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 « T'es ma mire, j'suis la flèche que ton entrejambe attire... » Kat&Jay
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Anonymous
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Jeu 24 Mai - 18:02


    Je n'étais allé qu'une seule fois à l'Elbo Room avant ce soir là et j'en avais un mauvais souvenir. Drew m'y avait traîné des mois auparavant et nous n'avions pu profiter ni de la musique ni de nos bières: une ordre de groupies s'étaient incrustées à notre sortie entre pote afin de se faire signer les seins par Drew ou moi même. Honnêtement et vu leur jeune âge, j'estimais que c'était surtout l'autographe de mon ami batteur qu'elles désiraient mais le résultat était le même: nous finîmes noyés et broyés sous l'euphorie destructrice de ces pré-pubères en chaleur.

    Mais ce soir là, l'ambiance était différente. Pourquoi ? Oh, pour une myriade de choses plus ou moins agréables. Premièrement j'avais mis en cloque ma pire ennemie (ou tout du moins, c'était ce que je croyais). Deuxièmement je n'avais toujours pas annoncé à mon gosse de huit ans qu'il allait avoir un petit demi-frère ou une petite demie-soeur. Troisièmement ? J'étais père célibataire et je n'aimais pas cela. Bien des hommes disent aisément que le célibat rime avec liberté et sexe à volonté, mais pas moi. J'étais à deux années de la trentaine et après une bonne dose de relations plus ou moins sérieuses (mais toutes ratées), je culpabilisais sérieusement vis à vis de mon gosse. Il n'était pas déséquilibré, loin de là, mais une mère à temps plein n'aurait pas été superflu à son épanouissement.

    « Excusez-moi, la fille là-bas, la rouquine au bout du comptoir... elle est venue seule ? » Le barmaid acquiesça rapidement d'un signe de tête avant de retourner à sa clientèle. Voilà une vingtaine de minutes que j'étais assis au comptoir et je n'avais presque pas quitté des yeux cette charmante créature à la crinière de feu. Une pure beauté. Classe, élégance et finesse dans le regard. Plutôt Cabernet Sauvignon ou Rosé Château Sainte Roseline ? J'hésitais alors que je finissais ma bière le plus discrètement possible.

    « Je vous offre un verre et ce n'est pas négociable. Sauf si vous connaissez quelqu'un d'encore plus charmant que vous dans le périmètre. Il y a peut-être le grand barbu là-bas mais je ne pense pas être à son goût. » Cela sous-entendait-il clairement que je devais plaire à la jeune femme ? Peu importait... car elle, en tous cas, me plaisait grandement.



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Anonymous
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Jeu 24 Mai - 23:26

Et encore une dure journée de travail bien remplie. J’avais dansé pendant plus de dix heures, mes pieds étaient en sang comme d’habitude mais je devais passer tout mon temps à répéter pour le ballet que nous devions commencer à représenter pour clore la saison. Le lac des cygnes. C’était mon ballet préféré et j’avais été déçue de ne pas avoir été choisi pour jouer LE cygne mais je suis rousse et les rousses n’ont pas beaucoup de chances dans ce métier. « Tu comprends Katniss, il y a trop de feu en toi, trop de passion, tu n’es pas assez douce. » Mais quelle espèce de sale con à la noix. Katniss, la fille du feu. On dirait que toutes les Katniss sont des rebelles. Oui, j’ai lu Hunger Games et même si je n’approuve pas ce qu’ils ont fait à Peeta, ils ont raison sur le sujet Katniss. Nous sommes des calculatrices arrivistes qui choisissent leur entourage en fonction de leurs survies. J’étais amie avec les gens uniquement par intérêt. Quoiqu’il en soit, je me retrouve à l’Elbo Room pour remplir ma dette et je regardai les gens avec une mine satisfaire, réjouie pour me trouver mon chemin jusqu’au bar et essayer de commander quelque chose. Je voulais des cacahuètes. Mais je n’y avais pas le droit. Rien de gras. Bordel, un jour, j’allais bouffer un immense hamburger devant ce fils de pute de metteur en scène et lui carrer son emballage bien profond dans le fion. Direct et au moins, il aurait le colon rempli autrement que par… Bref, trêve d’images salaces. Je passe une bonne soirée avec un drôle de breuvage entre les mains. Mais qu’est-ce donc ? Je jette un regard suspicieux à cette chose avant d’échanger mon verre avec celui de Bourbon du mec d’à côté. Il est trop beurré pour se rendre compte de quoique ce soit. Je porte le verre à mes lèvres avant de voir un mec qui a les yeux braqués sur moi. S’attendait-il à ce que je grimpe sur le bar et à faire la danse de Coyote Girls ? Je lui fais coucou mais je pensais le décourager, pas l’inverse. « Fais chier, murmurai-je pour moi tandis qu’il s’approchait de moi. » Je tourne donc la tête vers lui avant de boire ses paroles.

Il n’est pas laid mais sa manière de m’aborder à une façon de me hérisser le poil qui ne me plaît guère. Un brin d’humour et il voulait me payer un verre intéressant. Je m’approche donc doucement avant de lui sourire. Je ne suis pas une prédatrice. Bon, certes on me compare souvent à une lionne mais généralement, les mecs viennent me chercher et j’écarte mes jambes de gazelles pour les satisfaire. Ce soir, ce beau châtain me donnait envie de faire la conversation plutôt que d’entamer la discussion avec son pénis. « Je suis plutôt bourbon et je suis certaine que vous ferez un très joli couple. Quoique vous êtes un peu… » Je jette un coup d’œil à ses jambes. « Court sur pattes. Peut-être les aime-t-il grand et chauve ? » Je hausse un sourcil avant de porter à nouveau le verre à mes lèvres pour boire une gorgée. Voyons voir un peu ce que voulait ce soir. Histoire d’un soir ou d’une vie ? A voir. Quoiqu’il en soit, il n’aura ni l’un ni l’autre.
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Anonymous
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Ven 25 Mai - 17:39

    Court sur pattes. COURT SUR PATTES ? D'accord, soit. Cette fille était taillée comme une mannequin (si elle n'en était pas une), elle avait donc légitimement le droit d'évoquer mon (léger) complexe physique. Un mètre soixante quinze, et alors ? J'avais toujours plus ou moins bien (surtout moins) vécu le fait de fréquenter des gazelles sensiblement plus grandes que moi mais je rejetais la faute sur les talons. Ah, les talons. Abominations, suppôts de Satan. Christian Louboutin était le gourou, Emilio Pucci le bras droit. Tiges délicates et tentatrices faites pour émasculer un homme d'un mètre soixante quinze, un homme comme moi.

    Je souris. Si j'avais un avis préconçu sur les talons, j'en avais également un vague sur les rousses. Tout d'abord, je découpais les 'crinières flamboyantes' en deux catégories opposées: les douces et les voluptueuses. Ces premières étaient rêveuses et aussi légères que leur peau demeurait fine et pâle. Les secondes, c'était les Miranda Hobbes. Comment, vous ne connaissez pas Miranda ? Cette rousse faisait partie du quatuor vaginal de la série Sex and the City et elle était, disons... dominatrice ? Grande gueule ? Explosive ? Exactement, explosive. Pour information, je n'ai jamais vraiment regardé cette série qui (je pense à juste titre) est réservée à la gente féminine; cependant mon ex-femme en était une fan inconditionnelle et il m'arrivait parfois d'entendre des bribes de certains épisodes alors que je sirotais tranquillement ma bière sur la terrasse. La nana devant moi était clairement une Miranda Hobbes (avec un sex appeal plus développé, cela allait de soi). Ce genre de filles délicieusement tentatrices mais aussi, en un sens, castratrices. « Personne ne se méfie des gens "courts sur pattes". Comme ça, je suis plus apte à les surprendre. »

    Je n'avais pas besoin de développer ma pensée, je n'avais que trop entendu de remarques vis à vis de ma taille. Aussi bien douze ans auparavant alors que je me lançais dans la boxe que le mois dernier au rayon fruits et légumes frais du Wal-Mart. "Oh, je vous imaginais plus grand que ça !" Oui, et ? Ma taille était presque plus légendaire que mon palmarès sportif. Petit mais teigneux ? N'épiloguons pas.


    Pinot noire, bière ? Bière, pinot noire ? Mon côté distingué cherchait à concurrencer la facette décontractée de mon esprit. En vérité, j'avais terriblement envie d'une bière et je m'en fichais bien de ce que pouvais penser la jeune femme à côté de moi vis vis à de ma consommation. Si elle ne voulait pas de ma présence, il lui suffisait de me le dire clairement. Jusqu'à lors, je la trouvais beaucoup charmante pour la laisser tranquille. « Une pression s'il vous plait. » Techniquement, les sportifs ne doivent pas boire de tels breuvages, à cause des calories. Mais je m'en fichais. Je fumais et buvais de l'alcool tout en gardant un minimum de tonus musculaire. La fumée conservait ma chaire et les liqueurs faisait macérer mon corps afin de le préserver du temps. D'accord, je l'admets, ma théorie était entièrement erronée... mais me permettait de continuer à accomplir mes vices sans trop de culpabilités. « Qu'est-ce qu'une fille de votre acabit vient faire seule ici ? L'amour de la musique ou l'envie irrésistible de boire le bourbon des poivrots du comptoir ? »

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Anonymous
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Mar 29 Mai - 20:11

Les bars, la musique, cela fait tellement cliché mais en plus ajoutez-y une jolie fille (pour ne pas dire sublime, moi bien sûr) et un garçon plutôt potable (lui.) et vous obtiendrez un bon cliché de films. N’importe quoi franchement. Je ne demandais rien à personne et à vrai dire, j’ignorai du pourquoi j’étais là à la base. Sans doute pour me sortir de mon quotidien parce que c’est vrai qu’il faut être réaliste, mon quotidien craint un peu. Une coloc avec un mec bizarre, une confidente New-Yorkaise mariée avec une vie pépère, une meilleure amie à tendance drama queen et je ne partirai pas sur le sujet de mes parents biologiques ou adoptifs parce que sinon, il me faudrait plus qu’un verre de bourbon. Le bourdon, qu’est-ce qui m’avait prise de dire que j’aimais le bourbon ? J’avais vu cette réplique dans Mission Impossible 4 et je l’ai trouvé très classe. Bon la fille avait un décolleté plus relevé que le mien cependant. Dommage. Mère nature ne m’a pourtant pas épargné en ce qui concernait ma poitrine. J’en suis plutôt fière quand je voyais toutes ces nanas incapables de remplir les mains d’un honnête homme. En l’occurrence les mecs qui ne sont pas présents dans ce bar parce que ceux-ci me semblent un peu louches.

« Vous savez, on dit souvent que les hommes les plus trapues sont les mieux montés. Je ne sais pas pour vous mais je n’ai aucune intention d’aller mettre la main au panier si vous voyez ce que je veux dire. » Je lui souris avant de boire une gorgée de bière et de le voir commander une bière. C’est risqué dis donc. Un homme qui aborderait une jeune fille pour la draguer prendrait un whisky afin de sentir mâle tandis que lui prend une bière. J’avale donc mon verre cul sec avant de commander la même. « Une bière est plus désaltérante que mille whiskys vous ne pensez pas ? Soufflais-je tandis que le barman me rapportait ma commande. » J’aime bien la bière même si je n’ai pas le droit d’en prendre. Ça fait grossir et quand tu prends un kilo dans ma profession, tu te fais vite taper sur les doigts. Ou sur les fesses. J’avais mal, rien que d’y penser. Je jetais un coup d’œil sur mon nouvel ami avant de voir que lui n’avait pas un poil de graisse par contre. Ou alors, il y a tromperie sur la marchandise. Oh non, je ne pense pas. J’écoute sa question avant d’essayer de trouver une vacherie à lui lancer avant de me tourner à nouveau vers son visage pour accrocher son regard. « J’attends le prince charmant mais il est pris dans les embouteillages à ce que je vois. Dommage, je vais devoir retourner dans ma tour et me languir de sa présence. Et vous ? Vous cherchez quoi ? La femme parfaite – qui n’existe pas – ou une personne pour remplir vos draps l’histoire d’un soir parce que bon, inutile de nous mentir… Vous n’êtes pas ici pour la qualité de la musique. Qui est affreuse et croyez-moi, je m’y connais en musique. » Je lui tendis alors la main. « Katniss Blackford, enchantée de faire votre connaissance heu… ? »
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Anonymous
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Jeu 31 Mai - 16:39

    Elle parlait trop, beaucoup trop. Non, en fait le problème était plus pointilleux: elle parlait certes, mais avec assurance. Était-ce un suis-moi-je-te-fuis prématuré ? Je bus une gorgée de bière tout en haussant un sourcil, plus surpris qu'excité. Je n'attendais pas qu'elle me propose son corps en trois secondes chrono (j'avais d'ailleurs horreur de cela) mais la voir aussi directe vis à vis de mon approche me stoppa en plein élan.

    Nouvelle gorgée. « Tout dépend de la soif que l'on a à étancher. » Phrase la plus ambiguë et la plus déprimante de mon répertoire. Non, rien d'un temps soit peu lubrique m'était passé par l'esprit dès l'énonciation de celle-ci. Étrange ? Non. Les phrases salaces au bout de cinq minutes de conversation avec une inconnue, n'était-ce pas rédhibitoire ? Quoique, elle avait bien parlé de ne pas me mettre la pain au paquet.
    Il n'empêchait que les deux soifs que je venais d'évoquer faisaient partie d'une théorie très simple: la bière pour se désaltérer, les mille whiskys pour oublier. Mais même ces derniers ne pouvaient remplir leur tâche, ils n'étaient qu'éphémères et ma peine éternité.

    Je ne pus m'empêcher de rire lorsque ma charmante interlocutrice me déblatéra de son impressionnante verbe ce qu'elle avait à dire. Il n'y avait pas à dire, cette fille avait une fougue peu commune dans le regard, le sourire, la voix. Certes, il y avait une myriade de belles rouquines à San Francisco mais que vouliez-vous que je fasse ? Que je leur cours toutes après ? Celle ci était là, assise à côté de moi et nous ne faisions que discuter sans remous. « La femme parfaite qui n'existe pas ou une nana pour combler mes draps... je me tâte, j'avoue que le choix est assez restreint. Je dirai seulement à la recherche du plus fidèle compagnon de l'homme -non, pas le chien-, mais un bon vieux comptoir à poivrots comme celui là » dis-je en tapotant le bois du meuble sur lequel reposait ma bière fraîche. Si cela ne tenait qu'à moi, j'aurais déjà commandé quelques Scotchs afin de me plomber l'esprit mais hélas, je culpabilisais trop vite pour me permettre un tel dérapage à un tel moment. « ... Jared Fever, ni prince, ni charmant. Tout le plaisir est pour moi. » C'était le cas de le dire. Alors que sa main empoignait la mienne, sa peau douce effleura la mienne. Un contact doux et agréable, comme des joues de bambin. Mais Katniss n'était pas un bambin. Elle était cette sublime rousse devant moi, à la fois castratrice et voluptueuse comme peu d'autres femmes. Ses paroles me rebutaient autant qu'elles m'attiraient. Était-ce donc une maudite tactique complexe dont les femmes aimaient user ? Peu importait, j'étais sur le marché alors pourquoi ne pas tenter sa chance ? « Alors Katniss, que faites-vous -fais-tu- dans la vie à part attendre le prince charmant ? Tu rêves de ton futur carrosse et de tes cent chevaux blancs peut-être ? »


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Anonymous
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Mar 12 Juin - 9:51

Joli garçon vraiment mais pas doué pour draguer les filles, je me trompe ? C’est vrai que ça se voyait qu’il était un petit peu perdu l’animal. Je le regardai avec un sourire tandis que je lui débitais un flot de conneries qui aurait pu noyer le plus sceptique des hommes. Mais non, il reste là, accroché à son siège comme une moule à son rocher en me fixant comme si je disais quelque chose d’intéressant. Merde, je ne dis jamais rien d’intéressant sauf quand je parle de danse mais bon, je n’allais pas me mettre à parler technique avec un mec comme ça. Son imposante musculature démontrait que ce jeune homme ne devait pas beaucoup se rendre à l’opéra, je me trompe.

Je le regardai prendre une nouvelle gorgée avant de rire à sa remarque. « Ah mon cher, je pense que vous n’avez pas l’habitude d’aborder des femmes comme moi… S’il faut savoir quelque chose sur moi, c’est que j’ai l’art de mettre les pieds dans le plat. » Pas faux, pas faux. Je suis une abominable garce qui déteste les gens. Mais bon, on ne peut pas tout avoir. Je le regardai toujours morte de rire car il semblait tellement gêné mais je n’y étais pour rien moi. Même quand mes parents –adoptifs- parlaient avec une certaine contenance, j’arrivais avec ma douceur et mon calme pour tout balancer comme d’hab. Alors pourquoi me retiendrais-je devant un mâle ? Etre pourvu d’un pénis mais dépourvu d’un cerveau. Mais celui-là semblait enclin à une certaine discussion. Du moins, je pense parce que sinon, il allait se bouffer ma main dans la figure et mon pied où je pense. Je n’ai jamais eu peur de frapper là où ça fait mal. Et frapper, les gens c’est mon domaine. « Votre air me dit quelque chose… » Je cherchai parce que c’est vrai que je l’avais déjà vu quelque part mais où ? Je bus alors une gorgée avant de réfléchir. Hmm, je ne voyais vraiment pas.

En tout cas, il avait un rire agréable. Très agréable. Une belle gueule, une voix sympathique et un rire agréable. Mais ne dit-on pas que pour mettre une femme dans son lit, il faut la faire rire ? Je n’en sais rien. Moi, ça n’a jamais été le cas. Pour me foutre dans son lit, il faut me faire à bouffer avant. Tu me fais un repas et j’écarte les cuisses tout de suite. Enfin, non, je mange avant. Mais bon, n’ayant pas beaucoup de vie sexuelle, cela voulait dire avant tout que je repoussais trop les mâles. Mais bon, quand les besoins seront trop prenants, je trouverais quelqu’un pour salir mes draps. « La femme parfaite existe, je suis devant vous. Pardon… Ceci est une blague de mauvais goût et vous avez raison, les comptoirs y’a que ça de vrai. » Dis-je le caressant du plat de la main. Je lui souris quand il me dit son nom avant de passer une dans mes cheveux. Ah mais ça y est, je le remettais. « Vous êtes le boxeur ? Je me disais bien que je vous avais déjà vu quelque part, dis-je en me tournant vers lui et en croisant les jambes, j’ai appris que vous alliez au Jeux Olympiques ? On se verra sans doute là-bas alors. J’y vais aussi mais pour encourager des amis. » Je ris avant de commander un autre verre mais sans alcool cette fois-ci parce que je tenais mal. « Je suis danseuse dans la compagnie de l’Opéra de San Francisco. En gros, ballerine quoi. Avec le tutu et tout le tralalala. Vous avez déjà vu un ballet ou pas ? »
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