire l'amour dans un endroit public. A vrai dire, je trouvais cela excitant aussi, comme faire l'amour dans la piscine de Bliss avec le risque de se faire voir par un paparazzi. Cependant, je n'avais pas non plus besoin de tout cela, rien que la présence de Bliss et de ses baisers me mettaient dans un état second.

Je savais aussi l’effet que je lui faisais. C’est ainsi que je m’attendais très bien à la voir se jeter sur moi lorsque je l’allumais en retirant mon t-shirt. C’était drôle de voir l’effet que l’on se fasse l’un et l’autre. Nous étions comme des aimants, on ne pouvait pas se séparer. Chacun était la drogue de l’autre, la personne qui animait la flamme en l’autre. Nos baisers n’étaient pas que des baisers. Non. C’était des promesses, des preuves d’amour, une façon de se dire « je t’aime » sans se le dire. De plus, mon corps ne désirait que Bliss. Peut-être travaillais-je avec des femmes sublimes, mais celle qui me rendait fou, c’était Bliss, personne d’autre. Je ne voyais pas qui d’autre pourrait me faire autour d’effet.

Lorsqu’elle m’embrassait. Je pourrais jurer que je pourrais m’envoler, je sentais cette électricité, comme un choc, cependant, le choc électrique était agréable, j’en redemandais même. Je m’accrochais à ses lèvres, nous laissant retomber sur le divan. Certes, ce n’était pas l’endroit le plus pratique. Je trouverais mieux pour « improviser » comme nous l’avions dit. Bliss se transformait en une véritable tigresse. C’était tellement excitant lorsqu’une femme prenait le contrôle. Je n’étais pas soumis pour autant, juste les voir dominer, bon dieu ça me rendait fou ! Elle me rendait déjà fou alors que nous ne faisions que nous embrasser. Nos corps se collaient l’un à l’autre, mes mains parcouraient ce corps parfait, sans une once de défaut selon moi. Ce n’était pas de son avis, mais qu’importe, pour moi, elle était parfaite. Son corps m’appartenait et je ne comptais pas le laisser partir ainsi.

J'avais déjà chaud, mon corps s'enflammait alors que nous nous battions pour retirer mon pantalon. Ce dernier fut envoyé d'un coup dans la pièce - je n'ai aucune idée de l'endroit où il atterrit. Je m'en contrefiche à dire vrai. Tout ce que je vois, c'est Bliss. La femme que j'aime, aussi belle que jamais avec ses longs cheveux blonds ondulés, ses courbes parfaites, sa poitrine ferme et ses si beaux yeux. Je l'assenais d'un baiser fiévreux, la température montait peu à peu. En rompant le baiser, je lui mordais la lèvre, comme si je désirais la dévorer, mes mains passaient dans ses cheveux. Elle ne répondait plus d'elle-même ? Je n'étais plus moi-même. Alors, elle commençait à faire des mouvements de bassins contre moi, j'échappais un gémissement entre deux baisers, passant mes mains sur ses fesses pour augmenter ses mouvements que j'accompagnais aussi par des coups de reins.

Elle descendait ses baisers dans mon cou – mon point faible. Je poussais un long soupire et mes paroles ne furent qu’un murmure « Tu me rends fou… ». J’attrapais à nouveau ses lèvres comme si elles m’étaient indispensables pour vivre. Je nous relevais, je tanguais légèrement sous l’excitation. D’un revers de manche, j’enlevais les papiers qui se trouvaient sur le comptoir et y déposait Bliss. Le baiser était tellement fort qu’elle se cambrait sous mes mains, je la retenais néanmoins. Mes lèvres quittèrent les siennes, descendant dans son cou. J’embrassais ensuite ses épaules puis descendait mes lèvres entre ses seins, je me retrouvais bloqué par un bout de tissu « ça c’est en trop ». D’une main experte, je la débarrassais de son soutien-gorge. Je lui mordillais la peau, poussant un grognement et embrassait sa poitrine pendant que mes mains parcouraient son corps et l’une d’elle descendait vers son intimité. Je m’accrochais à nouveau à ses lèvres, caressant son entre-jambe par-dessus son dernier bout de tissu.
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Jeu 21 Juin - 2:03

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Je ne vais pas refaire un cours sur le désir, de plus la philosophie n'a jamais été mon truc, je crois que je n'ai pas vraiment cela dans le sang, et puis j'ai loupé pas mal d'années d'études pour être une experte. Je sais tout de même que maintenant, tout de suite, j'ai plus qu'envie de l'homme qui m'embrasse. Je dois dire que je suis une fille plutôt chanceuse, je sors avec une star, et je ne sais pas combien de fille rêveraient d'être à ma place. J'évite d'y penser sérieusement je ne veux pas m'énerver maintenant, c'est juste impossible. Je chasse très vite cette pensée de ma tête et je me concentre sur les faits et gestes de mon petit ami, Peter. Car je sens que le désire est largement au rendez vous pour lui aussi. Je le sens dans ses gestes mais pas que.. Physiquement aussi.. et j'aime assez cela.

Je ne suis pas le genre de filles à être pudique en amour, je donne tout.. Peter le sait et je crois qu'il aime beaucoup, depuis je n'ai pas vraiment de tabous et je suis une fille totalement naturelle, le sexe fait parti de la vie, cela ne me dérange absolument pas de faire cela dans un lieu public, je dirais même au contraire, l'excitation est au rendez vous.. Je me souviens de ma première fois, c'était dans un endroit vraiment peu classe. L'arrière d'une voiture, c'était à l'anniversaire d'une amie et le capitaine de l'équipe de football américain, m'avait invité à m'y rendre avec lui, pour être sa petite amie. On est stupide à 16 ans. Enfin j'ai accepté bien sur car c'était surement le plus beau garçon du lycée ! Et une bière en entrainant une autre lorsqu'il a commencé à m'embrasser dans sa voiture j'ai pas su dire non, je ne regrette pas vraiment, parce que c'était bien, qu'il était doux et gentil et surtout qu'il ne m'a pas largué le lendemain, il a attendu que je tombe dans le coma pour cela. Je dirais que donc que Peter est mon deuxième petit ami, le deuxième avec qui j'ai couché, mais le premier après mon coma. Je me souviens aussi de notre première fois, dans un hôtel. On c'est rencontré à New-York lors d'un talk show, je devais parler de mon livre et lui venais pour me féliciter, quelque chose comme ça. Puis il m'a invité à boire une verre le premier soir, puis un dîner le second soir et dernier soir il est venu avec des fleurs et il est donc entré dans ma chambre d'hôtel. Sur le coup je n'ai pas spécialement pensé qu'un jour je l'aimerais autant, il me plaisait à l'époque, maintenant je suis dingue de lui. A ses baisers mon corps s'enflamment, il ne me faut pas grand chose lorsqu'il s'agit de lui. Et lui seul a cet effet sur moi.

Je le rend fou, ce sont les mots qu'il a utilisé un l'instant.. En un souffle c'est ce qu'il vient de m'avouer, j'en frissonne.. j'aime tellement lorsque je lui fais un tel effet c'est si plaisant ! J'ai l'impression d'être parfaite.. qu'à ses yeux je n'ai pas de défauts, et pourtant dieu sait que j'en possède une ribambelle ! Lorsque j'ai embrassé son cou il a semblé également aimé puisque je l'ai entendu longuement soupirer d'aise.. Je crois que j'ai trouvé son point faible. Alors que mes mouvements de bassins se font de plus en plus intenses je me sens soulever par ses bras. Je débarrasse des papiers le comptoir.. et m'y dépose dessus, je me mords la lèvre, c'est plutôt existant de tenter de nouvelles positions, endroits.. j'aime assez cette audace de sa part ! Rapidement il trouve que mon soutient gorge est en trop et me le retire habilement. Je frisonne et je me mords la lèvre pour ne pas gémir, histoire de ne pas faire trop de bruit, seulement lorsque ses lèvres embrassent ma poitrine je ne peux pas m'en empêcher, sérieusement tant pis, l'effet qu'il me fait est impossible à contrôler, ile st partout en moi, dans mes mains, ma poitrine, mes jambes, mon ventre, mes bras et même mes orteils.

- C'est toi qui me rend folle..

Mon coeur bat à toute vitesse, je frôle l'arrêt cardiaque, qu'on appelle une ambulance ! Je vais mourir d'amour ! Nos lèvres qui sont devenues inséparables continuent de se caresser. Nos baisers sont fougueux, langoureux et passionnés, plein de choses excitantes ! Je sens ses mains sur mon corps.. puis une plus aventureuse que l'autre descend à mon intimité. Sans retirer ma culotte je la caresse.. L'effet ne se fait pas attendre, une fois encore mon corps se cambre sous l'excitation et le plaisir qu'il me procure de cette manière. Je me mord la lèvre mais le son sort tout de même. Je me jette sur ses lèvres.. il veut jouer à ça ? Il veut donc la tigresse en moi.. il va prendre son pied ! C'est à mon tour d'être aventureuse, après tout pourquoi pas.. Je le veux au maximum de son excitation.. je descend donc moi aussi une main, mes lèvres ne quittent pas les siennes.. et ma main entre dans son boxer lui caressant l'entre jambe aussi avec des vas et vins. De cette façon je constate combien lui aussi à envie de moi.. Je ne veux pas que ce moment s'arrête.. il démarre trop bien..

© Mzlle Alice.

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Sam 23 Juin - 1:25

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Bliss & Peter

Keep me making love to you



Il fallait avouer qu’au début, ce n’était pas une mince à faire de séduire Bliss. A vrai dire, lorsque je l’avais rencontré lors de ce talkshow, je ne me serais jamais imaginé aussi fou d’une femme. En effet, lors de cette interview, j’avais placé quelques plaisanteries, la première n’était pas passé, elle m’avait même lancé un regard des plus froid. Cependant, j’avais réussis à briser la glace en lui parlant de son livre. A vrai dire, dès le départ, je la trouvais belle, cependant, c’était son naturel qui m’avait poussé à vouloir la séduire. En effet, lorsqu’elle avait accepté de boire un verre avec moi, elle s’était montrée si naturelle et franche, j’étais sous le charme. Lors du second rendez-vous, elle m’avait encore un peu plus par sa personnalité et par son sourire, et son regard. Bref, elle m’avait eu par toutes les parties de son être à la fois physique et mental. Ce n’est qu’au troisième rendez-vous que je tentais le tout pour le tout. Elle m’attirait déjà à l’époque, c’était indéniable, a peine m’avait-elle ouvert sa porte que je voulais goutter ses lèvres, sentir son corps contre le mien. Un bouquet de fleur, ça faisait toujours son effet avec les femmes. Ainsi, elle m’avait invité à entrer, nous savions tous les deux ce qui nous attendait si elle refermait cette porte. Je me souviens de cette électricité dans l’air lorsque nous nous étions regardé sans vraiment trop savoir quoi faire jusqu’à ce que je fasse tomber les barrières pour l’embrasser.

Aujourd’hui, l’électricité était toujours présente. De plus, les sentiments que nous avions envers l’autre rendaient tout beaucoup plus fort. En effet, nos débuts avaient été timide voir maladroits. A présent, plus rien n’était maladroit. Nous étions comme des animaux enragés ne désirant qu’une chose, mordre et dévorer l’autre. J’avais connu des tigresses au lit, cependant, aucune ne valait la reine des tigresses, j’ai nommé Bliss. Sa fougue n’était comparable à aucune autre. Il y avait de la passion dans nos baisers, dans nos caresses. Tout cela traduisait un désir irréductible, celui-ci ne faisait que de s’accroître. J’avais extrêmement chaud, du mal à respirer. De plus, il fallait éviter de faire du bruit. Je regardais le divan, c’était toujours le même refrain, je n’en pouvais plus de ce divan. J’irais ailleurs.

Alors, je l’attrapais pour la porter jusqu’au comptoir. Les papiers qui s’y trouvaient – important ou non, se retrouvaient par terre. Le corps de Bliss était en feu sous mes mains, je la sentais bouillir, je savais qu’elle n’était pas à son maximum. Elle s’était déjà montrée beaucoup plus désireuse que cela. Bientôt, son soutien-gorge tombait, m’offrant ainsi sa poitrine généreuse. Il y avait de quoi satisfaire un homme, c’était certain. Je laissais glisser mes lèvres sur cette dernière. Bliss était comme un fruit délicieux que je ne me lassais pas de goutter. Je poussais des grognements gloutons. J’en voulais plus, ce n’était pas assez, ce désir n’était pas rassasié. Je remontais mes lèvres jusqu’aux siennes, échangeant un baisé passionné. Tandis qu’une main plus aventureuse descendait vers son intimité. Cette dernière restait néanmoins par-dessus ce bout de tissu, caressant l’entre-jambe de la belle. Bliss échappa un gémissement. Je l’embrassais et soufflais « chut, on va nous entendre » je reprenais possession de ses lèvres afin de taire ses gémissements.

Tandis que je continuais mes caresses désireuses. Je sentais la main de Bliss s’introduire dans mon boxer. Je passais ma tête dans son cou, étouffant un gémissement. Je l’embrassais dans le cou, me tordant pour contrôler ce plaisir, cependant, j’échappais un cri. J’échangeais un regard avec Bliss et pouffait car je lui avais dit de faire doucement quelques minutes plus tôt. J’étouffais un nouveau gémissement « Ne t’arrêtes pas, continue » soufflais-je. Ma main passait à l’intérieur de sa culotte afin de caresser son intimité plus longuement, passant aux endroits qui procuraient du plaisir. De mon autre main, je lui attrapais les cheveux, l’embrassant avec passion. « Ma tigresse » soufflais-je. Mes caresses étaient plus prononcées, je lui retirais son morceau de tissu et mon boxer par la même occasion, me collant contre elle. Je l’allongeais sur le comptoir, descendant mes baisers sur son ventre puis vers son entre-jambe commençant par jouer avec son organe du plaisir. Si elle était une tigresse, elle n’allait pas me dominer aussi facilement. Son plaisir dépendait de moi.
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Sam 23 Juin - 3:47

Rumor Has It
♕ Peter & Bliss






Je ne sais pas comment définir la passion. Je pourrais plus mettre ce moment là, entre moi et Peter comme définition. Nous sommes passionnés. J'ai terriblement envie de lui, nos corps sont aimantés et impossible de les séparer. J'ai trop besoin d'être contre lui, de le sentir me toucher, m'embrasser, je veux son souffle sur ma peau, je veux ses lèvres sur les miennes. Je veux ses mains sur mon corps. J'ai besoin de lui pour vivre, c'est juste très simple, Peter c'est ma vie. Il a su prendre toute la place.. Je sais que pourtant au début cela n'était pas gagné. Je m'étais interdit de tomber amoureuse de lui. Après tout c'est une super star, j'étais persuadée de souffrir de cela. On sait tous que les stars peuvent avoir les femmes qu'ils veulent. Dans ma tête je n'étais qu'une lubie pour lui, il voulait la nouvelle fille à la mode et c'est tout. Pourtant j'ai accepté un premier rendez vous. Au début c'était en tant qu'ami pour moi. Mais il m'a montré un personnalité totalement différente de celle de Peter devant les caméras. J'ai été agréablement surprise. Et au deuxième rendez vous il avait mon coeur. Je crois qu'il l'ignorait.. enfin je ne sais pas vraiment. Le troisième il est venu me chercher chez moi, avec des fleurs. Il a brisé les conventions. Il m'a embrassé.. la porte c'est refermée.. nous nous sommes unis pour la première fois. Cela à tout de suite fonctionner avec lui.

Je savais que cette relation n'allait pas être de tout repos. Surtout en nous cachant. C'était une décision réfléchie, et vivement recommandée par l'agent de Peter. Moi ne voulant pas empiéter sur sa vie d'acteur et lui appréciant le fait d'être une star montante. Alors on l'a fait, on s'est caché. Et c'est toujours le cas. Nous sommes ensemble depuis peu de temps, quelques mois, à peine. Pourtant notre relation est passionné, terriblement indispensable pour l'un ou pour l'autre. On n'a pas le droit de le montrer mais la jalousie est de la partie. Lorsque je le vois comme tout à l'heure aux bras d'une fille terriblement belle je ne peux m'empêcher d'être blessée.. Mais c'est le quotidien de notre couple.. nous connaissons tous les deux l'amour qu'on se porte, mais la possessivité, la passion, l'amour, la jalousie, font que ce n'est pas rose tous les jours. J'ai tellement peur de le perdre.

Je me sens soulever. J'ai chaud terriblement chaud. Le fait qu'on puisse nous surprendre m'excite autant que ses caresses et baisers multiples sur mon coeur. Je l'embrasse, nos langues jouent et se cherchent, autant que nos corps qui cherche à se coller l'un contre l'autre pour s'unir. Mais il est trop tôt, le désir n'est pas à comble. Il peut être encore plus fort. Je sens une main aventureuse se glisser entre mes jambes. Celle de Peter bien sur, par dessus mon dernier sous-vêtement il caresse mon intimité. Je ne peux retenir ce gémissement. Peter m'embrasse pour l'étouffer me disant de faire moins de bruit. Je souris reposant cependant au baiser plutôt qu'à ses paroles. Il veut la tigresse alors ? Il va la trouver.. elle vient.. elle prend possession de moi et je ne peux plus m'arrêter.

Moi aussi je me la joue aventureuse, je glisse une main dans son boxer et je caresse son sexe réagissant à toute cette excitation. Lui qui me conseiller de ne pas faire de bruit le voila qui gémit à son tour. Son visage est enfoui dans mon coup, je me mords la lèvre presque jusqu'au sang pour retenir tout ce que je ressens, je vais exploser.. un gémissement m'échappe tant pis. Les gens ne doivent pas être derrière la porte à nous écouter. Je le sens mordiller mon cou, l'embrasser, j'aime tellement lorsqu'il fait ça.. nos moments intimes n'ont pourtant pas toujours été aussi passionnés et fougueux, au début ils étaient tendres et timides.. Puis nous avons pris conscience chacun des désirs de l'autre et aujourd'hui cela donne ça, nous ne nous contrôlons pas spécialement. Je dirais que le sexe a une place assez importante dans notre relation, sachant que nous sommes pas des experts en déclarations, c'est notre manière de nous dire qu'on s'aime.

Il veut que je continus les mouvements de vas et viens que j'entreprends sur son sexe avec ma main, je me mord la lèvre en lui souriant quelque peu, je fais un brève signe de tête pour lui faire comprendre qu'il n'a pas fini de prendre son pied. Lui passe sa main cette fois si à l'intérieur de ma culotte. Caressant mon entre jambe avec plus de passion. Impossible de garder la gémissement qui sort de mes lèvres. Il me fait de nouveau taire par un fougueux baiser.. et quel baiser.. il m'en coupe le souffle.

Oui je suis sa tigresse, je lui appartiens, je veux être sienne pour toujours, le plus longtemps possible, le temps qu'il me voudra comme élue de son coeur. Je grogne légèrement. Tigresse oblige, je suis féroce. Je sens ma culotte glisser sur mes jambes et ma main n'est plus dans son boxer, il prend le dessus et j'adore ça. Je sens une légèrement pression pour que je m'allonge, ma main quitte son sexe et je sens ses baisers descendre. Des mes lèvres ils passent à mon cou, de mon cou à ma poitrine, de ma poitrine à mon ventre pour aller au bas ventre, puis entre mes jambes, à mon intimité. Tout mon coeur se cabre lorsqu'il joue avec mon plaisir. Retenant un gémissement que plusieurs personnes pourraient entendre. Mes mains caressent ses cheveux, tandis que je frisonne de partout. Non pas l'orgasme, pas tout de suite, quoi que je dois avouer qu'il n'est pas loin, mais je sais le retenir. Je veux plus toujours plus. Je me laisse aller au bien être que ses baisers sur mon intimité me procure. Mon coeur bat trop vite, il risque de s'arrête, je vais mourir. Je me dis ça à chaque fois, pourtant je ne me sens jamais aussi vivante que lorsque nous faisons l'amour Peter et moi.

- t'arrête pas, je gémis presque.

Mon corps en redemande, je ne le contrôle pas. Plus du tout, mon bassin ondule sous l'excitation, il veut plus. Je profite encore un peu.. mais je sens que le moment vient. Je le veux.. Je me redresse pour récupérer ses lèvres. Toujours aussi chaudes et douces. J'enroule mes jambes autour de ses hanches. Nos corps se plaquent l'un contre l'autre et nos lèvres se heurtent. Je gémis presque à chaque respiration. Nos corps sont en sueur.

- Mon dieu ce que je t'aime..

J'arrive à souffler ses mots. Mais ils perdent.. mes lèvres passent dans son cou, je retiens de gémir plus encore. Puis enfin on s'unit. Peter entre en moi.. Je me mords la lèvre..Ma tête bascule en arrière, mon dos se cambre.. la désir nous habite. Nos peaux claquent sous les vas et viens. Un fort gémissement m'échappe, j'étouffe un léger rire.. j'ai fait du bruit sur ce coup.. mais impossible de le retenir..

Je passe mes bras autour de sa nuque et j'enfouis mon visage dans son cou pour calmer mes gémissements, j'aimerais qu'il n'arrête jamais.

- Peter.. continue..

Je le supplie presque.. j'aime tellement le sentir en moi.. le désir qu'il me procure reste le plus fort.. rien n'est comparable à ça.. strictement rien..

© Mzlle Alice.

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Lun 25 Juin - 15:42

Rumor has it
Bliss & Peter

Feel the heartbeat in my mind



L’atmosphère était électrique. Il faisait extrêmement chaud. Je ne serais pas surpris s’il se formait de la buée sur les vitres. La passion m’habitait. Je n’étais à présent plus maître de moi. C’était mon désir qui me contrôlait. Je me sentais partir comme si je perdais pied. Mon cerveau était dans un brouillard, je n’étais pas conscient de tout ce qu’il se passait, comme possédé. Les instincts primitifs, l’envie de grogner, de mordre, de jouer. Je mordais tout ce que je trouvais chez Bliss, en passant par son cou, son épaule et sa lèvre inférieure.

Il fallait l'avouer, le sexe était la base de notre relation. Il exprimait beaucoup de choses que nous étions incapables de nous dire. En effet, Bliss et moi n'étions pas des professionnels de la déclaration en mettant notre âme à nu. Il ne se passait pas une semaine sans avoir notre dose quotidienne d'amour, comme si nous étions accro l'un à l'autre, comme une drogue qu'il nous fallait prendre. Je savais que si Bliss venait à me priver de sexe, je tournerais en rond, je serais frustré. Il fallait l'avouer, je ne pourrais pas m'en passer. Cependant, je ne serais pas capable d'aller voir ailleurs pour autant, car j'étais accro au sexe certes, mais accro au sexe avec Bliss.

Nous nous transformions tous les deux en animaux lorsque nous faisions l’amour. Ce n’était pas que moi. Chacun devenait la proie de l’autre, le jouet de l’autre. Bliss était ma proie, celle que je voulais dévorer comme un félin affamé. « Laisse-moi te dévorer ». Murmurais-je entre deux baisers, je poussais un grognement, caressant son intimité. Je tentais d’étouffer ses gémissements en l’embrassant, il fallait rester discret quand même. Mais parfois, c’était trop fort, c’était impossible de garder cela. C’était encore pire lorsqu’elle prit possession de mon entre-jambe. Je tentais de calmer mes grognements, mes gémissements. Mon cœur menaçait d’exploser, j’étais en sueur, soumis au plaisir que Bliss me procurait. En effet je prenais mon pied. Je voulais qu’elle aussi, ce serait trop égoïste de ne pas partager ce plaisir.

Je descendais mes lèvres dans son cou, mordant ce dernier, puis je parcourais son corps de mes lèvres, m’attardant sur sa poitrine qu’elle m’offrait, la couvrant de baiser. Enfin, je descendais sur son ventre, lui mordillant la peau en poussant un grognement, enfin, je trouvais son bas-ventre jusqu’à son intimité. Je lui tenais les jambes et commençait à jouer avec son plaisir. L’effet fut immédiat lorsque je l’entendais gémir, la sentant se tortiller dans tous les sens. Cela m’encourageait à continuer, de façon beaucoup moins timide. C’était un réel plaisir de lui procurer un tel plaisir.

Alors, elle se redressait. Nos lèvres se retrouvèrent dans un long baiser langoureux. Mes mains parcouraient son dos et ses jambes. Nos corps se collaient l’un à l’autre. Enfin, nous ne fîmes plus qu’un. La passion m’entrainait, je ne pouvais plus m’arrêter. Alors que nous gémissions en cœur, je ne pus m’empêcher de rire après Bliss qui n’avait pas pu se retenir elle aussi. Ma respiration était beaucoup plus haletante « Bliss ! ». Je n’ai pu me retenir de gémir son nom. Poussant des grognements dont je ne me savais pas capable de pousser. Je me sentais vivant plus que jamais. Alors, je la soulevais et me posais sur le divan, Bliss à califourchon sur mon. Nos corps se collèrent à nouveau, nos lèvres s’effleuraient. Nous nous retrouvâmes par terre, je continuais mes va-et-vient, appuyant mes mains sur le sol pour ne pas l’écraser. Je sentais l’orgasme arriver, non, je voulais tenir le plus longtemps possible. Je passais ma tête dans son cou, respirant bruyamment, gémissant de temps en temps. Afin d’augmenter son plaisir, ma main jouais avec son plaisir, mes mouvements de bassins se faisaient de plus en plus rapide. Jusqu’à ce que je ne tienne plus, un ultime gémissement, j’atteignais l’orgasme. Je restais un instant allongé sur ma petite amie, l’embrassant encore, entrelaçant mes doigts avec les siens « Je t’aime ». Lui soufflais-je en caressant son visage.
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Lun 2 Juil - 17:17

Rumor Has It
♕ Peter & Bliss






J'ai l'impression que mon coeur fait des bruits de batteries tellement il bat vite. Je me sens vivante..le plaisir qu'il me procure réveille chaque partie de mon corps, j'ai l'impression de le redécouvrir. Je ne retiens pas certain gémissement, j'ai beau me mordre la lèvres s'est très dur. Alors que Peter me procure un plaisir intense je me redresse pour retrouver ses lèvres. Nos corps se plaquent l'un contre l'autre tels des aimants. Il est brûlant, tout autant que moi. Nous sommes fiévreux l'un de l'autre, je ne pourrais plus m'arrêter, si la dépendance à une personne est une maladie, je ne veux absolument pas me faire soigner, j'aime trop être attachée à lui de la sorte. En un mouvement, presque parfait, il entre en moi.. Nous ne formons plus qu'un et je ne peux pas me retenir de gémi, je sais qu'on est censé être discret mais je n'y peux rien s'il me fait cet effet là.. Et puis l'endroit est existant, mon partenaire encore plus.. Je ne réponds plus vraiment de moi même. Tous les deux rions lorsque chacun gémit un peu trop fort..Forcément, nous désirons ne pas faire de bruit et voila que nous en faisons.

Je me sens soulever par les bras de mon compagnon, je n'y prête pas spécialement attention, on se retrouve sur le canapé, moi sur moi à onduler mon corps contre le sien. Je sens nos peau presque claquer sous la force de nos mouvements plus désireux que jamais, j'ai envie de hurler de plaisir, je tremble de partout, je retiens l'orgasme le plus longtemps possible même si je sais que je pourrais plus le faire bien longtemps. le sexe c'est ça.. on ne peut pas avoir un plaisir infinie..éternelle.. à ce moment là dieu que j'aimerais que cela ne cesse jamais.. Encore une fois sans trop comprendre comment nous finissons sur le tapis. Je ne cherche pas à savoir, je ne pense pas à ce genre de chose à ce moment là. Je suis bien trop occupée.. Je dois gérer mes gémissements et prendre mon pied. Bon sang, il est vrai que Peter se débrouille plutôt, non vraiment très bien !

Ses vas et viens se font plus rapides, il prend de l'assurance, il donne plus de force, je sais que c'est là fin, je suppose que lui aussi et qu'il se donne donc à fond. Je l'entends gémir mon prénom.. je m'en mord la lèvre.. Ses baisers caressent mon corps bouillant. Je calme mes gémissements en l'embrassant ou en mordillant son épaule ou son cou, ce que j'ai à porter de lèvres. Mes mains parcourent son dos.. il aura probablement une ou deux griffures, je ne contrôle pas ce qu'elles font derrière.. Lui aussi pousse des grognements de plaisirs.. Il enfouie son visage dans mon cou, je l'entends haleter autant que moi. Nous sommes deux dans un état de passion dévorante. Je sens parfois mon dos se cabrer.. sous l'effet du plaisir de ses as et viens de plus en plus forts. Des mains sur mon corps.. je ne résiste pas.. On pourrait me tuer sang fois je voudrais revivre ce moment de plaisir parfait et partagé.

Je sens l'orgasme arriver. Impossible de le retenir.. Ma bouche échappe de bruyant gémissements que je regrette, on pourrait les avoir entendu. Puis en un dernière mouvement lui aussi se donne à moi.. je me sens frisonner de partout. Peter reste un moment allongé sur moi, j'embrasse ses cheveux humide de sueur et je caresse son dos de mes doigts beaucoup moins félins qu'il y a quelques instants. Alors il m'embrasse et prend mes mains pour entrelacer nos doigts. Je serre les siennes et réponds tendrement à ses baisers. Je l'entends me chuchoter qu'il m'aime.. Je souris, le regardant avec tout l'amour du monde.. Je l'embrasse à mon tour.. plusieurs fois. Je l'attire contre moi, fermant les yeux et sentant son corps battre contre ma poitrine dans le même état. J'ai envie de lui dire combien je tiens à lui, combien 'jai peur de le perdre, à quel point il est important dans ma vie, mais ce rapport lui prouve.. Enfin je crois.. Les déclarations d'amour et moi ça fait trois, Peter est un peu pareil, chaque fois que nous faisons l'amour c'est une déclaration, à notre façon, nous vivons un amour passionné et caché, seuls les gestes arrivent un peu près à montrer ce que nous ressentons l'un pour l'autre.

- J'aime bien improviser enfaîte
... je finis par déclarer..

© Mzlle Alice.

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PETER ♣ Rumor has it /!\ hot

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