Maddison Wendy Lewis ● I'm not beauty queen, I'm just beautiful me...

Invité · Mer 30 Mar - 0:52

Lewis, Maddison Wendy

ft. nicole anderson

Histoire |Tout était destiné pour que j’aie une vie parfaite. Lorsque je suis née, j’habitais dans le quartier le plus chic de Londres : avec un père chef d’entreprise, nous avions tout ce que nous voulions maman et moi. Ma mère elle, était femme au foyer, elle avait décidée d’abandonner ses études de médecine quand elle tomba enceinte de moi pour s’occuper de sa petite fille chérie. Je ne pourrais pas dire que je m’en souviens clairement, mais j’avais tout ce dont une petite fille peut rêver d’avoir. Une immense chambre de princesse, un cadeau tous les jours. En fait, je vivais juste au paradis. Jusqu’à mes 6 ans.

Je n’ai jamais compris exactement ce qu’il s’est passé, mais un soir, mon père est rentré du travail, très tard comme d’habitude, mais cette fois, il y avait quelque chose de…différent. Il avait l’air de s’être énerver avant de venir, ma mère le remarqua tout de suite. Elle m’envoya au lit, mais je suis une éternelle curieuse, alors une fois la lumière éteinte et ma mère partie, je me suis levée discrètement pour écouter à la porte de ma chambre. A six ans, on ne comprend pas ce genre de choses alors, la conversation qu’ont eux mes parent, c’était du blabla pour moi. La seule chose que j’avais compris, c’était que l’entreprise de mon père allait mal, très mal, assez mal pour faire paniquer mes parents. Après cette conversation, ils n’ont pas arrêtés de se disputer pour un oui et pour un non, j’avais de plus en plus l’impression que mon père était beaucoup plus présent à la maison.

Et un jour, il arrêta d’aller au travail.

« Maman…pourquoi papa ne va plus travailler avec son costume et tout ça ? », demandais-je alors que je faisais les courses avec ma mère. « Papa…l’entreprise de papa est…morte mon cœur alors, il cherche un autre travail », tenta-t-elle de m’expliquer. Bon, à six ans, ce n’était pas si grave, mais je ressentais de plus en plus ce changement : beaucoup moins de cadeaux par exemple. Plus les semaines passaient, plus je me rendais compte que mon père ne trouvait rien du tout. En fait, il avait hérité de l’entreprise familiale alors qu’il avait 18 ans, il n’avait donc pas fait d’études supérieures et il n’avait aucune formation. Cela généré souvent des disputes chez mes parents le soir quand j’étais couchée et qu’ils me croyaient endormis.

Le début de la fin

Cela faisait deux heures qu’ils auraient du être de retour de l’anniversaire d’un ami où ils s’étaient rendus. Même la baby-sitter tournait en rond en regardant la pendule du salon. Car avant, j’avais une nounou pour ce genre de garde, mais aujourd’hui, nous avions trop de problèmes d’argent. L’adolescente arriva à me faire aller au lit au bout de trois heures d’attente, j’ai eu du mal à m’endormir, j’avais un drôle de pressentiment, un très mauvais pressentiment même. Le lendemain quand je me suis réveillée, mon père était assis dans le canapé, il était encore habillé comme la veille quand il était partie à cette fête. Il avait même quelques bleus sur le visage. Je sentais les larmes me monter aux yeux. « Papa…elle est où maman ? », murmurais-je d’une voix tremblante. Celui-ci baissa son regard vers le sol et il se mit à pleurer. Je n’eus pas besoin d’explications supplémentaires, maman était morte.

Je dirais que c’est la mort de ma mère qui m’a enfoui en enfer. Au départ, c’était juste un peu difficile, mon père était devenu comme…un mutant. Il ne disait plus rien et je voyais bien qu’il ne cherchait pas vraiment de nouveau travail. Quand je partais à l’école le matin, il était dans le canapé devant la télé et en revenant, il était toujours au même endroit, à la différence que les canettes de bière autour de lui étaient apparues comme par magie. Je pouvais comprendre que maman lui manquait et qu’il se sentait mal, moi aussi je me sentais mal et triste. Après tout, je connaissais plus ma mère que mon père. Lui, il était toujours en voyage, au bureau, en réunion, ma mère s’était toujours occupée de moi, j’avais l’impression d’être toute seule maintenant. A l’école, je n’avais pas beaucoup d’amis, je n’allais pas facilement vers les gens, surtout que ceux-ci savaient que j’étais devenue « pauvre ». Et les choses n'allaient pas s'arranger, elles allaient même s'empirer...

25 Février 2001 ;

Londres était plongé sous une épaisse couche de neige. C’était la première fois qu’il neigeait autant encore dans la grande ville Européenne. Dans le jardin de la maison où je vivais, je regardais mon bonhomme de neige d’un air perplexe. La neige m’arrivait aux genoux. Le doigt sur mon menton, faisant mine de réfléchir, j’observais mon œuvre. Un bonnet en laine recouvrait mes cheveux bruns qui tombaient sur mes épaules et une grosse écharpe en laine recouvrait mon cou et ma bouche, ne laissant percevoir que mes yeux noisette. J’étais perdue dans mes pensées lorsqu’une voix féminine m’interpella ; « Joyeux anniversaire Maddison ! Alors, qu’est-ce que ça fait d’avoir dix ans ? ». Je lançais un regard en direction de la voix et j’aperçue la voisine à travers le petit grillage qui séparait mon jardin à celui de celle-ci. Je me contentai d’hausser les épaules en guise de réponse. La voisine me tendis alors un petit gâteau au chocolat au dessus du grillage en déclarant, le sourire aux lèvres ; « Je t’ai fait un gâteau pour toi et ton père puisque je présume qu’il ne t’en a pas fait un… ». La jeune femme avait dit ça d’un ton accusateur. Essayant de marcher sans trop m’enfoncer dans la neige, j’attrapais le gâteau des deux mains, « Merci madame Clindwood », lançais-je. « De rien ma petite. Tu devrais rentrer, tu vas attraper quelque chose si tu restes trop longtemps dehors mon chou… ». J’acquiesçais et je tournais les talons vers ma maison. Posant le gâteau sur la table de la cuisine, je passais rapidement la serpillière ayant déposé de la neige dans toute la cuisine avec mes bottes. Depuis que ma mère était partie, papa n’avait pas retrouvé de travail et nous avions dus déménager dans une maison plus petite et beaucoup moins belle que l’ancienne.

Une fois fait, je profitais du silence qui régnait dans la maison pour faire mes devoirs, regardant toutes les deux minutes l’horloge avec une boule au ventre. En fait, j’espérais vraiment que mon père rentrerait bientôt, le sourire aux lèvres avec mon cadeau d’anniversaire et que je puisse souffler mes bougies sur le gâteau fait par la voisine. Mais les heures passèrent et il n’y avait toujours personne dans la petite maison, mes illusions s’envolaient petit à petit : c’était certain, il avait encore oublié. Je savais déjà à l’avance comment la soirée allait se dérouler : mon père rentrerait complètement ivre, il hurlerait sur moi car il trouverait la maison sale et mal rangée – comme si c’était à une petite fille de dix ans à faire le ménage – et il irait se servir un énième verre. Avec un peu de chance, je ne me prendrais pas une raclée ! Vingt heures sonna et je soupirais. Pas question de partir me coucher tant que je n’aurais pas soufflé mes bougies et mangé une part de ce gâteau ! Je décidais alors d’aller en prendre une part. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas mangé un gâteau aussi bon, la seule personne qui en faisait même des meilleurs était ma mère. Alors que j’eus presque fini cette part délicieuse, le son d’une clef se tournant maladroitement dans le trou de la serrure retentit, brisant le silence qui était maître dans la petite maisonnette.

Mon premier réflexe fut de me lever de ma chaise, m’essuyant nerveusement la bouche entourée de chocolat. La porte s’ouvrit alors brusquement. Mon père entra rapidement, même si il avait du mal à tenir debout, claquant la porte derrière lui. Je restais debout, j’étais pétrifiée sur place : alors que mon cerveau me criait de partir en courant dans ma chambre sans dire un mot, mon corps lui ne réagissait pas. Mon père enleva sa veste qu’il jeta au dessus d’une pile de vêtements déjà posés sur le canapé et il se tourna vers moi. Ce soir là, son teint était encore plus rougeâtre que d’habitude et je voyais même qu’il avait sa main droite qui tremblait. S’avança légèrement vers moi, le regard de mon géniteur se tourna tout de suite vers le gâteau entamé sur la table de la cuisine. « Alors comme ça on mange le gâteau sans moi ? », s’exclama-t-il. Je baissais mon regard, je savais que faire profil bas était la meilleure solution pour ne pas s’en prendre une le jour de mon anniversaire. « D’abord, d’où il vient se gâteau ? », demanda-t-il en s’approchant encore un peu plus de moi. J’eus un mouvement de recul, « C’est madame Clindwood, la voisine qui me l’a donné… », répondais-je en gardant les yeux fixés vers le sol. « Oui, et moi je suis la reine d’Angleterre peut-être ? » , demanda mon père avant d’éclater de rire. S’avançant toujours vers moi, mon père m’attrapa par le tee-shirt en me faisant avancer jusqu’au salon. Me lâchant en plein milieu de la pièce, il me tourna le dos pour ouvrir la porte d’un petit placard d’où il sortit une bouteille d’alcool qu’il but à la bouteille. Je gardais mon regard vers le sol, je sentais mes mains trembler légèrement, j’avais peur. « Regarde-moi quand je parle ! », cria mon père alors qu’il versa un peu de sa boisson dans un verre à apéritif. Je levais mon regard vers lui, il avait l’air furieux. Il but son verre d’une traite puis, le lança contre un mur du salon. Le verre explosa en milles morceau à travers la petite pièce : les choses dégénéraient et je ne savais pas quoi faire, j’étais encore une fois pétrifiée sur place.

Mon père s’agenouilla pour être à ma hauteur ; « Tu sais que je déteste les menteurs Maddie ? », me demanda-t-il sans crier alors que son visage n’était qu’à quelques centimètres du mien. Son haleine sentait l’alcool, c’était dégueulasse et ça me valut plusieurs hauts le cœur. Les larmes s’accumulèrent dans mes yeux noisettes, « Papa…je ne mens pas, je te jure que c’est la voisine…va lui demander si tu veux… », dis-je d’une voix tremblante alors que je sentais quelques larmes couler sur mes joues. Mes sanglots ne firent qu’énerver encore plus mon père qui d’un geste brusque et violant, me donna un coup sur ma joue humide, un coup tellement fort que je tombais en arrière sur la pile de vêtements déposés sur le canapé. Cette fois, je pleurais encore plus en sentant la douleur à ma joue suivie par une sensation bizarre qu’il n’y avait à présent pas que mes larmes qui coulaient sur ma joue. Passant ma main sur celle-ci, je me levais et mes pieds nus s’écrasèrent sur les bouts de verres cassés quelques minutes plus tôt qui s’enfoncèrent dans mes pieds. La douleur était intense mais il je devais partir avant que les choses n’aillent plus loin. Tournant les talons en essayant de ne pas penser à la douleur que j’éprouvais à mes pieds, j’arrivais à faire quelques pas en direction de ma chambre en regardant ma main pleine de sang. Une fois sortis du salon, j’accélérais le pas et je courus vers ma chambre alors que j’entendais mon père hurler ; « Maddison Wendy Lewis, reviens ici tout de suite ! Sale voleuse ! ».

Arrivée dans ma chambre, je claquais la porte derrière moi en m’appuyant contre celle-ci en me laissant glisser pour me retrouver au sol. Appuyant ma tête contre le porte en fermant les yeux, je passais ma main sur ma joue qui continuer à saigner un peu. Je déroulais mon bras vers la petite table de chevet et j’attrapais un mouchoir en papier que je passais sur la zone de ma joue saignante et qui me faisait assez mal. J’essayais alors de me lever mais lorsque je m’appuyais sur mon pied droit, une douleur apparue dans la plante de mon pied. Lâchant le mouchoir, j’allais à quatre pates vers mon lit où j’arrivais à m’asseoir. Posant mon pied droit sur mon genou gauche, j’aperçus un morceau de verre enfoncé dans mon talon. Prenant un mouchoir – cette fois en tissus – que je gardais dans ma main, j’inspirais un coup, rassemblant tout mon courage et j’attrapais le bout de verre qui dépassait de ma peau pour le tirer vers moi. Une fois extrait du talon qui commençait à saigner légèrement, j’enroulais mon talon dans le mouchoir et fit u petit nœud avec les extrémités. Je me mordillais la lèvre, ça faisait assez mal, j’avais encore quelques larmes qui coulaient sur mes joues et mon cœur battait à trois milles à l’heure, j’en avais encore les mains qui tremblaient.

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Rester forte, garder la tête haute. J'ai appris à me forgée une carapace. Mon mot d'ordre était : reste souriante. Plus je grandissais, moins je passais de temps à la maison avec papa. Je m'incrustais dans les fêtes pour pouvoir rentrer après lui alors qu'il dormait. Je me promenais partout dans la grande ville Anglaise avec mon croquis de dessin, à dessiner tout ce qui bouge, chaque recoins de Londres en espérant être prise dans une Université des Arts partout, sauf ici. J'attendais patiemment d'avoir dix huit ans pour pouvoir quitter la ville, le pays, le continent. J'avais des étoiles pleins les yeux. Le rêve Américain, ça n'est pas magnifique ? Je faisais des petits boulots à côté du lycée, je mettais l'argent de côté pour pouvoir me payer un billet d'avion.

Et quand j'eus 18 ans, je pris tout l'argent de mon compte, mon passeport et j'avoue, que j'ai aussi pris dans le compte que ma mère avait déposée à la banque pour mes études. J'étais contente de voir que mon père n'y avait pas encore touché pour se payer ses bouteilles. Heureusement que mes parents m'avaient quand même ouvert ce compte lorsque j'étais petite et qu'ils avaient encore beaucoup d'argents. Cela fait maintenant un an que j'étudie le dessin à San Francisco. Je travaille en parallèle de la fac dans un petit bar pour étudiant en tant que serveuse pour pouvoir me payer la fac et mon petit appart' pas très loin du campus..

CaractèreMaddie est assez compliquée à cerner. On peut dire qu'elle a un peu deux personnalités. Aux premiers abords, c'est une jeune femme souriante et pleine d’enthousiasme. Elle dégage une énergie folle et les médecins ont dit à ses parents qu'elle était à la limite de l'hyperactivité. Elle ne sait pas rester en place plus de cinq minutes sans rien faire, ce qui lui porta souvent préjudice durant sa scolarité. Elle est très curieuse, elle s’intéresse à beaucoup de choses et elle est très ouverte d'esprit. Mais avec son passé, il peut lui arriver d'être froide et assez méchante. Elle pense à elle en premier, elle a eu l'habitude de ne devoir se préoccupée d'elle même avant tout lorsqu'elle était plus jeune, puisque personne n'avait remarqué sa détresse. Ou du moins, si quelqu'un l'a remarquée, personne ne lui est venue en aide. Elle déteste parler de son passé, ou encore moins de son père avec qui elle a complément coupée les ponts. Elle est très créative et elle a toujours sur elle un carnet de croquis au cas où elle serait soudainement prise d'inspiration.

Passez sur les titres pour découvrir le personnage (:

LOVEBUG
⚡ ÂGE 19 ans
⚡ DATE D'ANNIVERSAIRE 18/01/92

⚡ FRÉQUENCE DE CONNEXION 7j/7j
⚡ NIVEAU RP Jusqu'à 100 lignes

⚡ AVATAR Nicole Anderson
⚡ COMMENTAIRE No comment =D
⚡ CODE DU RÈGLEMENT Code OK

MADDISON WENDY LEWIS
⚡ SURNOM Maddie
⚡ GROUPE Wild Child

⚡ ORIENTATION Hétéro
⚡ SITUATION AMOUREUSE Célibataire

⚡ ÂGE 20 ans
⚡ DATE DE NAISSANCE 25/02/91
⚡ LIEU DE NAISSANCE Londres, Angleterre.

souriante ⚡ égoïste ⚡ créative ⚡ naïve ⚡ charmeuse ⚡ maladroite ⚡ extravertie ⚡ bavarde ⚡ mystérieuse ⚡ impulsive

⚡ AIME Les pancakes - Les chiens - La crème chantilly dans un chocolat chaud avec des guimauves - Jouer de la guitare - Se poser au soleil avec son carnet de croquis - Les Musées d'Arts - Quand la Lune est en croissant - Faire des grimaces sur les photos - Le coucher du soleil - Le violet - Faire la cuisine - Faire sourire - L'indépendance.
⚡ N'AIME PAS Les fraises - Le froid - L'odeur des nachos - Le bruit de son radio-réveil lorsqu'il sonne - Le rap - Le noir - Les chats - Les films romantiques à l'eau de rose - Voir quelqu'un pleurer - Les moustiques - Qu'on lui fasse remarquer qu'elle a l'accent Anglais - Parler de son passé ou de son père -

Invité · Mer 30 Mar - 0:55

& Marie qui se fait un DC o/

Invité · Mer 30 Mar - 0:56

& voilà, merci pour le suspens (aa)

Invité · Mer 30 Mar - 0:59

M.P = MAEL PETTERSON ! T'étais grillé d'avance ! :gla:

Re bienvenue à toi ! T'as aussi craqué mouhaha ! Maddison Wendy Lewis ● I'm not beauty queen, I'm just beautiful me... 79124

Maddison Wendy Lewis ● I'm not beauty queen, I'm just beautiful me... 79124

Courage pour ta fiche alors ! :D

Invité · Mer 30 Mar - 1:05

Bah...y'aurait pu y avoir d'autres MP (a)

Merci xD

Invité · Mer 30 Mar - 1:21

M.P ... "Mutant Pizza", voilà.

REBIENVENUE MA CHÉRIE 34242

Invité · Mer 30 Mar - 1:23

Mais lovebug, on sait que c'est toi xD

Invité · Mer 30 Mar - 1:28

Mais non, c't'une chanson ! :p

Merci MJ :p 34242

Invité · Mer 30 Mar - 1:52

Nan... on sait que c'est toi, ta galerie créas' avec Maël c'est écrit en gros xD
DOUBLE BIENVENUE 3425

Invité · Mer 30 Mar - 1:53

Haha voilà! Je seconde Dann & Double bienvenue ^^

Invité · Mer 30 Mar - 11:35

Bienvenuuuuuuuuuuuuuue dfasda

Invité · Mer 30 Mar - 11:35

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii frsfds

Invité · Mer 30 Mar - 19:04

Re-bienvenue Razz

Tout le monde a un DC ou TC, j'adore :gla:

Invité · Jeu 31 Mar - 2:17

Re-bienvenue la Pimpette ! dfasda

Invité · Jeu 31 Mar - 2:50

Haha Dwight, ça t'as marqué le "pimp" XD

**Sierra Desrosiers** · Jeu 31 Mar - 7:01

Reuh bienvenuuuuuue !

Invité · Jeu 31 Mar - 10:13

ben reeeee djsa

Invité · Jeu 31 Mar - 10:35

Re bienvenue! ^^

Invité · Jeu 31 Mar - 11:54

Dîtes pas re, comme j'avais fait ma fiche avant l'ouverture du fo' personne ne m'avait dit bienvenue alors...(a)

Merci les gens frsfds

*la flemme de changer de compte x)*

Invité · Jeu 31 Mar - 22:53

Félicitations, vous êtes VALIDÉ[E]

De la part de tout le staff: Bienvenue!
Nous avons trouvé que votre fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées. Nous avons donc l'honneur de vous accueillir chez nous, qui est maintenant aussi chez vous!

Avant de commencer à Rp, il serait important que vous veniez recenser votre habitation, votre compte Facebook (si vous en avez un), mais aussi créer impérativement la fiche d'évolution de votre personnage dans la section gestion du forum (:

Sur ce, bon jeu!
En cas de problème, n'hésitez surtout pas à contacter un membre du staff.

DanykaJude
Admin., ValérieAndrew
Admin., MarieMaël
Admin., NatašaRobbyn
Admin..

Invité · Ven 1 Avr - 12:35

Mary Jude Winters a écrit:: M.P ... "Mutant Pizza", voilà.

REBIENVENUE MA CHÉRIE

JASON PIZZA XD

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