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 Because it's you and nobody else [hot]
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Anonymous
Invité
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Mer 23 Nov - 20:48

Because it's you and nobody else [hot] Tumblr_lv4hxctGhS1qh5avzo1_500

    Je n'avais pas attendu longtemps pour me déconnecter de msn et filer jusque chez Midnight. J'avais juste pris le temps de passer une veste à capuche sur mon t-shirt et j'avais passé mes converses noires, avant de prendre mon paquet de cigarettes et mes clés et de sortir en trombe de l'appartement. Je ne voulais surtout pas faire attendre le jeune homme trop longtemps. Tout en marchant le long du trottoir je pensais a Midnight : a ses yeux, a son sourire, a sa voix, a ses calins...c'est hallucinant comme se mec pouvait me manquer quand on était pas ensemble et pourtant il y avait rien entre nous...enfin je crois, j'en sais rien en fait. Bref, je marchais le plus vite possible tout en évitant de renverser quelqu'un parce que premièrement ce ne serait pas sympa et deuxièmement cela me ferais perdre du temps. En arrivant à l'arrêt de bus (oui, parce que j'allais quand même pas traverser la moitié de la ville à pied) je sortis une cigarette de ma poche et l'allumais avant de tirer une bouffée de celle-ci. Je me perdis un moment dans la contemplation des volutes de fumée qui s'échappaient de ma bouche. Elles me faisaient pensées à Midnight, comme des caresse qu'on fait à quelqu'un qui compte pour nous, qui compte plus que le reste du monde...

    Lorsque je repris contact avec la réalité le bus venait juste d'arriver devant moi. J'écrasais le reste de mégot que j'avais dans les mains et montais à l'intérieur. Il n'y avait quasiment personne et je choisis une place à l'arrière histoire d'être plus tranquille. Pendant le trajet je me perdis encore une fois dans la contemplation des lumières de la ville, elles me faisaient penser aux yeux de Midnight. Je secouais légèrement la tête, il fallait vraiment que j'arrête de penser à lui sinon j'allais finir par devenir taré. Cependant, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à lui. Quand le bus s'arrêta dans le quartier du jeune homme, j'avais l'impression que des heures avaient passées. Je courus presque jusqu'à l'immeuble où il vivait et grimpais quatre à quatre les marches de l'escalier jusqu'à la porte du jeune homme. Je frappais à la porte le coeur battant, il y avait juste une porte qui nous séparait, juste une porte... Le temps qu'il ouvre me paru durer une éternité aussi. Enfin, la poignée s'abaissa et la tête de mon amie apparu dans l'encadrement de la porte. "Mid'..." Je saisis son visage entre mes mains avant de poser mes lèvres sur les siennes, un simple baiser, mais un baiser qui comptait énormément à cet instant. Après quelques secondes, j'éloignais légèrement mon visage du siens, tout en gardant mon front contre le siens, son regard dans le miens. J'aurais pu rester une éternité comme ça. Je murmurais doucement du bout des lèvres : "J'ai fais aussi vite que j'ai pu bébé, j'avais tellement besoin de te voir." Je l'embrassais de nouveau toujours aussi tendrement, quand je le sentis se raidir sous mes doigts. Je reculais immédiatement le regard perdu, qu'est-ce que j'avais fais ?? J'avais dis quelque chose de mal ?? Je penchais la tête sur le côté, un peu paumé. "Hey...qu'est-ce qui ce passe ?? T'es pas content de me voir ??" Je lui fis un sourire triste, j’espérais que ce ne soit pas ça. Je ne voulais pas rentrer chez moi alors qu'il était là et que je pouvais passer du temps avec lui.
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Anonymous
Invité
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Mer 23 Nov - 21:30

Because it's you and nobody else [hot] Tumblr_lv11z6Mmw21r515hxo1_400

« Because it's you and nobody else. »

Lorsque je parlais à Sevan, mes yeux devaient briller, même sur msn. Chaque fois que nos conversations se terminaient, qu'il devait aller se coucher ou aller quelque part, je sentais comme un grand vide à l'intérieur de moi. Cet homme, que je considérais comme un meilleur ami -c'était peut-être plus compliqué que ça- , me faisait véritablement du bien, dans n'importe quel moment que je pouvais bien passer en sa compagnie. Par le biais d'internet, nous avions prévus de passer la soirée ensemble et il n'allait pas tarder à me rejoindre, du moins j'espérais que ce ne serait pas trop long. Une fois notre discussion finie, j'éteignis rapidement mon ordinateur et je me rendis jusqu'à ma chambre afin de me changer. J'enfilai un jean troué, un t-shirt noir avec une chemise à carreaux rouges et blancs au-dessus. Une fois habillé, je me dirigeai jusqu'à la salle de bain pour appliquer du parfum au niveau de mon cou. Oui, je faisais sans doute ça afin de lui plaire, inconsciemment. En général, mon apparence m'importait peu, du moins je ne faisais pas grand chose pour tenter d'être beau, seulement quand venait le moment auquel je devais voir Sevan, j'entreprenais toujours ces actes. De plus, je trouvais mon meilleur physiquement magnifique, alors c'était assez frustrant quand je me comparais à sa beauté. Je tentais du mieux que je le pouvais, d'être à sa hauteur, mais c'était bien entendu un échec couru d'avance. Pourtant, rien ne m'empêchait d'essayer, de le jalouser et d'espérer être un jour, aussi splendide que lui, tant intérieurement qu'extérieurement.

Préparation finie qui dura moins de dix minutes, je vins m'assoir devant la porte. J'attendais impatiemment qu'il arrive, tant pis si je resterai à terre longtemps, je ne voyais pas quoi faire d'autre. Je n'allais pas commencer à démarrer une nouvelle activité, puisque Sevan n'allait pas tarder. Je paraissais certainement pour le garçon accro à son meilleur ami, trop en manque de lui. Peut-être bien, mais je n'y pouvais rien, ce n'est pas comme si je le faisais exprès. Quelques minutes passèrent et enfin, mon amour toqua à la porte. Je me levai précipitamment et lui ouvris directement cette dernière. Rapidement, ses lèvres atteignirent les miennes et mon vide se transforma par la suite en bien-être. Quand il m'embrassait, j'étais définitivement et véritablement heureux. Je prolongeai le baiser puis quand celui-ci se finit, nous posâmes nos fronts l'un contre l'autre, se regardant intensément. Nous étions de simples meilleurs amis, oui. Étrange comme relation, mais tellement magique. Il me faisait rêver chaque seconde. Pourtant, une odeur vint me picoter les narines et c'était infecte. Je pouvais la reconnaitre entre mille, étant donné que je la sentais souvent, en me promenant dans la rue. Odeur de cigarette. Alors, quand Sevan posa de nouveau sa bouche sur la mienne, je me crispai, ça m’écœurait désormais. Le repoussant violemment, il se recula de moi à regrets tout de même. Je le fixai méchamment, posant mes bras entremêlés sur ma poitrine. Il osait en plus de ça, me demander ce que j'avais. Mon dieu. « Tu m'expliques ? Une raison ? Sevan, tu as fumé ! » Je soupirai de tristesse et quittai la pièce, le laissant là. Je regagnai ma chambre, sautant par la suite sur mon lit pour venir m'étaler dessus. J'étais totalement déçu et fâché. Il pouvait le remarquer parce que je l'avais appelé par son prénom, alors qu'il avait toujours le droit à des surnoms du genre "babe".
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Anonymous
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Mer 23 Nov - 22:02

    Lorsque je compris ce que Midnight avait je baissais la tête comme un enfant pris en faute. Je savais pourtant qu'il avait horreur de ça, mais bon une fois que tu as commencé à fumer tu peux pas t'arrêter comme ça. Je soupirais avant de rentrer et de fermer la porte derrière moi. Je posais ma veste sur une chaise qui traînait par là, avant de me diriger vers sa chambre. Il était allongé là et je n'avais qu'une envie m'allonger avec lui, seulement je savais qu'il était fâché et qu'il me repousserait méchamment, alors je me contentais de le regarder d'un air triste. "Bébé, s'il-te-plaît soit pas fâché...j'en avais besoin." La seule réponse auquel j'eu le droit ce fut un énorme soupir avant qu'il mette son oreillé sur la tête. Je passais une main dans mes cheveux, j'avais attendu d'être près de lui tellement longtemps aujourd'hui et là il boudait parce que j'avais fumé une clope ! Je soupirais avant de m'approcher du lit et de m’asseoir sur ce dernier. "Bébé...j'en ai fumé qu'une, je te jure...tu me manquais trop j'avais besoin de quelque chose pour combler le vide à l'intérieur." C'était cliché mais c'était vrai, la cigarette remplaçait parfois la présence de mon ami. Je levais les yeux en direction de Midnight, il ne bougeait pas mais je savais qu'il m'écoutait, que toute son attention était portée sur moi, même s'il boudait encore. Je me penchais sur lui et posais mes mains sur son corps, lui enlevant doucement sa chemise. Il ne disait toujours rien, mais je savais qu'il appréciait ce que j'étais en train de lui faire. Je m'approchais d'avantage de son corps afin de pouvoir appuyer un peu plus mes caresses. "Allez bébé, tu va pas faire la gueule toute la soirée ?? Je suis désolé, je ferais tout ce que tu veux mais arrête de faire la gueule." Je sentis ses muscles bougés et il se retourna vers moi. Ses yeux dans les miens. Qu'est-ce que j'étais dingue de ses yeux, enfin bien sur il n'y avait pas que ça qui me rendait dingue chez lui. Je n'ai pas pu résisté plus longtemps à ses yeux qui m'appelaient sans le vouloir. Je me suis approché pour l'embrassé, il a tourné la tête...il m'en voulait encore. Je me suis mordus la lèvres avant de coller mon corps contre le siens et de couvrir son cou de baisers. "Putain...bébé ste plaît arrête ! On s'en fou que j'ai fumé ou pas, ce qui compte là c'est toi, moi et le moment qu'on va passer ensemble." Je n'était plus sûr de ce que je disais, ni de ce que je faisais, je voulais juste qu'il arrête de faire la tête et qu'on passe un moment magique ensemble comme à chaque fois. Putain, bébé, aller...oublie la clope et pense a moi, à toi, a notre moment à deux...
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Anonymous
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Mer 23 Nov - 22:33

J'étais en colère contre lui parce qu'il savait que je détestais le fait qu'il puisse fumer. Je ne comprenais pas pourquoi il en avait besoin, il se pourrissait la santé pour rien et je n'aimais franchement pas cette idée. Je pensais à tous ces cancers et maladies à cause de maudites cigarettes, et mon cœur s'emballait en pensant que s'il continuait, il finirait dans le même piteux état que tous ces gens. Je ne voulais pas qu'il soit accro à ça, surtout parce que je n'y voyais aucune utilité. Je croyais qu'après mon énervement, il allait partir, m'abandonnant dans l'appartement. Contrairement à ce que je pensais, il me rejoignit sur mon lit très rapidement. Heureusement pour moi, je ne le voyais pas, puisque j'étais allongé sur le dos. Néanmoins, j'aurais peut-être du mettre des bouchons dans mes oreilles, j'avais oublié qu'il parlait celui-là. Il me déclara que s'il avait fumé, c'était parce que je lui manquais et qu'il tentait de combler le vide. Imbécile ! Bien que ça me fasse plus que plaisir -à la limite d'en rougir- je détestais ce procédé, et je me dis qu'il y avait vraiment beaucoup d'autres moyens plus appréciables. Je continuais à l'écouter, toujours très énervé. Je sentis ses mains s'emparer de ma chemise et il me caressait en même temps. J'aimais cette sensation, je dois l'avouer... je me forçais pratiquement à être en colère désormais. De toute manière, il parvenait toujours rapidement à me faire arrêter de bouder, à croire que c'était vraiment facile... Je me retournai sur le lit lorsqu'il me demanda de ne plus lui faire la tête en précisant qu'il pourrait faire tout ce que je voulais. Une idée m'avait de suite traversé l'esprit, raison pour laquelle j'avais tourné mon corps dans son sens. Je le fixai dans les yeux et je n'avais qu'une envie, c'était de l'embrasser. Il était sublime. Se penchant vers moi, je le repoussai une nouvelle fois en pivotant la tête vers la gauche. Le regardant à nouveau, je lui dis d'un ton des plus sérieux. « Tout ce que je veux hein ? Arrête, arrête ça... Sevan... c'est important pour moi que tu arrêtes. Je sais que c'est compliqué, mais je suis prêt à t'aider. Viens me voir autant que tu le voudras... sois accro à moi plutôt qu'à ça... » finis-je dans un murmure. Par la suite, il m'embrassa le cou, mon point sensible. Il savait s'y prendre pour que je n'ai plus la rage. J'étais apaisé, plus énervé, je ne lui en voulais plus. Ce fut rapide. Alors que son corps était étendu à côté du mien, je me roulai par-dessus en me mettant à califourchon. M'approchant de son oreille, je lui expliquais. « Si je te chope encore une fois avec cette putain d'odeur de clope, je te tue Sevan. Vraiment. » Je finis par simplement embrasser sa joue, me posant aussitôt là où j'étais. Je montrai tout de même encore une fois que j'étais en colère. Toujours le prénom Sevan, baiser sur la joue, puis position adoptée pour faire en sorte de ne plus le voir. En clair, je lui tournais le dos. « Maintenant, tu peux y aller. » Oh que non, je ne voulais pas que mon meilleur ami parte, j'aimais juste totalement le fait qu'il me caresse, m'embrasse, seulement histoire de se faire pardonner. Qu'il continue donc.
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Anonymous
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Jeu 24 Nov - 21:11

    Arrêter la cigarette ?? Je n'y avais jamais vraiment pensé à vrai dire ou plutôt je n'avais jamais eu de réelle motivation pour arrêter. Là, je venais peut-être d'en avoir une. Lui. Je savais que si je n'arrêtais pas de fumer il ne voudrait plus me voir, ni entendre parler de moi et je ne voulais pas que cela arrive. Mais en même temps je connaissais des gens qui avaient arrêté la cigarette et franchement des fois c'était pas super : ils devenaient nerveux, irritable, parfois violent tout simplement parce qu'ils étaient en manque et je ne voulais pas devenir comme ça surtout avec Midnight. Je soupirais avant de passer lentement la main dans mes cheveux et de regarder mon ami. Il me tournait de nouveau le dos. Je soupirais encore une fois, je détestais quand il faisait ça et il en profitait parce qu'il s'avait que j'avais horreur de le voir me faire la gueule. Je m'approchais doucement de lui avant de plaquer son dos contre mon torse et de venir l'embrasser dans le cou. "Je...j'vais essayer bébé, mais ça va être dur alors je vais vraiment avoir besoin de toi et de ton soutien à cent pour cent, mais puisque c'est pour toi...je le ferais." Je passais mes mains sous son t-shirt pour venir caresser son torse tout en continuant mes baisers dans le cou. Je sentais toujours ses muscles aussi tendus sous mes doigts, même si j'avais fais tout ce qu'il fallait pour me faire pardonner. il aimait vraiment me torturer putain ! Je me rapprochais encore un peu de lui pour lui murmurer à l'oreille : "Bébé...allez arrête la torture please...tu sais à quel point j'ai envie de toi là..." Ouais, je sais ma phrase pouvait paraître bizarre puisque techniquement on était que des amis, sauf qu'en fait c'était plus compliqué que ça. Je savais même pas ce qu'on était au juste : des amis ?? des amants ?? des sexfriends ?? On était peut-être un peu tout ça à la fois en fait. C'est surement pour ça que notre relation était aussi complice et fusionnelle. J'avais vraiment de la chance de l'avoir et je n'avais jamais douté de cette chance à vrai dire, mais j'en avais pris conscience seulement aujourd'hui je pense. Ouais, une chance incroyable...
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Anonymous
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Jeu 24 Nov - 21:47

Lorsque nous étions allongés tous les deux sur mon lit, c'était très généralement pour faire autre chose. Je me surpris moi-même de comprendre que nous réussissions à ne pas s'assembler pour une fois, bien que je savais que ça n'allait pas tarder. Nos corps étaient séparés, mais je sentis rapidement le sien se coller au mien. J'aimais ça, surtout quand il m'embrassa le cou plusieurs fois, tout en me déclarant qu'il essayerait d'arrêter la cigarette. J'étais rassuré, moins triste, néanmoins cette peur qu'il continue était toujours présente, je ne lui fis pourtant pas part, j'allais passer pour le chiant après. Puis, comme je le pensais, le moment était sans doute venu. Il me déclara qu'il avait envie de moi, tout en passant sa main douce sous mon t-shirt, me caressant par ailleurs. J'attrapai cette dernière, faisant glisser mes doigts dessus puis finis par la remettre à l'air libre. D'un coup, je me détendis totalement. Il avait réussi, je l'avais pardonné à la vitesse éclaire, je ne pouvais lui résister, il avait bel et bien raison, surtout après des phrases comme celles-ci... Je me retournai afin de pouvoir regarder son visage, notamment ses lèvres et ses yeux. Je me rapprochai dangereusement de lui, le plus possible, pour le sentir complétement contre moi. Agrippant toujours sa main, je la caressai de mon pouce, tout en le fixant intensément. Tellement proches, nous étions comme très souvent, fronts contre fronts. Mes lèvres rejoignirent rapidement les siennes, doucement et délicatement. C'est alors que je pris parole. « Tu sais... mon but n'est pas d'être énervant, j'ai juste trop peur pour toi, babe. » Enfin je l'avais prononcé ce surnom affectif, signe qu'il était totalement excusé. De toute manière, j'avais conscience que même s'il continuait la cigarette, je ne pourrais résister à la tentation de me rendre jusqu'à ses bras. Je ne serais certainement pas ravi, ferais la gueule une semaine, mais pas plus. Je ne pourrais lui faire la tête, j'étais juste horriblement terrifié à l'idée de le perdre à cause de cette merde, qui pourrait le tuer. Je passai mes lèvres à nouveau contre les siennes, en lâchant sa main pour isoler la mienne contre son visage. Je l'effleurai du bout des doigts, je souris et lui déclarai. « Babe, tu es incroyablement beau. » J'avais sûrement ces yeux brillants en l'admirant, en même temps... il y avait de quoi. Puis, repensant à sa phrase principale, je me remis à califourchon sur lui. Tout en le regardant avec un petit sourire, je tirai sur la fermeture de son gilet, lui faisant comprendre en passant que j'avais également envie de lui.
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Anonymous
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Ven 25 Nov - 17:29

    Babe...enfin il l'avait dit. Se surnom que j'aimais tellement entendre sortir de ses lèvres. Je souris avant de fermer les yeux au contact de sa bouche contre la mienne. Je savais qu'il s'inquiétait pour moi, mais il n'avait pas de raison de s'inquiéter, j'étais un grand garçon et je pouvais me débrouiller seul, cependant je ne pouvais pas nier que j'aimais l'attention qu'il me portait, j'avais l'impression d'être important. Bien sur je savais que j'étais important pour d'autres personnes, mais là c'était différent. Je savais que j'étais vraiment, vraiment important pour Midnight, plus que pour les autres. Je me laissais totalement faire alors que mon ami me dis que j'étais beau. Je sentis mes joues rougir, je n'aimais pas qu'on me dise ça, je me sentais toujours mal à l'aise. Je passais ma main derrière son cou avant de l'attirer contre moi et de l'embrasser tendrement. "Arrête bébé, t'es aussi beau que moi...et ne dis pas le contraire parce que c'est faux." Ouais, je le connaissais tellement bien que j'arrivais à anticiper ses réactions. Il ne se trouvait pas assez beau, alors qu'il l'était autant que moi et je n'aimais pas qu'il se rabaisse comme ça. C'est alors qu'avant que je ne fasse le moindre mouvement il se mit à califourchon sur moi et enleva mon gilet. J'aimais tellement le sourire qu'il avait en se moment, un sourire à la fois timide et sûr de lui (ouais je sais ce que je dis n'a aucun sens, c'est l'effet Midnight). Je passais mes mains sur ses hanches pour le rapprocher un peu plus de moi et l'embrasser longuement, jusqu'à manquer d'air. Je retirais doucement son t-shirt avant de l'envoyer par terre et le contemplais un moment en dessinant chaque ligne de son torse. Je voulais prendre mon temps, ne pas aller trop vite, pas avec lui, parce qu'il n'était pas comme les autres. C'était pas juste un mec que j'avais envie de voir pour coucher, non, Midnight j'avais envie d'être le plus souvent et surtout le plus longtemps avec lui. J'avais toujours envie de le serrer contre moi, d'entendre sa voix, de plonger mon regard dans le siens...en fait se mec c'était comme une drogue pour moi. Une drogue dont je ne parviendrais jamais à me passer. "Tu es sûr que tu en as envie bébé ?? Parce que tu sais qu'on peut arrêter, ça me dérange pas." Au fond si ça me dérangeais, parce que j'avais vraiment envie de lui là maintenant tout de suite, mais je ne voulais surtout pas le forcer à quoi que se soit. Alors s'il ne voulait pas faire ça, on ne ferait rien et je me retiendrais de l'embrasser et de le caresser, même si j'en avais atrocement envie comme à chaque fois que je le voyais. J'avais conscience de jouer un jeu dangereux avec lui, mais je m'en foutais. Tant qu'il était là je pouvais jouer à n'importe quoi même si cela devait me faire souffrir par la suite. Il était là et c'était le plus important.
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Anonymous
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Dim 27 Nov - 2:15

Serrés l'un contre l'autre, je pouvais sentir la douceur de son corps, et aussi l'odeur de cigarette qui me chagrinait encore un peu, mais je m'y étais finalement habitué. Pendant que je complimentais Sevan, je vis celui-ci rougir. Il était tellement... mignon. Je craquais devant son malaise face aux gentillesses, sa timidité vraiment chou. Pourtant, quand il me retourna le compliment, je réagis de la même façon. Je ne commentais pas, parce qu'il savait déjà très bien que je ne supportais pas le fait qu'il puisse sortir une telle chose de sa bouche. C'était faux, point. Parce que Sevan, personne ne pouvait le dépasser au niveau de la beauté et surtout pas moi, par ailleurs. A califourchon sur mon meilleur ami, il m'attira à lui pour m'embrasser et retirer mon t-shirt. C'était tellement rapide et à ce moment-là, j'avais vraiment peur que par la suite, notre relation ne soit basée que sur de la baise. C'est vrai que j'avais besoin de son affection, surtout de ses caresses et baisers à longueur de journée. Je ne pourrais m'en passer et ça m'était même devenu une drogue, certes. Seulement, j'étais terrifié à l'idée que nos moments magiques, intenses et remplis de douceur, se transforment en ce que nous étions justement en train de faire. J'avais peur qu'il finisse par en avoir assez de moi. J'avais peur qu'il n'aime plus nos moments passés ensemble. J'avais peur qu'il n'apprécie plus que coucher avec moi. J'avais peur qu'un jour, tout soit différent. J'avais tout le temps peur, parce que d'un côté, c'est ma nature de n'être jamais rassuré. Pour rien au monde je ne voudrais que notre relation change, elle est tellement... parfaite. Il me fait rêver, Sevan. Et étant un grand rêveur, je ne me vois pas sans lui. Lorsqu'il me demanda si j'étais sûr d'avoir envie de lui, je parus étonné, mais surtout j'affichais une tête totalement inquiète, ce genre d'expression qu'un gars fait quand il se pose trente mille question à la fois. Quittant ma position initiale, je me remis allongé au côté gauche à lui, pour glisser ma main sur son torse, tout en le caressant. Je l’observai un instant, le contemplai et lui dis : « Qu'est-ce qu'il se passe chou ? C'est une façon de dire que tu n'en as pas envie ? Je.. je te plais plus ? Tu ne veux plus ? J'ai l'impression que ça ne t'enchante pas... aies-je raison ? Est-ce que... oh babe ! » C'était le genre de phrases à ne pas me dire, surtout pas. Parce qu'une certaine inquiétude vint se nicher en moi et c'était frustrant, vu le nombre de questions que je pouvais poser en à peine dix secondes. Par la suite, je recouvris son visage de baisers, allant de son front jusqu'à sa bouche, pour finir par descendre jusqu'à son cou, sur lequel je fis même un suçon. Petite marque d'affection, tant qu'à faire.
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Anonymous
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Dim 27 Nov - 20:45

    A peine avais-je posé ma question que je regrettais presque. Je savais qu'il allait paniquer et ce poser tout plein de questions aussi stupides les unes que les autres. Je ne te plais plus ?? Bien sur que si Midnight, bien sur que tu me plais. Tu ne veux plus ?? Bien sur que si je veux, comment je pourrais ne pas vouloir avec toi ?? Et cette façon qu'il avait de m'appeler babe ! Oh putain qu'est-ce que ça me donnais encore plus envie de lui. Bref, je passais doucement ma main sur sa joue pour la caresser du bout des doigts. "Chut...calme toi bébé. Bien sur que si j'en ai envie, avec toi je ne pourrais jamais dire non." Je me mordis encore la lèvre. Le problème c'est qu'à force de faire ça ensemble, j'allais finir par devenir trop accro et je risquais de vouloir plus que notre relation actuelle. Alors qu'il m'embrassait le visage je descendis l'une de mes mains afin d'attraper la sienne et j'enlaçais mes doigts aux siens, le laissant faire. Je laissais même échapper un petit soupir de plaisir quand je le sentis me faire un suçon. Il allait falloir que je le cache a ma mère, sinon j'aillais encore avoir droit à un interrogatoire de la CIA la prochaine fois que je l'a vois. Je reportais mon attention sur mon ami, avant de relever doucement son visage vers le miens et de l'embrasser tendrement. Je me relevais afin d'être assis sur le lit et ramenais mes jambes contre ma poitrine. "Bébé...je...j'ai peur." Je soupirais avant de poser mon front sur mes genoux. C'est alors que je sentis la main de Midnight se poser sur ma nuque et me relever doucement la tête. En croisant son regard je ne pu que voir de l'incompréhension face à ce que je venais de dire. "Je...j'ai peur de perdre ce qu'on est en train de vivre bébé. J'ai peur que tu te lasse de moi, j'ai peur que tu ne me trouve plus assez bien pour toi, j'ai peur qu'un jour tu ne veuille plus de nos moments ensemble...je supporterais pas de te perdre bébé. Je le supporterais pas...pas toi." Je plongeais mon regard dans le siens pour essayer de me persuader que non, il n'allait pas m'abandonner, il ne me laisserais pas. J'étais totalement absorbé par son regard, j'avais envie de lui, là maintenant, je voulais le rassurer et je voulais me rassurer aussi. J'attrapais lentement ses mains avant de les poser sur mon torse afin de lui faire comprendre que j'avais besoin de ses caresses, que j'avais besoin de lui pour me sentir bien, pour avoir l'impression d'être important aux yeux de quelqu'un...d'être vraiment important.

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Anonymous
Invité
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Dim 27 Nov - 22:52

Sevan me rassura un tant soit peu. Une simple caresse suffisait à faire disparaitre mon angoisse, il parvenait toujours à me faire sentir bien, c'était le seul qui y arrivait toujours, dans n'importe quelle situation. En plus, je savais que j'étais vraiment chiant comme garçon, parce que je doutais à longueur de journée, j'étais jaloux et peut-être trop saint, ou coincé pour certains. Je ne buvais pas, fumais pas, Sevan était seulement le troisième garçon avec qui je faisais l'amour. En clair, j'étais le gentil petit bonhomme qui faisait chier avec son manque d'affection, et de sûreté de soi. Je comprenais même pas comment mon meilleur ami faisait pour me supporter autant. Il faut le dire, nous nous voyions assez souvent et c'était étrange qu'il n'en ait pas encore eu assez de moi. Me calmant alors, je souris un instant en sentant sa main contre ma joue. « Ça me rassure... » Je sentis ses lèvres contre les miennes une nouvelle fois, et ce contact me fit vraiment du bien. Geste que j'allais d'ailleurs entreprendre pour le remercier d'être là, toujours là. De m'accepter comme j'étais. De savoir me rassurer. D'être le seul à pouvoir. De supporter ma jalousie et possessivité. Par la suite, je le vis changer de position, néanmoins je ne pensais pas qu'il se serait mis comme ça. Après sa révélation m'exprimant qu'il avait bel et bien envie de moi, je pensais qu'il allait même le démontrer. Non, il me déclara qu'il avait peur. De quoi ? Je ne saisissais pas, avait-il les mêmes peurs que les miennes ? Il se recroquevilla sur lui-même, cachant son visage. De suite, je le relevai, l'obligeant par ailleurs à affronter mon regard. Il avait l'air tellement triste et effrayé, ça me foutait la frousse, vraiment. « Babe, que se passe t-il ? » ne perdant pas de temps à lui demander, en lui posant un baiser sur sa main que je tenais pour tenter de le rassurer. Il m'expliqua ce qu'il le terrifiait et je remarquais que nous avions clairement les mêmes inquiétudes. Je sentis ses mains attirer les miennes jusqu'à son torse, que je profitais pour caresser. Le fixant d'un regard triste, je finis par lui dire : « J'ai les mêmes peurs que toi, babe. Seulement, sois certain que pour moi, tu seras toujours aussi parfait, que je ne me lasserai jamais de toi. Jamais, tu entends ? Et moi non plus je ne pourrais pas supporter le fait de te perdre, c'est vraiment inconcevable, tu sais. Mais, tu penses pas qu'il vaudrait mieux qu'on arrête ça ? J'ai peur que si on fait ça trop souvent, on finisse par en être accro pis en redemander plus... pis finir par le faire tout le temps. J'ai pas envie de ça. J'ai envie de toi, j'peux pas le cacher, mais... je préfère t'avoir en tant que personne babe. » J'avais beau dire ça, son corps m'excitait amplement, et j'avais vraiment beaucoup trop envie de lui pour ne rien faire ce soir. Je ne pouvais rester à ses côtés sans le caresser ou l'embrasser, j'avais envie qu'on fasse l'amour, là, maintenant. J'étais impuissant face à son torse, son visage, sa bouche et son jean encore à défaire. Il était définitivement irrésistible. Je ne pouvais m'empêcher de lui faire remarquer. « Mais rien ne retire cette envie de toi babe. » Passant alors ma main derrière, je le rapprochai encore plus de mon corps, puis je caressai désormais son dos, descendant dangereusement plus bas, au niveau de ses fesses, que je touchais à travers son jean, l'abaissant rien qu'un peu. Je l'embrassai à pleine bouche, attendant la moindre réaction de sa part.
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Anonymous
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Lun 28 Nov - 16:14

    Sa déclaration me fis l'effet d'une douche froide. Je ne comprenais plus, il avait peur peur de me perdre, mais en même temps il ne voulait plus de nos moments ensembles. J'étais perdu. Est-ce que ça voulait dire qu'il était amoureux de quelqu'un ?? Ou du moins qu'il avait quelqu'un d'autre mieux que moi pour ce qui était de lui donner du plaisir ?? Je ne préférais même pas y penser, cela me faisait trop peur. A vrai dire à ce moment précis j'étais incapable de penser à quoi que se soit pour la simple et bonne raison que Midnight se montrait de plus en plus entreprenant. Putain, mais pourquoi il avait fallut qu'il me dise ça juste avant de me caresser et de m'embrasser comme ça ?! Une partie de moi me disais d'arrêter là, qu'il avait raison et qu'on pouvait pas continuer à faire ça au risque de devenir trop dépendant l'un de l'autre. Mais une autre partie de moi me disais que de toute façon c'était trop tard et qu'on était déjà accro l'un à l'autre. J'avoue que je ne savais pas quelle voix je devais écouter et les caresses de mon ami aux creux de mes reins ne m'aidait pas vraiment. Bordel Sevan choisis mais vite! Tu sais que dans les deux cas tu souffrira alors choisis. Je ré-ouvris les yeux avant de plonger de nouveau mon regard dans celui de Midnight, je l'embrassais doucement dans le cou tout en descendant ma main jusqu'à son jean pour le défaire légèrement avant de passer lentement ma main sur son boxer pour le caresser. Je pouvais sentir ses muscles se tendres alors que je le caressais et des frissons parcourir sa peau. Un petit sourire illumina mon visage, il aimait ce que je lui faisais. Je fis glisser son jean un peu plus afin de lui enlever totalement. Je remontais ensuite mes mains jusqu'à ses fesses pour le rapprocher de moi l'embrasser passionnément. "Bébé...j'est envie de toi là, maintenant, tout de suite. Fais moi l'amour...." Je venais de lui susurrer ça à l'oreille d'une voix sensuelle. Je n'ai pas eu à attendre longtemps avant qu'il ne satisfasse mes envies.

    *
    * *

    Le jour commençais à se lever à travers les volets de la chambre de Midnight. J'entrouvris doucement les yeux un sourire sur les lèvres. J'avais passé la nuit dans les bras du jeune homme et je voulais encore en profiter un peu avant de devoir partir, aussi je me retournais pour chercher le contact avec lui, mais tout ce que je trouvais fut le vide. Je me réveillais complètement à la recherche de la moindre trace de mon ami. Je ne le trouvais pas. Sans que je comprenne pourquoi un vide s'installa au creux de ma poitrine. Pourquoi je réagissais comme ça ?? Ce n'étais qu'un ami, je n'avais pas à réagir comme ça. Alors pourquoi ?? Je l'ignorais, mais je n'aimais pas ça. Le bruit de la porte me ramena alors à la réalité. Je levais les yeux et croisais le regard de Midnight. Je me levais immédiatement pour me glisser contre lui. Je n'avais même pas remarqué que des larmes avaient coulées le long de mes joues. "Bébé...je pourrais pas. Je pourrais pas faire ce que tu m'a demandé cette nuit. Etre avec toi sans pouvoir te toucher, t'embrasser...te faire l'amour. Je pourrais pas. Je suis désolé." Je baissais la tête honteusement, j'avais l'impression de découvrir que j'étais accro à une drogue, alors que j'avais promis de ne pas l'être. J'avais trop besoin de lui à présent, beaucoup trop...
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Anonymous
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Mer 30 Nov - 16:40

Un bruit me réveilla et provoqua chez moi des soupirs de mécontentement. J'ouvris délicatement les paupières, regardant premièrement mon meilleur ami, qui avait à peine bouger. Puis, je cherchais désespérément l'objet de ma coupure de sommeil. Je m'étonnais par ailleurs que Sevan ne se soit pas réveillé tout comme moi, le boucan que ça faisait tout de même ! C'était mon portable qui était en train de vibrer sur ma table de chevet, j'avais juste envie de le lancer contre un mur pour avoir gâché un tel moment. Contre mon gré, je dus me détacher de mon meilleur ami, quittant par ailleurs ses bras et son corps tout entier. Sorti de mon lit, je m'emparai rapidement de mon téléphone, me dirigeant de suite dans la cuisine, afin de répondre sans réveiller Sevan. M'installant sur le siège de la table de cuisine, je répondis alors. « Oui allo ? » « Midnight, y'a quelqu'un qui t'attend, dépêche toi. Vous en discutez à l'agence. » Fais chier. « Hum... ouais, j'arrive. » Je n'avais certainement pas envie d'y aller, surtout parce que j'allais devoir passer pour le petit-ami d'une fille qui ne m'intéresserait pas. Ça allait être encore une fois l'horreur, mais je n'avais pas le choix, c'était le seul métier qui apportait beaucoup sans être obligé d'avoir je ne sais quel diplôme. Néanmoins, je devrais prévenir Sevan et je ne savais de quelle manière. Il ne connaissait pas mon métier et je ne désirais pas lui apprendre maintenant. Un autre jour peut-être. J'étais un escort-boy mais il ne devait pas le savoir. Sachant qu'une journée éprouvante m'attendait, je préparais mon petit-déjeuner et celui de Sevan, tout en allant me préparer dans la salle de bain. Repas avalé, je retournais un instant dans ma chambre, avec un visage déçu et triste de ne pas avoir la possibilité de rester avec lui toute la journée. Mon meilleur atterrit rapidement dans mes bras, en pleurs. Il m'expliqua aussi vite qu'il était venu vers moi. « Oh Babe, je sais. Moi non plus.. je pourrais pas enlever tout ça.. j'étais en moment de doute ne t'en fais pas. » lui dis-je en relevant son visage pour l'embrasser. J'attrapai ensuite sa main dans le but de l'attirer avec moi jusqu'à la cuisine, finissant par le faire s'assoir sur un des sièges. Passant derrière, je l'enlaçai, passant mes mains en-dessous de ses épaules. Embrassant son cou, je lui déclarais. « Mange bien. En tout cas, je dois y aller, je suis désolé. Tu peux rester là si tu veux, mais en tout cas, si tu pars, mets les clés sous le paillasson. Ou je viendrais les chercher chez toi. » J’espérais qu'il ne me demande pas où je pouvais bien aller comme ça, mais c'était certainement peine perdue.
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Anonymous
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Mer 30 Nov - 20:08

    J'étais tellement rassuré par sa réponse. Je ne me voyais vraiment pas être dans la même pièce que lui sans pouvoir le prendre dans mes bras ou l'embrasser. Rien que là quand j'avais ouvert les yeux et que je ne l'avais pas vu j'avais l'impression qu'un vide c'était faufilé aux creux de mon ventre. Je n'aimais pas ce vide et j'aurais voulu ne plus jamais le ressentir. Je me glissais dans ses bras afin de combler se manque. Ses lèvres contre les miennes m'arrachèrent un frisson de plaisir. Je ne voulais plus le lâcher, j'avais envie de passer ma journée avec lui dans ses bras. Je me laissais guider jusqu'à la cuisine sans rien dire. Il avait préparé le petit déjeuné. Ce mec était juste parfait ! Toutes ses attentions me paraissaient cependant suspectes, je me doutait qu'il allait dire quelque chose que je ne voulais pas entendre et j'avais raison. Il devait partir. Je fis une moue triste et le regardais avec un air de chien battu. "Mais euuuuuuh ! Tu dois aller où ?? Je veux pas te laisser partir, j'ai envie de rester avec toi." Je me levais pour être face à lui et l'embrasser tendrement. J'espérais le retenir près de moi plus longtemps. Cela a marché un moment, mais malheureusement son portable a sonné et il c'est éloigné de moi. Je soupirais avant de retourner m'asseoir sur l'une des chaises avant de me mettre à boire doucement mon café. Je voulais pas qu'il parte mais je pouvais pas l'obliger à rester avec moi. Il revient quelques minutes après son coup de fil et s'approcha de moi pour m'embrasser. Il allait y aller. Je soupirais de nouveau. "D'accord. On se revois bientôt ?? Tu me manque déjà." J'approchais mon visage de son cou avant de lui faire un suçon, je reculais légèrement avec un sourire. "Tu penseras à moi comme ça. Allez fil tu va être en retard." Il s'éloigna jusqu'à la porte d'entrée et je le vis m'envoyer un baiser du bout des lèvres avant de sortir. Je me précipitais à la fenêtre pour le voir s'éloigner dans la rue. Il était tellement beau. Je le vis se retourner avant de me faire signe et tendis qu'il disparaissait au coin de la rue je ne pu m'empêcher de murmurer du bout des lèvres : "Si tu savais comme je t'aime bébé..." Je soupirais...je ne devais ressentir ça. Je savais que c'était perdu d'avance, jamais ce sentiment ne serait réciproque. En gros : j'étais dans la merde!
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Anonymous
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Mer 30 Nov - 21:08

Mon portable se voulait insistant, puisqu'il retentit une nouvelle fois, après avoir échangé un énième baisé avec Sevan. Seulement, la sonnerie m'avait sauvé la vie, étant donné que j'avais pu échappé à la question de mon meilleur ami. Il se demandait où j'allais, ce qui était prévisible et évident. Je ne pouvais lui répondre, voilà pourquoi je fus soulagé quand je n'avais plus qu'à décrocher pour éviter comme un lâche la question. « Putain Mid, dépêche toi. Le client attend !! » « J'arrive, j'arrive. J'y suis dans dix minutes. » « Tu es trop souvent en retard ! » lâcha la directrice de l'agence d'escort boys juste avant de couper la conversation téléphonique. Je retournai alors auprès de mon meilleur ami, l'embrassant tendrement, espérant qu'il n'allait pas me poser de nouveau la question. Je ne pourrais lui dire, je savais d'avance qu'il n'allait pas accepter mon métier, ce que je comprendrais. Se faire payer pour faire semblant de sortir avec quelqu'un, l'embrasser, faire mine de l'aimer... Je refusais de lui dire, même si je n'avais jamais ressenti un plaisir de m'occuper à ça. C'était juste un moyen de gagner de l'argent, car je n'étais pas encore connu dans le domaine de la photographie et que ma mère en avait besoin, elle était à sec en ce moment. Enfin, depuis toujours c'était le cas. Lorsque Sevan me fit un suçon au niveau du cou, on pouvait apercevoir un immense sourire sur mes lèvres et je frissonnai de plaisir. J'aimais tellement quand il faisait ça... J'aimais tant quand il émettait une légère pression, surtout au cou. C'était mon point faible et il pouvait me faire craquer rien qu'en entreprenant un tel geste. « Je ne sais pas quand on se reverra, mais bientôt babe, je te le promets. Pis j'adore quand tu fais ça.. » Pourtant, j'étais obligé de prendre une écharpe noire pour cacher ça. J'étais gêné envers mes clients ou mes amis quand ils me posaient la question du "alors, c'est qui?". C'était con de dire que c'était de mon meilleur ami, les gens ne comprendraient pas pourquoi il m'avait fait ça. J'enfilai donc mon cache-suçon, me dirigeant vers la porte d'entrée en envoyant un baiser à Sevan de loin. Puis je m'éloignais de l'appartement, marchant en direction de mon agence pour aller travailler, contre mon gré. J'avais hâte de gouter à nouveau aux lèvres de mon ami, à qui je pensais en souriant, le visage au vent.

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Because it's you and nobody else [hot]

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