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 LAMA ★ « L'écureuil a beau être petit, il n'est pas l'esclave de l'éléphant. »
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Lun 28 Nov - 0:30

Lilas Amélia Martin-Andrews
Apprends moi les choses de la vie...

ft. Karen Gillan





Je m'appelle Lilas et j'ai 18 ans ans. Je suis Hétérosexuelle et n'a aucun doute là-dessus., En couple. Du moins, j'crois. et née à Paris en France, le 03 mars 1993.


Gentille ★ Compréhensive ★ Intelligente (Trop même) ★ Douce ★ Adorable ★ Enfantine (physiquement) ★ Sérieuse ★ Fidèle ★ Attachante ★ Loyale ★ Optimiste ★ Courageuse

Torturée ★ Anorexique ★ Suicidaire ★ Méfiante ★ Jalouse ★ Possessive ★ Timide ★ Associable ★ Geek ★ Maladroite ★ Gaffeuse ★ Trop grande ★ Fragile ★ Violente (mais faut vraiment faire chier.)




pseudo : PADAWAN SI TU ME RETIENS PAS VOILAAAAA
âge : 21 ans
sexe : FEMELLE
nationalité : Française
activité : 7/7; 24/24 XD
commentaire : Fucking design trop canon, fucking forum trop canon, fucking admin trop canon. J'vous kiffe!
avatar : Karen Gillan
groupe : LOOOOOOOOOOVE
scénario ou PI : Elle sort de ma tête!
code du règlement : yeaaaah, by june


Pour nous aider :
Code:
<span style="font-size:12px"><span style="color:crimson">★ </span><span style="font-family:georgia">KAREN GILLAN | </span> <span style="font-size:9px;font-family:arial">Lilas A. Martin-Andrews</span></span>



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Lun 28 Nov - 0:31


My Story


It's just the beginning...


03 mars 1993 à 03h33 du matin. Que des trois. Une petite fille vient au monde dans une clinique française. Sa mère pleure, son père est absent. La vie commence alors pour ce nouveau-né, cette beauté rare qui devrait normalement être accueilli par le sourire et non par les pleurs. Mais que voulez-vous, quand un enfant n'est pas désiré, on lui fait ressentir à peine conçu. Et j'en sais quelque chose. Vous voulez savoir pourquoi ? Parce que ce nourrisson que tient cette sage femme entre ses mains, c'est moi. Lilas Amélia « Amy » Martin. Mon prénom est une fleur. Je ne sais pas pourquoi ma grand-mère a choisi de m'appeler comme ça, mais elle l'a fait. Elle a choisi ce prénom qui sera sujet de moquerie, de raillerie, de beaucoup de bagarre et de tristesse. Mais j'aime mon prénom, il est ce que je suis, ce que j'aimerai être. Mon passé, mon présent et mon avenir. Ma mère ne m'a pas prise une seule fois, ce jour-là. Elle a refusé de me voir, prétextant qu'elle n'avait jamais voulu de moi. Que je n'étais pas le fruit tant désiré, qu'elle aurait du avorté. Ma grand mère lui hurle alors dessus que je ne suis qu'une enfant. Son enfant et qu'elle devrait m'aimer plutôt que me railler. Mais non, Béatrice n'y arrive jamais. Elle ne montrera jamais le moindre intérêt pour moi. Pour mes notes. Et disparaitra de ma vie quatre jours plus tard, comme toute mère indigne ferait. Alors comment est-ce que je sais qu'elle est encore en vie ? Vous le saurez plus tard. En attendant, je suis là, je suis un bébé et je suis confiée à mes grands-parents Amélia – de qui je tiens mon second prénom, un prénom de conte de fées – et José. Ma mère a pris sur elle de m'élever, de s'occuper de moi et de m'aimer plus que sa propre fille ne l'aurait fait. Quand à mon grand-père, ancien militaire, il m'a inculqué la discipline. Je ne dirai pas qu'il me battait. Tous les enfants exagèrent sur les traitements subis par nos grand parents mais quand on fait une connerie, il est normal de s'en prendre une. 

Premier jour d'école. La petite fille de cinq ans que je suis s'apprête à entrer dans la cour des grands. Oui, oui, vous ne rêvez pas, j'ai bien dit cinq. Un an d'avance. Et ce n'est que le début. Le début d'une scolarité qui sera plus tard avortée, de force et non par plaisir. Je me dirige donc vers l'école. Les autres filles ont des sacs Barbie, des petites couettes, des jupettes et des lunettes, moi, je n'ai rien de tout ça. Je suis en pantalon, cheveux attachés en queue de cheval et un sac à dos qui est troué mais que j'ai volé à mon grand père. Je n'aimais pas les dessins animés, sauf ceux de Disney et c'est de là qu'en ressortira mon pseudo, mon surnom durant l'école primaire et le collège. Je n'aurai jamais la chance d'aller au lycée. Et alors ? J'arrive donc dans la classe et vous savez, il y a toujours un petit gros, le genre de garçon qu'on déteste et qui va vous maltraiter pendant toute votre scolarité. Eh bien, quelle chance, il était juste derrière moi. Je reçois donc une boulette de papier et baisse la tête, sans broncher. Je n'ai jamais été une pleurnicharde. «Diiis la rouqmoute, comment tu t'appelles ? » Je ne réponds pas, la maitresse nous a interdit de parler avec nos voisins. Nouvelle boulette. Puis une succession. Sauf qu'arrive le temps de la récréation. Je sors donc, tenant mon gouter dans la main droite quand 'Bouboule' trouve le moyen de me faire un croche-pied et je tombe à terre, lourdement. Il en profite pour me voler mes gâteaux et je sens la haine, la colère monter. Là, je lui saute sur le dos et le mord au cou pour qu'il lâche mais c'est la maitresse qui nous sépare. Mes grand parents sont convoqués à l'école. Leur petite fille a fait preuve de violence et ce n'est que le début. Les années filent et j'arrive quand même à me faire des amis. Dont une. Elle était plus âgée que moi de deux ans mais je me retrouvai quand même dans sa classe. Que voulez-vous, quand on est une surdouée, on saute les classes et je m'assoie à côté d'elle. « Sympa tes cheveux. » Je lui souris et cela sera le départ d'une grand amitié. Charlotte Marchand, elle s'appelait. Ma meilleure amie, ma sœur, ma moitié. Nous étions inséparables faisant les casses cou, les folles et c'est avec elle que j'ai presque tout commencé. 

J'étais assise sur le rebord du muret, une bouteille de vodka à la main, Charlotte entre les jambes, par terre qui rigolait. Nous avions treize ans et nous commencions seulement nos expériences. « T'as vu la tête de la prof quand on est parties ? » Je savais que j'allais me faire défoncer par mes parents, elle savait que les siens s'en ficheraient et nous ne nous trouvions rien de mieux que de nous prendre une bonne cuite. La cuite du siècle comme on dit. Je rigole comme une tarée avant de vider la bouteille de vodka. Et le soir quand je rentre, je me fais gueuler dessus. Un peu normal non ? Quand on est bourrées et qu'on a séché les cours. Malgré ça, j'arrivai toujours à avoir des bonnes notes. Les meilleures même. Seules les appréciations étaient mauvaises. Mais j'aurai bientôt une circonstance atténuante. Deux ans plus tard. Je trainai un peu avec tout le monde. Et n'importe qui. Sauf qu'à force de rester avec n'importe qui, il peut vous arriver n'importe quoi. Je l'ai su...
Bien malgré moi. 


Three years of my life...


13 juillet 2008. Je venais d'avoir d'avoir quinze ans. Un âge pas tellement important dans la vie d'une jeune fille puisqu'on sait pertinemment qu'on obtient une place dans la société française qu'à l'âge de seize ans. Il n'empêche que je n'aurai jamais pu prévoir ce qui allait se passer. Je rentrais chez moi, après avoir été faire la fête comme d'habitude. J'étais un peu saoule, je dois l'admettre. Mais n'étions-nous pas une génération de débauchés et si j'avais su, j'aurai pris le taxi plutôt que de rentrer à pied. Je suis quelqu'un de sportif. Je ne prenais jamais les transports en commun. Insouciante, je me disais que cela n'arrivait qu'aux autres. J'avais tort. On trouve des détraqués partout. Je m'apprêtais à traverser pour rentrer chez moi quand j'entendis des cris, quelqu'un semblait avoir mal et avait besoin de mon aide. Alors, je me rendis jusqu'à la provenance du brouhaha quand quelqu'un me tomba dessus. Un violent coup sur la tête me fit tomber au sol et je sentis l'agresseur appuyer quelque chose sur mon visage. Un mouchoir impregnée de cloroforme. Sur le coup, je n'ai pas compris. Qu'est-ce qui se passait ? Mon dieu, aidez-moi. Je me débattis du mieux que je pouvais mais c'est comme ci on me noyait peu à peu. Je remarquai que ma vision se troublait petit à petit, mes muscles se détendirent et je perdis connaissance.

Quand je repris connaissance quelques minutes plus tard, j'avais l'impression d'être dans un vieil épisode d'Esprits Criminels. Alors, je me levai pour remarquer que j'avais des fers. Je secouai les poignets pour essayer de les retirer. Mais rien n'y faisait. Rapidement, je fis le tour de la pièce. « Y a quelqu'un ? » Aucune réponse. Je commençai à avoir peur. « Hé les gars, si c'est une blague, ce n'est pas drôle. » Tu parles. Te faire enlever par un malade mental à l'âge de quinze ans. Ça te refroidit. Je continuai de marcher quand tout d'un coup, la porte derrière moi s'ouvrit. Je me tournais pour retrouver nez à nez avec un homme que je n'avais pas vu. Il me débita tout un tas de conneries et je sus. Je compris qu'il ne me relâcherait pas. Où du moins pas vivante. Je le vois qui s'approche de moi et quand ses mains se posent sur moi, je hurle. Je le frappai mais je ne pouvais pas aller trop loin, j'étais maintenue. Je trébuchai donc au sol pour sentir ma tête percuter le rebord d'une table. La douleur s'empara et un nouveau cri perçant s'empara de moi. Je portais la main à la blessure mais je n'eus pas le temps de voir qu'un autre coup partit et j’atterris visage contre le sol, crachant du sang. Je vous passerai la suite des détails mais inutile de sortir de Saint Cyr pour savoir ce qui avait pu se passer par la suite.

La routine s'installa vite. Quand je refusais, il me frappait. Il m'offrait des petits cadeaux, m'a même demandé plusieurs fois en mariage et je ne comprenais pas pourquoi il s'évertuait à croire que je serai un jour amoureuse de lui. Stupide. Les hommes sont si primitifs. Le 13 juillet 2009, j'eus le droit à un cadeau. Et l'autre année ensuite. Mais je me suis jurée que je ne passerai pas trois ans là-dedans. Il fallait que je trouve un autre moyen pour m'en sortir, même morte. Cela valait mieux que cette existence. Alors, je mis au point un stratagème. 12 janvier 2011, j'allais avoir dix huit ans dans moins de trois mois. Quand il entra, il me retrouva pendu dans ma cellule. Il avait beau prévoir de m'attacher mais plus les années passaient, plus il devenait clément. Alors quand il est entré ce matin là, il ne trouva que mon corps chancelant au bout d'un drap. Subterfuge qu'on voit souvent dans les films et que j'ai décidé d'appliquer. Ce n'est que quand il me décrocha, qu'il eut la petite surprise.


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Lun 28 Nov - 0:31


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Vers une nouvelle vie...

Quand il me détacha en pleurs, retirant mes chaines pour faire le massage cardiaque, je restais là un moment avant de tâtonner discrètement sur le côté pour lui coller le coller dans sa tronche. Une fois qu'il fut à terre, bien qu'affaiblie, je lui sautais dessus pour lui cogner la tête contre le bitume. Une fois, deux fois. J'entendis le crâne se fendre avant de me retirer les mains pleine de sang, hurlant à plein poumons de ce que je venais de faire. Je retombais sur le sol, les mains dans la flaque de liquide rougeâtre, et quelques larmes tombaient dedans. J'étais libre. J'étais libre. Et en vie. Mais j'avais tué quelqu'un. J'avais pris la vie de quelqu'un putain. Alors, j'essuyais mes yeux me barbouillant le visage avant de me relever pour sortir. La lumière du jour, je ne l'avais pas vu de mes propres yeux depuis trop longtemps me fit tomber à terre et je m'écroulais à genoux. Je touchai l'herbe pour me rouler dedans limite. Le vent vint caresser mon visage et je fermais les yeux, souriant un court instant. Quand un hurlement me sortit de la torpeur. Une vielle dame me regardait comme ça, apeurée avant d'aller alerter les flics. En même temps, une nana pleine de sang qui se roule par terre, ça peut faire peur. Les forces de l'ordre arrivèrent vite avant de me reconnaître. Ma photo était presque aussi célèbre que la petite Marion. On m'emmena à l’hôpital pour contacter mes grands-parents et la famille du côté de mon père qui avait fini par se manifester à nouveau. J'avais un demi-frère Ashton mais pendant de longs mois, je ne fus pas visible.

Ma famille vint me voir tous les jours. Et quand je dis famille, je parlais de mes grands-parents, oncle et tante, tous sauf ma mère. Elle ne savait pas ou ne voulait pas savoir que j'étais sortie. Je restais de longues journées assise sur le lit à écrire, faire des jeux ou autres et quand je pus sortir, on m'initia à la vie de tous les jours. Je lus beaucoup, j'appris à me servir d'un ordinateur et ça devint vite ma passion. Je sus que j’excellerai là-dedans. Je ne sortais presque plus de ma chambre, passant mon temps à chercher des nouveaux truc et puis sur un coup de tête, je m'inscris à un jeu. Et c'est là, je tombais sur... lui. Mon confident, celui qui allait prendre une plus grande place dans mon cœur au fur et à mesure du temps. Ce n'est que lors d'un coup de fil à la famille Andrews que je décidai me rendre à San Francisco. Je penserai que je pourrais de nouveau respirer là haut. Error 404 not found.


Welcome to San Francisco, Lilas...

Quand je posais le pied dans cette ville, je me doutais qu'elle était étrange. Ils parlaient tous bizarrement, ils mangeaient des choses étranges et leurs groupes de musique avaient des crêtes roses sur la tête. Je ne me suis pas sentie à ma place ici. Même si j'ai retrouvé mes meilleurs amis ici. Comme Charlotte. Elle m'avait grave manqué. Ma petite tourterelle. Nous sommes rapidement redevenues inséparables et je lui ai conté ce qui c'était passé sans pour autant lui dire que j'avais tué quelqu'un. Elle sait juste qu'il est mort. La seule personne au courant de mon secret était Drake. Drake et moi. C'est compliqué mais j'y reviendrais plus tard. Je devais d'abord chercher quoi faire de ma life. C'est vrai mais débarquer comme ça dans une nouvelle ville après trois ans d'absence, cela peut être déroutant. Et j'aurai du surement prendre une année sabbatique avant de me jeter à corps perdu dans la fac mais je suis incapable de rester inactive comme ça. J'ai recommencé à aller courir. On m'a acheté un chien d'auto-defénse trop féroce. Nan c'est faux. Air est microscopique et aussi douce qu'un agneau mais je prends quand même des cours pour apprendre à botter des culs. Le deal avec la fac a été vite fait. Je devais passer mes examens finaux de lycée en parallèle du second semestre et réussir les deux. Fingers in the nose, j'vous dis.

Bref, je me suis faite une réputation sur le net. Suis devenue proche d'une personne, d'une personne très importante pour moi. Même si je pensais que nous n'étions que des amis. Et non, je ne parle pas de Drake. Disons que les deux ont une place dans mon cœur omniprésente car ils m'ont sauvé à leur manière. Drake qui était comme mon meilleur ami, Ed' parce qu'il était tout simplement lui. Je commençais vraiment à aller mieux mais les sentiments ne se contrôlent malheureusement pas. Je suis tombée sous le charme de Drake qui était un véritable ami. J'ai tout gâché. Nous avons tout gâché mais c'est mieux ainsi je pense. On peut paraître bien stupide, je l'ai été, je l'assume. Mais pour ça, il faut tout comprendre de comment ça c'est passé, du nombres de larmes que j'ai versé que cela soit pour lui ou pour Christopher mais c'est mieux ainsi.


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Lun 28 Nov - 0:31


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Drake.

Drake Kennedy Malefoy. Sa soeur le surnomme Ken, je le surnomme Connard. On a commencé à se parler sur Facebook, via Internet. Au début, c'était un peu comme Ed et moi, sauf que c'est rapidement devenu autre chose. Quand j'en parlais à mes amis, ils ont fait des recherches sur lui, comme on le ferait pour tous nos proches ayant des fréquentations louches et m'a dit de me méfier de lui car rien n'en ressortirait. Au courant de mon secret, on m'a déconseillé de lui dire. Ce que je n'ai pas fait bien sûr, je l'ai mis au courant et cela a été le désastre le plus total. Quand on s'est vu pour la première fois à l'université, c'est à peine si nous nous étions parlés puisque j'étais en cours – et que je passais plus de temps à baver sur le professeur qu'à lui parler – mais ensuite, tout s'est enchainé. Je l'ai vu s'éloigner de moi pour rejoindre une autre fille, Enora. J'aurai aimé qu'il reste à mes côtés même si nous passions notre temps à nous prendre la tête, mais visiblement je n'étais pas la rousse qu'il désirait. Tant pis, comme on dit, un de perdu, un de perdu.

Mais au moins, je n'avais rien à regretter pour la simple et bonne raison que quand je lui ai dit mon secret. Non pas celui que je suis un hacker, ça personne ne le sait même pas mon frère et pourtant il vit avec moi. Non, celui que je me suis faite enlever et torturer. A l'époque, les cauchemars, les images étaient incrustées dans ma tête, je ne pouvais plus vivre avec. Alors, j'ai tenté de me suicider. J'ai foncé dans un mur avec ma voiture. Du coup, plus de voiture, plus de permis et un bras dans le plâtre. Bien joué Lilas. Du coup, Drake a voulu venir chez moi pour en parler. Tu parles. Il m'a droguée, attachée sauf que mon chien a réussi à faire diversion. J'ai donc réussi à me libérer et je l'ai menacé avec un couteau et nous avons couché ensembles. Et puis, nous ne nous sommes plus reparlés. Après tout, je suis vite passée à autre chose. Je l'aimais, certes. Mon premier depuis Laurent. Mon Edward. Et comme il dit, fucking Jacob.


Why are you so sad, little girl ?

Le gouffre. Choisir Christopher n'a pas été une bonne idée. Il n'a été qu'un continu de problèmes. Peu de temps après que j'ai rompu toutes connexions avec Drake, je suis partie en France avec Charlotte pendant deux mois et Chris nous a rapidement rejoint. Là-bas, nous étions sur notre nuage, amoureux et tout le bordel. Du moins, je pensais qu'il m'aimait. Charlotte m'a accompagnée voir ma mère et j'ai appris que j'avais un frère jumeau. Le choc. J'ai cru que j'allais mourir et c'est là que j'ai commencé à sombrer. Nous sommes repartis à San Francisco parce que la rentrée approchait à grand pas, je me sentais de plus en plus. Les vomissements redoublaient, je suis tombée malade. Diagnostic, vous êtes enceinte. Non, ce n'est pas possible. Je ne pouvais pas... nouvelle envie de hurler. Nouveau mal être. Je ne voulais pas de cet enfant mais j'étais trop lâche pour avorter. Alors, j'entamai la phase d'autodestruction. Je voulais partir, je ne voulais plus rester ici. Seuls Christopher, Charlotte, Elliott, Lunhabee et Keenan me maintenaient ici. Je ne me confiais plus autant sur internet puis le drame.

Un soir, je me suis rendue chez Chris dans l'espoir de discuter et quand j'ai voulu entrer l'appartement était vide. Dans la même soirée, j'ai perdu mon enfant. Une petite fille. J'ai cessé de manger et j'ai commencé à faire des conneries. Sortir dans les bras pour noyer mon chagrin, prendre n'importe quoi avec n'importe qui mais à chaque fois qu'un garçon voulait me toucher, je piquai une crise, je hurlai, je me débattais. Ma non alimentation suivit de mes excès donnait un drôle de mélange. Je me suis retirée de tout le monde et c'est là que le message arriva.

« Crève. Pauvre fille, va te pendre. »

Je suis restée un moment stoïque devant l'écran. Était-ce possible ? Je n'arrivai pas à croire qu'elle puisse me demander ça. J'allais l'écouter mais à ma manière. Je doublais mon rythme de vie. Je m'engueulais avec tout le monde, me retrouvant à Halloween à presque coucher avec un ami. L'ectasy devint ma meilleure amie et boum. Un soir, je venais d'être reçue dans une école à laquelle j'avais postulé il y a de ça plusieurs mois. Je venais tout juste d'arriver et je cherchais encore ma voix. Mais aussitôt, j'eus peur. Je pris mes cachets, je fis une crise plus violente pour m'écrouler en pleine rue. Et c'est à ce moment là, que je choisis de... me reprendre en main. Sauf qu'on ne sort pas si facilement de cette maladie. On m'interna pendant deux semaines dans un centre et je partis tout de suite après à l'école. J'allais mieux. Enora vint s'excuser et comme j'suis bonne patte, je lui pardonnai. Je n'ai jamais été très rancunière. Et je l'ai enfin rencontré. Je ne sais pas mais c'est comme ci cela semblait être une évidence. Il est trop tôt pour s'avancer. Je ne sais pas. J'attends. Je verrais bien mais on prend notre temps. J'ai trouvé mon Edward et j'emmerde Jacob. Je sais qu'il angoisse de me voir partir et je ne veux pas m'en aller non plus. Du coup, je cherche une solution quitte à postuler pour le grand gourou. Le dieu tout puissant... Apple.



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Anonymous
Invité
Invité
Lun 28 Nov - 1:26

Motiveyyyyyyy Tiff!
Good luck (:
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 28 Nov - 1:42

T'as vu ça. Mais j'ai pas le choix. L'histoire avec Luke et tout, ça correspondait pas. J'dois la refaire. VDM XD
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Anonymous
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Lun 28 Nov - 9:49

debile
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 28 Nov - 13:00

LAMA !!! lama2 debile
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 28 Nov - 14:06

LAMA = j'ai ri !! xD
good luck 34242
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 28 Nov - 18:43

Donc, pas bienvenue alors, t'es déjà un membre :) Bon courage en tout cas :) Joli et original prénom ! ^^
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 28 Nov - 21:12

LAMA ★ « L'écureuil a beau être petit, il n'est pas l'esclave de l'éléphant. » 79124 Bienvenue ! Trop chou cette demoiselle !
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Anonymous
Invité
Invité
Mer 30 Nov - 8:56

je déplace dans "refaire sa fiche :3 " sans le :3

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LAMA ★ « L'écureuil a beau être petit, il n'est pas l'esclave de l'éléphant. »

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