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 Say hi to my boyfriend!
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Anonymous
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Jeu 13 Oct - 17:05

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Say hi to my boyfriend, dickhead


Quelle belle journée que celle d'aujourd'hui! :3
J'avais commencé par me réveiller en douceur avant de prendre une douche tranquillement, de promener le chien, puis de filer de l'appartement avec un sac sur le dos pour que ma soeur pense que j'allais en cours. La réalité était toute autre puis-ce qu'en fait je travaillais depuis qu'Ange était à l'hopital. Il fallait bien que quelqu'un ramène de l'argent pour nous entretenir, et j'avais eu la chance de me faire engager dans une boutique de vêtements/goodies pour musicos, punks et tout ce qui entre dans cette catégorie-là, assez éloignée des coins où mon aînée avait l'habitude de trainer. Il faut dire qu'en voyant mon look, les vendeurs n'ont pas trop hésité. J'aimais beaucoup travailler dans ce milieu, en fait... et se sociabiliser avec des gens à priori comme moi, c'était pas trop difficile. Je me suis même plus ou moins fait des potes, notamment avec mes collègues. Enfin bref, je bossais jusqu'à treize heures aujourd'hui et c'était franchement cool, j'ai pas vu le temps passer.

Bon. Après ça, je suis rentré pour manger quelque chose j'ai à nouveau sorti le chien, et durant la balades, mes pensées se sont dirigées verss Hadryin. Il me manquait franchement, et je savais qu'il n'était pas en forme... en plus avec la Mia qui lui faisait apparemment chier comme jamais, ça ne devait pas être cool pour lui. Tiens, et si je lui envoyais un message à celle-là? Je me suis immédiatement assit sur le banc le plus proche avant de sortir mon smartphone pour me connecter à facebook afin de rédiger un petit texte à l'attention de la blonde. Je ne la connaissais pas personnellement, juste de réputation, mais c'était des informations suffisantes pour la démonter lorsqu'on s'appelait Kennedy Malefoy.

Une fois ma BA faite, j'étais tout content, à tel point que je suis passé voir dans une boutique d'accessoire s'il n'y avait pas ces boucles d'oreille qu'Enora n'arrêtait pas de réclamer dans le vide depuis quelques temps. Ô grand miracle, elles étaient là, cachée tout en bas d'un présentoir. Ben fuu, tu m'étonnes que personne ne les trouve...

Bon allez, retour à l'appartement. Je savais pas trop comment tuer mon temps, alors j'ai joué de la guitare, roulé un joint, et trouvé de l'inspiration pour écrire une chanson directement après. Magie de la weed! Alors que j'étais en train de rédiger, je reçus un nouveau message de la part de ma petite-amie qui me demandait de l'aide pour intimider un de ses potes d'amphi à l'université, ce qui fut pour moi comme la consécration de la journée. OH OUI, OUI, on me propose de maltraiter un être vivant, c'est merveilleux. Dans une demi-heure? Parfait! J'ai tout lâché pour sortir de chez moi et prendre le bus jusqu'à la faculté et chercher le numéro de la salle où se trouvait Enora. Ils finissaient dans trois minutes, c'était juste le temps qu'il me fallait pour m'approprier les lieux. Après avoir légèrement penché la tête vers l'avant, j'ai enfoncé mes mains dans les poches et me suis adossé au mur derrière moi pour attendre patiemment que la porte face à moi s'ouvre.
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Sierra Desrosiers
Sierra Desrosiers
all i care about is love
AVATAR : Hayley Williams.
✱ ÂGE : 33
✱ QUARTIER : SOMA.
✱ COLOCATAIRES : Son mec et sa fille.
all i care about is love
Jeu 13 Oct - 19:07

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be careful, here is my boyfriend. my handsome hero.

Ma promo de cette année était exclusivement féminine, très peu de garçons. J'avais toujours été entouré d'hommes et cet environnement de femmes me déplaisait. Ce n'était pas nouveau pour moi d'avoir une classe à 98% fille, j'avais bien été habitué en choisissant littéraire lorsque j'étais encore au lycée, mais cela ne me plaisait pas. Bien sûr, toutes les filles n'étaient pas de petites pestes dans un corps d'ange! J'exagérais la situation, évidemment. Il ne fallait pas être plus sexy que LA fille qui se donnait un mal de chien à l'être le matin avant de partir à l'université. Il ne fallait pas non plus discuter, et rigoler avec LE mec sur qui ELLE avait des vues. Puis fallait-il que tu la complimentes. Combien de fois Lucy m'avait dit d'arrêter de taper la discute avec James? Cette situation m'amusait. Ma pauvre enfant, j'avais le droit de communiquer avec des êtres vivants de sexe opposé. Il ne m'intéressait pas et j'étais en couple, de toute façon. Je m'étais alors rapprochée des quatre garçons de ma classe de TD et des filles qui n'avaient pas l'air d'avoir une langue de vipère.

Cet après-midi, donc, j'étais en cours d'Introduction à l'histoire de la langue anglaise II pour deux grosses heures. C'était assez difficile de suivre le cours, puisque dans le fond de l’amphithéâtre, des abrutis n'arrêtaient pas de parler. Il commençait sérieusement à me donner mal à la tête... Et Harry aussi. Ce mec pouvait être sympa quand il voulait, mais il était clairement chiant. Il m'énervait avec son allure de gay friqué. Gay, qu'il n'était pas d'ailleurs, puisqu'il s'amusait à défaire les soutiens-gorges de ma bande de copines ainsi que moi. Attitude d'un gamin de huit ans. Je me demande s'il avait réellement vingt-et-un an dans sa tête d'intelligent. Oh, oui, j'avais aussi oublié de préciser que cet Harry avait le chic de faire des leçons aux profs, de leur apprendre des choses et de me dire ta gueule ou t'es nulle à chaque fois que j'ouvrais la bouche. J'étais une fille raisonnable de nature calme, je rigolais facilement mais là s'en était trop.

Harry, était actuellement à côté de moi. Bon, la prochaine fois, je me mettrais à côté du mur, comme ça je serais sûre de ne pas l'avoir à mes côtés. Pendant au moins cinq bonnes minutes il s'est amusé à me toucher un peu partout avec son stylo. Je ne disais rien, mon visage était sec et je finis par lâcher « Tu peux arrêter de m'toucher là?! » « Je te touche pas, c'est mon stylo. » Il se foutait de moi...? Je marmonnais des insultes pour moi jusqu'à que le prof nous laisse dix minutes de pause. Je partais dehors avec une pote qui fumait, l’automne commençait vraiment à se faire sentir, il commençait un peu à faire froid lorsque le vent se levait.

Fin de la pause, je me redirigeai tranquillement vers la salle, ma veste à la main. Il ne restait plus que trois quarts d'heures de cours, ce qui était encore pas mal. Je lâchai un petit cri de surprise, quand quelqu'un me sauta dessus et en me serrant le cou. Par réflexe, je repoussai ce corps qui se tenait derrière moi, et balança ma veste en arrière pour le frapper au visage. « Hey, putain Enora! Espèce de sauvage. » Je regardai Harry méchamment, en me frottant le cou. Il m'avait fait mal. Sans un mot, je passai la porte de l'amphithéâtre, suivit du jeune homme qui se dépêcha de se coller à moi. Pire qu'une moule à son rocher. « Oh, c'est bon, fais pas la gueule! On dirait que tu ne m'aimes pas. » Je le repoussai vivement. « Mais putain, lâche moi, oké?! Casse-toi, dégage. J'vais pas t'aimer alors que tu me casses les couilles. » Par chance, il n’y avait pas eu un gros silence dans la grande salle, quand je lui avais crié cela.

Ces derniers temps, j’étais particulièrement lunatique. Je pris mes affaires, et m’avançai d’un rang pour essayer de suivre ce cours.

[…]

Ma bretelle de soutien-gorge claqua. Une trousse vola.

La professeur ne faisait pas trop attention aux étudiants, elle était trop absorbée par son cours, c’est pourquoi je pris mes affaires - encore une fois -, récupérai ma trousse que j’avais envoyé dans la face de l’abruti et partit m’installer dans un coin, seule. Je profitai au même moment, de poster un message sur le facebook de mon petit-ami. Je savais qu’il prendrait un plaisir fou, à se montrer méchant, et en plus pour moi. Mon sentiment d’énervement s’évapora pour laisser place à celui de l’amusement. Je me mordais la lèvre en regardant ma montre. J’avais hâte qu’il soit 17h, pour que mon chéri foute une raclée à ce connard de merde avec sa chemise rose pâle. J’avais envie qu’il lui fasse peur, qu’il lui fasse comprendre qu’il n’était rien. Je voulais aussi me sentir protéger, pour une fois.

Il était enfin l’heure de la fin des cours ! Je me dépêchai de sortir, pour retrouver Drake qui était juste devant la salle. Je lui courus limite dessus pour le serrer dans mes bras, à en faire tomber mon sac par terre. Je me décalai sur sa gauche et indiquai d’un mouvement de la tête à mon homme « C’est lui. » Vas-y mon doudou, fais lui la misère ♥.
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Anonymous
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Ven 14 Oct - 11:25

Say hi to my boyfriend! 4832723089359_untitled4
Say hi to my boyfriend, dickhead


J'avais attendu patiemment que la porte s'ouvre sans lâcher cette dernière du regard, si ce n'est pour cligner des yeux de temps en temps. Les quelques personnes qui passaient dans le couloir tournaient successivement la tête vers moi pour observer qui était cet énergumène étrange qui se baladait dans leur université, mais je me contentais de les ignorer. Tant qu'ils ne me donnaient pas de bonne raison de m'énerver contre eux, je resterais calme. Et puis je n'avais pas envie de rater la sortie des étudiants de cet amphi, ce qui ne tarda pas à arriver.

Tout d'un coup, un tas de filles commenca à se bousculer pour sortir de la salle, et je fus franchement content qu'Enora ait les cheveux roses en ce moment parce qu'avec sa taille, j'aurais eu de la peine à la différencier des autres vu le nombre. Il y avait quelques garçons, aussi, mais j'avais l'impression de paraître plus vieux que la majorité d'entre eux alors que je n'avais pas terminé mon lycée. C'est sur que de tous ceux que j'ai vu, il y avait soit des types qui faisaient la moitié de ma corpulence, soit ceux qui faisaient plus parce qu'ils étaient gros. Bon oké, y'avait que deux gros, j'exagère, mais ça vaut pour quatre, du coup, non?

Je n'eus pas à attendre longtemps avant que ma petite-amie se détache de la foule pour venir me voir, heureusement. Ni une ni deux, je me suis décollé du mur derrière moi pour la récéptionner alors qu'elle me fonçait dessus et j'ai baissé les yeux sur son visage avec un léger sourire aux lèvres. « C’est lui. » Oh, on ne perdait pas de temps, aujourd'hui?

Après avoir relevé la tête pour voir à quoi ressemblait le crétin qui énervait Enora, je manquais de me mettre à rire. Wouah, okay, à première vue je dirais que c'était un fils unique à sa maman qui avait toujours eu ce qu'il voulait et qui se croyait plus intéressant ou malin que la moyenne. Une lueur s'alluma dans mes yeux pendant que j'observais le jeune homme s'approcher d'un groupe de filles, puis mes jambes se mirent en route d'elles-même vers lui. J'ai légèrement accéléré pour le doubler et me retrouver sur son chemin afin de lui barrer le passage. « T'as quoi, Marilyn Manson? ». C'est ce genre de phrases qui font que je n'ai même pas besoin de me forcer pour paraître énervé, mon gars, merci. Sans demander la permission, je saisis le type par le col avant de le trainer de force sur le côté avec moi pour l'amener un peu plus près d'Enora. Pour un gars qui passait sa vie sur son ordinateur il y a quelques mois encore, je crois que je m'en sortais plutôt bien physiquement. Mon apparence comptait beaucoup à mes yeux car c'est la première chose qu'on voyait chez moi.. et je n'ai jamais voulu ressembler à ces petits emo aussi mous que des asticots gays, alors j'ai pris l'habitude de faire du sport régulièrement pour éviter ce problème. Le résultat? J'en étais plutôt fier, ça me donnait confiance en moi, et je me sentais plus désirable aux yeux de ma copine... j'aimais bien voir du contentement dans son regard, et de la confiance aussi. Bien sûr que je pouvais la protéger, et j'en avais envie. Je la protégerais contre tout le monde, car elle comptait énormément à mes yeux... c'était grâce à elle que j'avais fais la paix avec l'Humain en général et que je souriais de nouveau. Parfois, je ne savais pas comment la remercier pour ce qu'elle m'avait apporté et m'apportait encore aujourd'hui.

« Je crois que t'as des excuses à faire à ma copine. »

Mes yeux restèrent fixés sur ceux de l'étudiant qui gigota pour que je le lâche, sauf que je ne l'ai pas lâché, et lorsqu'il a commencé à se débattre un peu plus fort, je me suis contenté de le tenir plus serré et de le tirer un peu vers le haut. Il n'était pas tout léger, mais ça allait encore. Une fois qu'il sentirait que ses pieds n'ont plus de contact ferme avec le sol, il se calmerait directement.

« Elle est sympa ta chemise rose... il est où ton petit-ami? »

Un sourire mauvais s'afficha sur mon visage même si je gardais le même regard perçant depuis le début. Je crois qu'il n'y avait qu'Enora pour ressentir à quel point j'étais en train de prendre mon pied en ce moment même. Oh, merci chérie, merci, ça m'avait tellement manqué le bullying! J'ai tourné la tête vers elle pour l'inviter à s'approcher. Après tout, c'était elle qui avait des comptes à régler avec ce gars... et puis les activités en couple renforcent la complicité, il paraît.

« Tu sais ce qui s'est passé la dernière fois qu'un petit con comme toi a fait chier Enora? »
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Sierra Desrosiers
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Sam 15 Oct - 9:09

C’est vrai que j’aurais pu embrasser Kennedy lorsque je m’étais élancée vers lui, mais –d’une part- je savais qu’il était encore un peu gêné par tout cela en public. Depuis que je le connaissais, j’avais déjà remarqué les progrès énormes qu’il avait fait jusqu’ici, et j’étais tellement fière de lui. Il s’ouvrait petit à petit au monde, et il effaçait doucement mais sûrement ce côté distant et solitaire qui était ancré en lui. D’autre part, j’avais envie d’en finir avec cette histoire stupide. Sérieusement, j’avais l’impression de me retrouver au collège, mon premier pas dans le monde de l’école et mes premiers petits conflits avec certains élèves. A treize ans, lorsque j’ai commencé à me teindre dans un roux naturel, j’avais le droit à des remarques du genre « T’es rousse, tu pues. » « T’es une sorcière, on va te brûler. » Les idioties d’Harry, ne volaient sans doute pas plus haut que les remarques de mes anciens camarades. J’observais alors mon petit-ami passer à l’action face à cet imbécile de première. Il l’attrapa même par le col, pour le soulever. J’étais en admiration. Je gardais mon sac sur mon épaule, lorsque Drake se rapprocha de moi en tirant Harry.

« Je crois que t'as des excuses à faire à ma copine. »

J’étais amusée de regarder leurs expressions du visage. Le casseur de couilles était un peu apeuré – bien fait pour ta gueule – et Drake le regardait méchamment. J’avais toujours été contre la violence, l’intimidation, ce qu’était en train de faire mon homme en soi, mais il fallait avouer que… Ça commençait à me plaire. Après tout, je pensais que chaque être humain avait un côté sombre, un côté sadique. Mon petit-ami devait commencer à déteindre sur moi. J’avais envie que ce petit merdeux tremble de peur, j’avais envie de lui foutre une droite, qu’il ait mal et qu’il ne m’embête plus. La présence et le soutien de mon chéri me permettaient aussi d’avoir plus confiance en moi, de me sentir plus forte que je l’étais toute seule.

« Quoi, mais j’ai rien fais ? Lâche-moi, pas besoin de t’exciter ! » Gigota-t-il entre ses doigts.

Oh, mais il n’était pas excité, il avait l’air calme là, même si je sais qu’à cet instant Drake était sans doute en train de prendre son pied. Je ne pus m’empêcher de lâcher un petit rire quand il lui parla de sa chemise qui faisait franchement gay. Harry grogna, et s’agita plus brusquement que la première fois. Homophobe de merde. Cependant, je crois qu’à cet instant il réalisa qu’il ne touchait plus le sol avec ses pieds, ce qu’il fait, qu’il se figea entièrement. Je me rapprochai d’eux au signal de Drake.

« Tu sais ce qui s'est passé la dernière fois qu'un petit con comme toi a fait chier Enora? »

Intimidé ? Oui, l’étudiant l’était vu la tête qu’il tirait. C’était excellent. Il avait vraiment peur de mon copain, alors, juste parfait.

« Je n’ai pas envie de savoir, ça va aller. Laisse-moi, j’ai rien fait. »
Mais il m’énervait à dire ça ! Je posai une main sur le mur à côté de lui et lui lançai :

« Quoi, tu as rien fais, tu te fiches de moi ? J’en ai marre que tu me rabaisses, ou que tu me touches. J’veux juste que tu m’oublies, que tu arrêtes de me parler tout simplement et que tu comprennes que mon corps c’est ma propriété, et que tu n’as pas à poser tes mains. »

J’avais plutôt été calme à la fin de mon temps de parole parce que diantre, quoi ! Drake était tellement… Chaud, quand il s’énervait, quand il jouait au bad boy que je commençais sérieusement à être… Horny ? Ça me déstabilisait un peu, et je n’arrivais pas à être plus tranchante que cela dans mes paroles. J’avais envie d’en finir, pour que je puisse ouvrir mes cuisses à mon mec et qu’il me prenne, là dans les toilettes d’à côté. J’amenai ma main dans le bas du dos de Drake sous son tee-shirt. Nous avions l’habitude d’utiliser certains gestes pour faire passer un message. Il était habitué, et je trouvais ça marrant d’utiliser des codes pour communiquer, au moins cela permettait d’être discret. Quand je le caressais à cet endroit, c’est que j’avais envie de lui. Ensuite, je passai une main dans mes cheveux et humidifiai mes lèvres en posant mes yeux sur l’étudiant.

« Chéri, tu peux lui casser la gueule si ça te fait plaisir. » Il en mourrait certainement envie.

« Putain, non mais merde ! Je n’ai pas envie de me prendre la tête avec une tapette. »

Finalement ce fut moi, qui me permettait de lui coller une gifle sur son visage de bourge. De toute façon, les couloirs étaient maintenant déserts.

« Ta gueule. » Dis-je en serrant les dents. Wo ho, personne n’a le droit de traiter Drake de tapette.

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