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 Je ne reviendrai pas.
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Dim 17 Juil - 1:42

J'en avais marre. Tout simplement marre. Alors, je me suis barrée en plaquant tout. J'étais là, assise dans mon bureau, d'une autre tour de Los Angeles, à parler avec mon patron de la prochaine musique que nous allions faire pour le remake des Liaisons Dangereuses et je m'ennuyai profondément. C'est vrai, étais-je plus attachée à cette ville que je ne voulais le laisser paraître ? Quoi qu'il en soit, j'avais tout balancé. Amis, famille, petit copain. Je n'avais pas de mec de toute façon. Certes, j'aimais bien Michael mais je n'étais qu'une passe-temps pour lui comme pour tout le monde. Je soupirai avant de prendre mes affaires à la fin de la réunion et de partir sans demander mon reste. M'acclimater à cette ville, à ma nouvelle vie. A ma nouvelle couleur de cheveux aussi. Devenir brune, quelle idée mais je me trouvai limite plus sexy comme ça. Mes boucles soyeuses retombant d'un côté de l'épaule et complètement vidée, je sortis pour m'allumer une cigarette et partir à grands pas vers mon appartement. Sauf que c'est là que je ne saisis pas tout. Je trainais dans une ruelle quand j'entendis des mecs m'interpeller. Pressée, je pris mes jambes à mon cou pour finir dans une impasse. Merde. Je poussais un hurlement, cherchant à partir mais ils étaient trois. Un des mecs me gifla tandis que les deux autres m'immobilisèrent avant de me dire quelque chose de pervers. Je criai de toutes mes forces et fus propulsée contre un mur, cherchant à me défendre tant bien que mal mais ils étaient plus forts. Merde, j'étais foutue.
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Anonymous
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Jeu 28 Juil - 2:25

Il se laissa aller à des spéculations. Eve est à Los Angeles — Eve rêve des retrouvailles. Il jeta son paquet de cigarettes sur le bitume. La survivante se cala entre ses lèvres. Un vent frais perturba la flamme de son briquet ; Michael comprit son erreur, Michael observa sa main : elle tremblait. Le contrat s'était mal passé. Il avait tiré quatre balles, et il en avait reçu une. A l'épaule gauche. Qu'importe, il venait de cerner la position de la bagnole appartenant à Zimmer. Il avait essayé son téléphone mais le répondeur fut son seul correspondant. Pourquoi les choses ne pouvaient-elles pas être simples? Il approchait de son objectif lorsqu'un cri féminin résonna. Son instinct lui injecta de l'adrénaline dans les jambes, dans les yeux, dans les poumons. L'assassin accéléra le tempo, s'orientant dans les ruelles avec frénésie. La douleur le mettait éveillée, la douleur lui paraissait être Eve en train de le mordre. Il arriva enfin dans l'impasse. La luminosité était à peine assurée, mais il cessa un bref instant d'être si inquiet. Ce n'était pas une blonde qui était victime. Il croisa son regard, et changea d'avis. Sa clope était tombée durant sa course. « Elle m'appartient. » lança-t-il d'un ton neutre, tout en portant son bras encore valide dans sa veste. Les types ne comprenaient pas. Les types rigolaient, tenant encore un peu Eve mais ayant oublié un instant de dépenser leurs triques. Les toussotements furent suivis de cris. L'arme de Michael fit des ravages, les balles touchant les jambes, les gorges, les torses. Il calculait les balles, combien il y en avait encore, il calculait les impacts. Deux hommes furent tués. Le troisième, obligé de ramper, se tenant un peu la gorge pour éviter l'hémorragie de s'emballer. Michael s'avança — ôtant lentement, et avec un soupçon de douleur, sa veste. Il enveloppa Eve dedans, sans un mot. A croire qu'elle était condamnée à ne plus jamais pouvoir être seule dans une ruelle. Sans la regarder, préférant fixer la dernière cible : il lui tendit son arme. Où à l'intérieur il n'y avait plus qu'une seule balle.
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Anonymous
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Jeu 28 Juil - 2:38

J'étais là, à moitié allongée à terre, sonnée quand j'entendis des bruits de pas qui provenaient de la rue. Directement, je tournai la tête vers le nouveau venu pour reconnaître sa voix. Celle de Michael. Il m'avait retrouvée mais comment ? Puis ce ne fut qu'une succession de coups de feu et je me bouchai les oreilles complètement abasourdie. Et, mon regard affolé, brouillée de larmes se tourna vers les cadavres qui jonchaient le sol et un mec essaya de ramper pour survivre. Je fus relevée encore choquée par Michael qui me couvrit de son manteau, me mettant quelque chose dans la main sans réellement me regarder. Je portais plus d'attention à l'objet, qui était un flingue. Son flingue. Mais qu'est-ce que ? Ah. Il voulait que je tue le mec. Mais j'en étais incapable. Alors, je me tournai pour regarder le type qui agonisait à terre et là, des images, les images me revinrent en mémoire. J'imaginai que c'était ce type qui avait violé ma sœur. Alors, je dégageai de l'emprise de Michael avant de m'approcher vers le pauvre gars qui se tenait la gorge. Puis, je vérifiai combien il restait de balles dans le chargeur avant de le fixer, d'un regard neutre. « Tu aimerais que j'abrège tes souffrances ? » Je secouai la tête négativement. « Tu vas crever lentement comme un chien. Agoniser. Et je vais te regarder mourir. » Puis, je retirai le cran de surêté pour lui tirer dans les couilles et me boucher les oreilles quand il hurla. Enfin, me dégoutant moi-même, je me relevai pour déglutir et m'approcher de mon sauveur. Là, je le plaquai au mur violemment pour plaquer mes lèvres sur les siennes dans un baiser sauvage. « Tu m'as manquée, susurrai-je avant de l'embrasser à nouveau. » Quand j'vous disais que j'étais pas nette.
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Anonymous
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Ven 29 Juil - 18:18

[RP DÉPLACÉ DANS ÉTATS-UNIS]
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Anonymous
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Mer 3 Aoû - 23:37

Son sang-froid avait fugué, ne permettant pas à son esprit de raisonner vis-à-vis de l'action. Aucune vérification des témoins. Aucune recherche de discussions. Il avait ouvert le feu tant l'idée qu'Eve soit en danger avait agi directement sur ses nerfs, ses muscles. En lui tendant son arme, Michael s'attendait à ce qu'elle le lui retourne — mais il le lui aurait proposé. Elle évoquait l'idée qu'elle ne pouvait pas devenir comme lui. Dix secondes plus tard, elle castrait l'individu ayant désiré son entre-jambes. Un mélange de fierté et de crainte s'insinua dans l'assassin : il était la cause de cette nouvelle personnalité naissante. Il pouvait la gérer, il pouvait la maîtriser. Même si cela pouvait impliquer, dans l'avenir, qu'elle en vienne à tourner l'arme vers lui pour qu'il disparaisse de l'équation de son existence. Il passa sa langue sur sa lèvre inférieure, prêt intérieurement à réconforter l'ancienne blonde. Au lieu de cela, elle ne manqua pas d'incarner le bourreau, employant son corps pour le piéger contre un mur. Ses lèvres pulpeuses se firent furieuses. D'une main, derrière la nuque, il prolongea le baiser. La douleur, à l'épaule, à l'emplacement d'une balle l'ayant traversé, continuait à le faire sagement souffrir. Cela l'élançait. Des pics brûlants. Il respira à pleins poumons le parfum de sa compagne, perdant un baiser à son cou tout en tirant délicatement un peu sa tête en arrière. « Je vois ça.. au point que tu as failli me trouver des remplaçants. » Ses yeux contemplèrent la chevelure qu'elle arborait, couleur bien loin de l'or, mais tout aussi attractif. Ses doigts passèrent dedans, diluant des caresses. Même si déplacer son autre bras lui était un peu douloureux, il n'hésita pas à empoigner l'une des fesses d'Eve, voulant la sentir tout contre lui. Le manque, dans ses veines, l'avait brûlé de l'intérieur. Il la voulait, qu'importe le sang, qu'importe les gémissements de l'autre. Mais après ce dont elle avait failli être une victime (pour une seconde fois), il atténua la rage de la bête qui sommeillait en lui. Se contentant de simplement la peloter, la refaisant sienne et redécouvrant ses formes érotiques. « A quel point je t'ai manqué? » susurra-t-il d'une voix espiègle, froissant ses habits, massant sa poitrine encore camouflé. Glissant une main entre ses reins.
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Anonymous
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Ven 5 Aoû - 2:44

Les coups de feu avaient fusé un peu n'importe comment et j'étais encore assez sonnée pour ne rien voir. Puis, je fus relevée, poupée de chiffon, on me glissa l'arme et je sentis en moi, un sentiment nouveau. Qu'est-ce que j'étais en train de devenir ? Je ne voulais pas devenir un monstre, quoique Michael était un monstre séduisant et je me tournai pour parler au mec, d'une voix rauque et lui foutre la dernière balle dans les parties. J'aurai eu mon couteau, ses parties, je lui aurais coupé mais je ne l'avais pas sur moi. Quel dommage pour lui! Enfin, je me tournai vers Michael, lui susurrant des mots doux à l'oreille avant de le plaquer au mur et de l'embrasser à pleine bouche. Bon dieu, quelques jours de séparation et il m'avait manquée plus que je ne l'aurai cru. Eeeeeeeeeet meeeeeeerde! Je peste intérieurement contre moi-même tandis que Michael réplique quelque chose et un sourire carnassier nait sur mon visage, je caresse le sien du bout des doigts. « Je ne t'ai pas trouvé des remplacants, ce sont eux qui m'ont trouvé. Un peu comme toi la première fois, mon amour. » Je me pince la lèvre à ce surnom, murmurer certes tendrement et sortis bien malgré moi de ma bouche. Je laisse quasiment échapper un grognement quand les caresses de mon amant me mettent à nouveau en transe. Doucement, ses mains passent dans mes cheveux et contemple ma nouvelle couleur. « Un petit besoin de changement. Tu aimes ? » Une petite interrogation, tandis qu'une de mes mains était perché sur sa poitrine et l'autre derrière sa nuque. Il me colla un peu plus à lui et je pouvais déjà sentir son membre se durcir et le mien s'humidifier. On n'aurait pas dit que je venais de me faire violer quelques instants plus tôt, tellement la tension était éléctrique entre nous. Trois mots vinrent à mon esprit mais je les chassais à peine installées. Non, pas encore. L'autre mec gémissait mais je m'en fichai, seul comptait le moment. Lentement, il tira un peu ma tête en arrière, humant mon odeur, embrassant mon cou, accomplissant tout un tas de gestes érotiques. « A quel point à ton avis. » Je prends sa main et la descends lentement le long de mes courbes, ne le quittant pas du regard et de la faire glisser sous ma jupe. « Au point que j'ai envie de toi, ici et maintenant. » Puis, je le force à se pencher un peu plus, scellant nos lèvres, unissant nos langues, tandis que mes mains s'évertuaient à défaire son pantalon et je dus interrompre le baiser suffoquant quelques secondes. Je place un doigt sur ses lèvres avant de me défaire lentement de son emprise et de m'agenouiller. Là, j'entreprends de libérer son membre, le prenant dans ma bouche et entamant une fellation des plus érotiques, devant les passants, et devant un mec en train de crever. Mais au diable les convenances. Pendant que je faisais aller mes mains, ma bouche, je ressentais un immense plaisir à lui faire et c'était bien la première fois.
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 28 Aoû - 21:09

Nouvelle coupe de cheveux ; nouveau comportement ; nouveau vocabulaire. La ville avait transfiguré Eve, ou peut être étais-ce l'absence. Son absence, dans sa vie. L'idée était intéressante. L'idée brûlait ses veines, upgradait sa trique. Plaqué au mur, il encaissait l'ancienne blonde, se satisfaisant de plus en plus de la voir ainsi "libérée" sans concevoir d'où venait tout ceci. Lui qui incarnait tant le monstre, cherchant à placer sous son joug la jeune femme, ne s'attendait pas à ce que tout ceci arrive. « Tu es toujours aussi sulfureuse.. » laissa entendre l'assassin, passant une main dans la chevelure de sa compagne. Elle guida une de ses mains à son entre-jambes, histoire qu'il constate tout ce désir qui la faisait vibrer. L'autre gémissait, désirant qu'on appelle les secours, la douleur l'empêchait de pouvoir véritablement crier : il camouflait la blessure, la castration, du mieux qu'il le pouvait. C'était bon de la retrouver, et encore davantage après un baiser mi-langoureux mi-salace, elle en vint à se mettre à genoux. Calant entre ses lèvres son membre, l'accueillant, l'engloutissant. Michael fit reposer sa tête sur le mur, fermant les yeux, ayant le souffle de plus en plus court. Il ressentait la langue, l'antre humide de la bouche d'Eve : il ne la força, du moins au début, la laissant prendre son rythme. S'exercer à la fellation avec ses propres moyens. Le meurtrier caressait les cheveux de la castratrice. Il en oubliait d'avoir mal à l'épaule, ressentant l'excitation le gagner totalement. Eve voulait se faire baiser ; il voulait baiser Eve : désirs gagnants. D'une main, à la nuque, il l'invita dans un premier temps à quelques gorges profondes. Michael avait rouvert ses yeux, observant sa partenaire et sa queue qui disparaissait à chaque aller, réapparaissant un peu ou totalement au retour. « Oh, Evelyn.. » Il perdait peu à peu le contrôle de lui-même. Il donnait maintenant des coups de reins. Sa main créait aussi un mouvement pour que la tête de la jeune femme s'empale toujours un peu plus sur sa masculinité. Tout ceci était salace, avec en arrière-fond les supplications d'un homme ayant compris qu'il était mort. Au bord de l'implosion, il la fit se retirer, la gardant à distance de crainte qu'avec son nouveau tempérament elle ne continue à le sucer par plaisir. Michael releva Eve. Michael caressa l'entre-jambes d'Eve avec une envie prononcée. « J'ai envie de toi, aussi : violemment. » Il se dégagea un chemin d'accès pour atteindre aisément le vagina, gardant debout et immobile l'allemande. Malgré son épaule endolorie, il la souleva du sol, tenant les fesses : et calant sa queue en elle. Il la pénétrait, encore et encore, perdant dans le même temps un baiser au creux des lèvres de la jeune femme. Par-dessus son épaule, elle pouvait voir le malheureux s'essayant à ramper pour fuir, ne regardant plus désormais la scène qu'il avait tant désiré vivre avec l'ex-victime. Michael lui faisait sentir tout le mal qui l'habitait lorsqu'elle n'était pas avec lui : toute l'envie qu'il voulait qu'elle lui laisse faire habiter en elle. S'enfonçant jusqu'à la garde, meurtrissant le triangle féminin dans des estocades impétueuses. Et véloces.
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