molkinov ★ alekseï ★ alek ★ 32 ans ★ russe ★ né à moscou ★ hétéro ★ célibataire ★ sex (groupe) ★ blond ★ macho

★ pseudo & prénom : citizen
★ âge : 20
★ sexe : masculin.
★ nationalité : française.
★ comment je suis arrivé sur POH : par bien des mps, sur PRD, j'ai eu un premier compte, supprimé il y a peu, et me revoilà avec un second

★ commentaire : oh gosh, j'ai vraiment dû mal avec cette fiche

★ je suis un : PI
★ avatar : alexander skarsgard
★ code du règlement :

Spoiler:

Ma fiche est complète à 100%

CHAPTER ONE
— if sometimes in the hauts of men

Vie russe, hard, amère pour les jeunes années d'un gosse qui ne conçoit pas même la limite entre le bien et le mal qu'il est déjà projeté dans ce dernier. Alekseï était destiné à être dans la Mafia Rouge, sa famille y baignant déjà. Rackets. Vol à main armée. Enlèvements. Assassinats. Il fut bousculé, incité, à se préparer, à commettre des crimes d'une valeur toujours plus grande. Sa jeunesse se consuma, mais avec sa fin il se retrouva à hériter d'une carrure à même de servir ses intérêts. Ses poings s'abattaient sur les mauvais payeurs, les joueurs en malchance qui ne réglaient par leurs dettes : les rixes tournaient toujours en son avantage — les femmes en venaient à écarter tôt ou tard les cuisses. Il se spécialisa, n'accomplissant les plus sales besognes que lorsqu'il devait aider un ami, en règle générale il brisait des mâchoires, des jambes, des bras. Le Broyeur de Bratva devint son surnom, sa réputation commença à travailler à sa place. Il suffisait de le citer pour que certains problèmes s'arrangent. Ses deux plus jeunes frères traînaient dans son sillage sans parvenir à l'égaler, le modèle ayant atteint un niveau dont son père était si fier. La mère cautionnait tout ceci, n'ayant au final que peu d'influence dans le cercle familial. On commença à l'envoyer à l'étranger, à lui faire diversifier ses activités. Vente d'armes, de drogues. Gérer un réseau de prostituées en Europe de l'Est. Blanchir de l'argent en Espagne. Il haïssait la simple idée de ne pas être en Russie, ayant hélas le devoir de répondre aux ordres. Il améliora son anglais, peu à peu. Il reporta sa rage de ne pas être "promu" à un meilleur échelon sur tous les corps féminins qu'il en venait à côtoyer. Le sang continuait à être une donnée de son existence tant on avait le don de le déranger parfois, ou bien c'était commandité et il devait exécuter un traître. Sans se douter qu'un jour, il allait en devenir un.

CHAPTER TWO
— one struggle more, and I am free

Les guerres de clans, les rivalités, tout cela intoxiquait la Bratva de l'intérieur. Et la Mafia Rouge fut d'autant plus secouée par le chaos lorsque le parrain en vint à mourir. Les prétendants ne manquaient : Alekseï n'en faisait pas parti. Le pouvoir, certes, était tentant. Mais cela impliquait des responsabilités dont il n'en avait rien à faire. Il aimait la baise, l'alcool, tout ce qui lui serait moins promis en incarnant un tel rôle dans l'organisation criminelle. Cependant, en y refusant, il laissa la place à ses rivaux, bien décidés à accéder au pouvoir et à le "bannir" tacitement de la Russie. Il était bien trop imbibé d'une réputation, il pouvait commettre un renversement du pouvoir. C'est ainsi que ce qu'il croyait être "temporaire", ses allers-retours de la Russie à d'autres pays, devint définitif. Le nouveau parrain le voulait à San Francisco : il accepta, mais intérieurement il comptait maintenant désormais seul. On l'excluait, soit, mais il allait cesse d'être le chien de la Mafia Rouge. Il falsifie ses rapports, s'arrange, monte des commerces, enchaîne le rôle de différents jobs. Menant dans des caves des parties de poker aux sommes astronomiques. Faisant chanter des individus grâce à des films d'eux avec des prostituées qu'il a payé. Mais il est désormais surtout un dealeur réputé à San Francisco, à même de fournir la meilleure came : tout comme il est capable de régler le compte aux junkies ne réglant pas leurs dettes. Les hommes saignent — les femmes gémissent. Il le sait toujours en danger, prenant des précautions sur ses activités. Pour la première fois depuis longtemps, il se sent enfin libre de faire ce qu'il veut. Liberté affriolante, dont il abuse peu à peu.