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 « La beauté est une cruelle maîtresse »
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Mar 27 Mar - 23:02

« La beauté est une cruelle maîtresse » Annabeth3

    J'avais été parfaitement gentleman et ma proie particulièrement entreprenante. C'était donc avec un enthousiasme certain (et provoqué par les quatre coupes de champagnes, les trois martinis et les incalculables vodka orange) que je me dirigeais jusqu'à la chambre 351, au Palace Hôtel.
    Je jetai un bref coup d’œil à ma montre. 3h17. Il n'était pas assez tard et j'étais bien assez éméché pour que je puisse remercier intérieurement Isys. Ma charmante (pour ne pas dire sulfureuse) ex-petite amie m'avait présentée ses collègues mannequins ce soir, et mon dévolu s'était instinctivement déposé sur Ambre. Cette dernière était si magnifique que ma puérile "grève du sexe" fut interrompue dès qu'elle me dit de la rejoindre au Palace. Comment dire non ? Impossible. Même l'homme le plus gay du monde n'aurait pu résister à ce regard d'ange faussement doux et chaste.
    DING. L'ascenseur s'arrêta au bon étage. J'en sortis calmement, essayant d'aligner mes pas de la façon la plus naturelle possible. L'alcool me chauffait la gorge mais n'avait pas d'emprise sur mon esprit: hormis une légère euphorie, j'étais parfaitement capable de contrôler mes faits et gestes. 345, 347, 349... 351.

    Je me repassais calmement la soirée dans ma tête. D'abord le défilé. Quelques jolis bouts de tissus sur une bande de minettes trop jeunes et trop maigres, des photographes surexcités, un front row de people ahurissantes, des créateurs dingues se prenant pour Dieu. Et l'after. Des cocktails, tout le gratin de San Francisco, de larges sourires hypocrites, une ambiance 'hype', de la musique branchée. Isys qui me présente ses collègues mannequins, et elle. Ambre. Une bombasse d'un mètre soixante-dix et des poussières, deux noisettes en guise de poitrine, un regard félin, un sourire charmeur. En bref, une beauté naturelle qui réveillait mes pulsions masculines profondes et violentes. Son côté prude m'excitait, comment le nier ? Mon bagou naturel me poussa donc à engager la conversation avec elle, bien que je n'avais absolument pas envie de parler. J'avais peut-être des principes de gentleman, mais au final, gentleman ou non, c'était son corps que je voulais.

    Toc toc toc. Trois petits coups sur la porte de la chambre 351 afin que la divine créature s'y cachant m'ouvre. Je ne dis pas un mot car en vérité, je n'étais même pas certain de pouvoir aligner une phrase. Quatre semaines sans sexe me faisait cet effet: je devenais un prédateur assoiffé, mais pas désespéré. Je ne me faisais clairement que des femmes de haut niveau et ce soir, Ambre allait en faire partie. Enfin... je l'espérais.


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Anonymous
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Mer 28 Mar - 0:59

« La beauté est une cruelle maîtresse » 110726052616888386


Poor little toy...

Ambre avait parfaitement défilé, comme d'habitude. Elle ne commettait jamais d'erreurs sur le podium, jamais. Ce soir sa tenue était une robe à moitié transparente, elle n'avait pas été autorisée à porter de soutiens-gorge en dessous, elle n'était pas complexée, mais il n'y avait rien à voir à ce niveau là. Et sa deuxième était simplement un maillot de bain, c'était la collection printemps/été. Puis vint l'heure de l'after. Réunion de peoples hautains, de créateurs imbus d'eux mêmes et de top models plus belles les unes que les autres. Cette petite soirée avait lieu au Palace Hôtel, dans une immense salle. Elle du d'abord aller enfiler une robe qu'on lui avait préparé pour l'occasion, plutôt courte et moulante, bustier et de couleur rouge. Inutile de dire que personne ne pouvait s'empêcher de la regarder. Elle avait été maquillée de façon plus sobre que pour le défilé évidemment et elle portait des talons moins hauts. Les célébrités hommes sont parfois vraiment petites et n'aiment en général pas être dépassés. Mais Ambre restait toujours cette fille au corps parfaitement fin et longiligne.
Elle pensait qu'elle allait s'ennuyer comme d'habitude, il n'y avait pas grand chose à faire dans ce genre de soirées à part boire et subir des blagues douteuses, mais comme ce sont des employeurs potentiels qui les font, il vaut mieux rire bêtement. Elle avait l'habitude de paraitre beaucoup moins intelligente qu'elle ne l'était réellement. Mais, dans cette soirée, une chose promettait de l'occuper un peu. Isys lui avait présenté un de ses amis, en entendant son prénom elle comprit que c'était ce fameux Jared, son ex petit-ami. Plutôt beau gosse et bien bâtit. Son age ne la dérangeait pas, les hommes s'améliorent avec le temps alors que les femmes flétrissent et pendent de partout. Toutes les filles étaient après lui pendant la soirée, mais Ambre n'était pas stupide, elle avait bien vu qu'il la regardait avec insistance. Alors elle avait fait de même, se demandant dans quoi elle s'embarquait encore. Ils parlaient tranquillement, pendant qu'elle sirotait des cocktails à la mode en lui lançant des regards plutôt explicites. Vers trois heure du matin elle réussi à l'inviter dans une chambre qui avait été réservée pour elle, sans que personne ne l'entende.
Elle était montée dans sa chambre, réfléchissant déjà à ce qu'elle allait bien pouvoir lui faire. Comme il mettait du temps à venir elle prit une douche rapide et se rhabilla, histoire d'être parfaite pour son petit plan. Ambre n'eut pas à attendre beaucoup plus longtemps après ça, trois petits coups se firent entendre à la porte 351. Elle ouvrit la porte à moitié, vérifiant que c'était bien Jared qui venait la voir et non un invité surprise qui risquerait de foutre en l'air. Il n'était pas très grand, mais qu'est-ce qu'il pouvait être sexy. Elle le regarda de haut en bas, elle était plus petite que lui à présent car elle avait enlevé ses chaussures et elle se sentit vulnérable un instant.

- Je pensais que tu ne viendrais pas.. j'étais triste tu sais.

Voix suave et petit sourire en coin, elle le laissa entrer, refermant la porte derrière lui. Franchement, s'il ne lui sautait pas dessus tout de suite il était complètement gay... ou fou.
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Anonymous
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Mer 28 Mar - 13:10

« La beauté est une cruelle maîtresse » Annabeth3


    Je fis rapidement craquer mes vertèbres alors qu'Ambre ouvrait la porte de sa chambre. Un visage poupin, délicieux, sage et innocent mais une femme aussi belle qu'elle ne pouvait pas être aussi blanche et pure qu'elle ne le paraissait. Elle maniait parfaitement son pourvoir de séduction sur les autres personnes et je m'en fichais. Je désirais la même chose qu'elle... ou tout du moins, je le pensais. « Je pensais que tu ne viendrais pas.. j'étais triste tu sais. » Sa voix était incroyablement délicate et sexy même si je me doutais bien qu'il y avait une bonne dose d'exagération dans ses dires. « J'ai promis... » me contentais-je de lui répondre.

    Je m’immisçais dans la pièce alors que ma divine interlocutrice fermait la porte derrière moi. L'atmosphère intime de la chambre me fit hausser un sourcil d'excitation. Mais je devais me contenir encore un peu, je n'étais pas complet obsédé et elle aussi, d'ailleurs, devait passer un bon moment. Cela faisait partie du deal sexuel: toujours donner au moins autant qu'on ne reçoit.

    Je retirais ma veste et la posa sur une chaise matelassée avant de me retourner vers Ambre. Je ne pus m'empêcher de hausser à nouveau un sourcil tant elle était divine. En une seconde je fus à sa portée, mes mains encadrant délicatement son visage. Dans une telle situation, je ne pouvais qu'être cash avec elle. Mes instincts de mâle me commandaient alors que mes lèvres vinrent à la rencontre ses siennes. Je sentis un long frisson me parcourir alors que mon corps entrait en contact du sien. Ma libido grimpa en flèche alors que chaque seconde me séparant encore de l'acte charnel me paraissait interminable. « Pas mal pour une jeunette » lui dis-je avec humour à propos du baiser que nous venions de partager.

    L'atmosphère n'était pas romantique mais plutôt emprunte d'une politesse cherchant à camoufler le désir sauvage émanant de mon corps, de nos attitudes. A ce moment-là, je ne me doutais pas de l'ampleur de ton sadisme, de ton excès de fourberie. Ton minois angevin me donnait de l'assurance, comme si je maîtrisais la situation en temps qu'aîné. Mais j'avais tort. Le pion, c'était moi.

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Anonymous
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Jeu 29 Mar - 11:39

« La beauté est une cruelle maîtresse » 110726052616888386


Poor little toy...

« J'ai promis... » de toute façon s'il n'était pas venu elle lui aurait arraché la tête, il avait fait le bon choix. Cette pensée n'avait fait qu'agrandir un peu plus son sourire, sans attirer l'attention sur ce qu'elle pensait à cet instant. Il déposa sa veste sur un siège, Ambre le regarda, ses bras surtout, légèrement moulés par sa chemise. Ça, ca lui plaisait. Et elle se dit qu'elle allait avoir beaucoup de mal à accomplir son plan sans craquer. Jared s'approcha, posant doucement ses mains sur ses joues, l'embrassant. Putain de merde, elle allait vraiment devoir se retenir. En plus, elle sentait tout le désir que sa future victime pouvait ressentir et elle semblait plus grande que jamais, elle n'aurait sut l'expliquer, mais c'était comme s'il n'avait pas couché depuis longtemps. Mais elle imaginait mal un homme comme lui ne trouvant personne pour le faire. Franchement, il faudrait être stupide ou folle pour lui dire non, Ambre était surement folle.
Sa remarque après leur baiser la fit sursauter intérieurement, elle s'était perdue dans ses pensées en l'embrassant, il fallait qu'elle se reprenne et se contrôle. Sinon, elle n'y arriverait pas. « Pas mal pour une jeunette » , pas mal ? Elle allait lui en montrer du « pas mal ». Après un sourire, montrant qu'elle savait qu'il riait, la jeune femme attrapa le col de sa chemise, les rapprochant beaucoup plus physiquement, puis elle l'embrassa avec beaucoup plus de conviction et moins de douceur. Elle n'était pas un « pas mal » elle était un « parfait », et il allait très vite le remarquer, ce n'était que le début. Tout en l'embrassant elle se mise à ouvrir sa chemise, bouton après bouton, extrêmement lentement. C'est ce qu'elle préférait, faire patienter l'autre et savoir que bientôt il ne tiendra plus, se jettera sur elle ou se vexera. Quelle que soit la réaction, c'était toujours drôle pour elle.
Elle fini par laisser tomber la chemise par terre, des t... tatouages... On essayait de la torturer ? Alors qu'elle avait prévu de ne rien faire avec Jared, le monde entier essayait de la forcer ? Si c'était ça, elle aurait beaucoup de mal à tenir. Mais il le fallait, en fait non, elle en avait juste envie. Mais, de moins en moins. Il fallait qu'elle l'attire vers le lit pour que tout soit à sa place, plus besoin de bouger avant de trouver où elle mettrait son plan à exécution. Quoi que, elle aurait apprécié d'essayer avec le radiateur, mais il l'aurait vu venir, alors que là, elle pourrait largement le prendre par surprise. Elle ne devait pas le forcer à y aller, juste l'attirer, pour qu'il croit encore contrôler les choses. Ambre recula légèrement, un sourire aux lèvres, et elle se dirigea vers le lit, attirant l'attention sur fesses en ondulant le bassin. Puis elle s'assit sur le lit, jambes parfaitement croisées. Ambre regarda Jared, elle se mordilla la lèvre inférieure, pour de vrai, le voir de haut en bas comme ça... Il fallait qu'il arrête de la mettre dans cet état. Elle ne dit rien, elle préférait ne rien dire pour ne pas foutre tout son plan en l'air.
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Dim 1 Avr - 18:20

« La beauté est une cruelle maîtresse » Annabeth3

    Si j'avais été amoureux d'Ambre en cet instant précis, j'aurais pu qualifier l'incroyable baiser qu'elle m'administrait de parfait.
    La pression qu'elle exerçait sur le col de ma chemise, la chaleur de son corps contre le mien, la fermeté de ses lèvres... tout frôlait cette perfection mais sans jamais l'atteindre. Pour être franc, je ne m'attendais à rien de particulier venant d'elle. Une nuit de plus avec un gars de plus pour elle, une nuit de plus avec une fille de plus pour moi.
    Ses doigts fins déboutonnaient ma chemise alors que ses lèvres continuaient à endormir toute vigilance en moi, comme absorbé par ces dernières.

    Planté torse nu dans cette chambre d'hôtel, mon regard se concentrait sur les courbes -bien que très légères- de ma charmante acolyte. Comment aurais-je pu voir qu'elle était le diable incarné alors qu'elle n'apparaissait qu'en temps que représentation de la Beauté à l'état pur ? Une fille gâtée par la nature ? Dire cela relevait de l'euphémisme, hélas.
    Elle croisait les jambes et mordillait sa lèvre inférieur. Mes pulsions masculines tentaient de contrôler mon esprit, ou tout du moins, c'est ce que je pensais. En vérité, l'affaire était déjà jouée. Le petit manège d'Ambre m'avait déjà ensorcelé.
    Alors que je grimpais sur le lit afin de la rejoindre, aucun mouvement, aucun regard, aucun non-dit auraient pu sous-entendre sa perfidie. Trop belle, trop cruelle; ma garde s'était trop affaissée ces derniers temps à propos des femmes. J'avais cru pouvoir instaurer ce lien d'échange et de plaisir mutuel à toutes mes conquêtes. Sans machisme ou de domination de ma part, sans goujaterie au saut du lit. Juste de quoi rendre le pêché de chair des plus agréables.
    Je poussais doucement Ambre en arrière afin que je puisse venir sur elle sans l'écraser, nos vêtements -ou ce qu'il en restait- pour seule barrière entre nos deux corps. Je me plaçais de telle sorte à lui laisser assez d'espace pour dégager si l'envie lui prenait, mais également de façon à être bien collé contre toi. Mes mains commencèrent à passer sur ton haut alors que je sentis une résistance de ta part...
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Jeu 5 Avr - 23:19

« La beauté est une cruelle maîtresse » 110726052616888386


Poor little toy...

Ambre savait qu'elle allait gagner, il était tombé dans son piège. Les hommes sont si stupides lorsqu'il est question de sexe: Un petit mordillement de lèvres, de jolies jambes et vous voilà partit pour une mauvaise soirée ! Elle regarda sa victime et se ravisa, si elle le regardait elle allait craquer. Elle ne voulait pas craquer, après tout, c'était beaucoup plus amusant de lui faire un sale coup. Cela peut paraitre étrange aux yeux de beaucoup de gens, mais Ambre préfère faire souffrir les autres plutôt que de coucher avec eux. Elle n'est pas asexuelle non, loin de là, mais.. elle a ses raisons. Et puis, coucher tous les soirs avec une nouvelle personne l'avait ennuyé, elle s'était lassée et surtout en avait marre de tomber sur des mauvais coups. Puisque, oui, quand on couche avec un inconnu c'est la surprise. Elle peut être mauvaise comme bonne. Alors qu'en faisait souffrir les gens, il n'y avait pas de surprise : soit elle exécutait son plan et était heureuse soit elle n'y arrivait pas et se rabattait sur quelqu'un d'autre. Mais ce soir, elle allait apparemment avoir Jared. Un joli trophée, on ne ridiculise pas un ex-champion du monde de boxe tous les jours.
Il s'approcha d'Ambre, l'allongeant pour se retrouver au dessus. Elle respira, discrètement à fond, putain. Il avait décidé de lui rendre la tache vraiment difficile. Et en voyant ses bras et son torse d'aussi près... non seulement elle bavait mais elle prenait peur en se demandant s'il ne pourrait pas riposter au moment fatidique. Peut-être devrait-elle coucher avec lui en fait, elle en avait envie alors pourquoi pas ? Elle se posait sérieusement la question. Se faire broyer le bras et se priver d'une bonne baise ou baiser mais ne rien y gagner ? Ambre ferma les yeux quelques instants, l'embrassant encore, ce qui n'était pas une très bonne idée pour se concentrer mais bon, elle était censée être sur le point de coucher avec lui quand même. Jared passa ses mains sur le haut de la robe d'Ambre, elle se décida aussitôt. C'était maintenant ou jamais, si elle attendait encore longtemps elle ne pourrait pas le retenir.
Elle attrapa doucement ses mains, un petit sourire joueur aux lèvres. Oh oui, ils allaient jouer, mais surement pas au jeu auquel devait s'attendre Jared. Elle passa dessus de lui, une jambe de chaque coté de son bassin. Elle le dominait, pendant un instant elle le regarda sans expression oubliant son rôle. Elle se rattrapa aussitôt en l'embrassant plus passionnément, il oubliait surement vite ce petit raté. Ambre tâtonna à sa droite, trouvant son sac. Ne me demandez pas pourquoi elle avait ça dans son sac, je n'en sais rien, tout ce que je sais c'est que ça y est. Elle continua de l'embrasser pour qu'il ne se rendre compte de rien, faisant le moins de bruit possible, agissant lentement mais surement. Puis, elle lui attrapa le poignet et en un éclair il était accroché à la tête du lit... avec des menottes. Ambre sauta du lit en prenant son sac, s'éloigner était la meilleure chose à faire, puis elle éloigna tout objet susceptible de l'aider à se libérer de lui. Elle le regarda, observant sa réaction, jubilant déjà.
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Ven 6 Avr - 21:50

« La beauté est une cruelle maîtresse » Annabeth3

    Ses baisers me plaisaient, ses sourires me plaisaient, sa plastique me plaisait. J'étais un homme ému par la beauté d'une parfaite traîtresse, envoûté par la sensualité de ses courbes. Elle avait cette sincérité singulière dans le regard, cette verve quasi-bestiale dans les lèvres... Peut-être étais-je de mauvaise foi, mais je ne puis qu'affirmer la chose suivante: aucun homme n'aurait pu deviner le jeu sournois qu'elle était en train de mener. Divine vipère, beauté cruelle. En langage commun, belle salope.

    Je n'y vis que du feu. Rien ne laissa présager ta traîtrise, pas même tes gestes rapides en direction de ton sac. Sincèrement, quel esprit aurait pu imaginer qu'un comme le tien pouvait exister ? Je m'en voulus avant même d'avoir identifié l'origine de la froideur s'étant refermée sur mon poignet. Du métal. Des menottes. Le terme de belle salope ne suffisait plus. « Dis moi que c'est une blague. » Mes lèvres encore humides de tes baisers de souriaient plus, mes sourcils étaient froncés. Ton euphorie soudaine et la distance que tu avais prise confirmaient mon hypothèse: tu comptais m'attacher non pas par fantaisie sexuelle mais par sadisme. « Détache-moi. » Je serrais les dents, conscient du ridicule de la scène. Je m'étais fait berner par une jeunette trop mignonne pour être sainte. Un ange démoniaque ? La comparaison allait loin mais n'était pas si exagérée que cela, au final.

    « Ouvre ces putains de menottes, je déconne pas là ! » dis-je plus abruptement que précédemment. Ton sourire perfide me navrait. « Si je te choppe ma petite tu vas morfler sévèrement » pensais-je tout en tirant mon bras emprisonné vers le reste de mon corps. La tête du lit se plia légère mais ne bougea pas outres mesures. J'étais doté d'une grande force mais -hélas- pas surhumaine et encore moins opérationnelle avec la dizaine de verres que je m'étais enquillé un peu plus tôt. La colère me montait à la tête alors que mon regard n'osait quitter le tiens. « Joue pas avec moi ma petite. Ne joue SURTOUT PAS à ça avec moi. » Mais le jeu était déjà lancé, le premier round achevé, KO pour le monsieur et victoire pour la demoiselle.

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Anonymous
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Dim 22 Avr - 13:26

« La beauté est une cruelle maîtresse » 110726052616888386


Poor little toy...

Ambre afficha un grand sourire lorsqu'elle vit son expression, il était perdu, complètement perdu. C'était logique, elle avait tout fait pour qu'il ne se doute de rien, il s'attendait à une baise et se retrouvait attaché à un lit avec des menottes. Pauvre petite chose. Elle n'arrivait pas à avoir pitié de lui, elle n'arrivait jamais à avoir pitié de ses victimes en général. Il avait voulu coucher avec elle, il avait prit le risque, il devait assumer. « Dis moi que c'est une blague. », il semblait lui rester un peu d'espoir à cet instant, mais il se rendrait bien vite compte qu'il ne devait rien attendre d'Ambre, elle ne le détacherait pas, il allait devoir se débrouiller pour s'en sortir. « Détache-moi. », espoir mélangé à la haine, il commençait surement à comprendre qu'elle ne ferait rien de ce qu'il lui dirait. Qu'il pouvait hurler ou même pleurer autant qu'il le voudrait, elle ne changerait pas d'avis. « Ouvre ces putains de menottes, je déconne pas là ! », elle ne disait toujours rien, souriant devant le spectacle pathétique qu'il lui offrait. C'était tellement drôle de le voir attaché, impuissant. Jared réussit tout de même à plier légèrement la tête de lit en tirant son bras. Elle sursauta légèrement, s'il pouvait faire ça elle se demandait ce qu'auraient étés les dégâts sur son corps fragile s'il avait été libre de ses mouvements. « Joue pas avec moi ma petite. Ne joue SURTOUT PAS à ça avec moi. », ok, cette fois il n'avait qu'une envie : la tuer. Elle pouvait clairement le lire dans son regard, qui ne quittait pas le sien. Elle n'avait pas particulièrement peur, il était dans l'incapacité de lui faire quoi que ce soit, mais elle commençait à se poser une question : « Est-il rancunier ? ». Si la réponse était oui, elle allait avoir pas mal de problèmes lorsqu'il arriverait à se détacher.
Ambre s'approcha lentement de lui, un sourire satisfait accroché aux lèvres. Ces lèvres qu'il avait aimé embrasser et qui devaient le dégouter après ce petit incident. Tant pis. Elle s'était assez approchée pour qu'il puisse la toucher, s'il la frappait elle se mettrait à pleurer et à hurler en courant dans tout l'hôtel. A lui de choisir si, en plus de sa réputation de drogué, il voulait que tout le monde pense qu'il aimait les menottes et frapper les femmes. Oh et aussi coucher avec des filles beaucoup trop jeunes pour lui. Il était coincé, quoi qu'il puisse faire, elle savait déjà comment riposter. Elle s'assit à nouveau sur lui, elle se retenait de rire.

- On ne joue plus chéri, j'avais gagné avant même que tu sois au courant du jeu.

Ambre remua doucement son bassin contre le sien, histoire de lui rappeler qu'ils avaient faillit coucher ensemble et qu'il avait éprouvé du désir pour elle. Elle prit le visage de sa victime entre ses mains et l'embrassa, même s'il s'y opposa fermement. Elle le regarda dans les yeux un instant, les prochaines semaines allaient être drôles, elle avait hâte de savoir comment il allait se venger. Mais aussi de savoir comment elle allait se venger après. Ambre étant extrêmement rancunière, elle ne le laissera pas faire ce qu'il voulait sans lui renvoyer la pareille par la suite. Elle se leva, le laissant seul sur le lit, elle commença à rassembler ses affaires pour partir. Puis elle revint vers lui.

- Un dernière chose à me dire avant que je parte ?
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Dim 22 Avr - 17:02

« La beauté est une cruelle maîtresse » Annabeth3

    « On ne joue plus chéri, j'avais gagné avant même que tu sois au courant du jeu. » Je ne trouvais qu'une explication plausible à tes agissements: tu étais complètement timbrée. Une folle, une psychopathe sexuellement frustrée qui se vengeait sur le premier homme à sa portée. Mon cerveau bouillonnait. Fermant les yeux un laps de seconde, j'inspirais une large bouffée d'air afin de réguler ma respiration et me calmer. Tes lèvres caressaient les miennes, tes hanches ondulaient sur les miennes. Un ange, hein ? Mon cul. Tu ne pensais qu'à ta satisfaction personnelle, or cet égoïsme sadique et malsain m'était étranger. Je n'étais probablement pas un gentleman à part entière, mais je respectais mes partenaires sexuels (potentiels ou non). Peut-être même plus que mes propres parents. Pourquoi ? Lorsque vous couchez vous vous mettez à nu (et cela dans tous les sens du termes). Banaliser le sexe ne peut changer cela à mes yeux. Or aujourd'hui, tu venais d'enfreindre ce grand principe qui était le mien et même pire: tu jouais avec moi. J'étais ton petit animal de compagnie assujetti et docile. Belle, futée et cruelle. Une vraie salope, en bref.
    Je serrais les dents et gardais mon regard fermement planté dans le tien. Je ne frappais pas les femmes, aussi viles puissent-elles être. Moi, macho ? Non. Certaines femmes pouvaient clairement mettre KO un homme mais dans le cas présent, je te voyais mal me faire quelques prises de karaté afin de bloquer mes coups. C'était surtout les combats inéquitables que je fuyais.
    Dans ce silence coléreux, j'évitais donc un quelconque affrontement brutal. Si tu ne voulais pas me libérer, je voulais que tu partes. Rien de plus, rien de moins.

    « Un dernière chose à me dire avant que je parte ?. » Mon regard restait toujours profondément planté dans le tien. Quelques secondes passèrent et alors que je remuais les lèvres afin de te répondre, un cracha fila de ma bouche jusqu'au sol, à quelques centimètres de tes pieds. Je te souris amèrement et te fis un clin d'oeil. Je n'avais rien d'autre à dire tant le dégoût en moi était profond. Les pires insultes tournoyaient dans mon cerveau à ton égard. Oh oui, tu risquais d'occuper mes pensées un sacré bout de temps, mais en mal.
    Inconsciemment, j'avais toujours adoré les femmes à fort caractère. Mais jamais les détraquées dans ton genre. Tu avais trop entamé ma fierté pour qu'une quelconque excitation émane de tes petits jeux pervers. Oui, je te détestais sans même te connaître. Mais à quoi bon ? Si au stade d'inconnue elle agissait ainsi, quel degré de perversité pouvait-elle atteindre avec ses amis intimes ? Je ne préférais pas le savoir. A dire vrai, je m'en contre-foutais. Je voulais seulement qu'elle parte le plus rapidement possible.
    Sourcils à demi-froncés, regard fixe et impénétrable. J'étais comme une statue de cire, immobile et aux expressions figées. Je n'avais rien à te dire de plus car chaque parole pouvait aisément déraper. Un boxeur doit savoir utiliser le self-control à merveille; je n'échappais donc pas à la règle, non sans difficulté. Je renflouais ma colère et m'affichais impassible. Tu avais gagné le bataille, certes. Mais pas la guerre. « Ok. Que le jeu commence dans ce cas » ne pus-je m'empêcher de penser alors que tu ramassais tes affaires. Un jeu, ou une mise à mort ?



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Anonymous
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Dim 22 Avr - 22:21

« La beauté est une cruelle maîtresse » 110726052616888386


Poor little toy...

Elle aimait le voir dans cette position de soumission, soumit à elle. Arriver à dominer un gars comme Jared devait être plutôt difficile et elle était fière d'avoir réussi. Elle était surtout fière en se voyant, une fille trop maigre pour frapper qui que ce soit, et en le regardant, il n'était pas bien grand mais vraiment bien bâtit. L'esprit avait une fois de plus triomphé sur la force physique, les muscles de Jared ne lui avaient été d'aucune utilité pour sentir venir le mauvais coup d'Ambre. Peut-être que s'il forçait encore sur la tête du lit elle finirait par se casser – sait-on jamais – mais il n'allait pas pouvoir sortir de l'hôtel avec un morceau de lit attaché au poignet. La jeune fille savait qu'il n'essayerait pas de se dégager tant qu'elle serait là, il gardait la face du mieux qu'il pouvait pour l'instant. Lui montrer son impuissance lui ferait beaucoup trop plaisir, et il semblait l'avoir comprit. Elle n'attendait que ça de le voir la supplier, lui hurler dessus, se mettre à pleurer si elle avait un peu de chance. Mais il restait là, la fixant sans jamais s'arrêter, de toutes ses forces, avec toute la haine et le dégout qu'il éprouvait pour elle. Et ça commençait à énervé Ambre. Il fallait qu'il fasse quelque chose, sinon, elle ferait pire.
Il ne répondit pas à sa question visant à savoir s'il avait quelque chose à dire. Pour toute réponse, il cracha à ses pieds. Dommage, s'il lui avait craché dessus elle aurait eu une bonne raison pour le torturer plus longtemps. Mais ce geste la fit sourire, c'était touchant de le voir énervé à ce point. Il en faut peu pour blesser un homme, une paire de menottes et le tour est joué. Il en faut peu pour blesser un homme comme Jared dans sa fierté. Ambre s'approcha de lui, une fois de plus, posant sa main sur son entre-jambe. Un sourire aux lèvres, oh il allait souffrir tout de même. Sa main se transforma en poing et elle appuya à l'endroit si fragile, de toutes ses forces. Y aller avec ses talons hauts aurait été trop méchant. Puis elle alla s'asseoir au bout du lit, tournant le dos à sa victime. Elle attrapa la télécommande et sélectionna la chaine pornographique la plus chère, histoire de bien vider les poches de Jared. Et puis, ils n'avaient pas baisé, il fallait bien qu'il voit un peu de cul dans la soirée, le pauvre. Ambre monta le son à fond, pour bien l'énerver et de sorte à ce qu'il ne puisse pas ignorer l'écran.
Elle se leva, se plaçant en face de Jared, elle le regarda une dernière fois, une dernière chance de le détacher et de le laisser s'en aller. Mais non, il allait rester là, elle avait bien envie de lui expliquer qu'il allait devoir payer la chambre, le lit cassé – par sa faute – et la chaine porno qui allait tourner toute la nuit puisqu'elle allait préciser au personnel de l'hôtel que la chambre était occupée par un couple et qu'il ne fallait pas les déranger avant tard dans la matinée. En pensant à tout ça, elle se remise à sourire à pleine dents. Elle était fière d'elle, son plan était une réussite parfaite. Ambre envoya un baiser dans l'air en direction de Jared et sortir de la chambre, fermant la porte et accrochant sur la poignée le petit panneau « Ne pas déranger. »

THE END

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« La beauté est une cruelle maîtresse »

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